L'interdiction temporaire d'utiliser ces pesticides durant deux ans doit être réévaluée par la Commission européenne en fin d'année. Les néonicotinoïdes sont des neurotoxines, des substances influençant le système nerveux, que le secteur agricole utilise en tant que pesticides. L'exposition à ces produits peut avoir des conséquences chroniques, voir immédiates, dont la mort.
Treize chercheurs d'académies nationales de sciences, réunies au sein de l'association européenne EASAC, ont épluché plus d'une centaine d'études relatives à l'impact des néonicotinoïdes sur l'écosystème. Ils ne se sont pas uniquement concentrés sur les effets des néonicotinoïdes sur les abeilles mellifiques, qui alimentent souvent la polémique.
Les experts concluent qu'il y a de plus en plus de preuves attestant que l'usage des néonicotinoïdes a des conséquences graves sur des organismes qui ne devraient pas disparaitre. Il s'agit par exemple des pollinisateurs ou d'insectes contribuant à lutter contre les maladies.
Il serait en outre prouvé scientifiquement que même d'infimes quantités de néonicotinoïdes peuvent être nocives. Les scientifiques avertissent que l'usage actuel de cette substance ne respecte pas la gestion intégrée des pesticides prescrite au niveau européen, mais sape aussi le rétablissement de la biodiversité dans les zones agricoles. En 2013, l'Union européenne a interdit pour deux ans l'utilisation de quatre des neufs sortes de néonicotinoïdes. L'interdiction porte sur les cultures qui attirent principalement les insectes pollinisateurs, comme les abeilles."

Bon, mes chers lecteurs et si nous allions vers la production d'essence à partir d'algues vertes, puisque ça marche, cela nous éviterait de pourrir la nature, non, qu'est-ce que vous en pensez ?

(source : SRV497.FR.NF)

Le Royaume-Uni aurait découvert une réserve géante de pétrole à 40 km de Londres



Ces réserves pourraient contenir 100 milliards de barils de de pétrole . Mais des forages d’évaluation et des tests sur le puits sont encore nécessaires.

OilFieldUK
L’investisseur UK Oil and Gas Investments (UKOG) a dit jeudi 9 avril avoir découvert un réservoir de 100 milliards de barils de pétrole près de l’aéroport de Gatwick, dans le sud de l’Angleterre, mais seule une petite portion pourra en être extraite.
« Nous pensons avoir fait une découverte significative, peut-être même la plus grosse découverte terrestre (au Royaume-Uni) de ces 30 dernières années, et nous pensons que cela a une importance nationale », a souligné Stephen Sanderson, directeur de UKOG, à la BBC.
Le réservoir se trouve sous une section appelée Horse Hill, qui couvre 88 kilomètres carrés, dans le bassin du Weald.
Cette région serait comparable aux réservoirs connus de Bakken aux États-Unis, et à la formation de Bazhenov en Sibérie de l’ouest, où 3% à 15% du pétrole peut être extrait.
« Ces résultats initiaux suggèrent qu’il y a un gros volume de pétrole (à extraire), ce qui pourrait potentiellement aider à freiner les importations de brut et améliorer la sécurité énergétique du pays », a estimé Ken Cronin, directeur de la fédération UK Onshore Oil & Gas, qui représente l’industrie pétrolière à terre.

250 puits actifs dans le pays

Mais il reste encore des étapes techniques et administratives à franchir avant que les premiers barils de pétrole ne soient produits.
« Des forages d’évaluation et des tests sur le puits sont encore nécessaires pour savoir s’il est commercialisable », a en effet précisé UKOG tout en disant que la production journalière de pétrole sur ce site pourrait être « significative ».
Cette phase d’évaluation dure généralement entre quatre et six mois, puis si le bassin est viable commercialement l’opérateur doit demander une autorisation pour exploiter le site auprès du ministère de l’Energie.
Selon UKOG, des techniques d’extraction conventionnelles (et non de fracturation hydraulique) pourraient être utilisées pour exploiter le bassin au vu de sa géologie.
Près de 2.000 puits ont été forés sur terre aux Royaume-Uni depuis les années 1850, et 250 fonctionnent encore aujourd’hui et produisent entre 20.000 à 25.000 de barils équivalent pétrole par jour.
(Avec AFP)
OilMap
Source : AFP
Et, dans la rubrique, "Et, si, le pentagone américain arrêtait de faire "chier" le monde entier !"

(source : Sputnik)

Ukraine: un général français démonte le mythe de l'"invasion russe"

© AP Photo/ Mstyslav Chernov
INTERNATIONAL
(mis à jour 14:24 10.04.2015) URL courte
1675350
La Russie n'a jamais réalisé de préparatifs indiquant qu'elle s'apprêtait à envahir militairement l'Ukraine, contrairement aux assertions américaines à ce sujet, a déclaré le général Christophe Gomart, directeur du renseignement militaire français.
Intervenant devant la commission de la défense et des forces armées de l'Assemblée nationale (chambre basse du parlement français), le général Gomart a constaté que le renseignement américain avait fourni des données erronées selon lesquelles "les Russes allaient envahir l'Ukraine".
"La vraie difficulté avec l'Otan, c'est que le renseignement américain y est prépondérant, tandis que le renseignement français y est plus ou moins pris en compte (…). L'Otan avait annoncé que les Russes allaient envahir l'Ukraine alors que, selon les renseignements de la DRM, rien ne venait étayer cette hypothèse", a indiqué le général.
"Nous avions en effet constaté que les Russes n'avaient pas déployé de commandement ni de moyens logistiques, notamment d'hôpitaux de campagne, permettant d'envisager une invasion militaire et les unités de deuxième échelon n'avaient effectué aucun mouvement", a expliqué M.Gomart.
"La suite a montré que nous avions raison car, si des soldats russes ont effectivement été vus en Ukraine, il s'agissait plus d'une manœuvre destinée à faire pression sur le président ukrainien Porochenko que d'une tentative d'invasion", a-t-il conclu.
Depuis le début de la crise dans le Donbass ukrainien, les Etats-Unis n’ont eu de cesse de chercher à convaincre la communauté internationale que les troupes russes étaient impliquées dans les combats et présentes sur le sol ukrainien, sans jamais fournir la moindre preuve valable.


Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150410/1015600534.html#ixzz3WubWO1nh


vv