vaccins covid
© Crédit JOE RAEDLE / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP
« Les programmes de vaccination Covid-19 doivent cesser sur-le-champ ». C'est ainsi que s'achève un rapport allemand sur les effets néfastes des vaccins anti-Covid, rendu public le 6 juillet dernier sans qu'aucun média mainstream n'en fasse état.
Le document est disponible en français (mis en ligne par le site Profession Gendarme) et en allemand.
De quoi s'agit-il ? 

Le résumé se compose de 70 pages (une dizaine de pages destinées au public général et 60 pages de documentation technique avec clichés, graphiques etc.) et constitue la version préliminaire d'une présentation « en évolution continue » où figurent les recherches et conclusions concernant les vaccins, leur impact sur le corps humain, et surtout, sur le sang. Le rapport est publié sous la responsabilité du physicien et astronome Dr Klaus Retzlaff, à Hecklingen, qui a accès à des laboratoires dotés d'équipements de pointe. Le Dr Retzlaff collabore avec les auteurs du rapport, groupe interdisciplinaire d'environ 60 spécialistes, réunis autour de l'association de type 1901 Aerzte fuer Aufklaerung (ÄfA, Médecins pour l'élucidation). 

Le groupe est composé de médecins, chimistes, microbiologistes, pharmacologistes, conseillés par des avocats et mathématiciens. Cependant, à l'exception du Dr Retzlaff et des responsables de ÄfA, les auteurs ont choisi l'anonymat pour se protéger contre les représailles. En 2021, le Dr Stefan Hockertz, l'un des vaccinologues les plus réputés d'Europe et l'un des premiers à alerter le public au sujet des effets secondaires de la vaccination, a été obligé de se réfugier en Suisse après des perquisitions de police chez lui, et le gel de tous ses avoirs en Allemagne. 

Les analyses dont fait état le rapport portent sur le sang de 48 personnes vaccinées, et d'un groupe équivalent de non-vaccinés, ainsi que sur le contenu même des fioles d'injections des fabricants suivants : AstraZeneca, BioNTech/Pfizer, Moderna, J&J, Lubecavax, Influspit Tera (ce dernier, pour comparaison avec des vaccins antigrippaux). Différentes techniques en laboratoire ont été appliquées au contenu : la microscopie électronique à balayage, la spectroscopie de rayons X à dispersion d'énergie, la spectroscopie de masse, l'analyse de plasma à couplage inductif, la microscopie à fond lumineux et à fond noir, le diagnostic sur images d'une goutte de sang de personne vivante, ainsi que l'analyse des images par intelligence artificielle (IA). 

Des éléments métalliques indésirables 

À la surprise des scientifiques, la présence des éléments métalliques suivants (dimension des particules : de 1 µm à 100 µm) a été détectée dans les doses d'AstraZeneca, de BioNTech/Pfizer et de Moderna :
► métaux alkalins : caesium (Cs), potassium (K), 
► métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), barium (Ba), 
► métaux de transition : cobalt (Co), iron (Fe), chromium (Cr), titanium (Ti), 
► métaux de terres rares : cerium (Ce), gadolinium (Gd), 
► Groupe boron : aluminium (Al), 
► Groupe carbone : silicon (Si) (en partie matériel du support /transparent), 
► Groupe oxygène : sulphur (S)
Dans les fioles et dans le sang des vaccinés, les scientifiques ont observé des objets de « dimensions inadmissibles selon les bonnes pratiques industrielles » (good manufacturing practice ou GMP), c'est-à-dire au-delà de 0.22 μm. 

Des effets secondaires sur le long terme 

Le groupe indique avoir pris la précaution de comparer ses conclusions à celles de plusieurs groupes à l'international effectuant les mêmes recherches ; tous les résultats étant concordants, le groupe allemand considère ses propres résultats comme valides. Ainsi, les scientifiques déplorent l'inaction du Paul Ehrlich Institute, agence chargée par le ministère de la Santé allemand de contrôler les vaccins. 

