(blog à finir et à corriger)
Désolé, mes chers cinq lecteurs, hier, je me suis fait une journée cinoche en streaming.
Repos total, en stade recharge neurones.
Et, commençons, en France, comme à l'époque de reagan, la famille bush, clinton, carter, la justice aide les entreprises et les politiques à détricoter les acquis sociaux.
Déjà que pour se faire soigner en France lorsque l'on n'a pas de sous, cela devient la galère, travailler va permettre bientôt de ne juste gagner qu'à peine de quoi nourrir sa famille.
C'est cela au bout du compte que va donner le rapprochement Union Européenne-Etats-Unis.
(source : Express)
Passons, maintenant, à l'art et la manière dont les fonctionnaires, "experts" de l'Union Européenne nous pourrissent la vie au profit de la finance et des multinationales.
En Europe, chaque état décidera si il accepte ou non la cultures de semences OGM. En tout cas, c'est ce qu'ils nous ont dit.
Mais, ce qu'ils nous disent pas, c'est qu'avant de prendre des décisions qui semble favorable aux citoyens, ils pondent des réglementation avant pour neutraliser ces décisions.
Ces gens sont pourris, et ils se vendent et détruisent nos vies et nos santé.
(source : bastamag)
Désolé, mes chers cinq lecteurs, hier, je me suis fait une journée cinoche en streaming.
Repos total, en stade recharge neurones.
Et, commençons, en France, comme à l'époque de reagan, la famille bush, clinton, carter, la justice aide les entreprises et les politiques à détricoter les acquis sociaux.
Déjà que pour se faire soigner en France lorsque l'on n'a pas de sous, cela devient la galère, travailler va permettre bientôt de ne juste gagner qu'à peine de quoi nourrir sa famille.
C'est cela au bout du compte que va donner le rapprochement Union Européenne-Etats-Unis.
(source : Express)
Les patrons autorisés à baisser les salaires !
Votre patron va pouvoir modifier votre contrat de travail (et baisser votre salaire)
La Cour de cassation considère désormais qu’un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat voulue par l’employeur. Y compris une baisse de salaire, si elle reste mineure.
Un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat de travail décidée unilatéralement par son patron. La Cour de cassation a modifié son point de vue dans un arrêt du 12 juin 2014. Alors qu’elle l’excluait formellement depuis de nombreuses années, elle juge désormais qu’un employé peut se voir imposer une modification de son contrat, à condition qu’elle n’empêche pas, objectivement, sa poursuite, et donc qu’elle soit mineure.
Pour comprendre les règles qui prévalaient jusque là, lire aussi: L’employeur peut-il baisser les salaires en temps de crire?
Il s’agit, de la part du juge, de l’introduction d’une certaine souplesse dans les relations employeur-employé, qui était absolument exclue jusqu’à présent. La Cour jugeait invariablement que ce qui avait fait l’objet d’un contrat signé ne pouvait en aucun cas être modifié par une partie sans l’accord de l’autre. Elle admettait seulement que la modification refusée, si elle était nécessaire, puisse justifier un licenciement, mais avec indemnités.
Cette modification mineure, que le salarié doit désormais accepter, peut même porter sur des éléments essentiels, comme le montant de la rémunération.
Source et fin de l’article sur l’express
Passons, maintenant, à l'art et la manière dont les fonctionnaires, "experts" de l'Union Européenne nous pourrissent la vie au profit de la finance et des multinationales.
En Europe, chaque état décidera si il accepte ou non la cultures de semences OGM. En tout cas, c'est ce qu'ils nous ont dit.
Mais, ce qu'ils nous disent pas, c'est qu'avant de prendre des décisions qui semble favorable aux citoyens, ils pondent des réglementation avant pour neutraliser ces décisions.
Ces gens sont pourris, et ils se vendent et détruisent nos vies et nos santé.
(source : bastamag)
EUROPE
Pour interdire un OGM, les Etats devront demander la permission aux entreprises
Voilà plus de quatre ans qu’une nouvelle procédure pour interdire nationalement la culture d’OGM était en discussion. Le 12 juin, un « accord politique » a finalement été trouvé entre les ministres de l’Environnement des 28 États membres de l’Union européenne [1]. « Ce nouveau système garantit aux États la possibilité de choix, s’ils souhaitent cultiver ou non » s’est réjouie la ministre française Ségolène Royal au cours du Conseil.
Mais tous les gouvernements ne partagent pas cet enthousiasme. La représentante luxembourgeoise Carole Dieschbourg, émet de sérieuses réserves sur la solution retenue en raison du « rôle important laissé aux entreprises de biotechnologies » et redoute « une vague d’autorisation de cultures » dans l’UE. Olivier Belle, ministre de l’Environnement belge, s’est également abstenu sur ce compromis craignant des disséminations transfrontalières.
L’OMC en embuscade
Jusqu’à présent, les États ne pouvaient interdire les cultures transgéniques qu’en prenant sur leur territoire des clauses de sauvegarde ou des mesures d’urgence, justifiées par des impacts sur la santé ou l’environnement. Désormais, chaque État membre pourra enjoindre une entreprise qui désire commercialiser un OGM d’exclure son territoire de la demande d’autorisation.
Si l’entreprise refuse, le pays pourra invoquer des arguments éthiques ou socio-économiques, mais en aucun cas des arguments scientifiques. Or, comme lesouligne Pauline Verrière de l’association Inf’OGM, « l’Organisation mondiale du commerce ne reconnaît comme valides que les décisions basées sur des arguments scientifiques ». Il y a donc peu de chance qu’un pays utilisant cette procédure puisse maintenir l’interdiction de mise en culture sur son sol s’il se retrouve poursuivi par l’OMC.
« Droits sans précédent » pour les multinationales
Pour les organisations opposées aux OGM, cette proposition de loi accorde des « droits sans précédent » aux entreprises. « Avec cette loi, ce ne sont plus nos gouvernements qui décideront, mais les multinationales des biotechnologies », dénonce Christian Berdot des Amis de la terre France. « Les gouvernements doivent garder leur droit à interdire des OGM indésirables et dangereux, sans avoir à demander la permission aux entreprises qui gagnent de l’argent grâce à eux », renchérit Mute Schimpf des Amis de la Terre Europe.
Ce projet de loi conforte surtout la Commission européenne dans son objectif : obtenir des États membres qu’ils cessent de s’opposer aux autorisations d’OGM à la culture comme à l’importation, et malgré la défiance des Européens à l’encontre des OGM. Ce texte doit encore être soumis au Parlement européen pour une adoption définitive d’ici début 2015. « S’il aboutit, prévient Pauline Verrière, la Commission européenne aura les coudées franches pour accélérer le train des autorisations à la culture et à l’importation. » Sept OGM sont en attente d’une autorisation de culture dans l’UE, dont le maïs MON810 de Monsanto et le maïs TC1507 du groupe Pioneer.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire