("Dispose" toujours puisque lula a conditionné les aides sociales à l'obligation vaccinale anti-covid. On ne peut pas dire, mais il a su négocier sa sortie de prison et sa réélection, maintenant il renvoie la balle au détriment du peuple brésilien. Alors maintenant, que vont-ils l'obliger à faire par la suite ? note de rené)
Le Brésil disposait d’un programme secret pour localiser les personnes à l’aide de leur téléphone portable
Utilisé par l’agence de renseignement ABIN.
Au cours des trois premières années de l’ancien président brésilien Jair Bolsonaro, l’agence de renseignement ABIN a secrètement exploité un outil permettant de localiser et de suivre les mouvements des citoyens, selon un rapport du média local Globo.
Cet outil, appelé FirstMile, permettait, sans aucune justification, à l’agence de renseignement de surveiller la localisation de 10 000 téléphones tous les 12 mois. Il a été développé par la société israélienne Cognyte et acheté par ABIN pour 5,7 millions de R$ (1 081 415,40 USD).
Outre la localisation, l’outil pouvait fournir des “alertes en temps réel” sur les mouvements d’une cible à différents endroits.
L’utilisation de l’outil était si controversée que les agents de l’ABIN l’ont remise en question, ce qui a donné lieu à un examen interne. L’outil a été acheté en 2018 et utilisé jusqu’à la mi-2021.
S’adressant à Globo, un haut fonctionnaire de l’ABIN a déclaré que l’agence justifiait l’utilisation de l’outil parce qu’il y avait des “limbes” juridiques.
La constitution brésilienne n’interdit pas expressément l’accès aux métadonnées des téléphones portables.
L’agence pourrait simplement dire qu’elle utilise l’outil pour des raisons de sécurité nationale et qu’elle n’enfreint pas les lois sur la protection de la vie privée.
Toutefois, le fonctionnaire a déclaré que le problème était que l’outil était géré sans contrôle et qu’il n’était pas possible de savoir qui y avait accès.
Des experts juridiques et des défenseurs de la vie privée ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation de cet outil, affirmant qu’il s’agissait d’une violation du droit à la vie privée.
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Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche
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