(Vous vous demandiez ce qu'une loi écrite et imposée par une industrie, en l'occurrence big pharma et votée dans la foulée par une majorité de députés corrompus de la majorité et de l'opposition peut faire à un simple citoyen. Simple, l'exemple autrichien ci-dessous. note de rené)
Preuve de la haute toxicité des tests antigènes – Annonce explosive (Autriche)
Merci à Thierry65 via les moutons enragés
Source Thomas Oysmüller pour TKP.AT ( Article du 20 septembre 2022, traduit par DeepL)
La loi a interdit aux autorités compétentes de vérifier le contenu des tests antigènes. La société civile a pris le relais et présente jeudi des preuves de la toxicité des tests rapides d’antigènes.
Lundi, un communiqué invitant à une conférence de presse a provoqué un grand émoi. Des analyses privées en laboratoire sur le liquide des tests antigènes Covid-19 montreraient, selon les expéditeurs, une « haute toxicité ». Le communiqué de presse a été le plus lu au cours des dernières 24 heures.
Un professeur de MedUni en tête
Pas du tout sans raison : un podium de haut niveau présentera les résultats jeudi dans le premier arrondissement de Vienne. C’est surtout dans les écoles que les tests d’antigènes étudiés ont été utilisés des milliers de fois.
La conférence de presse est organisée par le groupe « Wir-EMUs » de Haute-Autriche. Johann Missliwetz, professeur d’université à la retraite de l’université de médecine de Vienne et médecin légiste, ainsi que l’ancienne porte-parole fédérale des Verts Madeleine Petrovic et l’avocat viennois et chef du MFG-Vienne Georg Prchlik prendront la parole sur le podium. En outre, Klaus Samhaber, enseignant et vice-président du FLV de Haute-Autriche (syndicat des enseignants du FPÖ), ainsi que le journaliste de « Report24 » Florian Machl sont assis à la tribune.
Les faits :
A l’origine, une loi interdisait à l’autorité compétente, l’OFSP (Office fédéral de la sécurité sanitaire), de « contrôler ces tests quant à leur contenu et leur fonctionnement ». De nombreux esprits critiques ont dressé l’oreille.
« Ce refus de garantir la sécurité des Autrichiens a entraîné des recherches intensives de la part de la société civile et des journalistes. Il est désormais possible de prouver, sur la base d’analyses de laboratoire financées par des particuliers, que les tests rapides contiennent des substances extraordinairement toxiques qui agissent déjà au contact de la peau », peut-on lire dans le communiqué de « Wir-EMUs ».
Conséquences juridiques
Les résultats, obtenus dans des « laboratoires indépendants », sont désormais sur la table. Les résultats, on le sait déjà, sont « choquants ». Lors de la conférence de presse, la toxicité du liquide de test antigène sera clarifiée, mais les conséquences juridiques seront également discutées par des experts.
La portée de l’enquête devrait être énorme. C’est ce que l’on peut lire dans le communiqué :
« En Autriche, ces substances et les dangers qui y sont liés ne sont déclarés ni sur les emballages ni sur les notices, alors qu’à l’étranger, on est tout à fait conscient de la problématique.
On peut supposer que, depuis l’importation jusqu’à l’utilisation dans les écoles et les salons, de nombreuses lois ont été enfreintes dans le domaine des douanes, de la protection de l’environnement ainsi que du droit pénal, mot-clé : § 89 StGB Gefährdung der körperlichen Sicherheit (mise en danger de la sécurité physique) ».
Die Pressekonferenz wird auch auf Youtube live übertragen werden.
Bild Asurnipal, SARS-CoV-2 Rapid Antigen Test-01ASD, CC BY-SA 4.0
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