Covid-19 : le député conservateur Andrew Bridgen pose les bonnes questions à son gouvernement (Angleterre)
Vaccination enfants, effets indésirables, anomalies de coagulation, crises cardiaques, excès mortalité...
Andrew Bridgen, député conservateur du North West Leicestershire, également diplômé en génétique, a posé de nombreuses questions au gouvernement britannique et remet en cause la stratégie sanitaire anti Covid-19. Il a commencé par rappeler l’existence d’une étude publiée dans la célèbre revue médicale JAMA qui repose sur 7806 enfants de moins de 5 ans injectés avec Pfizer et suivis pendant 91,4 jours en moyenne. 0,5 % des enfants, c’est-à-dire 1/500 ont eu des effets indésirables et ont dû être hospitalisés suite à l’injection. Il pose donc une question simple et évidente : pourquoi vacciner cette tranche d’âge alors qu’elle ne risque rien avec le Covid-19 ?
Ensuite, il va parler d’un article publié dans le quotidien « Independent »dans lequel on apprend qu’il y a eu déjà 1200 réclamations de victimes des effets indésirables des injections d’ARN messager. Il rajoute que l’avocate Sarah Moore, responsable de 95 familles victimes de ces injections, dénonce le mépris avec lequel les victimes sont traitées, leur souffrance est totalement « ignorée ». Pire encore, elles sont qualifiées d’Antivax !
Il rappelle également au gouvernement qu’une étude très modeste a été mise en place afin d’étudier les problèmes de coagulation et de destruction des plaquettes suite aux injections d’ARN messager ; alors que nous savons que c’est un très grave problème d’effets indésirables qui nécessite beaucoup plus de moyens !
Il demande également au gouvernement si lorsqu’il a mis en place l’obligation vaccinale, notamment du personnel soignant, il avait connaissance de l’inefficacité des injections concernant la contagion ? Question cruciale qui remet en cause l’existence même du pass sanitaire et de l’obligation vaccinale.
Afin d’appuyer ses remarques, Andrew Bridgen va rappeler que dans l’État de Floride aux États-Unis, il y a eu 84 % d’augmentation des décès d’origine cardiaque chez les 18-39 ans. D’ailleurs, les autorités ont exclu cette tranche d’âge de la campagne vaccinale. Il a également rencontré le Docteur Aseem Malhotra, dont le père est décédé suite à son injection d’ARN messager, qui lui a confirmé que 90 % des effets indésirables ne sont pas signalés et ne sont jamais pris en considération par le système de pharmacovigilance (on a le même problème en France).
Enfin, il finira par lancer une bombe concernant l’excès de mortalité constaté dans le monde entier suite aux campagnes vaccinales. Il affirme que c’est très simple à observer étant donné que certains pays ont pratiqué des taux d’injections de près de 90 % tandis que d’autres n’ont pas dépassé les 10 %, il suffit tout simplement de les comparer. Il avertit le gouvernement : s’il n’y a pas de réaction rapide, franche et efficace, la population perdra totalement confiance non seulement en son gouvernement mais également dans le corps médical.
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