(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, en France, dimanche, nous allons voter pour un échelon administratif, les départements. "VOUS", parce que moi, je reste chez moi.
Donc, vous allez voter pour des représentants départementaux qui décident des aides sociales notamment et dont le statut pas encore déterminé par une nouvelle loi, le sera après les élections.
Un grand n'importe quoi à mettre encore au bénéfice du premier ministre valls qui à part rogner nos libertés, nous entraîne dans une politique d'enfer d'austérité.
C'est déjà l'arnaque, comme si, vous demandiez un crédit à la banque sans que votre banquiers ne vous parle du taux de votre crédit. C'est se foutre de la gueule du monde et c'est ce qu'on n'a pas compris lorsque le candidat hollande à la présidentielle avait crié, applaudi par la foule, "La finance est mon ennemie !" ou un truc comme ça.
Le gros nous a pris pour des cons et comme des cons, on l'a laissé faire en votant pour lui.
Et, depuis, il ne s'est pas arrêté.
Alors, pour ses élections, mes chers lecteurs, vous n'avez que deux choix.
1er choix, ceux qui croient qu'ils peuvent changer l'Europe de l'intérieur avec les espagnols de Podémos et les grecs de Syriza, le Front de gauche.
2ème choix, ceux qui croient qu'il faut sortir de l'Europe, l'UPR de François Asselineau.
Le reste, c'est pipeau, mensonges et capitalisme prédateurs et/ou soumission à la finance de wall street et de la city........comme hollande.
En tout cas, un seul message de ma part, mes chers lecteurs, "FAITES DISPARAITRE LE PARTI SOCIALISTE DES RADARS !"
Bon, à part cela, comment se porte la classe moyenne aux Etats-Unis ?
Vous connaissez, mes chers lecteurs, cette fameuse classe moyenne entre les très très riches et les pauvres dont ils n'ont plus besoin pour leur servir d'alibi et qui est en liquidation en tout cas en occident.
En France, cette classe moyenne vote à droite, Ump ou socialiste, blanc bonnet ou bonnet blanc. Elle vote pour ceux qui vont la couler à part en laissant un petit groupe de serviteurs de haut niveau pour tenir l'état. Et, pour qui, mes chers lecteurs ?
Les banques, évidemment, mais, lesquelles en particulier ?
Regardez, vous ne pouvez nier que goldman sachs dirige le monde et n'a pas besoin du gouvernement américain pour organiser des coups d'état ou soumettre des pays, comme la Grèce, surtout avec son armée de mercenaires, l'ex black water, on est d'accord, non ?
Surtout, si, le gouvernement américain met tout son poids pour soutenir la politique prédatrice de gold man sachs ou d'autre d'ailleurs.
Alors, demandez-vous, quelle est la banque qui dirige ou soumet la France et va imposer une politique d'austérité qui va tsunamiser la classe moyenne !
(source : Les Moutons Enragés)
Et, dans la rubrique, "Toujours sympa ces polonais !"
ccc
Bon, mes chers cinq lecteurs, en France, dimanche, nous allons voter pour un échelon administratif, les départements. "VOUS", parce que moi, je reste chez moi.
Donc, vous allez voter pour des représentants départementaux qui décident des aides sociales notamment et dont le statut pas encore déterminé par une nouvelle loi, le sera après les élections.
Un grand n'importe quoi à mettre encore au bénéfice du premier ministre valls qui à part rogner nos libertés, nous entraîne dans une politique d'enfer d'austérité.
C'est déjà l'arnaque, comme si, vous demandiez un crédit à la banque sans que votre banquiers ne vous parle du taux de votre crédit. C'est se foutre de la gueule du monde et c'est ce qu'on n'a pas compris lorsque le candidat hollande à la présidentielle avait crié, applaudi par la foule, "La finance est mon ennemie !" ou un truc comme ça.
Le gros nous a pris pour des cons et comme des cons, on l'a laissé faire en votant pour lui.
Et, depuis, il ne s'est pas arrêté.
Alors, pour ses élections, mes chers lecteurs, vous n'avez que deux choix.
1er choix, ceux qui croient qu'ils peuvent changer l'Europe de l'intérieur avec les espagnols de Podémos et les grecs de Syriza, le Front de gauche.
2ème choix, ceux qui croient qu'il faut sortir de l'Europe, l'UPR de François Asselineau.
Le reste, c'est pipeau, mensonges et capitalisme prédateurs et/ou soumission à la finance de wall street et de la city........comme hollande.
