(Le gouvernement mondial est déjà en place, en France il n'y aura pas d'élection présidentielle en 2027 parce que il n'y aura plus d'état France. Disons les dernières élections, en plus qui pourraient changer la direction que prennent les évènements seront les élections présidentielles de 2024, dont celles des Etats-Unis. Raison pour laquelle, ils feront tout, même tenter de le tuer, pour que les démocrates restent au pouvoir. Raison aussi pour laquelle, ils commettent un génocide contre les palestiniens pour en débarrasser Jérusalem, leur future capitale et les territoires autour. Donc, on en est plus au temps de la persuasion avec un klaus schwab qui amène sa tronche devant les caméras et nous dit tel le serpent avec des crocs qui lui sortent par les oreilles, "N'ayez pas peur !". Ce temps-là est terminé, aujourd'hui, c'est le temps de : "Tu fais ou je te pète toutes tes dents !" note de rené)
Le FEM exige une « action collective » pour « lutter contre la désinformation »
Source Slay News traduction par Aube Digitale
Le Forum économique mondial (FEM) exige une « action collective » de la part des gouvernements mondiaux afin de « lutter » contre ce qu’on appelle la « mésinformation » et la « désinformation ».
Le FEM insiste sur le fait que les élites mondiales doivent reprendre le contrôle du flux d’informations alors que le monde se prépare à avancer dans l’ère de l’intelligence artificielle (IA).
Cette organisation non élue, basée en Suisse, propose une « solution » à la liberté d’expression en ligne qui cherche également à intégrer l’IA dans le plan.
Le programme consiste à promouvoir les récits des médias d’entreprise en ligne tout en éliminant les mauvaises pensées d’Internet.
Parallèlement, la Coalition mondiale pour la sécurité numérique (GCDS) fait l’objet d’une promotion agressive.
La GCDS est la « coalition public-privé du FEM pour s’attaquer aux contenus et aux comportements préjudiciables en ligne ».
Cependant, la méfiance du public à l’égard des médias d’entreprise provient de « parties prenantes » telles que le FEM et ses alliés.
L’agenda de la censure a été promu par les médias traditionnels les plus influents, avec l’excuse de lutter contre la « mésinformation. »
Cependant, en réduisant au silence une grande partie de la population, le plan s’est retourné contre lui en déclenchant une vague de réactions négatives.
La censure injustifiée a entraîné une méfiance généralisée à l’égard des médias d’entreprise, des grandes entreprises technologiques, des fonctionnaires, des bureaucrates non élus et des élites mondialistes.
Néanmoins, le FEM affirme que les grandes entreprises technologiques et les grands médias n’ont pas suffisamment censuré parce qu’ils ont laissé passer trop de « mésinformation ».
Dans un article du FEM, on prévient que « seulement 40 % de la population fait confiance aux informations. »
L’article n’explique pas pourquoi les gens ne font pas confiance aux médias d’entreprise.
Cependant, le FEM laisse entendre que c’est à cause d’une « désinformation rampante ».
Le FEM n’explique pas qui se cache derrière cette « désinformation », ni même ce qu’elle est.
Néanmoins, il suggère que le « problème » est lié aux informations qui vont à l’encontre de l’agenda mondialiste.
Faisant un clin d’œil reconnaissant à la pandémie de Covid, le FEM a maintenant ces « solutions en 6 étapes » à proposer :
- Réduire l’exposition aux contenus préjudiciables en ligne
- Sensibiliser à la fiabilité des médias d’information
- Améliorer la maîtrise de l’information sur les médias
- Atténuer les risques et tirer parti des possibilités offertes par l’IA générative
- Renforcer la fiabilité par la transparence et la responsabilité
- Accroître l’intérêt et l’engagement pour les médias d’information
Traduction de Slay News par Aube Digitale
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