lundi 24 mai 2021

 (Les enfants, une cible prioritaire pour toutes les perversions, toutes les entreprises et tous les gouvernemets occidentaux. note de rené)


Le magazine de mode Teen Vogue apprend à des enfants de 12 ans à utiliser le sang menstruel en sorcellerie


Teen Vogue a publié un article bizarre enseignant aux enfants de 12 ans comment utiliser leur sang menstruel pour la sorcellerie.

Oui, vraiment.

L’article, intitulé « Menstrual Blood Magic: 3 Spells For Your Period » (Magie du sang menstruel : 3 sorts pour vos règles), est le dernier volet de leur série de sorcellerie « magie pratique ».

La rédactrice Lisa Stardust commence l’article en déclarant : « Nous avons tous vu comment cette stigmatisation se propage, des publicités pour les tampons montrant des femmes discutant discrètement de leurs règles à la façon dont nous cachons nos propres menstruations lorsque c’est notre “période du mois”. Plutôt que de jouer dans cette honte patriarcale, les sorcières et autres maîtres de la magie croient que les menstruations sont un don de la nature. »

Stardust continue en expliquant que les règles sont magiques, surtout pendant la pleine lune, ce qui a obligé Teen Vogue à ajouter un avertissement indiquant que la lune n’a pas d’effet sur les règles.

La cinglée énumère ensuite « quelques façons d’utiliser le sang menstruel pour créer votre propre magie ».

« Le sang menstruel peut être utilisé dans des sorts pour éloigner le mal et nous protéger, s’il est utilisé correctement », écrit l’auteur, dans un magazine pour enfants.

« Rassemblez tous les morceaux de verre brisé, les punaises, les clous, les vis ou tout ce que vous avez collecté au cours de vos voyages et qui pourrait vous blesser dans un bocal mason avec votre sang menstruel (ou un tampon usagé). Fermez-le hermétiquement et enterrez-le près de votre maison pour le protéger des autres », indique l’article. De plus, elle cite « la lectrice de tarot, la praticienne de la magie des couleurs et la commissaire Sarah Potter » avec un autre sort.

« Recueillez votre sang menstruel et ajoutez quelques gouttes à une petite tasse d’eau pour l’utiliser comme encre pour écrire une liste de personnes ou de situations que vous souhaitez libérer de votre vie. Lorsque votre liste est terminée, mettez-y le feu et imaginez que toute cette négativité quitte votre champ énergétique », a déclaré Potter. « Ensuite, prenez un bain ou une douche purificatrice et imaginez à nouveau que l’énergie négative s’éloigne de vous et s’écoule dans les égouts. »

Le magazine pour adolescents pousse fréquemment les limites de la politique extrémiste et de la dégénérescence sexuelle auprès des mineurs.

En novembre, Teen Vogue a publié un article exigeant que « les femmes blanches doivent répondre de leur soutien au candidat républicain une fois de plus ».

En 2019, Teen Vogue a fait face à des réactions négatives pour un article d’opinion, intitulé « Pourquoi le travail sexuel est un vrai travail », de la part de personnes issues de tout le spectre politique. Écrit par Tlaleng Mofokeng, fondatrice d’une organisation appelée Nalane for Reproductive Justice, l’article appelle à la dépénalisation de la prostitution et à ce que les enfants « financent des campagnes publiques pour diminuer la stigmatisation ».

« Les clients qui sollicitent les travailleurs du sexe varient, et ce ne sont pas seulement des hommes. L’idée d’acheter de l’intimité et de payer pour les services peut être affirmative pour de nombreuses personnes qui ont besoin de liens humains, d’amitié et de soutien émotionnel. Certaines personnes peuvent avoir des fantasmes et des préférences kink qu’elles sont en mesure de réaliser grâce aux services d’une travailleuse du sexe », peut-on lire dans l’article, qui s’adresse à des enfants de 13 ans seulement.

Le magazine hyperpolitique et d’extrême gauche a également publié en 2018 un long article glorifiant l’avortement et appelant les collèges à proposer cette procédure sur les campus. L’une des femmes présentées a décrit comment elle « veut que le monde sache combien de soulagement et de joie sa capacité à se faire avorter lui a apporté ».

Le magazine a également fait la promotion d’un « Antifa explainer » non critique qui glorifiait les groupes violents et expliquait à son jeune public ce qu’il pouvait également faire « dans sa propre vie pour arrêter le fascisme ».

Teen Vogue a également fait l’objet de critiques après avoir publié un guide pratique sur le sexe anal qui, à l’origine, ne mentionnait même pas la pratique du sexe sans risque ou l’attente d’être plus âgé.

« Voici un cours d’anal 101, pour les adolescents, les débutants et tous les curieux » a écrit l’auteur Gigi Engle dans le « Guide du sexe anal » de Teen Vogue. La version originale de l’article n’abordait pas la question de la sexualité sans risque, mais a ensuite été modifiée pour inciter les lecteurs adolescents à utiliser des préservatifs.

Teen Vogue a défendu l’article en qualifiant les parents concernés d’« homophobes ».

« La réaction négative à cet article est enracinée dans l’homophobie », a écrit Phillip Picardi, directeur de la rédaction numérique du magazine, sur Twitter. « Il est également empreint d’illusions obscures sur ce que signifie être un jeune aujourd’hui. »

Ils ont republié l’explicatif sur le sexe anal à nouveau à Noël dernier.

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