(Et l'Oms, n'oubliez pas l'Oms. D'ailleurs, il faudrait savoir ce que la Chine magouille au sien de l'Oms avec ce nouveau traité international qui la place comme une institution fasciste parce qu'avec bill gates et la big pharma anglo-saxonne, elle est l'un des contributeurs les plus importants. Elle affirme ne pas vouloir imposer sa manière de gérer sa société au reste du monde, mais, là, elle le ferait camoufler derrière une institution internationale. Ce qui pose la question, pourquoi soutiendrait-elle un processus qui se met en marche pour l'établissement d'un gouvernement mondial supposé ne pas lui être favorable ? note de rené)
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L’Afrique doit se doter au plus vite de sa propre Cour pénale, pour éviter des imbroglios comme celui touchant Vladimir Poutine, a déclaré l’ancien Président sud-africain Thabo Mbeki. Le responsable a souligné que son pays n’accepterait sans doute pas d’arrêter le Président russe, comme le demande la Cour pénale internationale (CPI).
Une alternative africaine. L’ancien Président sud-africain Thabo Mbeki a appelé le continent à créer le plus rapidement possible sa propre Cour pénale, pour ne plus avoir à dépendre de la Cour pénale internationale (CPI). Une solution qui éviterait les casse-têtes juridiques, comme celui survenu après la délivrance d’un mandat d’arrêt de la CPI contre le Président russe Vladimir Poutine.
La décision de créer une Cour pénale africaine a été prise au sommet de l’Union africaine en 2014, mais n’a pas encore été mise en œuvre. Un retard malheureux, qui laisse le continent enchaîné aux seules décisions de la CPI.
Embrouillamini autour de Vladimir Poutine
Thabo Mbeki a évidemment fait référence à l’imbroglio autour de la potentielle venue de Vladimir Poutine en Afrique du Sud. Le Président russe est en effet visé par un mandat d’arrêt international de la CPI, alors que la nation arc-en-ciel est membre de l’organisation.
Pretoria explore désormais différentes pistes pour permettre à Vladimir Poutine de prendre part au sommet des BRICS, prévu à Durban en août prochain, envisageant par exemple un évènement mixte, à la fois en ligne et en présentiel.
De son côté, Thabo Mbeki, souligne l’impasse dans lequel se trouve son pays, à cause des engagements pris auprès de la CPI.
Le 17 mars, la CPI avait émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova, commissaire russe aux droits de l’enfant, sur des accusations d’expulsion illégale d’enfants ukrainiens. La Russie, qui n’appartient pas à la CPI, avait répliqué en plaçant plusieurs juges de l’organisation sur la liste des personnes recherchées
source : Sputnik Afrique
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