(Lui, il est comme georgia meloni, sa face gauche n'est pas la même que la droite. Comme tous ceux qui savent ce qui est le mieux, non pas pour nous, mais pour l'humanité avec un grand H, ils ne nous demandent pas notre avis. note de rené)
Elon Musk à l’Élysée : euphorie avant l’éclatement de bulle
Elon Musk, patron de Tesla et Twitter passe à l’Élysée…
Les États-Unis viennent de prendre à l’Allemagne la place du plus gros investisseur étranger en France.
En effet : la dette coûte plus cher aux États-Unis, où les taux de la Fed poussent les taux au-dessus du niveau de l’inflation.
En Europe, en prenant en compte l’inflation, les pays-membres ont des taux d’intérêts négatifs !
Les investisseurs américains comme M. Musk peuvent construire des usines avec des prêts à taux négatifs !
Les taux bas créent des profits pour les sociétés qui s’en servent, comme les sociétés d’autoroute par exemple, ou l’industrie de l’immobilier…
Mais avec la remontée des taux au-dessus de 0 % (ce qui devrait se produire un jour) cette manne risque de prendre fin.
Tout comme cela s’est produit juste avant l’éclatement des bulles de 2000 et de 2008 !
Crise bancaire…
La contraction du crédit aux États-Unis commence à entraîner plus de risques de faillites.
Après les faillites et sauvetages de Silicon Valley Bank, Signature Bank et First Republic Bank, la banque “PacWest” montre des signes de difficultés.
Rapporte le New York Times :
“Une autre banque de taille moyenne affronte une crise de confiance ce jeudi, après que la banque Pacific Western révèle avoir perdu 10 % des dépôts sur une semaine en raison des retraits de clients, ce qui tiré le titre de la société vers le bas.
“Des milliards de dollars ont quitté la banque sur une semaine, ce qui indique des troubles pour l’établissement bancaire, basé à Los Angeles. L’action a chuté de 23 %, ce qui est plus important que les chutes dans le restant du secteur bancaire depuis les faillites …”
Les effets du resserrement sont aussi visibles chez Disney…
Pour Disney+, sa plateforme de streaming augmente les prix, ce qui lui permet de réduire les déficits.
Explique le New York Times :
“Les revenus ont grimpé de 12 %, en raison d’une forte hausse du revenu moyen par abonné de Disney+…”
En plus d’augmenter les prix, Disney annonce une modération de la dépense :
“Disney a annoncé qu’il allait réduire l’offre de contenu sur sa plateforme, en particulier dans les marchés internationaux, étant donné qu’il y trouve moins de marge de progression …”
La contraction sous l’effet des hausses de taux a lieu en ce moment…
L’éclatement de bulle – et l’effondrement des investissements étrangers en France, comme à la suite de 2008 – attend à l’horizon.
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