En trois points, les chercheurs présentent leurs conclusions : 

1. Dans tous les échantillons des doses de vaccins, sans exception, il a été trouvé des composants qui :
« - sont toxiques selon les recommandations médicales, dans les quantités présentes, 
« - n'avaient pas été déclarées par les fabricants, 
« - sont en leur majorité métalliques, 
« - sont visibles en microscopie à fond noir comme étant des structures complexes et distinctives [...] 
« - ne sont qu'en partie explicables comme issus de la cristallisation ou de la décomposition, 
« - ne peuvent être expliquées comme une contamination issue du processus de fabrication. »
2. Lorsque des échantillons de sang des deux groupes (vaccinés/non-vaccinés) sont observés sous microscope à fond noir, des changements remarquables apparaissent dans le sang des vaccinés, sans exception, et même en l'absence de symptôme ou réaction négative. Des structures complexes qui ressemblent à celles trouvées dans les fioles de vaccins ont été observées dans le sang des vaccinés. Les analyses de l'intelligence artificielle confirment les observations des scientifiques, et ces différences entre le sang des deux groupes « indique que ces vaccins peuvent provoquer des modifications à long terme dans la composition du sang des vaccinés, sans que ceux-ci soient conscients des modifications. » 

3. Plus stable est l'enveloppe des particules nanolipidiques, plus importante est la quantité d'ARNm à pénétrer dans les cellules, là où la protéine Spike sera produite. En conséquence, plus fréquents sont les effets secondaires. Ces résultats correspondent à ceux des autopsies effectuées par des médecins légistes. 

Le groupe a observé des formations cristallines dans le sang de tous les vaccinés observés ; dans tous les cas examinés, les erythrocytes (globules rouges) présentaient la formation dite « en rouleaux ». Par ailleurs, la désintégration de différents types de cellules était plus rapide chez les vaccinés que dans le groupe de contrôle, soulevant l'hypothèse d'une éventuelle artériosclérose, de maladies auto-immunes et/ou inflammatoires. 

« Il faut généraliser la compréhension des dangers des vaccins anti-Covid » 

En conclusion, les auteurs allemands livrent les raisons pour lesquelles ils se sont engagés dans ces recherches :
« Nous nous sommes regroupés avec toutes nos compétences et expertise technique, pour aider à élucider ce que nous considérons comme la plus grande expérimentation pharmacologique jamais conduite sur la race humaine. Jamais, dans toute l'histoire scientifique ou médicale, nous n'avions osé soumettre une population entière à une expérimentation médicale - et génétique. Si quelqu'un s'était proposé de le faire sur toute autre espèce, la proposition aurait sans doute été rejetée pour le motif que cela violait le principe de conservation de l'espèce. [...] Le fait de poursuivre l'expérimentation sans le moindre indice que l'on veuille l'arrêter, le fait que le nombre d'effets secondaires et d'accidents provoqués par ces soi-disant vaccins soit sans précédent, le fait que les statistiques nationales de par le monde révèlent une nette surmortalité suite aux programmes vaccinaux respectifs, le fait qu'aucun procureur public ne soit intervenu, en dépit des évidentes conséquences mortifères des programmes, le fait que tous ceux qui ont critiqué le programme de vaccination ont été calomniés publiquement, ostracisés et ruinés financièrement, nous remplit d'horreur... Raison pour laquelle, contrairement aux pratiques habituelles en matière scientifique, nous avons décidé de nous protéger sous l'anonymat. »
Ils assurent que leurs résultats devraient être connus de tous :
« S'il reste beaucoup à découvrir, ce que nous avons déjà observé est d'une telle importance que le public, et la communauté scientifique en particulier, doit en avoir connaissance. Il faut généraliser la compréhension des dangers des vaccins COVID-19 et conduire des recherches pour tenter de prévenir, ou au minimum de mitiger, les conséquences les plus dangereuses pour la santé humaine. [...] En réalité, à la lumière des risques déjà connus, les programmes de vaccination auraient dû cesser il y a longtemps. Pour atteindre ce but, nos conclusions doivent trouver un écho très large dans les médias de masse ».