En tout cas, un seul message de ma part, mes chers lecteurs, "FAITES DISPARAITRE LE PARTI SOCIALISTE DES RADARS !"
Bon, à part cela, comment se porte la classe moyenne aux Etats-Unis ?
Vous connaissez, mes chers lecteurs, cette fameuse classe moyenne entre les très très riches et les pauvres dont ils n'ont plus besoin pour leur servir d'alibi et qui est en liquidation en tout cas en occident.
En France, cette classe moyenne vote à droite, Ump ou socialiste, blanc bonnet ou bonnet blanc. Elle vote pour ceux qui vont la couler à part en laissant un petit groupe de serviteurs de haut niveau pour tenir l'état. Et, pour qui, mes chers lecteurs ?
Les banques, évidemment, mais, lesquelles en particulier ?
Regardez, vous ne pouvez nier que goldman sachs dirige le monde et n'a pas besoin du gouvernement américain pour organiser des coups d'état ou soumettre des pays, comme la Grèce, surtout avec son armée de mercenaires, l'ex black water, on est d'accord, non ?
Surtout, si, le gouvernement américain met tout son poids pour soutenir la politique prédatrice de gold man sachs ou d'autre d'ailleurs.
Alors, demandez-vous, quelle est la banque qui dirige ou soumet la France et va imposer une politique d'austérité qui va tsunamiser la classe moyenne !
(source : Les Moutons Enragés)
Quatre chiffres qui montrent la descente aux enfers de la classe moyenne américaine [The Anti Media]
Et, dans la rubrique, "Toujours sympa ces polonais !"
Au "marché aux esclaves," de Piaseczno en Pologne,
des Ukrainiens pour le nettoyage, le jardinage, le
sexe et le pierogi*
Au "marché aux esclaves," de Piaseczno en Pologne, des Ukrainiens pour le nettoyage, le jardinage, le sexe et le pierogi*
Ewa Wołkanowska-Kołodziej, Iryna Kołodijczyk , Fort Russ
Un Polonais a enfermé deux ukrainiennes dans son sous-sol. Il les a laissées partir au bout de deux semaines, mais elles ne voulaient pas en parler. Je leur ai demandé : "Vous n’avez pas été à la police?" - "Mais nous n’avons aucun droit ici", ont-elles répondu.
On se met au bord de la route à 5 ou 6 heures du matin le dimanche et on attend un Polonais dans le froid glacial. Peut-être un Polonais va-t-il se réveiller aujourd'hui en pensant "ma chemise n’est pas repassée" ou "pourquoi faudrait-il que je paie quelqu’un alors que je peux faire faire le travail pour rien?" Alors il monte dans sa voiture et vient chercher une ukrainienne pour peindre les murs, aller chercher le charbon, monter des échafaudages. Il la paie 7 et parfois même 20 zlotys de l’heure. À la fin de la journée, il lui donne peut-être moins que promis, ou peut-être rien du tout. Mais c’est mieux que de travailler tout un mois et de ne pas être payé du tout.
Je me rends au marché du travail noir de Piaseczno. Les Ukrainiens l’appellent gentiment "le petit marché", Les Polonais le nomment sans ambage le "marché aux esclaves."
<...>
Roksana: "La semaine dernière, un jeune homme a emmené dans sa voiture une femme qu’il employait pour cueillir des pommes. Ils partent et tout à coup la voiture s’arrête et elle en saute en pleurant. "Qu'est-ce qui est arrivé?", je lui demande. Elle me répond : "il m’a dit, cette fois, je ne t’emmène pour cueillir des pommes, mais pour te faire l’amour." Elle a 60 ans!"
Les autres femmes hochent la tête. Olena: "Quand je suis arrivée ici, je me suis mise là-bas, près des buissons parce que je ne connaissais personne. Les autres me regardaient bizarrement en chuchotant entre elles. Finalement une est venue me dire : "Viens avec nous. Là, les filles attendent pour le sexe ".
Gala: "Un Polonais m’a emmenée moi et une amie repeindre sa maison à Konstancin. Une grande maison avec une haute clôture. Nous sommes entrées dans le jardin et nous nous sommes mises au travail, mais il m'a demandé de d’aller changer son lit. Donc, j’entre dans sa chambre et il s’approche de moi par derrière et commence à me tripoter. Je suis sortie en criant, on voulait s’enfuir, mais la porte était fermée. Qu’est-ce qu’on pouvait faire? On s’est remises à peindre".
