mercredi 30 novembre 2022
L'Échelle de Jacob: Macron livre à l'Ukraine nos systèmes de fusées à ...
(Le Canada pire ou la même dans son traitement des nations indiennes. note de rené)
Mettre fin à la stérilisation imposée des femmes des Premières Nations et Inuit
Ces histoires ne datent pas d’une autre époque, mais représentent toujours bel et bien une réalité actuelle des femmes des Premières Nations et Inuit au Québec.
En 2013, des femmes autochtones en Saskatchewan ont annoncé avoir été stérilisées sous la menace et la pression de la part du personnel médical. Un recours collectif est en cours d’examen à cet effet. Un comité sénatorial avait alors été mis sur pied afin d’approfondir la question. À cette époque, le gouvernement du Québec a refusé d’y participer, sous prétexte que les représentants de la ministre de la Santé, Danielle McCann, étaient déjà «sensibilisés» à la question et qu’aucun cas de stérilisation imposée n’avait été dénoncé dans le cadre des témoignages de la Commission Viens.
Cette prétention était fausse, ce que vient de confirmer une étude menée par la professeure Suzy Basile de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue pour la Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador.
Déjà, en février 2019, une lettre ouverte cosignée par sept chercheurs et organismes autochtones soulignait le manque de connaissances sur le sujet au Québec et demandait qu’une recherche plus approfondie soit menée afin de documenter le sujet des stérilisations imposées au Québec.
Le rapport de recherche dévoilé cette semaine nous apprend que des femmes des Premières Nations et Inuit au Québec ont été victimes de stérilisation imposée ou non consentie de manière libre et éclairée, lors de leur accouchement, par exemple.
Des patientes interrogées pour cette recherche disent également toujours éprouver de la méfiance et des craintes quant à la qualité de soins qu’elles reçoivent dans les établissements de santé, ce qui les pousse à réduire leurs contacts avec le réseau de la santé. Certaines d’entre elles n’ont pas consulté de gynécologue depuis plus de vingt ans.
Un autre constat du rapport confirme l’existence d’un traitement différentiel dans les hôpitaux à l’égard des femmes des Premières Nations ou Inuit fondé sur des préjugés selon lesquels ces femmes sont des patientes problématiques et des mères négligentes. C‘est ce qui s’appelle un «racisme systémique».
Par conséquent, nous réclamons:
- L’arrêt immédiat de la stérilisation imposée ainsi que de toutes les autres formes de violences obstétricales perpétrées sur les filles et les femmes des Premières Nations et Inuit au Québec.
- Nous invitons tous les acteurs concernés à prendre connaissance du rapport et à s’assurer que chaque recommandation sera mise en œuvre pour mettre fin au racisme systémique envers les femmes des Premières Nations et Inuit dans le système de santé du Québec.
Pour prendre connaissance du rapport de recherche complet Consentement libre et éclairé et stérilisations imposées de femmes des Premières Nations et Inuit au Québec, visitez le site de la CSSSPNQL.
Ghislain Picard, chef de l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador
Adrienne Jérôme, cheffe de la communauté de Lac-Simon et vice-présidente du Conseil des femmes élues de l’Assemblée des Premières Nations
Marjolaine Siouï, directrice générale de la CSSSPNQL
Suzy Basile, professeure, École d’études autochtones, UQAT
Madame Édith Picard, aînée Wendat
Grande Cheffe Savanah McGregor, Conseil Tribal Anishnabeg
Grande Cheffe Mandy Gull-Masty, Gouvernement de la Nation Crie
Marjolaine Étienne, présidente, Femmes Autochtones Québec
note existentielle
Les fourmis qui tournent en rond, les animaux qui font la même me fait me demander si le déploiement des antennes 5G ne perturbe pas les résonances de Schumann.
Comme les insectes et les animaux les perçoivent mieux que nous, peut-être devrait-on faire attention avant que les effets ne se traduisent sur nos cerveaux.
