(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, un point de vue sur l'Irak.
A mon avis, il n'y a pas de presse de reconquérir la province perdue et Mossoul.
La première urgence, c'est bloquer l'avancée de l'EIIL.
La deuxième, c'est la réorganisation de l'armée irakienne.
La troisième, c'est l'annonce par le gouvernement d'une large régionalisation avec administration locale et le partage équilibrée des ressources pétrolières entre l'état et les régions.
La quatrième, l'annonce d'élection régionales pour élire les députés régionaux qui composeront l'assemblée nationale.
La cinquième, après la guerre, une nouvelle élection présidentielle.
La sixième, la lutte contre la corruption et des salaires normaux pour les fonctionnaires et les militaires et surtout des salaires réguliers.
Ensuite, il n'y pas de presse à reconquérir le territoire parce l'EIIL va imposer une terreur dans les territoires sunnites au point où la population souhaitera sa libération.
L'imposition d'une charia made EIIL va révolter les sunnites irakiens.
Les meurtres de masse qui vont être perpétrés, notamment par des étrangers retournera la population contre l'EIIL. Il ne faudra pas attendre longtemps pour ce retournement, quatre mois, à mon avis, seront un maximum.
Après, la population aidera l'armée, même militairement.
Et, voilà, mes chers cinq lecteurs, j'ai réglé le problème de l'Irak en deux coups de cuillères à pot. Ne suis-je pas formidable ?
Mais, passons.
Voyons plutôt ce que fait le gouvernement des states pour promouvoir le traité transatlantique dont les américains tireront autant de souffrance que les américains puisqu'il n'ait qu'au profit des multinationales et de la finance.
(source : La Tribune)
464 mots | - L'ambassade des Etats-Unis à Berlin propose aux défenseurs d'un partenariat transatlantique qui souhaiteraient mettre en place un débat "positif" sur le sujet, de soutenir leur projet financièrement.
Alors que nous n'avons pas besoin du TAFTA, vu que la situation n'est déjà pas formidable selon deux économistes américains.
(source : Expresse.be)
Nos politiques nous soûlent de prévision de croissance et d'emploi avec le TAFTA, mais, ils mentent. La destruction d'emploi sera plus importante que la création,
Mais, l'attitude du gouvernement américain commence à poser question en Europe.
vvv
Bon, mes chers cinq lecteurs, un point de vue sur l'Irak.
A mon avis, il n'y a pas de presse de reconquérir la province perdue et Mossoul.
La première urgence, c'est bloquer l'avancée de l'EIIL.
La deuxième, c'est la réorganisation de l'armée irakienne.
La troisième, c'est l'annonce par le gouvernement d'une large régionalisation avec administration locale et le partage équilibrée des ressources pétrolières entre l'état et les régions.
La quatrième, l'annonce d'élection régionales pour élire les députés régionaux qui composeront l'assemblée nationale.
La cinquième, après la guerre, une nouvelle élection présidentielle.
La sixième, la lutte contre la corruption et des salaires normaux pour les fonctionnaires et les militaires et surtout des salaires réguliers.
Ensuite, il n'y pas de presse à reconquérir le territoire parce l'EIIL va imposer une terreur dans les territoires sunnites au point où la population souhaitera sa libération.
L'imposition d'une charia made EIIL va révolter les sunnites irakiens.
Les meurtres de masse qui vont être perpétrés, notamment par des étrangers retournera la population contre l'EIIL. Il ne faudra pas attendre longtemps pour ce retournement, quatre mois, à mon avis, seront un maximum.
Après, la population aidera l'armée, même militairement.
Et, voilà, mes chers cinq lecteurs, j'ai réglé le problème de l'Irak en deux coups de cuillères à pot. Ne suis-je pas formidable ?
Mais, passons.
Voyons plutôt ce que fait le gouvernement des states pour promouvoir le traité transatlantique dont les américains tireront autant de souffrance que les américains puisqu'il n'ait qu'au profit des multinationales et de la finance.
