(La Pologne en partenariat avec les USA et l'Otan ont envoyé des milliers de soldats pour la grande offensive ukrainienne. Elle s'engage militairement de plus en plus au côté de l'Ukraine. Les USA sont donc décidés de réitérer les opérations genre djihadistes au moyen orient, des dizaines de milliers de mercenaires envoyés soi-disant originaires du pays pour renverser un régime en place qui dérange les intérêts des seuls Etats-Unis. Plus de 50.000 avérés, réellement plus de 100.000 envoyés rien que pour la seule Syrie payés par les pays arabes, armés par les services américains et entraînés dans des pays comme la Turquie ou la Georgie. Que la Pologne cherche à nous entraîner dans un conflit militaire avec l'Otan avec les encouragements de la commission européenne n'est pas très compréhensible parce qu'il se finira avec une réponse nucléaire, ce qui fera disparaître la Pologne et les polonais et nous avec. Que les intérêts privés américains cherchent à tout prix à détruire la Fédération de Russie en la morcelant en entités sans défense mais riches en ressources minières, cela relève d'un trouble psychotique. Ce rêve américain de domination est moyenâgeux, pourtant il suscite l'adhésion de nos élites politico-intellectuelles. Il est clair que lorsque le rêve des nations est supplanté par celui des forces économiques qui les contrôlent aujourd'hui, les enjeux se dimensionnent différemment, je dirais, au raz du slip, "celui qui a la plus grosse". note de rené)
Pour l’Europe « l’heure n’est pas à l’apaisement ». L’Europe c’est donc la guerre !
Le discours d’Ursula von der Leyen la présidente de la Commission Européenne est un discours de guerre.
Ses propos sont très clairs.
« L’heure n’est pas à l’apaisement ».
Si l’heure n’est pas à l’apaisement, c’est que l’heure est à la guerre.
La guerre n’est jamais une bonne chose.
Et l’histoire récente, comme ancienne, nous montre sans ambiguïté, que les guerres, en réalité, ne se gagnent jamais.
Les « grandes victoires » qui génèrent de grandes humiliations nourrissent généralement les guerres suivantes toujours plus dévastatrices que les précédentes.
Le vrai courage, ce n’est jamais d’aller faire la guerre, c’est d’être capable de gagner la paix.
Etre un artisan de paix, c’est toujours beaucoup plus difficile.
L’Europe de ma jeunesse portait un idéal de paix et de prospérité.
L’Europe actuelle ne nous promet que plus de guerre et plus de pauvreté.
Vous savez pourquoi ?
Parce que l’Europe se rêve désormais en tant que puissance. Une puissance expansionniste, autoritaire et d’une certaine manière violente.
Il faut poser les mots. Dire que le rêve européen a laissé petit à petit la place à un cauchemar.
Charles SANNAT
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