note existentielle
Je viens de me rendre compte que je ne vois pratiquement jamais d'oiseaux à par les éternels pigeons qui survivent à tout lorsque je me rends dans le bourg ou les villes voisines.
Je m'étais fait la remarque pour les papillons en ville dont le nombre avait drastiquement plongé à cause des pesticides utilisés dans les parcs et jardins et depuis interdits.
Les oiseaux, autour de chez moi, je l'ai remarqué à cause de la disparition des oiseaux insectivores qui ne trouvent plus leur nourriture, sont partis ailleurs, comme les hirondelles.
Cela ne m'était pas venu à l'esprit de chercher à faire le constat au sujet des bourgs et des villes alentour. Maintenant, c'est fait, les oiseaux insectivores disparaissent partout.
Nous allons vers une nature composée uniquement des espèces qui résistent aux pesticides et autres produits chimiques, mais que serons-nous, que sera notre métabolisme à ce moment là ?
Et ce n'est même pas la peine d'en parler aux céréaliers du coin, eux ils pensent profitabilité et son prêts à gratter des centimètres de terre sur l'espace public si le prix des céréales grimpe.
rené
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