(La dictature dans l'UE n'est plus rampante, elle est proclamée par les membres de la commission européenne. note de rené)
1989 : Internet permettait la LIBERTE d’expression et d’opinion…2023 : La CENSURE directe est à son comble ! Le « DIGITAL SERVICES ACT » signe la fin de la liberté d’expression digitale ! Merci Monsieur Thierry Breton !!!
La censure sur Internet s’aggrave depuis des années, mais nous venons de franchir un seuil qui va amener les choses à un tout autre niveau. Le 25 août, une nouvelle loi connue sous le nom de « Digital Services Act » est entrée en vigueur dans l’Union européenne. En vertu de cette nouvelle loi, les bureaucrates européens pourront ordonner aux grandes entreprises technologiques de censurer tout contenu considéré comme « illégal », « désinformation » ou « discours de haine ». Cela inclut le contenu publié par des utilisateurs en dehors de l’Union européenne, car une personne vivant dans l’Union européenne pourrait le voir. J’en ai parlé il y a quelques jours, mais je ne pense pas que les gens comprennent clairement les implications de cette nouvelle loi. Dans le passé, il y a eu des périodes où les gouvernements ont demandé aux grandes entreprises technologiques de supprimer certains contenus, mais cette nouvelle loi donnera désormais aux responsables gouvernementaux le pouvoir de forcer les grandes entreprises technologiques à supprimer tout contenu qui ne leur plaît pas. Toutes les grandes entreprises technologiques qui choisissent de ne pas s’y conformer seront sanctionnées extrêmement sévèrement.
Bien entendu, les grands médias tels que le « Washington Post » tentent de donner une tournure positive à cette nouvelle loi. On nous dit qu’il nous « protégera » des « contenus illégaux » et de la « désinformation »…
De nouvelles règles destinées à protéger les citoyens contre les contenus illégaux, les publicités ciblées, les flux algorithmiques indésirables et la désinformation en ligne sont enfin en vigueur, grâce à une nouvelle réglementation de l’Union européenne entrée en vigueur ce mois-ci.
Cela semble merveilleux, n’est-ce pas ?
Lorsque cette nouvelle loi a été approuvée pour la première fois, NPR a admis qu’elle permettrait aux gouvernements européens de « supprimer un large éventail de contenus »…
En vertu de la législation européenne, les gouvernements pourraient demander aux entreprises de supprimer un large éventail de contenus qui seraient considérés comme illégaux, notamment les contenus faisant l’apologie du terrorisme, des abus sexuels sur des enfants, des discours de haine et des escroqueries commerciales.
Outre les « contenus illégaux » et les « discours de haine », la loi sur les services numériques s’applique également aux « canulars » et à tout matériel considéré comme de la « désinformation ». Ce qui suit provient du site officiel de la Commission européenne…
Dans le même temps, la DSA réglemente les responsabilités des très grandes plateformes en ligne et des très grands moteurs de recherche en ligne lorsqu’il s’agit de problèmes systémiques tels que la désinformation, les canulars et la manipulation pendant les pandémies, les préjudices causés aux groupes vulnérables et d’autres préjudices sociétaux émergents.
Ces nouvelles règles de contenu sont si vagues qu’elles pourraient s’appliquer à presque tout.
Et c’est précisément ce qu’ils veulent.
À partir de ce moment-là, si vous publiez quelque chose qui ne leur plaît pas, ils auront le pouvoir de le supprimer.
Même si vous ne vivez pas dans l’Union européenne, votre contenu peut être supprimé, car quelqu’un dans l’Union européenne pourrait le voir en le faire disparaître.
Alors, qui va procéder à la censure ?
Eh bien, on rapporte que « des centaines de bureaucrates européens non élus décideront de ce qui constitue de la désinformation et ordonneront aux grandes entreprises technologiques de la censurer »…
Sous ce régime orwellien, une équipe de centaines de bureaucrates européens non élus décidera de ce qui constitue de la désinformation et demandera aux grandes entreprises technologiques de la censurer. Les entreprises elles-mêmes, confrontées à un risque de réputation et à des sanctions financières, n’auront d’autre choix que de s’y conformer. Cela peut être fait de toutes sortes de manières : simplement en supprimant le contenu par des modérateurs humains, en bannissant les créateurs problématiques pour réduire leur portée, en démonétisant certains contenus et en peaufinant les algorithmes pour favoriser ou défavoriser certains sujets. Et même si, d’un point de vue juridique, le DSA ne s’applique qu’au sein de l’UE, une fois installé au sein des grandes entreprises technologiques, ce vaste appareil de régulation des contenus affectera sûrement également les utilisateurs du reste du monde.