Olena: "Porochenko devrait venir voir ça. Il faudrait qu’il voie comment les émigrés ukrainiens vivent ... c’est plus facile pendant l'été. Les agriculteurs nous paient 7ZL à l’heure ou au kilo, alors on peut gagner jusqu’à 100zl par jour. Parfois, ils nous donnent du travail plusieurs semaines d’affilée, et parfois même le logement et la nourriture. Mais le travail est dur."
Anna: "J’ai réussi à ramasser des radis pendant 6 jours. Ils m'ont payée 3.5zl par boîte. Dans chaque boîte 50 grappes de radis, 12 radis par grappe. Je n’étais pas habituée à ce travail. J’ai rempli 12 boîtes en 12 heures, mais d’autres femmes en ont rempli jusqu’à 30. J’ai payé 5zl par jour pour le logement. On travaille au contact du sol, il est aussi froid qu’en Sibérie. S’il pleut, on est assises dans la boue toute la journée."
Kateryna: "Ramasser des betteraves, c’était comme de travailler dans un camp de concentration. On n’a pas le droit de se redresser car il paraît que ça nous ralentit. On n’a pas le droit de parler, seulement de communiquer par signes. Un sandwich et une tasse de thé pour le repas. C’est tout. "
Larissa: "Ne jamais dire aux Polonais que vous savez faire le pierogi! Ils ne vous laisseront plus tranquille et ils vous demanderont de leur en faire tout le temps. C’est pire que le nettoyage. J’ai passé une journée entière à leur faire des pierogi, et ils ne m’ont même pas invitée à manger avec eux."
Olga: "J’ai récemment quitté un travail au bout d’une journée. Pour trois raisons : La dame de la maison voulait une copie de mon passeport. Ça ne m’était jamais arrivé auparavant. Deux, on m’avait dit que je pouvais manger ce qui était sur la table. Alors j’ai pris une pomme et on m'a dit de ne pas le faire sans permission. Trois, elle m'a dit de ne pas toucher aux ustensiles qui étaient dans l'évier parce qu'elle préfèrait remplir le lave-vaisselle elle-même. J’ai bu mon café et j’ai mis la tasse dans l'évier, et elle m'a crié dessus pour cela aussi. J’ai pensé, je n’ai pas besoin de cela, J’ai assez souffert dans ma vie, je ne vais pas me laisser humilier. Maintenant, je dis à tous les employeurs, je ne travaille que huit heures par jour. Comme une personne de race blanche."
Commentaire de J. Hawk (traducteur du russe à l’anglais): C’est aussi catastrophique que cela, et même pire. Les Ukrainiens sont depuis longtemps sur le "marché du travail" Polonais, mais maintenant il y a beaucoup plus d’Ukrainiens et moins d'emplois. Et la "sympathie"officielle envers le Maidan ne va pas jusqu’à la mansuétude envers les gastarbeiters (travailleurs invités) de la Pologne, dont beaucoup sont en train de devenir radicalement anti-polonais du fait du traitement humiliant qui leur infligé en Pologne.
Note :
*Pierogi est le nom d'un plat polonais typique. Il se compose d'éléments du même nom, dont la forme et la pâte ressemblent à une sorte de raviole.
Traduction: Dominique Muselet
http://fortruss.blogspot.fr/2015/03/ukrainians-for-cleaning-gardening.html
Ewa Wołkanowska-Kołodziej, Iryna Kołodijczyk , Fort Russ
Un Polonais a enfermé deux ukrainiennes dans son sous-sol. Il les a laissées partir au bout de deux semaines, mais elles ne voulaient pas en parler. Je leur ai demandé : "Vous n’avez pas été à la police?" - "Mais nous n’avons aucun droit ici", ont-elles répondu.
On se met au bord de la route à 5 ou 6 heures du matin le dimanche et on attend un Polonais dans le froid glacial. Peut-être un Polonais va-t-il se réveiller aujourd'hui en pensant "ma chemise n’est pas repassée" ou "pourquoi faudrait-il que je paie quelqu’un alors que je peux faire faire le travail pour rien?" Alors il monte dans sa voiture et vient chercher une ukrainienne pour peindre les murs, aller chercher le charbon, monter des échafaudages. Il la paie 7 et parfois même 20 zlotys de l’heure. À la fin de la journée, il lui donne peut-être moins que promis, ou peut-être rien du tout. Mais c’est mieux que de travailler tout un mois et de ne pas être payé du tout.
Je me rends au marché du travail noir de Piaseczno. Les Ukrainiens l’appellent gentiment "le petit marché", Les Polonais le nomment sans ambage le "marché aux esclaves."
