La révolte d’une faction des milliardaires
Il y a quelques jours Donald Trump présentait le premier discours de sa
campagne électorale pour les présidentielles de 2024 intitulé
"Le droit de parole contre l'État profond et la bureaucratie".
« Si nous n’avons pas la liberté d’expression, alors nous n’avons tout
simplement pas un pays libre. C’est aussi simple que cela », a-t-il
déclaré au début de sa vidéo. « Si ce droit le plus fondamental est autorisé
à périr, alors le reste de nos droits et libertés s’effondrera comme des
dominos. Un par un, ils s’abîmeront». C'est ce que nous avons appelé la
guerre de la faction de droite du Grand capital contre la faction de gauche:
Donald Trump en guerre contre la Sainte-Alliance-Mondiale des «Progressistes de gauche» – les 7 du quebec
Voici qu’un second milliardaire se révolte contre la doxa imposée par la faction dominante du Grand
capital à propos de la « plandémie du COVID« …cet exercice militaire qu’ils ont imposé à la terre
toute entière depuis plus de deux ans… Elon Musk, nouveau propriétaire du réseau TWEETER, a
dénoncé Anthony Fauci le thuriféraire conspirationniste pour avoir financé des recherches militaires
virales sur les gains fonctions pour rendre les virus plus mortels pour les êtres humains.
Elon Musk s’en prend à Fauci – “Il a menti au Congrès et a financé des recherches sur les gains de fonction qui ont tué des millions de personnes”
Source : thepostmillenial.com – 11 décembre 2022
Traduction : Strategika.
Elon Musk s’en est pris à Anthony Fauci dimanche soir dans un tweet épique accusant le tsar du Covid de mentir au Congrès et de financer des recherches sur les gains de fonction qui ont tué des millions de personnes.
Le tweet était une réponse à l’astronaute Mark Kelly qui a tweeté : “.@elonmusk Elon, s’il te plaît, ne te moque pas et n’encourage pas la haine envers les membres de la communauté #LGBTQ+ déjà marginalisés et en danger de violence. Ce sont de vraies personnes avec de vrais sentiments. De plus, le Dr Fauci est un fonctionnaire dévoué dont la seule motivation est de sauver des vies.”
“Je ne suis pas du tout d’accord. Imposer vos options aux autres alors qu’ils n’ont pas demandé, et ostraciser implicitement ceux qui ne le font pas, n’est ni bon ni gentil pour personne. Quant à Fauci, il a menti au Congrès et a financé des recherches sur le gain de fonction qui ont tué des millions de personnes. Pas génial, je trouve”, a répondu Musk, mettant le feu aux poudres sur Internet.
Plus tôt dans la journée, Musk avait tweeté “My pronouns are Prosecute/Fauci”, ce qui a conduit beaucoup de gens à spéculer qu’il y aura bientôt des dossiers Twitter qui se concentreront sur le Covid et sur le rôle de Fauci dans le financement des gains de fonction, de la recherche, du mensonge au Congrès et du maintien des Américains sous les verrous. Le tweet de Mark Kelly était en réponse à cela.
Le sénateur républicain Rand Paul du Kentucky a promis d’enquêter sur Fauci au sujet de Covid. Les deux hommes se sont affrontés à plusieurs reprises ; Paul affirme que Fauci a menti au Congrès à plusieurs reprises, en particulier sur la possibilité que le Covid soit d’origine humaine, et sur son rôle dans le financement de la recherche sur le gain de fonction.
https://rumble.com/embed/v1ty2ou/?pub=2n05bMissouri
Le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, a publié lundi sur Twitter la transcription intégrale de la déposition de Fauci dans l’affaire en cours concernant la censure des médias sociaux, dans laquelle il a été révélé que la fille de Fauci travaillait pour Twitter pendant la pandémie, et que Fauci était contre les masques avant d’y être favorable.
Twitter face au Covid. Révélations sur les pressions politiques durant la pandémie
Par RT France – Le 26 décembre 2022
Un nouveau volet des Twitter files a été publié. Intitulé « Vaccination, avis d’experts : la Maison Blanche a fait pression pour influer la modération pendant le Covid. Les biais idéologiques des dirigeants du réseau se seraient aussi avérés déterminants.«
Le réseau de l’oiseau bleu «a truqué le débat sur le Covid». Dans une nouvelle série de révélations publiées le 26 décembre, Elon Musk a encore voulu montrer comment la modération du réseau social a été dénaturée à des fins politiques, cette fois durant la pandémie.