Par ailleurs, le site officiel de la Commission européenne nous indique que les grandes entreprises technologiques doivent « réagir en priorité » à tout contenu signalé par des « signaleurs de confiance »…
Un canal prioritaire sera créé pour permettre aux signaleurs de confiance – entités ayant démontré une expertise et une compétence particulières – de signaler les contenus illégaux auxquels les plateformes devront réagir en priorité.
Cela signifie que les organisations d’extrême gauches créés pour contrôler le contenu en ligne disposeront désormais d’un pouvoir extraordinaire pour restreindre la liberté d’expression sur Internet.
Inutile de dire qu’Internet ne sera plus jamais le même « espace de liberté » après cela.
Dans un premier temps, cette nouvelle loi s’appliquera à 19 très grandes plateformes en ligne…
Les plateformes en ligne concernées sont « Alibaba AliExpress », « Amazon Store », « Apple AppStore », « Booking.com », « Facebook », « Google Play », « Google Maps », « Google Shopping », « Instagram », « LinkedIn », « Pinterest », « Snapchat », « TikTok », « X » (répertorié comme Twitter), « Wikipedia », « YouTube », le détaillant européen de vêtements « Zalando », « Bing » et « Google Search ».
Si l’une de ces grandes plateformes en ligne choisit de ne pas se conformer à la nouvelle loi, les sanctions pourraient être extrêmement sévères…
Une entreprise qui ne respecterait pas la loi s’exposerait à une interdiction totale en Europe ou à des amendes pouvant atteindre 6 % de son chiffre d’affaires mondial.
Le mois dernier, « X/Twitter » a déclaré qu’il était en passe de générer 3 milliards de dollars (2,4 milliards de livres sterling) de revenus. Une amende de 6 % équivaudrait à 144 millions de livres sterling.
D’ici le 24 février 2024, la loi sur les services numériques s’appliquera également à une grande multitude de petites plateformes.
Il sera alors très difficile d’échapper à cette nouvelle loi.
Et juste pour s’assurer qu’ils puissent garder un œil très attentif sur la situation, l’UE vient d’ouvrir un tout nouveau bureau à San Francisco le 22 juin…
Le commissaire européen chargé du marché intérieur, Thierry Breton, a coupé le ruban pour commémorer le lancement officiel du bureau de l’Union européenne à San Francisco, jeudi 22 juin, aux côtés de la lieutenante-gouverneure de Californie, Eleni Kounalakis, du sénateur de l’État de Californie, Scott Wiener, et du président de la commission du Parlement européen chargée du marché intérieur. Affaires juridiques Adrian Vazquez.
« Je suis très heureux d’être ici aujourd’hui dans la Silicon Valley, centre mondial de la technologie numérique et de l’innovation, pour inaugurer le nouveau bureau de l’Union européenne à San Francisco », a déclaré le commissaire Thierry Breton dans son discours d’ouverture devant un auditoire d’entreprises et du secteur technologique et de certains dirigeants. « En tant que partenaires partageant les mêmes idées et luttant pour la réciprocité et des principes communs, tout en respectant nos processus démocratiques respectifs, nos liens transatlantiques sont plus pertinents que jamais dans le domaine de la technologie. »
Pendant de nombreuses années, Internet a été l’un des derniers bastions de la liberté d’expression.
Mais maintenant, tout a changé.
À partir d’aujourd’hui, les bureaucrates européens d’extrême gauche détermineront seuls ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas sur nos grandes plateformes en ligne.
La censure gouvernementale directe sur Internet est là, et cela va rendre beaucoup plus difficile le partage de la vérité avec un monde qui en a désespérément besoin.
Nous vivons à une époque qui est très sombre, et le pire est que cela semble devenir de plus en plus sombre, chaque jour qui passe.
Source: theeconomiccollapseblog
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