(blog à finir et à corriger)
Et, pour commencer, mes chers cinq lecteurs, madonald et le gouvernement américain.
(source : RTBF.be)
Bon, on continue avec mosanto. Mosanto et mac donald, la malbouffe, vous voyez le tableau.
Non ?
(source : Wikistrike)
Pendant ce temps, on continue de traquer les peuples indigènes.
(source : Survival International)
Pendant ce temps la Birmanie se transforme en une Arabie Saoudite de l'intégrisme boudhiste.
(source : radio vatican)
Et, pour continuer dans la "connerie", en Inde.
(source : le Courrier International)
A part cela, existe-t-il un lien entre pesticide et autisme ?
(source : Le Monde Planète)
vvv
Et, pour commencer, mes chers cinq lecteurs, madonald et le gouvernement américain.
(source : RTBF.be)
Quand le gouvernement US aide McDo à faire grossir les Américains
SOCIETE | lundi 23 juin 2014 à 15h52
Bon, on continue avec mosanto. Mosanto et mac donald, la malbouffe, vous voyez le tableau.
Non ?
(source : Wikistrike)
OGM: Séralini publie une nouvelle étude qui accuse encore une fois Monsanto et son Roundup
OGM: Séralini publie une nouvelle étude qui accuse encore une fois Monsanto
Le professeur français Gilles-Eric Séralini a annoncé mardi une nouvelle publication de son étude controversée sur les effets toxiques sur les rats d'un maïs OGM et de l'herbicide Roundup, cette fois-ci dans la revue Environmental Sciences Europe.
Cette étude avait été publiée à l'origine en 2012 dans une autre revue, Food and Chemical Toxicology, qui l'avait ensuite retirée, ne la jugeant pas assez probante en raison de sa méthodologie. Légèrement remanié dans sa forme, le nouvel article s'appuie toutefois sur la même étude sur les rats, qui a donné lieu à de nombreux débats scientifiques. Il pointe "la toxicité du Roundup et ses impacts sur les organes de détoxification du corps, le foie et les reins ainsi que sa capacité à perturber le système hormonal à très faible dose", a souligné l'association Criigen, dont est membre le Pr Séralini.
"Discussion rationelle"
"Des observations similaires ont été faites sur les OGM, notamment du fait des résidus de pesticides, mais aussi à cause de modifications génétiques", a ajouté le Criigen (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique). Winfried Schröder, éditeur pour la revue Environmental Sciences Europe, indique dans un communiqué souhaiter en republiant cet article, "permettre une discussion rationnelle" sur ces travaux. "Le seul objectif est de permettre la transparence scientifique et, sur cette base, une discussion qui ne cherche pas à cacher, mais bien à se concentrer sur ces controverses méthodologiques nécessaires", ajoute-t-il.
"Open source"
Cette publication se fait en "open source", ce qui fait que les données sont enaccès libre pour l'ensemble de la "communauté scientifique", "ce que l'industrie s'est toujours refusée de faire au nom du secret industriel ou de la propriété intellectuelle", souligne le Criigen. Publiées en 2012, les conclusions de l'étude du professeur Séralini sur les effets sur les rats du maïs NK603 et de l'herbicide Roundup fabriqué par Mosanto, avaient été rejetées par l'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) et l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en France.
Méthodologie
Mais elles ont nourri un débat d'une ampleur inédite sur les protocoles utilisés pour tester les OGM. Les agences sanitaires française et européenne avaient notamment recommandé que soient conduites des études sur les effets à long terme de la consommation d'OGM, quasiment inexistantes aujourd'hui. La revue Food and chemical toxicology (groupe Elsevier), qui l'avait publiée, a retiré l'article en novembre dernier en mettant en cause la méthodologie (nombre et type de rats utilisés). Le professeur Séralini avait relié cette décision de retrait à l'arrivée dans le comité éditorial de la revue de Richard Goodman, "un biologiste qui a travaillé plusieurs années chez Monsanto".
"Discussion rationelle"
"Des observations similaires ont été faites sur les OGM, notamment du fait des résidus de pesticides, mais aussi à cause de modifications génétiques", a ajouté le Criigen (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique). Winfried Schröder, éditeur pour la revue Environmental Sciences Europe, indique dans un communiqué souhaiter en republiant cet article, "permettre une discussion rationnelle" sur ces travaux. "Le seul objectif est de permettre la transparence scientifique et, sur cette base, une discussion qui ne cherche pas à cacher, mais bien à se concentrer sur ces controverses méthodologiques nécessaires", ajoute-t-il.
"Open source"
Cette publication se fait en "open source", ce qui fait que les données sont enaccès libre pour l'ensemble de la "communauté scientifique", "ce que l'industrie s'est toujours refusée de faire au nom du secret industriel ou de la propriété intellectuelle", souligne le Criigen. Publiées en 2012, les conclusions de l'étude du professeur Séralini sur les effets sur les rats du maïs NK603 et de l'herbicide Roundup fabriqué par Mosanto, avaient été rejetées par l'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) et l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) en France.