C'est une interrogation, pas une affirmation. Interrogation légitime vu qu'ils jouent tous aux apprentis sorciers et que nous sommes au milieu.
rené)
(Heureusement que le gouvernement français commence à recommander les masques avant de rendre cette recommandation obligatoire. En fait, on agit comme un aspirateur qui avale la poussières avec les masques. note de rené)
Les autopsies prouvent que les microfibres des masques conduisent à de graves nodules dans les poumons
La Vie Hospitalière
Ce qu'un spécialiste réputé d'Autriche rapporte maintenant devrait signifier la fin immédiate des masques le long de la protection du droit du travail
Au début, cela ressemble à un message d'horreur de la partie des alarmistes: les granulomes auraient été trouvés dans la majorité des poumons examinés des porte-masques. Des microfibres de masques ont été identifiées comme le déclin de cette formation de nodules.
Mais cela ne dit personne, mais celui Le professeur de Linz Martin Haditsch, expert reconnu, en réseau mondial et spécialisé en hygiène et microbiologie, infectiologie et médecine tropicale, virologie et épidémiologie des infections.
Prof. Haditsch est également appelé par des vérificateurs de faits autoproclamés de Correctiv.org Adversaire de Corona“ led. Le portail n'a pas peur de représenter des organigrammes qui ne veulent pas être similaires à ceux des chasseurs de la mafia pour une raison. Mais le zénith de ces portails a longtemps été dépassé, les gros titres deviennent de plus en plus lugubres et assoleillé comme des romans bon marché de Jerry Cotton groschen: Dans le réseau des adversaires de Corona .
Le professeur a maintenant donné au rapport24 l'entretien avec une longueur, à partir de laquelle nous avons écrit la partie concernant les masques:
Les gens ont également transplanté les poumons pendant la période de Corona et ont regardé les organes prélevés. Et dans le principe des parties des poumons enlevées – les malades bien sûr - si des granulomes, c'est-à-dire des nodules, ont été trouvés, ils ont été examinés.
Et, ces nodules ont été déclinés par des microfibres en masques. Ce n'est pas amusant ! Si je dis cela maintenant: eh bien, mais il y a des gens qui le portent, vous devez dire: Oui, ils l'ont toujours porté. Mais il y a une raison pour laquelle la médecine du travail - est une question médicale professionnelle - a défini des conditions-cadres très spécifiques et contraignantes pour qui est autorisé à porter quel masque pendant combien de temps et quand.
Et par exemple, pour le masque FFP2, il est prévu que ce masque ne peut être porté que pendant 75 minutes si l'activité physique est difficile. C'est un masque anti-poussière.
Et si le travail est facile, je pense que c'est cent minutes en Allemagne, en Autriche c'est plus 50%, mais ça sort à peu près la même chose. Et ce temps doit être observé.
Et, puis une pause masque de trente minutes doit être observée. Cela sert à protéger la santé des personnes qui en sont de plus en plus accablées.
Et, aucune de ces personnes ne porte alors automatiquement ces masques pendant huit heures par jour pendant des semaines ou des mois.
Source : telegra.ph
Source initiale : www.alexander-wallasch.de
(Lz même stratégie que les multinationales américaines utilisent aux USA, détruire professionnellement, socialement, économiquement avec des procès onéreux à répétition. Bon, parfois, elles vont beaucoup plus loin, dans le genre élimination physique. Par exemple, si vous vous attaquez à la big pharma ne consommez que ce que vous avez acheté vous mêmes et cuisiner. note de rené)
MERCREDI 30 NOVEMBRE 2022 Ma Vie Hospitaliere
L’Ordre des médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques
« Ce que sera la santé de demain dépendra de tous mais il est clair que va apparaître l’expert de sa propre santé en chacun des citoyens. »
Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture. La rédaction de l’AIMSIB
(*)
Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ?
par le Dr Éric Loridan
Je suis le Dr Éric Loridan, chirurgien général digestif et bariatrique, domicilié à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Bien qu’exerçant depuis 18 ans en tant que praticien hospitalier, je fus contraint de cesser mon activité pour refus d’injection anticovid le 15 septembre 2021. Pardonnez-moi de ne pas appeler cela « vaccin » dans ces colonnes. En effet, un vaccin est censé apporter une immunité artificielle fiable et solide, avec un minimum d’effets secondaires, par conséquent une balance bénéfice-risque acceptable. Force est de constater que ce n’est pas le cas avec ces produits expérimentaux à ARN messager, quoi qu’en dise la nouvelle définition du Larousse, au vu de toutes les complications recensées par l’ANSM, EudraVigilance et le VAERS, le collectif Où est mon cycle ? et, plus récemment, la Société Française de Cardiologie.
