mardi 2 décembre 2014

(blog à finir et à corriger)

Ils vont être contents les moscovites où MacDo vient de réouvrir !

(source : Santé Nutrition)








Le chef hamburger Jamie Oliver prouve que les hamburgers de McDonalds sont « impropres à la consommation »


Jamie Oliver a remporté son long combat contre l’une des plus grandes chaînes de fast food au monde, McDonald’s.
Après qu’Oliver ai montré comment les hamburgers McDo étaient fabriqués, la chaîne franchisée a finalement annoncé qu’elle changera ses recettes, annonce à peine reprise dans les médias. Oliver ne cesse d’expliquer, depuis des années, dans des documentaires, des émissions de télé et des interviews, que les parties grasses de la viande de bœuf sont « lavées » dans de l’hydroxyde d’ammonium et utilisées pour les hamburgers. Avant ce procédé de « lavage », selon Oliver, la viande est réputée impropre à la consommation humaine. Il explique que « fondamentalement, nous prenons un produit qui serait vendu dans des filières discount pour chiens, et qui, après ce procédé, est donné aux êtres humains ».
Outre la faible qualité de la viande, l’hydroxyde d’ammonium est dangereux pour la santé. Oliver parle du fameux « procédé pink slime ».
Qu’est-ce que le « pink slime » ? C’est un additif bon marché à base de viande de bœuf qui peut être ajouté à de la viande hachée ou transformée et servant ainsi d’agent de remplissage. Il se compose de morceaux de bœuf haché finement, de tendons, de graisse, de tissus conjonctifs qui ont été retirés mécaniquement dans une centrifugeuse chauffée à 38 °C afin d’en produire une pâte. Cette dernière est traitée à l’ammoniac ou à l’acide citrique pour l’élimination des bactéries, puis est finement broyée, pressée en blocs et surgelée pour son utilisation industrielle. Créé par Eldon Roth, le pink slime a été autorisé pour la nourriture des animaux autres que l’homme avant d’être, en 2001, autorisé pour la consommation humaine aux États-Unis.
Dans l’une de ses démonstrations hautes en couleur, Oliver montre aux enfants comment sont faits les nuggets. Après avoir mis de côté les meilleures parties du poulet, les restes (la graisse, la peau et les organes internes) sont traités pour devenir des nuggets.
En réponse à la mauvaise presse dont ce procédé a souffert grâce à Oliver, l’entreprise Arcos Dorados, le directeur de la franchise McDonalds en Amérique Latine, a dit qu’un tel procédé n’était pas pratiqué dans leur région. A noter qu’il en serait de même en Irlande et en Grande Bretagne où la viande provient de fournisseurs locaux.
Aux Etats-Unis, Burger King et Taco Bell avaient déjà abandonné l’utilisation de l’ammoniac dans leurs produits. L’industrie alimentaire utilise l’hydroxyde d’ammonium comme agent antimicrobien dans les viandes, ce qui a permis à McDonalds de détourner la « viande non comestible » et de l’utiliser autrement.
Le plus inquiétant est surtout le fait que, sous prétexte que l’hydroxyde d’ammonium est autorisé, par l’USDA (Département de l’Agriculture des Etats-Unis), comme composant dans la procédure de fabrication, les consommateurs ne savent pas quand ce produit chimique se retrouve dans leur nourriture.
Sur le site officiel de McDonalds, la société affirme que leur viande n’est pas chère parce que, le fait de servir chaque jour autant de personnes, leur permet d’acheter à bas prix à leurs fournisseurs et d’offrir ainsi des produits de la meilleure qualité.
Mais si le « pink slime » était vraiment la « meilleure qualité » que McDonald’s puisse trouver aux Etats-Unis, alors pourquoi ont-ils pu faire mieux en Amérique Latine et en Europe ? Plus précisément, pourquoi ne peuvent-ils apparemment pas faire mieux aux Etats-Unis ?
Toutes ces questions sont restées sans réponse de la part de McDonalds qui a nié que la décision de changer leur recette était liée à la campagne de Jamie Oliver.
Sur son site, McDonalds a admis qu’ils avaient abandonné le procédé.

Par contre, attention à une explosion du cours de l'or.

(source : Romandie.com)

Métaux précieux: l'Inde met fin aux restrictions sur les importations d'or

(reprise de samedi)


New Delhi (awp/afp) - L'Inde a décidé de mettre fin aux restrictions sur l'importation d'or mises en place l'année dernière, a indiqué samedi la banque centrale indienne.


L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.


"Les restrictions sur l'importation d'or sont levées avec effet immédiat", a indiqué la banque centrale indienne dans un communiqué publié samedi sur son site internet.


La règle sur les restrictions de l'importation d'or, appelée 80/20 stipulait que 20% du métal précieux importé devait être réexporté avant toute nouvelle importation.


Les bijoutiers indiens utilisent une partie de l'or importé dans le pays pour fabriquer des bijoux destinés à l'exportation.


Le métal précieux est taxé à 10% à l'importation dans le pays qui importe environ 90 de ses besoins en métal précieux. Les 1,2 milliard d'habitants de l'Inde utilisent l'or comme épargne.


Selon le Conseil mondial de l'or, la demande indienne de métal précieux s'est accrue de près de 60% pour atteindre 182,9 tonnes au troisième trimestre.


La demande d'or connait traditionnellement un pic dans le pays d'août à novembre, pendant la saison des mariages et le festival hindou de Dhanteras, considérés comme des périodes auspicieuses pour acheter le métal précieux ou l'offrir en cadeau."


Et, quand la Russie ressemble aux Etats-Unis, ressemble à la France !

(source : Courrier de la Russie)






Manifestation du corps médical à Moscou

Environ 6 000 personnes se sont rassemblées dimanche 2 novembre 

sur la place Souvorovskaïa pour dénoncer l’ »effondrement du secteur 

médical dans la capitale russe ».



Manifestation du corps médical à Moscou
Environ 6 000 personnes se sont rassemblées dimanche 2 novembre sur la place Souvorovskaïa pour dénoncer l’ »effondrement du secteur médical dans la capitale russe ».
« Ils diminuent les effectifs, licencient, mettent à la rue, et personne ne veut endosser la responsabilité, s’offusque une chirurgienne présente à la manifestation interrogée par la revue Afisha. On a diminué mon salaire, viré mes amies avec qui je travaillais depuis 15 ans. Je pense franchement que l’avenir ne sera pas meilleur, et je ne peux pas me taire. 
Il n’y a personne pour nous protéger. Personne n’a besoin de nous. »
Manifestation corps médical
« Seuls les riches survivront » . Crédits : FB
La mairie de Moscou s’est récemment lancée dans un programme de réorganisation de son secteur de la santé. 28 centres médicaux, dont quinze hôpitaux, pourraient prochainement fermer. Leurs matériels et équipements seront transférés à d’autres établissements. La réforme menace  7 452 personnes, selon une source proche du dossier citée par le journal RBK.
« Les pouvoirs publics entendent ainsi maximaliser le système hospitalier moscovite qui devrait à terme devenir autosuffisant, c’est-à-dire que les hôpitaux vivront avec ce qu’ils gagnent. Les fonds budgétaires ne serviront qu’aux travaux de rénovation et à l’achat de matériel dont le coût sera supérieur à 100 mille roubles », affirme RBK.
Moscou compte actuellement 70,4 mille médecins.
Crédits photographiques : Bely Schetchik.

Mais, ceci explique-t-il cela ?

(source : les Echos.fr)

Le ministre des 

Finances chiffre 

à 40 milliards de dollars l’impact 

des sanctions occidentales.

La faiblesse 

des cours du pétrole pourrait 

faire perdre 

jusqu’à 100 milliards de dollars 

de recettes.

Quarante milliards de dollars en année pleine. Tel est le coût 
des sanctions occidentales envers son pays, selon une évaluation
divulguée lundi par le ministre russe des Finances, Anton Silouanov,
connu pour son franc parler. C’est la première fois qu’un membre
du gouvernement chiffre l’impact, entermes de perte d’activité
pour le pays, des sanctions prises par les Etats-Unis,
l’Union européenne, le Canada et le Japon en représailles
à l’annexion de la Crimée et aux opérations de déstabilisation
prêtées à Moscou en Ukraine orientale. Jusqu’ici, les responsables
russes, à l’image du chef du gouvernement,
Dmitri Medvedev, se contentaient d’estimer que ces mesures
seraient tout au plus « une nuisance ».
Les sanctions, qui ont essentiellement coupé les banques 
publiques russes  des marchés financiers occidentaux ,
ont toutefois moins d’impact direct
que la fuite des capitaux suscitée par les tensions
géostratégiques. Anton Silouanov l’évalue à 130 milliards
de dollars sur l’année, un niveau
double de celui de l’an dernier et sans précédent depuis
la crise mondiale de 2008. Une fuite qui a provoqué une chute 
du rouble d’environ un quart  de sa valeur depuis le printemps,
renchérissant d’autant les produits
importés, même si le Kremlin ironise sur le fait que cela ne
nuirait qu’aux « mangeurs de parmesan » moscovites.
Mais cela déstabilisera aussi
des entreprises russes qui doivent refinancer des
dettes de... 130 milliards de dollars l’an prochain.

Le pétrole au plus bas

Les conséquences de la crise ukrainienne se révèlent
toutefois moins graves que celles de la chute du cours 
du pétrole . Sous l’effet du marasme occidental,
de la montée en puissance du gaz de schiste et, à en croire l
e Kremlin, d’une manipulation du marché par Riyad
et Washington, le prix du baril de brent est tombé lundi à 76 dollars,
au plus bas depuis 2010 et en recul de 34 % depuis le début
de l’été. Anton Silouanov a reconnu que cela aurait des
conséquences « critiques » pour le pays,
qui tire de l’or noir le tiers de ses recettes à l’exportation.
Il évalue à 90-100 milliards de dollars par an le manque
à gagner pour l’économie russe, en supposant que le cours
du pétrole ne s’enfonce pas davantage
(et ne remonte pas non plus). Cette chute des cours de l’or noir,
qui obère un excédent commercial jadis parmi les plus élevés
de la planète, est en outre très néfaste pour les recettes
publiques russes, provenant pour
moitié des taxes sur les exportations de pétrole,
même si ce phénomène est minimisé par l’affaiblissement
du rouble (les exportations étant
libellées en dollars).
Ce contexte maussade, avec une croissance qui
ne dépassera pas  0,2 % cette année selon le FMI,
ne perturbe pourtant pas Vladimir Poutine.
Le président russe a estimé dimanche que les sanctions
et la chute des cours du pétrole et du rouble «ne mèneront 
pas à des résultats négatifs  ou catastrophiques ».
Il est vrai qu'admettre l’inverse reviendrait
à reconnaître que ses ambitions géostratégiques en Ukraine nuisent
au niveau de vie de ses compatriotes.
Sauf nouvelles sanctions, aucun analyste n’envisage
pour l’heure un effondrement du pays. La banque centrale
dispose de 370 milliards de dollars de réserves, quoique en chute
d’un quart sur un an en raison
notamment d’une vaine défense du rouble. Mais l'économie
russe semble en voie de suffocation lente, ce qui pousse
les investisseurs à réduire leur exposition.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/0203962398857-leconomie-russe-asphyxiee-par-les-sanctions-et-la-chute-des-prix-du-petrole-1067624.php?zg8JoV4uP828cRbD.99#xtor=CS1-33


Et, une autre opinion russe sur le fascisme de certains ukrainiens qui tend à les faire ressembler à tous les occidentaux.

(source : Le courrier de la Russie)




Le fascisme en Ukraine ? 

Mais quel fascisme ?

« Si les pauvres sont pauvres, c’est parce qu’ils sont
médiocres, faibles et paresseux. Cette façon de penser
prédomine aujourd’hui dans l’espace post-soviétique
et, sur ce point, la Russie et l’Ukraine sont plus proches qu’elles ne le pensent »


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Depuis le début du conflit ukrainien, 
la télévision russe ne cesse de marteler 
que le pays est en proie au fascisme, 
et que c’est pour combattre cette hydre 
que les insurgés se sont soulevés dans 
leDonbass. Pour les Ukrainiens, ces 
accusations relèvent de la fable. 
Jeunes nationalistes en Ukraine. Crédits: lenta-ua.net
Jeunes nationalistes en Ukraine. Crédits: lenta-ua.net
« Bandéristes, nous ?, s’exclamait récemment
Oxana Zaboujko, écrivain ukrainienne, vous 
savez, chez nous, on a une plaisanterie l
à-dessus : le fascisme, c’est comme le 
chupacabra : tout le monde en a entendu 
parler mais personne ne l’a jamais vu… »
Et en effet, on se dit que seule la télévision
poutinienne pouvait coller un titre aussi sinistre
à ces intellos brillants qui luttent contre la corruption
et rêvent d’un avenir meilleur pour leur pays.
C’est presque aussi absurde que traiter
de fascistes les gens qui, en 2011, sont
descendus manifester sur laplace Bolotnaïa,
à Moscou, pour exprimer leur refus de vivre
 sous la dictature de Poutine.
Eux aussi, comme leurs camarades de la
place Maïdan deux ans plus tard, avaient
des visages ouverts et exprimaient des
propos pleins de bons sens, avec lesquels
on ne peut qu’être d’accord : du type, la liberté, 
c’est mieux que l’absence de liberté. Ou bien :
nous voulons des élections libres ! Ils disaient
encore que les défilés de la place Bolotnaïa réunissaient l
es meilleurs représentants du peuple russe,
des gens qui aiment la liberté par-dessus tout !
Et quand on leur demandait qui étaient donc tous
les autres, ceux qui ne manifestent pas, qui votent
Poutine (car 63,6 %, ça ne se falsifie pas), ils répondaient
en chœur que c’étaient des gens au niveau d’éducation
très faible, vivant majoritairement en province,
dépendants du pouvoir et ayant peur de s’en
émanciper… bref, des esclaves dans l’âme. Le reste,
ils ne le disaient pas mais on le devinait facilement :
regardez-nous, nous sommes parfaitement éduqués,
nous avons réussi, nous, à quitter notre bled natal,
nous sommes ici, à Moscou – nous sommes plus
actifs, plus habiles, plus intelligents. Nous sommes
des vainqueurs, alors qu’eux sont des tocards, des
 losers, des pauvres, leur avis compte pour rien.
Et Poutine, d’ailleurs, est le président des tocards.
Aujourd’hui, quand on écoute les meilleurs représentants
du mouvement Maïdan, tous ces gens au regard ardent
qui n’ont fait rien de moins qu’une révolution de la dignité,
on les entend, étonnamment, propager les mêmes
qualificatifs sur les russophones du Donbass. « Les partisans
de la Russie, àOdessa, sont des gens de l’ancienne
génération, au niveau d’éducation très faible », assénait
récemment le poète ukrainien Boris Khersonski. « Notre but
– la construction d’une Ukraine libre, humaine et européenne
– est inatteignable avec le Donbass », proclamait
le classique de la littérature ukrainienne Iouri Androukhovitch.
Les gens du Donbass sont présentés comme des êtres
obtus, soumis à la propagande toute-puissante.
On leur dénie la capacité de réfléchir par eux-mêmes, t
out comme, en Russie, les manifestants de la place
Bolotnaïa refusaient cette même faculté à tout le reste
du pays. On les décrit également, ces gens du Donbass,
comme une masse informe, ne sachant qu’obéir aux
ordres et aimant la poigne. Ils auraient besoin de chefs
de file qui leur donneraient des idées et qui leur désigneraient
un ennemi à abattre.
Ces représentations de la « classe créative », qu’elle soit
moscovite ou kiévienne, sont tenaces : elles sont basées
non sur l’analyse mais sur l’émotion, et sur une idéologie
qui s’est emparée des esprits dans tout l’espace post-soviétique :
une idéologie que résume parfaitement l’oeuvre d’Ayn Rand,
cette femme écrivain américaine, auteur du roman Atlas Shrugged (La Grève), extrêmement populaire en Russie comme en Ukraine.
Elle y glorifie les hommes d’esprit, les individualistes
convaincus, ceux qui placent leur réalisation personnelle
au-dessus du bien commun, mais en refusant l’idée même.
C’est un hymne aux gens forts, libres et égoïstes, c’est
leur émancipation de toute responsabilité face à ceux
qui n’ont pas eu la chance de se retrouver au sommet.
Si vous occupez une position sociale supérieure, c’est
forcément que vous êtes plus intelligent qu’eux,
 suggère Ayn Rand.
Et si les pauvres sont pauvres, c’est parce qu’ils sont
médiocres, faibles et paresseux. Ils ne méritent aucune
compassion. Il est inutile – et dangereux – de les aider.
Cette façon de penser prédomine aujourd’hui dans
l’espace post-soviétique et, sur ce point, la Russie
et l’Ukraine sont plus proches qu’elles ne le pensent.
Les « gagnants » raflent tout, et les « perdants » n’ont
qu’à s’accuser eux-mêmes de leurs maux. Dans ce contexte,
rien d’étonnant à ce que les intellectuels, russes autant
qu’ukrainiens, refusent de comprendre ce que veulent les gens
du Donbass, de Perm ou de Riazan. Pourquoi ils votent Poutine
ou Ianoukovitch. Dans l’esprit des partisans de Maïdan ou
de Bolotnaïa, il ne s’agit que d’une masse de malheureux,
coupables de leur propre situation lamentable.
Il ne faut pas les écouter. On peut tenter de les rééduquer.
Et si ça ne marche pas… Le 14 novembre, le président
Petro Porochenko a signé un décret qui annonce
le retrait total de l’État ukrainien du territoire des
républiques populaires de Donetsk et de Lougansk.
Plus de retraites. Plus de services municipaux.
Plus de justice. Sergueï Lavrov, ministre russe
des affaires étrangères, n’exclut pas qu’il puisse
s’agir d’une préparation à une nouvelle intervention
militaire de Kiev dans les deux républiques.
Finalement, la propagande n’est pas si absurde :
c’est précisément à du fascisme que nous avons affaire.
Pas un fascisme racial à la mode d’Hitler, mais un f
ascisme social : un système où les humains sont jugés
« supérieurs » ou « inférieurs » en fonction du montant
de leurs revenus et de leurs positions politiques (ou de
leur absence). Un fascisme bien présent en Ukraine, tout
autant qu’en Russie – sur ce point, Kiev a parfaitement
raison. Un fascisme qui a fleuri dans les années 1990 et
continue de ronger les restes du système social
soviétique – et les fondements de l’humanisme le plus
basique. En ce moment même, par exemple, le gouvernement
de Moscou réduit drastiquement le nombre d’hôpitaux
de la capitale – une affaire d’«optimisation des ressources ».
Et les gens ne protestent pas. Car au fond, ils partagent
la position des « réformateurs » : seuls les « gagnants
» méritent des soins de qualité. Et les « tocards » ?
Tant pis pour les tocards.

vv




vv

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