(Même méthode que pour la première et la seconde guerre mondiale que l'on sert aux populations, l'autre est le barbare. Lorsque on en arrive à cette phase de la propagande, c'est que la volonté de guerre est la seule option retenue. Sauf que je n'entends pas les protestations des peuples européens, donc, pour moi, ils sont d'accords pour un nouveau conflit mondial. Seulement, je pense qu'ils n'ont pas pensé à la dimension va prendre celui-là car il n'y aura pas de guerres de positions. Et sans doute, sont-ils prêts à mourir pur les intérêts de la city de Londres et de wall street, ces mêmes intérêts qui actuellement les jettent dans la misère sociale et économique. Croyez-moi, pour ceux qui en ont les moyens et qui ne veulent pas mourir pour les intérêts de la finance, il est temps de partir parce que cela, à partir de maintenant, risque d'aller très vite. A moins que Dieu ne détruise l'Amérique. note de rené)
L’UE réfléchit aux moyens de censurer les points de vue russes
L’Union européenne organise un colloque intitulé : « Au delà de la désinformation : la réponse de l’UE à la menace des manipulation étrangères de l’information ». Il s’agit en fait de réfléchir aux moyens de censurer dans l’Union tous les points de vue russes.
L’UE a déjà censuré les chaînes de télévision Russia Today et l’agence Sputnik. La réflexion s’oriente désormais vers la censure des citoyens de l’Union qui relayent leurs points de vue, qu’ils les partagent ou non.
L’évènement sera présidé par Josep Borrell, haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, assisté de Stefano Sannino, secrétaire général du Service européen pour l’action extérieure.
Le parlementaire Raphaël Glucksmann, président du Comité spécial du Parlement européen sur l’interférence étrangère, s’y exprimera ainsi que des représentants de l’Agence de défense psychologique suédoise, du Foreign Office britannique et du département d’État US, et bien sûr de l’Otan.
Le clou du spectacle reviendra à Nina Jankowicz (photo), qui, après avoir été conseillère en communication du président Volodymr Zelensky, fut chargée par le président Joe Biden de présider le Disinformation Governance Board, la fugace agence de censure des États-Unis.
Tous les intervenants, à l’exception de M. Glucksman, sont des hauts-fonctionnaires et non pas des élus.
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