(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, ci-dessous, les zones de gaz de schiste aux States.
Conséquence : Région morte, atmosphère et eau empoisonnée.
La ceinture du maïs. Tout en Ogm, engrais chimique et pesticides en veux-tu, en voilà.
Terre empoisonnée et biologiquement morte, eau empoisonnée.
Agriculture en général aux States, tout ogm.
Compter les dégâts de l'élevage et tout ça descend les fleuves Missouri et Mississippi. En Louisine, les industries ont laissé un "TAS" de déchets toxiques dont une partie a fini dans les bayous. Donc, tout cela stagne dans les marais et dans le golfe du Mexique qui borde les côtes américaines.
Sauf qu'à chaque cyclone ou ouragan et inondation, ça revient recouvrir les terres. Actuellement, les quartiers de la Nouvelle Orléans rebâtis après l'ouragan katrina ont été recouverts de métaux lourds.
Normalement, les autorités auraient dû refusé les permis de construire, mais, nous sommes aux States et on arrête pas le business.
A part cela, mes chers lecteurs, les américains qui nous vantent leur way of life au point que l'ex président français sarkozy voulait que l'on nomme des shérifs en France et souhaite nommer son nouveau parti, parti républicain comme aux States où peuvent-ils vivre sans être empoisonnés à petits feux ?
Voilà, c'est la réflexion du matin bien que nous en France au niveau pesticide et engrais chimique, on fasse aussi bien qu'eux, à part le gaz de schiste, que Dieu nous en préserve !
Et, que, dans la bouche d'un jeune homme sort la vérité de l'innocence.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
Et, en France, on aide les banques qui vont pouvoir vous piquer votre épargne pour gonfler leur fond propre en vous refilant des actions bidons invendables la première année, mais, on aide pas les français. On les vire de leur domicile si, ils sont en difficulté financière et on va leur couper l'eau et l'électricité. Merci hollande et valls !
(source : L'Humanité)
vvv
Et, pendant ce temps au Etats-Unis, les très riches (banquiers) continuent à piller l'état en toute impunité. Sauf que comme les conseillers d'Obama viennent de Goldman Sachs et sont un peu partout, comme les représentants des multinationales dans la haute administration, ils n'ont pas de souci à se faire. De toute façon, aux States, pratiquement, y'a que les noirs qui vont en prison.
(source : SRV497.FR.NF)
Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent. Car selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
Mais, il est vrai, aux Etats-Unis, c'est l'habitude que l'argent public disparaisse sans qu'aucune des enquêtes soi-disant sérieuses n'aboutisse.
(source : le Monde)
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
(source : souk-fares.blogspot.com)
Parlons d'argent. Parlons du plus gros scandale financier de tous les temps.
Mais d'abord, un petit rappel pour lever toute ambiguïté : les termes "billion" et "trillion" n'ont pas le même sens en français et en anglais :
Trillion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Trillion
Trillion en anglais : 10^12 (1 avec 12 zéros derrière), donc 1000 milliards
Trillion en français : 10^18 (1 avec 18 zéros derrière)
Billion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion
Billion en anglais : 1 milliard
Billion en français : 1000 milliards
Donc un "trillion" (en anglais) est égal à un "billion" (en français) : soit 1000 milliards.
Si vous n'avez rien compris, relisez depuis le début. Reprenez calmement.
Mais si au bout de 3 fois vous n'avez toujours rien compris, cassez-vous et ne revenez pas sur ce blog.
Le 10 septembre 2001 (la veille des attentats donc), le Ministre de la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, annonce la "disparition" de "2.3 trillion $" (en anglais) : soit 2300 milliards de $.
Lire l'article CBS et voir la vidéo.
Le Pentagone a "perdu la trace" de 2300 milliards de dollars (deux mille trois cent milliards de dollars) sur l'année fiscale 1999. Et également 1100 milliards de dollars sur l'année fiscale 2000.
Ce sont des sommes astronomiques : on est entrain de parler de l'évaporation de sommes qui sont supérieures au PIB de la France de l'époque.