(source : La Tribune)
Partenariat transatlantique: quand les Etats-Unis proposent 20.000 dollars aux "pro-TTIP"
Voilà de quoi irriter un peu plus les détracteurs du projet de partenariat transatlantique pour le commerce et l'investissement (TTIP), à l'heure où l'opacité des négociations est plus que jamais montrée du doigt. Outre-Rhin, il a suffitd'un tweet pour mettre le feu aux poudres.
Il faut dire que celui-ci (en allemand) est plutôt surprenant:
Du wünschst dir eine sachliche Debatte zu#TTIP? Wir auch! Wir fördern Projekte mit bis zu $20.000 http://t.co/9TrptBmrSL
- US-Botschaft Berlin (@usbotschaft) 17 Juin 2014
De la propagande ?
L'ambassade américaine propose en effet aux partisans d'un vaste accord de libre-échange américano-européen qui seraient insatisfaits de la couverture médiatique négative dont il fait l'objet d'envoyer leurs idées et projets afin d'organiser un débat "positif" sur le sujet. "Nous vous soutiendrons !", assure l'ambassade américaine de Berlin qui promet une aide financière pouvant aller jusqu'à...20.000 dollars.
Il faut pour cela remplir un formulaire en ligne et de le retourner par voie postale, ou par mail à l'ambassade berlinoise.
De quoi faire sortir de leurs gonds les "anti-TTIP". Viralité des réseaux sociaux oblige, les internautes n'ont pas tardé à déplorer une telle démarche de la part des Américains, que certains associent à une certaine forme de propagande.
"Relever le niveau du débat"
Pour se défendre, l'ambassade américaine a expliqué que sa démarche visait à "relever le niveau" des discussions sur le sujet. Déplorant les sempiternelles et réductrices craintes de l'importation de poulet au chlore et de bœuf aux hormones, cité par Euractiv, le diplomate américain Peter Claussen explique :
"Nous cherchions des moyens pour encourager les gens à confronter différents points de vue en leur ouvrant un espace et en leur posant la question suivante: le monde entier est-il contre le projet ou existe-t-il certaines personnes qui ont un point de vue différent sur la question ? Nous voulions ouvrir le dialogue, ce qui est la raison d'être des médias".
"Ecouter la voix des opposants"
Mais cette démarche, aussi "citoyenne" soit-elle, n'a pas à être celle d'une administration publique, selon Corporate Europe Observatory (CEO). Cité par le même site, Pia Eberhardt, porte-parole du CEO, un groupe militant contre le lobby des multinationales, explique ainsi:
"Ce serait une initiative acceptable si elle venait de l'industrie. Le gouvernement américain a toutefois le devoir de négocier au nom de tous ses citoyens et non juste pour la grande industrie. Si de larges pans de la population se révèlent contre l'accord, l'attitude appropriée serait de reconsidérer [le projet] et d'écouter les voix de ses opposants".
Pour l'heure, le sixième cycles des négociations doit commencer le 14 juillet à Bruxelles, dans l'opacité la plus complète.
Alors que nous n'avons pas besoin du TAFTA, vu que la situation n'est déjà pas formidable selon deux économistes américains.
(source : Expresse.be)
Croissance molle, faible inflation et désordre politique ... La montagne de dettes européenne ne présage rien de bon
L’Europe est probablement condamnée à traverser une ère de croissance molle et de faible inflation, estime Wolfgang Münchau du Financial Times. Il est parvenu en cette conclusion en se fondant sur l'ouvrage des deux économistes américains, Atif Mian et Sufi Amir, intitulé «House of Debt: How They (and You) Caused the Great Recession, and How We Can Prevent It from Happening Again ».