Diffusée par l’auteur et journaliste du media The Free Press, David Zweig, la nouvelle bordée d’informations dénonce ainsi la triple manipulation du réseau: «censurant de l’information vraie mais qui gênait la politique du gouvernement américain», mais aussi «discréditant des docteurs et autres experts en désaccord», et enfin «supprimant des utilisateurs ordinaires, y compris certains qui avaient pourtant partagé les données mêmes des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC)».
Tout commence selon Zweig par les pressions effectuées par l’administration Trump (en l’occurrence par le responsable du numérique à la Maison Blanche, Michael Kratsios) sur les entreprises de la tech pour «combattre la désinformation» au début de la pandémie. L’administration Trump aurait ainsi poussé plusieurs entreprises, dont Twitter, Google, Facebook et Microsoft à endiguer les «informations erronées» à propos des ruées dans les supermarchés. Le conseiller aurait tenté là d’enrayer la panique… alors même que cette information était factuelle.
Tout semble ensuite s’accélérer avec l’administration Biden, arrivée aux affaires en janvier 2021. L’une de leurs premières demandes de réunion avec les dirigeants de Twitter aurait ainsi porté sur le Covid. Le nouveau gouvernement se serait, selon le journaliste, concentré sur les vaccins et des «comptes antivax» très suivis, notamment celui du romancier et journaliste Alex Berenson, qui sera suspendu définitivement par le réseau social en août 2021.
La Maison Blanche colérique
Les équipes démocrates auraient accusé les réseaux de «tuer des gens» par leur passivité, en laissant circuler la désinformation à propos des vaccins. David Zweig concède ainsi que c’est avant tout l’exécutif qui s’avérait «insatisfait» et «très en colère» devant le manque de réactivité des équipes Twitter qui, elles, n’auraient «pas totalement capitulé», «débattant de cas de modération en détail», «avec plus d’égard pour la liberté d’expression que le gouvernement».
Reste que Twitter «a bel et bien supprimé les opinions – dont beaucoup de docteurs et experts scientifiques – qui s’opposaient aux positions officielles de la Maison blanche», constate Zweig, avant de poursuivre : «des résultats légitimes et des questions qui auraient élargi le débat public manquèrent ainsi».
Des bots et des sous-traitants aux Philippines
En tête des travers de la plateforme : la modération de sujets médicaux complexes, effectuée massivement par l’Intelligence artificielle, «impressionnante par sa conception», mais encore «trop grossière pour un travail exigeant une telle nuance», et par des sous-traitants, basés notamment aux Philippines, seulement guidés par des arbres de décisions préparés par les équipes de Twitter.
David Zweig pointe aussi la subjectivité des critères de modération, décidés arbitrairement par les dirigeants de la plateforme, elle aussi empreinte «de biais individuels et collectifs», penchant en l’occurrence «lourdement vers les dogmes de l’establishment».
Des biais qui auraient inévitablement conduit à qualifier un contenu «dissident mais pourtant légitime» de désinformation, par exemple sur la vaccination des jeunes ou des personnes ayant déjà été malades – une opinion pourtant conforme aux réglementations sanitaires de nombreux autres pays, qui vaudra à un tweet du Professeur de l’école médicale de Harvard Martin Kulldorff d’être étiqueté de «trompeur».
Un cas parmi d’innombrables autres, insiste Zweig. Comme les tweets de scientifiques relayant des études tout aussi scientifiques sur les arrêts cardiaques et les myocardites post-vaccinales, signalées à la fois par des robots et des membres de Twitter, attestant selon l’enquêteur des biais algorithmiques et humains de la plateforme.
Twitter assumait son rôle politico-sanitaire
Les réponses des services de Twitter aux contestations de leurs décisions de censure exprimaient d’ailleurs en toute transparence leurs objectifs : «nous prioriserons l’étude et l’étiquetage de contenu qui pourraient conduire à une plus grande exposition ou transmission [du virus]». Y compris relativiser le danger du Covid, ou alerter sur celui des vaccins, souligne le journaliste, au point par exemple de s’interroger sur le danger d’un tweet de Donald Trump, où le Président atteint du virus déclarait «N’ayez pas peur».
Et Zweig de conclure en se demandant comment la pandémie se serait déroulée si le débat avait été plus ouvert.
RT France
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