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Roksana: "La semaine dernière, un jeune homme a emmené dans sa voiture une femme qu’il employait pour cueillir des pommes. Ils partent et tout à coup la voiture s’arrête et elle en saute en pleurant. "Qu'est-ce qui est arrivé?", je lui demande. Elle me répond : "il m’a dit, cette fois, je ne t’emmène pour cueillir des pommes, mais pour te faire l’amour." Elle a 60 ans!"
Les autres femmes hochent la tête. Olena: "Quand je suis arrivée ici, je me suis mise là-bas, près des buissons parce que je ne connaissais personne. Les autres me regardaient bizarrement en chuchotant entre elles. Finalement une est venue me dire : "Viens avec nous. Là, les filles attendent pour le sexe ".
Gala: "Un Polonais m’a emmenée moi et une amie repeindre sa maison à Konstancin. Une grande maison avec une haute clôture. Nous sommes entrées dans le jardin et nous nous sommes mises au travail, mais il m'a demandé de d’aller changer son lit. Donc, j’entre dans sa chambre et il s’approche de moi par derrière et commence à me tripoter. Je suis sortie en criant, on voulait s’enfuir, mais la porte était fermée. Qu’est-ce qu’on pouvait faire? On s’est remises à peindre".
Olena: "Porochenko devrait venir voir ça. Il faudrait qu’il voie comment les émigrés ukrainiens vivent ... c’est plus facile pendant l'été. Les agriculteurs nous paient 7ZL à l’heure ou au kilo, alors on peut gagner jusqu’à 100zl par jour. Parfois, ils nous donnent du travail plusieurs semaines d’affilée, et parfois même le logement et la nourriture. Mais le travail est dur."
Anna: "J’ai réussi à ramasser des radis pendant 6 jours. Ils m'ont payée 3.5zl par boîte. Dans chaque boîte 50 grappes de radis, 12 radis par grappe. Je n’étais pas habituée à ce travail. J’ai rempli 12 boîtes en 12 heures, mais d’autres femmes en ont rempli jusqu’à 30. J’ai payé 5zl par jour pour le logement. On travaille au contact du sol, il est aussi froid qu’en Sibérie. S’il pleut, on est assises dans la boue toute la journée."
Kateryna: "Ramasser des betteraves, c’était comme de travailler dans un camp de concentration. On n’a pas le droit de se redresser car il paraît que ça nous ralentit. On n’a pas le droit de parler, seulement de communiquer par signes. Un sandwich et une tasse de thé pour le repas. C’est tout. "
Larissa: "Ne jamais dire aux Polonais que vous savez faire le pierogi! Ils ne vous laisseront plus tranquille et ils vous demanderont de leur en faire tout le temps. C’est pire que le nettoyage. J’ai passé une journée entière à leur faire des pierogi, et ils ne m’ont même pas invitée à manger avec eux."
Olga: "J’ai récemment quitté un travail au bout d’une journée. Pour trois raisons : La dame de la maison voulait une copie de mon passeport. Ça ne m’était jamais arrivé auparavant. Deux, on m’avait dit que je pouvais manger ce qui était sur la table. Alors j’ai pris une pomme et on m'a dit de ne pas le faire sans permission. Trois, elle m'a dit de ne pas toucher aux ustensiles qui étaient dans l'évier parce qu'elle préfèrait remplir le lave-vaisselle elle-même. J’ai bu mon café et j’ai mis la tasse dans l'évier, et elle m'a crié dessus pour cela aussi. J’ai pensé, je n’ai pas besoin de cela, J’ai assez souffert dans ma vie, je ne vais pas me laisser humilier. Maintenant, je dis à tous les employeurs, je ne travaille que huit heures par jour. Comme une personne de race blanche."
Commentaire de J. Hawk (traducteur du russe à l’anglais): C’est aussi catastrophique que cela, et même pire. Les Ukrainiens sont depuis longtemps sur le "marché du travail" Polonais, mais maintenant il y a beaucoup plus d’Ukrainiens et moins d'emplois. Et la "sympathie"officielle envers le Maidan ne va pas jusqu’à la mansuétude envers les gastarbeiters (travailleurs invités) de la Pologne, dont beaucoup sont en train de devenir radicalement anti-polonais du fait du traitement humiliant qui leur infligé en Pologne.
Note :
*Pierogi est le nom d'un plat polonais typique. Il se compose d'éléments du même nom, dont la forme et la pâte ressemblent à une sorte de raviole.
Traduction: Dominique Muselet
http://fortruss.blogspot.fr/2015/03/ukrainians-for-cleaning-gardening.html
ccc
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