Non content d’être empêché d’exercer, je suis convoqué en chambre disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre des médecins le vendredi 2 décembre 2022, 13h30 à Lille, suite à la plainte du Conseil départemental (CDOM 62) à mon encontre.
Les raisons ? Des vidéos postées sur les réseaux sociaux. L’une sur le bon usage du masque par des professionnels de santé1 et l’inutilité de celui-ci en milieu non professionnel. L’autre vidéo2, réalisée en civil, en tant que citoyen et en milieu neutre et non reconnaissable, sur la dangerosité du masque chez les personnes fragiles, des enfants, l’inutilité des tests et sur le totalitarisme sanitaire qui était en train de s’installer.
Celles-ci me valent par conséquent l’accusation d’avoir enfreint principalement l’article R4127-12 du code de la santé publique stipulant :
« Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé et de l’éducation sanitaire. Il participe aux actions de vigilances sanitaires. »
Ce qui est plus surprenant, c’est que la plainte du CDOM 62 se réfère aussi à l’article suivant dont il est pourtant très facile de reconnaître qu’il est respecté par votre serviteur. Article R4127-13 :
« Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »
En effet, toute la bibliographie sur le port du masque est vérifiable par n’importe quel praticien habitué aux moteurs de recherches de publications médicales.
Je n’ai par ailleurs tiré aucun profit personnel, bien au contraire. Quant à la défense de l’intérêt général, cela reste à l’appréciation de chacun selon sa vision des choses. Peut-être faudra-t-il laisser l’histoire en juger, même si en cette fin d’année 2022, il est aisé d’y voir plus clair.
Étant allé à l’entretien du CDOM 62 le 9 juillet 2021, un énorme classeur rempli d’articles médicaux sous le bras, j’ai pu en parler librement et sereinement aux médecins de l’ordre, qui ont pu constater le sérieux de mes recherches. Cette bibliographie s’est même enrichie de nouvelles données que j’ai pu présenter au congrès de l’ AIMSIB à Marseille fin juin 2022 3, et au Conseil Scientifique Indépendant en juillet4.
Ainsi, mes données étaient confirmées par la science, et ce, depuis 1975.
Faisons ici une parenthèse pour rappeler que la plainte initiale venait d’un collègue de l’établissement où je travaillais, qui a envoyé un mail au Conseil national de l’Ordre, collègue que, par ailleurs, je ne connaissais pas. La délation en France et le manque de confraternité ont encore de beaux restes.
Il est possible, par contre, que je n’ai pas fait « preuve de prudence » : j’aurais bien dû me douter, en effet, que ces expressions publiques n’auraient pas l’heur de plaire à ces messieurs considérés comme « autorités compétentes » selon l’article R4127-12.
Il m’est, par ailleurs, reproché d’avoir « brouillé l’information délivrée au public en invoquant des données non-vérifiées » (CDOM 62), un manquement à mon devoir de réserve et déconsidération de la profession !
Mais le devoir de réserve ne doit-il pas s’effacer lorsque le citoyen, surtout s’il s’agit de son expertise professionnelle, découvre des faits mettant en danger le bien commun, particulièrement la santé de ses contemporains, selon la définition de l’OMS « Un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »5 ? On arrive alors dans le cadre non pas du devoir de réserve mais de celui du lanceur d’alerte, dont le statut est protégé par la loi. Plus largement que cela, la question fondamentale est : quid de la liberté d’expression dans une société qui trop souvent se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? Est-ce que dans l’histoire, les « autorités compétentes » se sont toujours montrées dignes de la confiance que leur accorde le peuple ? Était-il alors légitime de s’y opposer par tous moyens, dont le premier à la portée de tous : une parole divergente ?