A titre de comparaison, le scandale Enron en quelques chiffres :
Allez, comme je suis sympa, je vous rajoute aussi la société Andersen, ses 9 milliards de dollars de chiffre d'affaire et ses 85000 salariés. C'est cadeau, tout doit disparaître.
On le voit en comparant les chiffres : le scandale Enron ne pèse pas lourd en comparaison des 2300 milliards de $ dont parle Donald Rumsfeld. Cet aveu aurait pu (et aurait du) provoquer un véritable cataclysme politique outre-atlantique. Mais voilà, cette info est passée totalement inaperçue : le lendemain c'est le 11 septembre 2001. Les attentats contre les tours jumelles (et le Pentagone) occupent tout l'espace médiatique. Le plus gros scandale financier de l'Histoire passe à la trappe. Quel coup de bol !
Mais un coup de bol n'arrive jamais seul. Le 11 septembre 2001, l'attentat contre le Pentagone a lieu pile à l'endroit où était situé le système d'information des analystes financiers chargés d'enquêter sur la disparition de ces sommes (voir le documentaire Pandora's Black Box entre 6min30 et 6min55). Voir également la liste des victimes au Pentagone et la proportion importante de "accountants", "bookkeepers" et de "budget analysts".
Voilà qui vient compléter mon billet précédent à propos du Pentagone.
Certains tentent de forcer de vraies enquêtes sur ces questions, mais jusque là sans succès.
Voir l'intervention de la député Cynthia McKinney, et la réaction de Donald Rumsfeld : voir la vidéo(question n°2).
Sa question n°3 porte sur les exercices qui ont paralysé l'aviation américaine le 11 septembre : voir lebillet précédent à ce sujet.
Si vous vous demandez où a bien pu passer tout ce pognon, sachez que vous n'êtes pas le seul. Posez donc la question à votre moteur de recherche favori : "where is the money ?" (où est l'argent ?), il vous répondra : http://www.whereisthemoney.org :)
Et, pendant ce temps, des millions d'américains sont à la rue et 13 millions sont dans la précarité alors que l'argent disparu aurait largement suffi à les sortir de la précarité et à leur offrir un logement.
Et, voilà, parce que les très riches dont les grandes banques américaines en premier volent l'or de fort knox et l'argent des américains, les Etats-Unis sont devenus un pays du tiers monde, beaucoup de pauvres, une dette irremboursable, n'est-ce pas là, la définition d'un pays du tiers monde ?
Shame to America !
Bon, mes chers cinq lecteurs, ci-dessous, les zones de gaz de schiste aux States.
Conséquence : Région morte, atmosphère et eau empoisonnée.
La ceinture du maïs. Tout en Ogm, engrais chimique et pesticides en veux-tu, en voilà.
Terre empoisonnée et biologiquement morte, eau empoisonnée.
Agriculture en général aux States, tout ogm.
Les principales zones agricoles en 1989 |
Compter les dégâts de l'élevage et tout ça descend les fleuves Missouri et Mississippi. En Louisine, les industries ont laissé un "TAS" de déchets toxiques dont une partie a fini dans les bayous. Donc, tout cela stagne dans les marais et dans le golfe du Mexique qui borde les côtes américaines.
Sauf qu'à chaque cyclone ou ouragan et inondation, ça revient recouvrir les terres. Actuellement, les quartiers de la Nouvelle Orléans rebâtis après l'ouragan katrina ont été recouverts de métaux lourds.
Normalement, les autorités auraient dû refusé les permis de construire, mais, nous sommes aux States et on arrête pas le business.
A part cela, mes chers lecteurs, les américains qui nous vantent leur way of life au point que l'ex président français sarkozy voulait que l'on nomme des shérifs en France et souhaite nommer son nouveau parti, parti républicain comme aux States où peuvent-ils vivre sans être empoisonnés à petits feux ?
Voilà, c'est la réflexion du matin bien que nous en France au niveau pesticide et engrais chimique, on fasse aussi bien qu'eux, à part le gaz de schiste, que Dieu nous en préserve !
Et, que, dans la bouche d'un jeune homme sort la vérité de l'innocence.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
Alimentaire : un enfant de 11 ans détruit Monsanto
Des millions de personnes de 250 villes du monde entier ont défilé pour protester contre Monsanto et les cultures OGM. L’événement a été à peine mentionné par les médias . Les militants, blogueurs et les médias sociaux luttent contre Monsanto et d’autres sociétés du mal comme celles qui sont dirigées par les frères Koch, pour obtenir des informations sur le développement et même une application de téléphone intelligent qui permet aux gens de facilement boycotter les frères Koch et Monsanto cliquez ICI.
Birke Baehr a 11 ans, et a fait une présentation tellement inspirante de notre système nutritionnel, que nous sommes sûrs que si Monsanto le pouvait, il l’interdirait. « Qu’est-ce qui ne va pas avec notre système alimentaire ? Et que pouvons-nous faire pour faire une différence ? » Il présente son point de vue sur une de nos plus importantes sources de nourriture, les fermes industrielles qu’on se garde bien de nous montrer. Il soutient que garder les fermes hors de vue favorise une image mentale irréaliste de l’agriculture à grande échelle et il défend le concept de l’écologie et de la production de produits locaux.
Birke Baehr veut que nous sachions comment est faite notre nourriture, d’où elle vient, et ce qu’il y a dedans. À 11 ans, il envisage une carrière d’agriculteur biologique. À 9 ans lors d’un voyage avec sa famille, Birke Baehr a commencé à étudier les pratiques agricoles durables et biologiques telles que le compostage, la lombriculture, la mise en conserve et la conservation des aliments.
Il a découvert très tôt son autre passion : éduquer les autres, surtout ses camarades, sur la destruction du système alimentaire industriel, et les solutions de rechange. Baehr est bénévole à la Humane Society et aime travailler avec les animaux.
La conférence est intitulée «Quel est le problème avec notre système alimentaire »
Discours :
« Bonjour. Je m’appelle Birke Baehr, et j’ai 11 ans. Je suis venu ici aujourd’hui pour vous parler de ce qui ne va pas avec nos sources de nourriture. D’abord je voudrais dire que je suis sidéré de voir à quel point il est facile de faire croire aux enfants tous les discours de marketing et la publicité à la télé, dans les écoles publiques, et quasiment partout où vous regardez. On dirait que les sociétés essayent tout le temps de pousser les enfants comme moi à faire acheter à leurs parents des choses qui ne sont pas vraiment bonnes pour nous ou pour la planète. Les jeunes enfants sont particulièrement attirés par les emballages colorés et les jouets en plastique. J’avoue que j’étais comme ça. Je pensais aussi que toute notre nourriture venait de ces petites fermes idylliques où les cochons se roulaient dans la boue et les vaches broutaient toute la journée.
J’ai découvert que c’est ce n’est pas vrai. J’ai commencé à faire des recherches sur internet, dans des livres et dans des documentaires, pendant mes voyages avec ma famille. J’ai découvert le côté sombre du système de la nourriture industrielle. D’abord il y a les graines et les organismes génétiquement modifiés. C’est quand une graine est manipulée dans un laboratoire pour faire quelque chose qui n’était pas prévu par la nature — comme prendre l’ADN d’un poisson et le mettre dans l’ADN d’une tomate — berk.
Ne vous méprenez pas, j’aime les poissons et les tomates, mais c’est juste malsain. Ensuite les graines sont plantées et grandissent. Il a été démontré que la nourriture ainsi créée provoque le cancer et d’autres problèmes chez les animaux de laboratoire. Et les gens mangent cette nourriture depuis les années 90. Et la plupart des gens ne savent même pas que cela existe. Est-ce que vous saviez que les rats qui mangent du maïs transgénique ont développé des signes d’infection du foie et des reins ? Dont des inflammations et des lésions des reins et une augmentation de leur masse. Et pourtant, presque tout le maïs que nous mangeons est génétiquement modifié d’une manière ou d’une autre. Et laissez-moi vous dire qu’il y a du maïs partout. Et ne me lancez pas sur les opérations d’alimentation des animaux enfermés appelé CAFOS.
Les fermiers traditionnels utilisent des engrais chimiques à base d’énergie fossile qu’ils mélangent à la terre pour faire pousser les plantes. Ils le font parce qu’ils ont épuisé tous les nutriments du sol à force de faire pousser les mêmes plantes tout le temps. Et puis, des produits chimiques plus toxiques sont vaporisés sur les fruits et les légumes, comme les pesticides et les herbicides, pour tuer les mauvaises herbes et les insectes. Quand il pleut, ces produits chimiques sont absorbés par la terre, ou s’infiltrent dans nos cours d’eau,empoisonnant aussi notre eau. Ensuite ils irradient notre nourriture, pour la faire durer plus longtemps, pour qu’elle puisse voyager sur des milliers de kilomètres de là où elle a poussé jusqu’à nos supermarchés.
Alors je me demande, qu’est-ce que je peux faire ? Comment puis-je changer cela ?
Et voici ce que j’ai trouvé. J’ai découvert qu’il existe un mouvement pour améliorer les choses. Il y a quelque temps, je voulais être footballeur professionnel. J’ai décidé que je préférerais plutôt être agriculteur biologique. Et comme ça je peux avoir plus d’impact sur le monde. Cet homme, Joel Salatin, ils l’appellent le fermier fou parce qu’il cultive sans tenir compte du système. Comme je suis mes cours à la maison, j’ai pu aller l’écouter un jour. Cet homme, ce fermier fou, n’utilise pas de pesticides, d’herbicides ou de graines transgéniques. Et à cause de cela, le système le qualifie de fou.
Je veux que vous sachiez que l’on peut tous faire une différence en faisant des choix différents, en achetant notre nourriture directement chez des fermiers locaux, chez nos voisins que nous connaissons depuis toujours. Il y a des gens qui disent que la nourriture bio ou locale est plus chère, mais est-ce vraiment le cas ? Avec tout ce que j’ai appris sur le système de production alimentaire , j’ai l’impression que soit on paye le fermier, soit on paye l’hôpital. Et maintenant je sais une fois pour toute ce que je choisirais. Je veux que vous sachiez qu’il existe des fermes — comme la ferme Sequachie Cove de Bill Keener au Tennessee — où les vaches mangent de l’herbe et les cochons se roulent dans la boue, juste comme je le pensais.
Parfois je vais à la ferme de Bill et je participe comme bénévole, pour voir en personne et de près d’où vient la viande que je mange. Je veux que vous sachiez que je crois que les enfants mangeront des légumes frais et de la bonne nourriture s’ils ont plus d’informations et s’ils savent vraiment d’où elle vient. Je veux que vous sachiez qu’il y a des marchés bio qui apparaissent dans toutes les communautés. Je veux que vous sachiez que moi, mon frère et ma sœur aimons vraiment manger des chips de chou. J’essaye de faire passer ce message partout où je vais.
Il n’y a pas si longtemps, mon oncle a proposé des céréales à mon cousin de six ans. Il lui a demandé s’il voulait des céréales bio Toasted O’s ou celles couvertes de sucre — vous savez celles avec le grand personnage de dessin animé sur la boite. Mon petit cousin a dit à son père qu’il préférerait avoir les céréales bio parce qu’il ne devrait pas manger de céréales qui brillent. Et c’est comme ça mes amis que nous pouvons faire une différence,un enfant à la fois.
Alors la prochaine fois que vous allez faire des courses, pensez local, choisissez organique, connaissez votre fermier et votre nourriture. Merci. »
Regardez la vidéo ici «Quel est le problème avec notre système alimentaire » :
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture puis allez dans options sous-titres « oui » , puis traduire en français
Et, en France, on aide les banques qui vont pouvoir vous piquer votre épargne pour gonfler leur fond propre en vous refilant des actions bidons invendables la première année, mais, on aide pas les français. On les vire de leur domicile si, ils sont en difficulté financière et on va leur couper l'eau et l'électricité. Merci hollande et valls !
(source : L'Humanité)
Fin de la trêve hivernale. Recours
pour éviter d'être expulsé
QUESTION-REPONSE
DANIEL ROUCOUS
LUNDI, 30 MARS, 2015
HUMANITE.FR
SOS impayés de loyers 0 805 16 00 75 - Photo FOTOLIA
VOTRE QUESTION En difficulté financière suite à mon licenciement je suis ennuyé pour payer mon loyer. Mon propriétaire veut profiter de la fin de la trêve hivernale pour résilier le bail. Comment l’éviter, qui peut m’aider ?
NOTRE REPONSE : Il est vrai que l’article 7 de la loi du 6 juillet 1989 relative aux rapports locatifs fait obligation aux locataires de payer les loyers et les charges locatives aux termes convenus. Le défaut de paiement entraîne la résiliation du bail et donc l’expulsion du locataire mais seulement sur décision de justice et en dehors de la période hivernale qui prend fin le 31 mars.
Cependant, lorsque le locataire se retrouve en difficultés financières (perte d’emploi ou chômage comme c’est votre cas, baisse de revenu par exemple suite au départ en retraite, surendettement, maladie, accident, perte d’un conjoint etc.), il existe des recours pour éviter l’expulsion tant en ville que dans les villages.
Voici quelques démarches à faire qui plus sont gratuites.
Vous pouvez d’abord demander à votre propriétaire un délai de paiement exceptionnel de votre loyer ou un échéancier (modèle de lettre joint). Vous devez faire valoir que, d’une part vous avez toujours réglé, sans retard, votre loyer et donc que vous êtes de bonne foi, d’autre part qu’il s’agit d’une exception due à une baisse de revenu pour cause de chômage.
Cependant, le propriétaire est libre d’accepter ou pas. S’il accepte un étalement du paiement, convenez de le mettre par écrit, daté et signé des deux parties.
S’il refuse vous devrez alors trouver des sources de financement ou une conciliation auprès des commissions de conciliation ou de prévention des expulsions qui siègent à la DDT (direction départementale des territoires).
Sans attendre appelez « SOS impayés de loyers » au 0 805 16 00 75 qui est un numéro d’appel gratuit mis à disposition par l’ANIL (Agence nationale d’information sur le logement). Vous serez alors mis en relation avec l’ADIL de votre département qui vous aidera à trouver la bonne solution rapidement.
Si ça ne vous dit rien ou que vous hésitez, voyez donc avec votre caisse d’allocations familiales ou de MSA, celle-ci octroyant des aides financières à cet effet, certes sous conditions à voir avec elle. Elle peut aussi faire intervenir le FSL (Fonds de Solidarité pour le Logement).
Autres possibilités intéressantes :
- vous bénéficiez d’une aide au logement (APL, ALS, ALF). Contactez l’organisme (Caf, MSA) qui vous la verse afin de la transmettre directement au bailleur ;
- vous pouvez demander à votre bailleur de faire exceptionnellement intervenir sa garantie des risques locatifs (GRL). Il s’agit d’une assurance que les bailleurs privés sont tenus de souscrire auprès d’une assurance agréée pour garantir toutes les locations dont les loyers représentent au plus 50% des revenus du locataire. Elle garantit les loyers impayés dans la limite de 2 000 euros par mois, les frais de recouvrement dans la limite de 70 000 euros et les dégradations locatives dans la limite de 7 700 euros (3 500 euros s’il s’agit d’un meublé) ;
- demandez à un tiers ou un parents de vous prêter de l’argent au moyen d’un prêt écrit familial dont vous conviendrez du mode de remboursement et surtout du délai ;
- sachez enfin que vous pouvez demander à bénéficier de l’avance LOCA-PASS du 1% Logement qui est une caution gratuite et immédiate à destination notamment des retraités depuis moins de 5 ans.
Dernier recours
Si rien de tout cela n’aboutit ou que vous ne répondez pas aux conditions d’aides, il reste à contacter la commission de conciliation qui siège à la DDT (direction départementale des territoires)Pour les saisir aller sur le lien ci-dessous.Si la conciliation n’aboutit pas, l’avis de la commission peut être déterminant devant le tribunal de grande instance.En pratique, lorsque le locataire de bonne foi justifie ses difficultés financières et le licenciement en est une, le juge peut ordonner au propriétaire d’accepter des délais de paiement ou, si le propriétaire lui-même, est tributaire de ce loyer, débloquer une aide du FSL (Fonds de solidarité pour le logement).Avant d’en arriver là, une solution amiable avec le propriétaire c’est mieux.
vvv
Et, pendant ce temps au Etats-Unis, les très riches (banquiers) continuent à piller l'état en toute impunité. Sauf que comme les conseillers d'Obama viennent de Goldman Sachs et sont un peu partout, comme les représentants des multinationales dans la haute administration, ils n'ont pas de souci à se faire. De toute façon, aux States, pratiquement, y'a que les noirs qui vont en prison.
(source : SRV497.FR.NF)
Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent. Car selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
Ces cinq minutes de vidéo proviennent d’une audition du Congrès où l’Inspecteur Général de la FED, Elisabeth Coleman est interrogée par le Membre Du Congrès, Alain Grayson, le 5 mai 2009, sur les sommes d’argent énormes dont la FED est responsable. (voir plus haut)
L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson, mais reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.
Car, effectivement, selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !
Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.
Pourquoi les grands médias n’en ont pas en parlé ? Que fera l’Administration Obama pour résoudre cela ? Qu’elle est la responsabilité de l’administration Bush ?"
L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson, mais reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.
Car, effectivement, selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !
Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.
Pourquoi les grands médias n’en ont pas en parlé ? Que fera l’Administration Obama pour résoudre cela ? Qu’elle est la responsabilité de l’administration Bush ?"
(source : le Monde)
Guerre en Irak : huit milliards portés manquants
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvain Cypel - De notre correspondant à New York
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
Un audit de l'Inspection générale du département de la défense américain, intitulé " Contrôle interne des versements payés en Irak, au Koweït et en Egypte ", a décelé que ses responsables sont incapables de justifier 8,2 milliards de dollars payés à des contractants américains ou des sous-traitants locaux en Irak. Cette somme représente 1,5 % des dépenses du Pentagone depuis le début de la guerre, en mars 2003. Selon le service des recherches du Congrès, celles-ci atteignent à ce jour 540 milliards de dollars (d'autres sources poussent le calcul jusqu'à 800 milliards).
Ces sommes ont fait l'objet de facturations ne permettant pas d'en retracer la destination ou ont été versées sans factures. Un contractant américain, IAP Worldwide Services, a par exemple perçu, à une occasion, 11,1 millions de dollars sur présentation d'un bon, sans que la nature du service rendu soit connue. Le même audit indique par ailleurs que 1,8 milliard de dollars d'avoirs irakiens gelés après la conquête de Bagdad ont disparu. Il n'a pas plus retrouvé la trace de 134,8 millions de dollars versés aux alliés britanniques, polonais et sud-coréens des Etats-Unis en Irak.
Vu le nombre monumental de documents à vérifier, les auditeurs ont sélectionnés 702 contrats représentatifs. La somme sans traçabilité est une extrapolation faite à partir de leur bilan. Le cas le plus exceptionnel consiste en un versement de 320,8 millions de dollars avec la simple mention " paiement de salaires irakiens ", sans aucune indication de l'identité des personnes ou des organismes rémunérés ni du travail qu'ils avaient effectué. Dans la colonne suivante apparaît le chiffre " 1 000 ". Un représentant au Congrès a demandé s'il s'agissait du nombre de personnes payées. Auquel cas chacune aurait perçu 320 800 dollars…
Interrogée par des parlementaires pour savoir si elle avait une idée de la destination de ces sommes, Mary Ugone, directrice-adjointe de l'Inspection générale du Pentagone, a répondu : " nous ne savons pas ce qu'il en est ".
Sylvain Cypel - De notre correspondant à New York
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
(source : souk-fares.blogspot.com)
mardi 22 janvier 2008
Pour une poignée de milliers-de-milliards de dollars
Parlons d'argent. Parlons du plus gros scandale financier de tous les temps.
Mais d'abord, un petit rappel pour lever toute ambiguïté : les termes "billion" et "trillion" n'ont pas le même sens en français et en anglais :
Trillion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Trillion
Trillion en anglais : 10^12 (1 avec 12 zéros derrière), donc 1000 milliards
Trillion en français : 10^18 (1 avec 18 zéros derrière)
Billion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion
Billion en anglais : 1 milliard
Billion en français : 1000 milliards
Donc un "trillion" (en anglais) est égal à un "billion" (en français) : soit 1000 milliards.
Si vous n'avez rien compris, relisez depuis le début. Reprenez calmement.
Mais si au bout de 3 fois vous n'avez toujours rien compris, cassez-vous et ne revenez pas sur ce blog.
Le 10 septembre 2001 (la veille des attentats donc), le Ministre de la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, annonce la "disparition" de "2.3 trillion $" (en anglais) : soit 2300 milliards de $.
Lire l'article CBS et voir la vidéo.
Le Pentagone a "perdu la trace" de 2300 milliards de dollars (deux mille trois cent milliards de dollars) sur l'année fiscale 1999. Et également 1100 milliards de dollars sur l'année fiscale 2000.
Ce sont des sommes astronomiques : on est entrain de parler de l'évaporation de sommes qui sont supérieures au PIB de la France de l'époque.
A titre de comparaison, le scandale Enron en quelques chiffres :
- Une société qui avait un chiffre d'affaire de 100 milliards de $.
- 1 milliard de $ de délits d'initiés que se sont partagés 29 cadres dirigeants qui ont retiré leurs billes juste avant que l'action ne plonge.
- 67 milliards de $ de dettes.
- 20000 salariés à la porte.
- 2 milliards de $ de fonds de retraites évaporés.
Allez, comme je suis sympa, je vous rajoute aussi la société Andersen, ses 9 milliards de dollars de chiffre d'affaire et ses 85000 salariés. C'est cadeau, tout doit disparaître.
On le voit en comparant les chiffres : le scandale Enron ne pèse pas lourd en comparaison des 2300 milliards de $ dont parle Donald Rumsfeld. Cet aveu aurait pu (et aurait du) provoquer un véritable cataclysme politique outre-atlantique. Mais voilà, cette info est passée totalement inaperçue : le lendemain c'est le 11 septembre 2001. Les attentats contre les tours jumelles (et le Pentagone) occupent tout l'espace médiatique. Le plus gros scandale financier de l'Histoire passe à la trappe. Quel coup de bol !
Mais un coup de bol n'arrive jamais seul. Le 11 septembre 2001, l'attentat contre le Pentagone a lieu pile à l'endroit où était situé le système d'information des analystes financiers chargés d'enquêter sur la disparition de ces sommes (voir le documentaire Pandora's Black Box entre 6min30 et 6min55). Voir également la liste des victimes au Pentagone et la proportion importante de "accountants", "bookkeepers" et de "budget analysts".
Voilà qui vient compléter mon billet précédent à propos du Pentagone.
Certains tentent de forcer de vraies enquêtes sur ces questions, mais jusque là sans succès.
Voir l'intervention de la député Cynthia McKinney, et la réaction de Donald Rumsfeld : voir la vidéo(question n°2).
Sa question n°3 porte sur les exercices qui ont paralysé l'aviation américaine le 11 septembre : voir lebillet précédent à ce sujet.
Si vous vous demandez où a bien pu passer tout ce pognon, sachez que vous n'êtes pas le seul. Posez donc la question à votre moteur de recherche favori : "where is the money ?" (où est l'argent ?), il vous répondra : http://www.whereisthemoney.org :)
Et, pendant ce temps, des millions d'américains sont à la rue et 13 millions sont dans la précarité alors que l'argent disparu aurait largement suffi à les sortir de la précarité et à leur offrir un logement.
Et, voilà, parce que les très riches dont les grandes banques américaines en premier volent l'or de fort knox et l'argent des américains, les Etats-Unis sont devenus un pays du tiers monde, beaucoup de pauvres, une dette irremboursable, n'est-ce pas là, la définition d'un pays du tiers monde ?
Shame to America !
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