(Tout le monde veut quitter l'union européenne, même ceux qui n'y sont pas. note de rené)
«Ils nous font attendre à la porte de l'Union européenne depuis 54 ans, n'est-ce pas ? [...] Nous pourrons aller au-devant de notre peuple, et nous obéirons à sa décision», a lancé le chef de l'Etat turc lors d'un discours virulent au palais présidentiel à Ankara, sans avancer de date pour une éventuelle initiative de ce type.
«L'Union européenne menace de geler les négociations. A vrai dire, ce n'est pas très important pour nous. Qu'ils nous communiquent leur décision !», a renchéri le président turc. En effet, les négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE sont au point mort depuis plusieurs années, et les tensions actuelles rendent improbable une reprise à court terme.
Les relations entre Ankara et l'UE se sont fortement tendues ces derniers mois, le président turc accusant certains dirigeants européens d'avoir recours à des «pratiques nazies» après qu'ils ont annulé des meetings de certains de ses ministres sur leur territoire. C'est notamment le cas de l'Allemagne et des Pays-Bas.
Pendant la campagne pour le référendum sur le renforcement de ses pouvoirs, Recep Tayyip Erdogan a affirmé à plusieurs reprises qu'il approuverait le rétablissement de la peine de mort, se disant prêt à tenir une autre consultation populaire sur cette question. Une telle initiative «constituerait évidemment une rupture avec ces valeurs (européennes) et ces engagements», a mis en garde la présidence française le 17 avril.
Erdogan souhaite que les Turcs se prononcent par référendum sur l’adhésion à l’UE
- Avec AFP via RT en français
Source: AFP
Le président turc veut organiser un référendum sur l'adhésion de la Turquie à l'UE
Le président turc a évoqué l'organisation d'un référendum pour décider ou non de poursuivre les négociations d'adhésion à l'Union européenne, au lendemain de sa victoire à une consultation populaire sur le renforcement de ses pouvoirs.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a évoqué le 17 mars l'organisation d'un référendum pour décider ou non de poursuivre les négociations d'adhésion à l'Union européenne, au lendemain de sa victoire à une consultation populaire sur le renforcement de ses pouvoirs.«Ils nous font attendre à la porte de l'Union européenne depuis 54 ans, n'est-ce pas ? [...] Nous pourrons aller au-devant de notre peuple, et nous obéirons à sa décision», a lancé le chef de l'Etat turc lors d'un discours virulent au palais présidentiel à Ankara, sans avancer de date pour une éventuelle initiative de ce type.
«L'Union européenne menace de geler les négociations. A vrai dire, ce n'est pas très important pour nous. Qu'ils nous communiquent leur décision !», a renchéri le président turc. En effet, les négociations d'adhésion de la Turquie à l'UE sont au point mort depuis plusieurs années, et les tensions actuelles rendent improbable une reprise à court terme.
Les relations entre Ankara et l'UE se sont fortement tendues ces derniers mois, le président turc accusant certains dirigeants européens d'avoir recours à des «pratiques nazies» après qu'ils ont annulé des meetings de certains de ses ministres sur leur territoire. C'est notamment le cas de l'Allemagne et des Pays-Bas.
Pendant la campagne pour le référendum sur le renforcement de ses pouvoirs, Recep Tayyip Erdogan a affirmé à plusieurs reprises qu'il approuverait le rétablissement de la peine de mort, se disant prêt à tenir une autre consultation populaire sur cette question. Une telle initiative «constituerait évidemment une rupture avec ces valeurs (européennes) et ces engagements», a mis en garde la présidence française le 17 avril.
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