Le masque en population générale n’était qu’un prélude nécessaire à tout ce qui suivit, notamment la vaccination en population générale. En effet, cet ustensile facial, dont il faut rappeler ici qu’il est aussi efficace pour contrer une épidémie virale qu’un château de sable pour arrêter les grandes marées, n’est là que pour rappeler à tous qu’une épidémie persiste et qu’il faut prendre toutes les mesures nécessaires, un peu comme un nœud à son mouchoir pour se rappeler une chose importante à faire. Source : OMS6.
En novembre 2022, alors qu’il y a maintenant plus de 14 mois que des milliers de soignants (chiffre invérifiable tant les disparités sont énormes) sont suspendus, sans travail, sans salaire, RSA, chômage ou financement de réinsertion professionnelle, bref condamnés à une mort sociale quand ce n’est pas à la mort tout court par désespoir7, il est pourtant difficile de maintenir cette position dogmatique du « tout vaccinal » dans cette crise Covid.
Les révélations officielles de la vice-présidente de Pfizer en commission européenne en octobre dernier sur l’absence d’étude sur l’efficacité contre la transmission virale en sont l’éclatante preuve. Citons également le revirement du professeur Jean-François Delfraissy, ex-président du Conseil Scientifique, que même les médias auto-proclamés fact-checkers ont du mal à contrer8.
Rappelons tout de même que l’une des missions de l’Ordre des Médecins est de défendre « l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française : usagers et citoyens, administrations et services de l’État, associations, … », selon un paragraphe trouvé en mai 2021 sur le site du CDOM 62 et visible sur celui du CROM9. Il me paraît donc nécessaire, en ces temps de crises inédites, de rappeler chacun à ses devoirs humains. La vérité ne saurait supporter de compromission trop longtemps.
Des médecins bien plus renommés que moi sont inquiétés ou déjà condamnés, pour des prises de parole ou des soins aux indigents, citons :
– Martine Wonner, médecin psychiatre et ex-députée dont le verdict de la chambre disciplinaire de Nancy est tombé ce vendredi 25 novembre 2022 ;
–Alain Houpert, Sénateur en exercice, condamné à 6 mois d’interdiction d’exercer dont 3 avec sursis ;
–Stéphane Gayet, radié de l’Ordre pour des prescriptions jugées dangereuses, alors qu’il a passé énormément de temps à soigner des patients en situation de Covid long que personne ne réussissait à soigner ; il n’a aucun décès à déplorer, aucune plainte de patients. Juste dénoncé par des collègues infectiologues. Confraternité, toujours !
–Pauline Chaniat, chirurgien-dentiste, en audience au CROM de Dijon le lundi 28 novembre pour sa liberté de parole.
–Olivier Soulier, qui doit se justifier le mardi 29 novembre 2022 au CDOM 59 pour avoir repris une citation d’un expert, au Conseil Scientifique indépendant.
De nombreux paramédicaux ont aussi affaire avec leurs ordres respectifs, des infirmières de la Sarthe ont même reçue une convocation orale pour une déposition au commissariat.
Pour notre plus grande satisfaction, il a été donné au professeur Christian Perronne de sortir blanchi de toutes les accusations portées contre lui. Les membre du jury du CROM d’Ile-de-France se sont comportés avec justesse et discernement, il faut leur rendre cet hommage.
Et pendant ce temps, des éminents personnages peuvent continuer à parler librement sur les plateaux télé et/ou les réseaux sociaux sans qu’il leur soit demandé des comptes sur la véracité de leurs affirmations et, souvent même, sur leurs compétences professionnelles pour parler d’infection virale et vaccins alors que leur spécialité est tout ailleurs. Nous ne les citerons pas ici par respect déontologique mais chacun a les noms qui lui reviennent.
Pendant ce temps également, des médecins devenus politiciens, une prestigieuse académie, des présidents d’ordres professionnels, multiplient les prises de paroles et de positions contre la réintégration des soignants suspendus sans qu’aucune justification scientifique ne ressorte de leurs propos, et préférant laisser les établissements hospitaliers à l’agonie avec des soignants vaccinés ET contaminants plutôt que de réintégrer dans leurs droits et leur dignité d’honnêtes ouvriers de la santé qui ont tout perdu dans l’affaire : leur travail, leur passion, leur salaire. Mais pas leur honneur !