Méthodologie
Mais elles ont nourri un débat d'une ampleur inédite sur les protocoles utilisés pour tester les OGM. Les agences sanitaires française et européenne avaient notamment recommandé que soient conduites des études sur les effets à long terme de la consommation d'OGM, quasiment inexistantes aujourd'hui. La revue Food and chemical toxicology (groupe Elsevier), qui l'avait publiée, a retiré l'article en novembre dernier en mettant en cause la méthodologie (nombre et type de rats utilisés). Le professeur Séralini avait relié cette décision de retrait à l'arrivée dans le comité éditorial de la revue de Richard Goodman, "un biologiste qui a travaillé plusieurs années chez Monsanto".
Pendant ce temps, on continue de traquer les peuples indigènes.
(source : Survival International)
Des centaines de milliers de voyageurs appelés à boycotter le Botswana11 Juin 2014
© Survival International
Une campagne de publicité internationale appelant au boycott du tourisme au Botswana, lancée par Survival – le mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes – a sensibilisé des centaines de milliers de voyageurs.
Cet encart a été publié dans des magazines de voyage et de mode de vie en France, en Italie, en Autriche, en Allemagne, au Japon et au Royaume-Uni, parmi lesquels Wired, Escapism, Departures et Centurion.
Intitulée ‘Découvrez… la face cachée du Botswana’ la publicité expose les tentatives du gouvernement botswanais de chasser les derniers chasseurs bushmen de leur territoire du Kalahari central, tout en promouvant leur réserve en tant que destination touristique.
L’Organisation botswanaise du tourisme utilise des images de chasseurs bushmen afin d’attirer les touristes dans le pays, tandis que les Bushmen ont été expulsés de leur territoire et ne sont pas autorisés à chasser pour assurer leur subsistance. Ils sont harcelés, battus et arrêtés par les gardes forestiers lorsqu’ils sont surpris à chasser.
On peut lire sur cette publicité : ‘Le gouvernement utilise des images folkloriques et idylliques des Bushmen pour attirer les touristes dans la plus grande réserve animalière du pays – mais il emploie la violence, la torture et l’intimidation pour les expulser de leurs terres ancestrales… Si cette politique arbitraire se prolonge, elle conduira inévitablement à la fin des derniers chasseurs-cueilleurs d’Afrique’.
Le président du Botswana, Ian Khama, qui est membre du conseil de l’organisation américaine Conservation International est mondialement reconnu comme un ardent défenseur de l’environnement. On sait pourtant qu’une mine de diamants est exploitée dans la réserve des Bushmen et que son gouvernement a accordé des licences de fracturation hydraulique et d’exploration diamantifère.
© Botswana Tourism/www.botswanatourism.co.bw
Plus de 8 000 personnes se sont jusqu’à présent engagées à ne pas se rendre au Botswana tant que les Bushmen ne seront pas autorisés à vivre en paix sur leur territoire. Parmi elles se trouvent des célébrités telles que Gillian Anderson, Quentin Blake, Joanna Lumley, Sophie Okonedo et Mark Rylance.
Des sympathisants de Survival ont manifesté dans des salons du tourisme à New York, Londres, Berlin, Madrid, et Milan et plusieurs agences de tourisme ont rejoint notre boycott.
Jumanda Gakelebone, porte-parole bushman, s’est rendu récemment au Royaume-Uni pour demander le soutien du prince Charles. Dans une lettre qui lui a été remise, les Bushmen écrivaient : ‘Nous avons vécu aux côtés des animaux de la Réserve du Kalahari Central depuis la nuit des temps. Nous savons prendre soin d’eux et nous les chassons pour assurer notre survie, non pour nous divertir comme de nombreux touristes de votre pays le font’.
Stephen Corry, directeur de Survival International, a déclaré : ’L’industrie botswanaise de la ‘conservation’ promeut la visite de zones prétendument protégées où les Bushmen sont persécutés à outrance. Quiconque envisage de faire un safari dans le Kalahari devrait réfléchir à deux fois avant de prendre part à une activité destructrice pour les derniers chasseurs bushmen d’Afrique’."
Pendant ce temps la Birmanie se transforme en une Arabie Saoudite de l'intégrisme boudhiste.
(source : radio vatican)
En Birmanie, le projet de loi anti-conversion
(Radio Vatican) Entretien - Le parlement birman devait examiner ce vendredi le projet de loi anti-conversion. Une mesure qui suscite l’inquiétude de nombreuses ONG et membres de la société civiles dans le pays. Portée par un groupe extrémiste bouddhiste, cette loi a pour but avoué de mettre fin à l’augmentation numérique des adeptes de l’islam dans le pays, limitant les mariages interreligieux et prônant la restriction des naissances pour la population musulmane.