Dans leur livre, ces deux auteurs exposent leur désaccord avec l’explication traditionnelle de la crise de 2008 aux Etats-Unis, à savoir une défaillance du système financier qui a conduit à la menace d’un credit crunch, et justifié le sauvetage de plusieurs banques. Ils observent que le système financier était redevenu parfaitement opérationnel dès 2009, ce qui n’a pas permis d’améliorer une croissance devenue anémique. Ils constatent par ailleurs que la consommation de biens durables tels que le mobilier ou les voitures, s’était effondrée en 2006 et 2007, bien avant l’émergence des difficultés dans le système financier. Ils soulignent que la baisse de la consommation des ménages a été le facteur initial de la récession américaine, et que lorsque l’on demandait aux PME pourquoi elles n’empruntaient pas davantage, elles citaient le manque de clients, plutôt que la frilosité des banques. Il n’y a donc pas eu de credit crunch à proprement parler, mais plutôt une chute de la demande de crédit.
Mian et Sufi concluent donc que ce sont les excès dans l’octroi de prêts hypothécaires, et du surendettement des ménages qui en a résulté, plutôt que la défaillance des banques, qui sont à l’origine de la récession. Les ménages ne peuvent recouvrer leur capacité à consommer, et donc favoriser la relance de l’économie, que lorsqu’ils se sont suffisamment désendettés, et que le fardeau de leur dette est redevenu gérable.
Une autre conclusion de l’analyse du « bilan [au sens comptable] de récession », est que des taux d’intérêt faibles ne permettront pas de ranimer la croissance, car ils ne permettront pas aux ménages et aux entreprises de se désendetter.
Richard Koo, du Nomura Research Institute, a constaté le même phénomène dans l'économie japonaise il y a vingt ans ; dans cette situation, la politique monétaire devient totalement inefficace.
Mais selon Münchau, nous ne devrions pas nous réjouir, car cette théorie du « bilan de récession » s’applique bien davantage à l’Europe qu'aux États-Unis, où la situation est encore pire, et notamment dans le secteur privé.
Au quatrième trimestre de cette année, nous devrions connaître les résultats des stress tests, qui devraient fournir pour la première fois une évaluation fiable des banques européennes. Mais ce que l’on sait déjà, c’est que l'Europe a à peine commencé à se désendetter, et une analyse de Moritz Kraemer de Standard & Poor (PDF) montre que même si l’Espagne et l’Irlande ont débuté ce processus, ce dernier devrait prendre des années. Par exemple, la dette du secteur privé portugais a atteint 226,7% du PIB du pays en 2009. A la fin de l’année 2013, elle n’était redescendue qu’à 220,4% du PIB, et d’après une simulation, il faudra attendre 2020 pour qu’elle chute à 178% du PIB.
Pire, la faible inflation que l’on constate actuellement au sein de la zone euro risque de compliquer ce processus, en augmentant la valeur réelle de la dette future, et en entravant les baisses de prix qui sont pourtant nécessaires pour accroître la compétitivité.
En outre, dès 2016, l’entrée en vigueur des nouvelles règles fiscales dans la zone euro, contraignant les pays membres à accélérer le désendettement souverain, devraient renforcer les effets du désendettement des ménages. L'ajustement post-crise devrait donc être plus difficile que celui qui s’est produit au Japon il y a une vingtaine d’années.
Münchau conclut que l'optimisme actuel sur les marchés financiers est mal inspiré. Le scénario le plus probable pour l'Europe, selon lui, est une longue période de croissance lente, une faible inflation, la hausse du risque d'insolvabilité et de graves troubles politiques et sociaux.
Dans ces circonstances, la récente législation en matière d’ordre de priorité des créanciers en cas de défaillance d’une banque prend tout son sens, souligne-t-il. « Lorsque le château de dettes s’écroulera, ce sont eux [les investisseurs], et non les contribuables, qui payeront les premiers », conclut-il."
Nos politiques nous soûlent de prévision de croissance et d'emploi avec le TAFTA, mais, ils mentent. La destruction d'emploi sera plus importante que la création,
Mais, l'attitude du gouvernement américain commence à poser question en Europe.
Un magazine allemand accuse les Etats-Unis d’intensification du terrorisme et de l’affaiblissement de l’économie mondiale
vvv
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