dimanche 5 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Ne l'oublions pas, mes chers cinq lecteurs, la civilisation industrielle a empoisonné les nappes phréatiques, les rivières, les océans, l'air que nous respirons, ce que nous consommons, a dénaturé la santé publique et empoisonné les terres, provoqué la disparition de milliers d'espèce animales ou végétales en comptant les abeilles, bref, elle détruit la surface de la terre sur laquelle nous vivons sans nous proposer aucune alternative. Après moi, le déluge, telle semble être sa maxime !

(source : Reporterre)

L’agriculture industrielle est devenue folle

3 avril 2015 Jean-Pierre Tuquoi (Reporterre) 

 

   
La revue 6 mois, le XXIe siècle en images dénonce dans son dernier numéro le « business de la terre ». Des photo-reportages forts et percutants, qui apportent un éclairage cru sur une agriculture devenue complètement folle.
La population mondiale augmente, mais la faim dans le monde diminue. Si 800 millions de personnes souffrent de malnutrition, c’est 200 millions de moins qu’il y a une vingtaine d’années, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture.
Dans la seule Chine, le nombre des malnutris a baissé de plus de 100 millions. Dans les pays développés, le modèle d’alimentation a changé depuis la fin de la Seconde guerre mondiale - moins de céréales et de plus en plus de viande - sur fond de baisse générale des prix. En Occident, se nourrir coûte de moins en moins cher.
Voilà pour le côté cour. Côté jardin, le tableau de l’agriculture dite moderne - c’est-à-dire industrielle - prend des teintes nettement plus sombres que le magazine 6 mois (le petit frère de la revue XXI) a choisi d’éclairer dans sa dernière livraison.

Les images font froid dans le dos

Sous le titre générique du « business de la terre » sont déclinés trois sujets : les usines agroalimentaires dans divers pays, la cueillette des fruits et des légumes dans le sud de l’Italie et l’exploitation du soja en Argentine. Pour chacun des thèmes la recette est identique : des reportages photos de grande qualité et quelques textes denses en appui.
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Les abattoirs Seara Alimentos, à Sidrolandia, au Brésil
Le résultat est accablant. L’agriculture moderne est devenue folle. Elle marche sur la tête. Si elle a su répondre à la croissance démographique, aujourd’hui, elle obéit à d’autres lois et nous entraîne vers des lendemains de cauchemar.
Ils sont déjà là, est-on d’ailleurs tenté de dire au vu du travail de Georges Steinmetz. Ce photographe américain a sillonné les Etats-Unis, la Chine, le Japon, le Brésil pour capter « les usines à nourriture de la planète ». C’est bien de cela qu’il s’agit : montrer sans effet ni fioriture à quoi ressemble un abattoir où près d’un millier de porcs sont abattus quotidiennement, cet autre qui « traite » chaque jour 2 500 bovins (!), ce troisième qui débite au même rythme 170 000 poulets dont les pattes sont exportées au Japon, les ailes en Chine, les foies aux Etats-Unis, ou cette usine où sont confectionnées 800 000 boulettes de riz/jour.
Les images font froid dans le dos. Non pas qu’elles exagèrent et travestissent la réalité quand elles nous montrent les alignements de bêtes mortes suspendues à des crochets et l’armée des humains qui s’active autour, tous enveloppés dans des combinaisons blanches anonymes. C’est la normalité des clichés, la froideur des images qui fait leur force.
Sur le même thème du « business de la terre » le second reportage photo nous entraine dans le sud de l’Italie où de jeunes Africains venus du Burkina-Faso, l’un des pays les plus déshérités d’Afrique, viennent année après année louer leur bras pour ramasser au fil des saisons des tomates, puis des oranges, enfin des mandarines, moyennant un salaire de misère.
Les photos d’Alessandro Penso rendent bien compte de ces vies d’émigrés, logés dans des maisons abandonnées, exploités par les mafias locales, et où les jours se mesurent au nombre de cageots remplis. Ironie du sort, la faiblesse des salaires fait que la tomate italienne ramassée par les burkinabés est exportée au Burkina Faso, un pays gros consommateur de tomates, où elle concurrence la production locale. Ainsi va la globalisation du monde…
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Travailleurs burkinabé dans l’Italie du sud

La fièvre du soja

Mais c’est le troisième volet du dossier qui est sans doute le plus frappant avec un reportage photo réalisé en Argentine, troisième producteur mondial de soja et grand consommateur de Roundup, l’herbicide phare de la firme américaine Monsanto.
- Photo de tête : Sebastian, 14 ans, souffre d’hydrocéphalie et de myéloméningocèle. Il vit en Argentine chez ses grands-parents
Les images de Alvaro Ybarra Zavala montrent des enfants littéralement empoisonnés par les épandages de Roundup sur les champs de soja voisins des habitations. Les deux phénomènes sont liés. A preuve, dans le quartier d’un petit village de la province du Chaco bordé d’une piste d’où décollent les avions qui vont épandre le Roundup, « presque chacune des 108 familles […] compte un enfant handicapé ».
Une étude nationale du ministère de la santé argentine publiée il y a trois ans est venue confirmer le lien entre les épandages et les malformations physiques. Dans les provinces exposées aux épandages chimiques elles ont été multipliées par quatre en dix ans. La fréquence des cancers a également augmenté.
Pour autant, sur le terrain, rien n’a changé. Les épandages continuent comme avant alors même que la présidente de la République, Cristina Kirchner, a dénoncé « l’usage inadéquat de produits phytosanitaires », que la justice a été saisie, que des associations se mobilisent…
Responsable de ce drame sanitaire, la « fièvre du soja » - qui a saisi une bonne partie du continent américain - renvoie à la hausse de la consommation mondiale de viande. « Le bétail a mangé de l’herbe pendant des millénaires, avec parfois un peu de céréales, rappelle le journaliste Fabrice Nicolino dans les colonnes de la revue. Mais dans les années 1970, les éleveurs ont misé sur le soja : cette plante asiatique, riche en protéines, permet aux animaux de se développer plus vite et mieux. »
Mais à quel prix ! Comment ne pas réclamer la fin d’un modèle agricole qui, sous couvert de favoriser la production bovine à bas prix, tourne au « désastre biblique » ?"

