dimanche 4 septembre 2022

 (Il s'agit des populations proches de la ligne de front, des villes bombardées par l'armée ukrainienne et de celles proches de la centrales nucléaires bombardée également par l'armée ukrainienne. note de rené)

"George Soros s'engage à verser 100 millions de dollars à Human Rights Watch. (New York, le 7 septembre 2010) - George Soros, philanthrope et financier, a annoncé aujourd'hui l'attribution à Human Rights Watch d'une «subvention-défi» (« challenge grant ») d'un montant de 100 millions de dollars sur 10 ans."7 sept. 2010, https://www.hrw.org › news


soros qui par ailleurs a financé avec l'oligarque juif ukrainien la campagne électorale de zelensky. note de rené)


Un rapport de Human Rights Watch pointe le transfert forcé de civils ukrainiens vers la Russie


Publié le : 01/09/2022 - 08:40   


 SKARZYNSKI

Texte par :RFI  Suivre

1 mn

Ce jeudi 1er septembre, l’ONG de défense des droits de l’homme Human Rights Watch publie un rapport sur les transferts forcés de civils ukrainiens, fuyant la guerre, vers le territoire russe. Une pratique qui semble très répandue, sachant que 2,8 millions d’Ukrainiens sont arrivés sur le sol russe depuis le début de la guerre, ainsi que l’affirmait fin juillet l’agence de presse russe TASS.


Avec notre correspondant à TbilissiRégis Genté

Le rapport, publié ce 1er septembre par Human Rights Watch, vient étayer ce que nombre de témoins, relayés par des journalistes ou des ONG, racontent depuis quelques mois. Le transfert forcé des civils ukrainiens vers la Russie, alors qu’ils fuyaient les zones de combats.

Ces transferts « sont une grave violation des lois de la guerre et sont constitutifs de crimes de guerre et de possibles crimes contre l’humanité », souligne le rapport.

Il ne s’agit pas nécessairement de contrainte manu militari, mais de la création de conditions qui font que ces civils n’ont plus le choix de la destination où ils veulent fuir. Absence de corridors d’évacuation, pression psychologique, etc.

« Camps de filtration »

Le phénomène semble massif, selon Tanya Lokshina, une des auteures du rapport : « Il est très difficile d’établir combien d’Ukrainiens ont été transférés de force dans la Fédération de Russie. Sur les dix-huit personnes que nous avons interviewées et qui ont été transférées en Russie, cinq nous ont dit l’avoir fait de leur plein gré, parce que c’est ainsi qu’ils voulaient ainsi rejoindre l’Union européenne. »

Lors de ces transferts forcés, les civils ukrainiens ont dû passer par des « camps de filtration », notamment ceux des régions de Marioupol et de Kharkiv. Là, il s’agissait de s’assurer qu’ils n’avaient pas combattu au sein des forces armées ukrainiennes.

Une procédure « punitive et abusive », affirment les auteurs du rapport.


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