(Et, ce n'est pas la première fois que les médias s'empressent de déclarer de nouveaux pics de covid 19 alors que les tests sont défectueux. L'Oms sait très bien que beaucoup pour ne pas dire la plupart des tests sont défectueux, mais, cela nourrit sa propagande de la peur pour imposer le vaccin de bill gates. Résultat, les gens se font soigner pour une maladie qu'ils n'ont pas et les médicaments les rendent vraiment malades ou les achèvent. Ils sont comptés alors morts covid 19. Les responsables des firmes pharmaceutiques ont le droit de tuer sans jamais aller en prison. note de rené)
Coronavirus: À Nancy, la flambée des cas causée par un réactif de mauvaise qualité (France)
En Meurthe-et-Moselle, le nombre de cas de Covid-19 pour 100.000 habitants avait doublé en 24h.
Le HuffPost
CORONAVIRUS - Fausse alerte. L’augmentation des cas de Covid-19 en Meurthe-et-Moselle n’en était en fait pas une. Selon France Bleu, ce jeudi 25 juin, si le nombre de cas pour 100.000 habitants (taux d’incidence) avait doublé en 24h, c’est à cause de tests de mauvaise qualité. En fin de semaine dernière, ce taux était passé de 14,5 à 29 dans ce département.
“Après vérification, il s’agissait en fait de faux positifs”, a expliqué au média le professeur Christian Rabaud, infectiologue et président de la commission médicale d’établissement du CHRU de Nancy.
En effet, selon lui, plusieurs dizaines de tests effectués dans plusieurs sites du département sont revenus positifs à cause d’un problème de qualité d’un réactif au laboratoire.
“C’est un phénomène qui a touché la toute fin de semaine dernière, vendredi 19 [...] On ne s’est pas trompé de réactif, mais il peut y avoir de temps en temps dans un lot un réactif de mauvaise qualité. Ce réactif, qu’on a re-testé était défaillant. On l’a signalé à la réactovigilance pour prévenir d’autres établissements qui utiliseraient le même réactif.”
Un chiffre “impressionnant”, mais “pas de reprise de l’épidémie”
Quant aux patients concernés, ils ont été contactés: “Nous avons renvoyé à toutes les personnes qui avaient eu un résultat faussement positif un message correctif avec la possibilité pour elle de se retourner soit vers le Samu qui est au courant, soit vers le médecin infectiologue de garde du CHU pour les rassurer complètement s’il en était besoin.”
Le professeur Christian Rabaud se veut rassurant et confiant sur ce système de dépistage de proximité: “On est désolé, mais dans le système il y a un élément qui a dysfonctionné. Le système est fait pour aller vite pour très vite s’intéresser aux cas contacts. On peut être pris dans la précipitation. Mais il faut relativiser. Certes, le chiffre peut impressionner, mais je rassure, il n’y a pas de reprise de l’épidémie.”
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