Tout ceci aura, espérons-le, une fin heureuse, tant le château de cartes semble s’écrouler. Mais que de dégâts cette crise et ses réponses politiques auront fait dans la société et dans la confiance en notre belle médecine. Ce que sera la santé de demain dépendra de tous mais il est clair que va apparaître l’expert de sa propre santé en chacun des citoyens. Et c’est très bien ainsi. Certaines parties de notre médecine sont amenées à disparaître car non respectueuses du bien-être, notamment tout ce que l’industrie pharmaceutique a corrompu. Mais, comme il sera toujours difficile de soigner une fracture ouverte de jambe avec des plantes, la chirurgie aura encore pignon sur rue.
Il nous est aussi possible, avec cette traversée du désert de la médecine, de faire le point sur tout ce que nous avons appris. Sur nous-mêmes d’abord, nos capacités à comprendre les choses et dire non quand c’est nécessaire. Il nous est possible de répondre à la question que nous a posée Jean-Jacques Goldman dans les années 90 : « Qu’aurais-je fait si j’étais né en 17 à Leidenstadt ? » sur l’état de notre société dans toutes les strates. Sur nos capacités à nous mettre en lien et envisager une autre façon de concevoir les rapports humains. C’est dur mais cela semble vraiment en valoir la peine.
Pour finir, j’invite tous ceux qui le peuvent à nous rejoindre à Lille, le vendredi 2 décembre 2022, 13 heures 30, devant les bureaux du CROM 59, 42 rue du faubourg de Roubaix, 59000 Lille.
Sans animosité, sans colère mais avec joie et bonne humeur. Dans le plaisir de faire de belles rencontres. Ce n’est pas pour ma petite personne que je demande cela, mais c’est pour bien montrer aux princes qui nous gouvernent et à leurs intermédiaires que nous ne sommes pas dupes du jeu qu’on veut nous faire jouer.
Et en venant, chacun vient aussi pour lui, pour ses enfants, ses aînés. Pour une dignité humaine à revendiquer, non négociable.
Ils ne sont forts que par le pouvoir que nous leur accordons.
Dr Éric Loridan
Chirurgien empêché d’exercer depuis le 15 septembre 2021.
1- https://www.youtube.com/watch?v=hRui0I1Gw40
3- https://www.aimsib.org/2022/06/30/brulez-vos-masques-ils-ne-sont-que-nuisibles
4- https://crowdbunker.com/v/PB9hobdK
5- https://apps.who.int/iris/handle/10665/332448
6- https://www.who.int/fr/about/governance/constitution
7- https://twitter.com/JuliaMarguer
9- https://www.conseil-national.medecin.fr/lordre-medecins/linstitution-ordinale/missions
Source : reseauinternational.net
...
(Ne pensez pas que nos dirigeants soumis au nouvel ordre mondial soient des gentils, ils ne le sont pas, notamment les plus fervents. note de rené)
Convoi de la liberté au Canada: quand des ministres du gouvernement Trudeau proposaient le recours... à des chars
Publié par wikistrike.com sur 29 Novembre 2022, 17:16pm
Catégories : #Politique internationale, #Social - Société
L'état d'urgence décrété par le gouvernement Trudeau le 14 février 2022 pour mettre fin aux “convois de la liberté” fait l’objet, depuis avril 2022, d’une enquête de la part de la Commission sur l’état d’urgence. Des audiences publiques ont débuté à la mi-octobre et l’enquête a révélé que des ministres du Parti libéral canadien ont évoqué la possibilité de recourir à... des machines de guerre pour dissiper les manifestants pacifiques qui s’étaient rassemblés à Ottawa.
La Commission sur l’état d’urgence a été installée le 25 avril dernier, à peine deux mois après l’instauration, par le gouvernement Trudeau, de l’état d’urgence. La commission, dont les audiences publiques ont débuté il y a plus d’un mois, doit déterminer si le recours à ces mesures exceptionnelles contre le “convoi de la liberté” mené par des camionneurs, était justifié.