Les minorités birmanes s’inquiètent : en avril dernier, l’archevêque catholique de Rangoun avait dénoncé « l’interférence de l’Etat dans la conscience de chacun ». Eclairage avec Célestine Foucher, elle est coordinatrice de l’ONG Info Birmanie à Paris.
Les minorités birmanes s’inquiètent : en avril dernier, l’archevêque catholique de Rangoun avait dénoncé « l’interférence de l’Etat dans la conscience de chacun ». Eclairage avec Célestine Foucher, elle est coordinatrice de l’ONG Info Birmanie à Paris.
Et, pour continuer dans la "connerie", en Inde.
(source : le Courrier International)
INDEContre le sida, préférons la "culture indienne" au préservatif...
Le ministre indien de la Santé a critiqué publiquement le recours au préservatif, utilisé dans la lutte contre le sida.
Le ministre de la santé et médecin Harsh Vardhan à New Delhi en décembre 2013 - MANAN VATSYAYANA / AFP
Le nouveau ministre indien de la Santé, le Dr Harsh Vardhan, a donné une interview à India Ink, le blog du New York Times consacré à l'Inde. L'élu du parti national-hindouiste Bharatiya Janata Party y explique que, pour lutter contre le sida et le VIH, le gouvernement doit promouvoir les relations sexuelles entre mari et femme – l'une des "bases de la culture indienne", selon le ministre – plutôt que les préservatifs.
Selon lui, "l'accent mis uniquement sur les préservatifs dans les campagnes anti-sida envoie un mauvais message, celui que vous pouvez avoir n'importe quel type de relation sexuelle illicite, à partir du moment où vous utilisez un préservatif". L'Inde est le troisième pays du monde qui compte le plus de séropositifs, et 85 % des contaminations sont dûes à des rapports non protégés. Harsh Vardhan, médecin de profession, doit à ce titre avoir connaissance de ces chiffres.
Selon lui, "l'accent mis uniquement sur les préservatifs dans les campagnes anti-sida envoie un mauvais message, celui que vous pouvez avoir n'importe quel type de relation sexuelle illicite, à partir du moment où vous utilisez un préservatif". L'Inde est le troisième pays du monde qui compte le plus de séropositifs, et 85 % des contaminations sont dûes à des rapports non protégés. Harsh Vardhan, médecin de profession, doit à ce titre avoir connaissance de ces chiffres.
A part cela, existe-t-il un lien entre pesticide et autisme ?
(source : Le Monde Planète)
Les pesticides pourraient avoir un lien avec la survenue de l'autisme
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
Touchant un enfant sur 68 en 2014, au lieu d'un sur 150 en 2000, l'autisme a fortement augmenté ces dernières décennies aux Etats-Unis. Une progression qui serait en partie corrélée au développement des pesticides. D'après une étude de chercheurs californiens publiée lundi 23 juin, une femme enceinte qui vit près d'une ferme utilisant ces produits chimiques a un risque 66 % plus élevé de voirson enfant développer la maladie.
Les chercheurs de l'université Davis ont confronté des données sur les utilisations de pesticides en Californie aux adresses de 1 000 personnes. La loi en Californie requiert de préciser les types de pesticides pulvérisés, où, quand et dans quelles quantités. « Nous avons constaté que plusieurs types de pesticides ont été plus couramment utilisés près des habitations où les enfants ont développé le syndrome de l'autisme ou ont eu des retards » de développement, a expliqué l'un des auteurs, Irva Hertz-Picciotto, vice-présidente du département de sciences et de santé publique à l'université. Environ un tiers des participants à l'étude vivaient dans un rayon de 1,25 à 1,75 kilomètre de l'endroit où les pesticides ont été utilisés.
LE DÉVELOPPEMENT DU CERVEAU DU FŒTUS TRÈS SENSIBLE
Si l'enquête publiée dans le journal Environmental Health Perspectives n'établit pas de relation de cause à effet entre pesticide et autisme. Les chercheurs ont découvert que les risques d'autisme étaient d'autant plus élevés que le contact avec les pesticides se faisait au deuxième et au troisième trimestre de lagrossesse. Le développement du cerveau du fœtus pourrait être particulièrement sensible aux pesticides.
« Cette étude valide les résultats d'une recherche précédente qui avait constaté des liens entre le fait d'avoir un enfant autiste et l'exposition, pendant la grossesse, à des produits chimiques de l'agriculture en Californie, a précisé Janie Shelton, diplômée de l'université Davis et principale auteure de l'étude. Même si nous devons encore regarder si certains sous-groupes sont plus sensibles aux expositions de pesticides que d'autres, le message est très clair : les femmes enceintes doivent faire attention à éviter tout contact avec les produits chimiques de l'agriculture. »
vvv
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