Et, d'ailleurs, mes chers lecteurs, parlons des médicaments ou plutôt de ces médocs que nous balancent les psychiatres ou les généralistes, vous savez les psychotropes et autres anxiolytiques. A chaque fois qu'un jeune lycéens se met à tirer dans son école, comme par hasard, il est sous traitement. Les psychiatres disent, "Les cachets étaient là pour l'aider."
L'aider, mon cul, ces cachets sont les déclencheurs de la phase paranoïde.
Un avion s'écrase sur une montagne en France, le co-pilote était sous traitement, il avait une armoire pleine de boîte de cachets.
Les médias disent, "Il était suicidaire", mais, ces cachets vous rendent suicidaire et sans vous en rendre compte, vous passez à l'acte.
Alors, s'il vous plaît arrêtons l'hypocrisie. Les responsables sont les laboratoires pharmaceutiques et ces psychiatres et ces médecins généralistes qui ne devraient pas avoir le titre de médecin, mais, celui d'officine des laboratoires pharmaceutique.
Les psychiatres américains qui veulent obliger tous les enfants à prendre des cachets pour des maladies qu'ils ont inventé sont des assassins, ils devraient être jugés avec les responsables des laboratoires pharmaceutique qui sont eux des officines de la grande faucheuse !
Mais, passons.
Par contre l'Ukraine ressemble de plus en plus aux Etats-Unis, des responsables, par encore des banquiers se suicident.
C'est ce qui nous arrivera en France, si, sarkozy redevient président, vu qu'il veut nous transformer en américain lambda.

(source : Russia Insider)

Ukraine's Mysterious Suicides

The mainstream media is so in the tank for the post-Maidan Ukraine government that anything negative, including a string of mysterious deaths of anti-Maidan politicians, is ignored
 22 hours ago | 2,765 7
But Putin killed Nemtsov – no evidence necessary

This article originally appeared atConsortium News

Following the murder of Russian opposition leader, and former Deputy Prime Minister, Boris Nemtsov in Moscow on Feb. 27, the West had a field day. Ranging from strong innuendo to outright accusation of a Kremlin-directed political murder, the Western media and politicians did not miss an opportunity to treat Russian President Vladimir Putin as a football practice dummy.
The European Parliament adopted a resolution urging an international investigation into Nemtsov’s death and suggested that the Organization for Security and Cooperation in Europe, the European Council, and the United Nations could play a role in the probe.
U.S. Senators John McCain and Lindsey Graham introduced a Senate Resolution condemning the Nemtsov murder. The Resolution also called on President Barack Obama and the international community to pursue an independent investigation into the murder and redouble efforts to advance free speech, human rights, and the rule of law in Russia.
In addition, it urged Obama to continue to sanction human rights violators in the Russian Federation and to increase U.S. support to human rights activists in Russia.
So it went … all over the West.
Meanwhile, in the same time period in Ukraine, outside of the pro-Russian area in the southeast, the following was reported:
Jan. 29: Former Chairman of the local government of the Kharkov region, Alexey Kolesnik, hanged himself.
–Feb. 24: Stanislav Melnik, a member of the opposition party (Partia Regionov), shot himself.
–Feb. 25: The Mayor of Melitopol, Sergey Valter, hanged himself a few hours before his trial.
–Feb. 26: Alexander Bordiuga, deputy director of the Melitopol police, was found dead in his garage.
–Feb. 26: Alexander Peklushenko, former member of the Ukrainian parliament, and former mayor of Zaporizhi, was found shot to death.
–Feb. 28: Mikhail Chechetov, former member of parliament, member of the opposition party (Partia Regionov), “fell” from the window of his 17th floor apartment in Kiev.
–March 14: The 32-year-old prosecutor in Odessa, Sergey Melnichuk, “fell” to his death from the 9th floor.
The Partia Regionov directly accused the Ukrainian government in the deaths of their party members and appealed to the West to react to these events. “We appeal to the European Union, PACE [Parliamentary Assembly of the Council of Europe], and European and international human rights organizations to immediately react to the situation in Ukraine, and give a legal assessment of the criminal actions of the Ukrainian government, which cynically murders its political opponents.”
We cannot conclude from the above that the Ukrainian government was responsible for all, or even any, of these deaths. But neither can we conclude that the Russian government was responsible for the death of Boris Nemtsov, the American media and politicians notwithstanding.
A search of the mammoth Nexus news database found no mention of any of the Ukrainian deceased except for the last one above, Sergey Melnichuk, but this clearly is not the same person. It thus appears that none of the deaths on the above list was ascribed to the Western-allied Ukrainian government.
Where are the demands for international investigations of any of the deaths? In the United States or in Europe? Where is Sen. McCain?"

vvv

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