(Ils nous prennent pour des cons finis nos dirigeants européens qui veulent nous construire la prison du nouvel ordre mondial, en plus, ils nous préviennent qu'ils vont mettre 10 ans pour la peaufiner. 10 ans ! 10 ans avec le covid et les autres virus qui attendent dans les armoires réfrigérées des laboratoires de la big pharma américaine, 10 ans de pénuries énergétiques avec des catégories de population de plus en plus nombreuses exclues de l'alimentation naturelle, de l'autonomie de déplacement, de la consommation, de l'emploi, soumises à des injonctions comportementales environnementales, à des comportements sociaux normés et à un accès à un revenu dérisoire, abruties par une pensée unique source de soumission. Et à la menace de guerre permanente puisqu'après la liquidation de la Russie et prévu la liquidation de la Chine. 10 ans, la durée que le PDG de pfizer a annoncé concernant la durée de la pandémie covid. note de rené)
Le premier ministre belge prévient que « Les 5 à 10 prochains hivers seront difficiles »
L’Europe dans l’impasse
Le Premier ministre belge Alexander De Croo a peut-être vendu la mèche sur la durée de la crise énergétique en Europe. Il a déclaré lundi aux journalistes que « les 5 à 10 prochains hivers seront difficiles ».
« L’évolution de la situation est très difficile dans toute l’Europe », a déclaré M. De Croo au radiodiffuseur belge VRT.
« Dans un certain nombre de secteurs, il est vraiment difficile de faire face aux prix élevés de l’énergie. Nous suivons la situation de près, mais nous devons être transparents : les mois à venir seront difficiles, les hivers à venir seront difficiles », a-t-il déclaré.
Les commentaires du premier ministre suggèrent que le remplacement des importations de gaz naturel russe pourrait prendre des années, exerçant ainsi une nouvelle malédiction sur l’économie de la région sous la forme d’une hyperinflation énergétique.
L’Europe est confrontée à une crise énergétique historique exacerbée par la guerre de la Russie en Ukraine (et les sanctions occidentales qui se sont retournées contre elle). Le continent est fortement dépendant de la Russie pour ses besoins énergétiques et importe environ 40 % de son gaz naturel. Avec une capacité de seulement 20 % et des risques de tomber à zéro le mois prochain, les approvisionnements russes via le Nord Stream 1 de Gazprom ont fait grimper les prix du gaz naturel et de l’électricité à des niveaux record.
Les prix européens du gaz naturel ont atteint un niveau record de 277 euros par mégawattheure, soit environ 15 fois le prix moyen en été. Leon Izbicki, analyste des matières premières chez Energy Aspects Ltd, a déclaré à Bloomberg que si les flux de NS1 s’arrêtaient en septembre, les prix pourraient atteindre 400 euros par mégawattheure.
Javier Blas, journaliste de Bloomberg spécialisé dans les matières premières, a publié sur Twitter une carte des prix de l’électricité au jour le jour en Europe. Il a qualifié les prix de « vertigineux, de nombreux pays établissant des records pour aujourd’hui ».
L’abandon des approvisionnements en gaz naturel russe s’est retourné contre les 19 pays de la zone euro. L’Allemagne, la plus grande économie d’Europe, pourrait se diriger vers une récession qui entraînerait le reste du continent dans sa chute.
M. De Croo a déclaré que la Belgique et la zone euro devaient « se soutenir mutuellement en ces temps difficiles ».
Si le premier ministre a raison, l’hiver noir de l’Europe pourrait se répéter tout au long de la décennie. L’idée largement optimiste selon laquelle l’Union européenne pourrait remplacer toutes les importations de gaz naturel russe cette année n’était qu’une farce, et les ménages européens doivent maintenant payer des coûts d’électricité exorbitants, plongeant des millions de personnes dans la pauvreté énergétique.
Même si l’Allemagne a admis qu’elle avait commis une terrible erreur en devenant aussi dépendante de l’énergie russe bon marché, combien de temps faudra-t-il à Berlin pour retourner à Moscou se réapprovisionner et se séparer du reste de l’Europe parce qu’elle ne veut pas mourir de froid cet hiver ni planter son économie.
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