Pour les besoins de l’enquête, le gouvernement a partiellement levé la confidentialité sur un ensemble d’informations, dont des conversations entre les hauts dirigeants. Celles-ci ont révélé, rapporte Politico, que des discussions entre des ministres canadiens portaient sur le recours à des chars pour disperser les manifestants pacifiques.
Mercredi dernier, c’était au tour de certains ministres d’être interrogés, comme le ministre de la Justice, David Lametti. Il a écrit au ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, le 2 février : “Vous devez faire bouger la police et les [forces armées canadiennes] si nécessaire. Trop de gens sont gravement touchés par ce qui une occupation”.
Lors de la même conversation, le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, interroge son collègue : "Combien de chars demandez-vous. Je veux juste demander à [la ministre de la Défense] Anita [Anand] combien nous en avons sous la main ?". Ce à quoi David Lametti a répondu : "Je pense qu'un [tank] fera l'affaire !"
Lors de son audition, David Lametti a affirmé que cet échange était “une blague entre amis”. Il a déclaré que la police avait "toute l'autorité légale dont elle avait besoin pour faire respecter la loi", mais cela n’a pas été fait. Il a qualifié le chef de la police, Peter Sloly, “d’incompétent”.
Vendredi dernier, Justin Trudeau a partagé le même constat, affirmant que la police locale “n'a pas démontré sa capacité à garder sous contrôle les manifestations".
Lorsqu'il a déclaré la loi martiale en février 2022, il a tout de même souligné que son gouvernement "n'utilisait pas l'état d'urgence pour faire appel à l'armée". Vendredi, interrogé par la même commission, il a justifié certaines mesures face “à une menace de violence suffisante” comme la confiscation de fonds de manifestants, le gel de comptes bancaires, la remarque de véhicules ou encore l’interpellation.
Un rapport interne du ministère de la Sécurité publique a toutefois démontré qu’aucune preuve de violence justifiait ces réactions, et que "la majorité des événements ont été pacifiques".
Quant à la décision de son gouvernement d’instaurer un état d’urgence, le Premier ministre canadien a affirmé “ne pas avoir eu le choix”, estimant que les manifestants exprimaient un "certain niveau de frustration très préoccupant". Il évoque des cas de harcèlement, de la part des manifestants, à l’égard des gens qui portaient des masques. “Je suis totalement confiant d’avoir pris la bonne décision”, a-t-il déclaré.
Son ministre de la Justice a cité “de nombreux facteurs”, comme “des situations volatiles et potentiellement violentes” ou encore “la non-application de la législation en vigueur par les gouvernements provinciaux".
Le gouvernement Trudeau a également justifié l’état d’urgence par “le risque que la cohésion sociale, l'unité nationale et… la réputation internationale du Canada” pourraient subir “des préjudices irrémédiables”.
L’instauration de cet état d’urgence a suscité de violentes réactions à travers le monde. L'eurodéputé roumain Cristian Terhes qualifiait Trudeau de “tyran”, le comparant au dictateur Ceausescu. L'eurodéputé croate Mislav Kolakusic a fait remarquer que “le Canada, autrefois symbole du monde moderne, est devenu un symbole des violations des droits civils (...) Nous avons vu comment vous piétinez des femmes avec des chevaux, comment vous bloquez les comptes bancaires des parents isolés afin qu'ils ne puissent même pas payer l'éducation et les médicaments de leurs enfants, qu'ils ne puissent pas payer les charges...", a-t-il déclaré. Le 16 février, au cours d’un échange enflammé à la Chambre des communes du Canada, le Premier ministre, Justin Trudeau, avait comparé les manifestants du Convoi de la liberté à des nazis, accusant les conservateurs au Parlement d’entretenir des sympathies avec des "gens qui agitent des croix gammées". Le 17 février, sur Twitter, Elon Musk, qui avait apporté son soutien au Convoi de la liberté canadien, avait répliqué en comparé Justin trudeau à Adolf Hitler.
Le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino sera le prochain à comparaître aux audiences publiques de la commission.