(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, pensons un peu à notre petite santé puisque certains s'occupent à la pourrir.
En ce qui concerne l'aluminium que l'on utilise même pour faire lever la pâte du pain, il serait urgent que nous les consommateurs nous prenions en main notre destin ou plutôt notre santé en n'achetant pas, le plus possible les produits en contenant.
Parce qu'il y a danger !
(source : Bioaddict.fr)
2 - Les produits bio peuvent-ils contenir de l'aluminium ?
3 - Comment savoir quels produits contiennent de l'aluminium ?
4 - Comment éviter l'aluminium dans son assiette ?
(Piere Rabbhi, agriculteur et philosophe né en 1938, père du concept " oasis en tous lieux " qui promeut l'agroécologie en Europe et en Afrique)
L'aluminium se retrouve dans nos assiettes en tant qu'additif alimentaire . Il est utilisé pour améliorer la conservation, la texture, mais aussi la couleur des produits.
La mise sur le marché de ces produits ne peut se faire qu'avec l'aval des Autorités sanitaires qui définissent une dose journalière admissible calculée à partir d'un schéma moyen de consommation. Or, cette dose est bien souvent dépassée puisqu'il s'agit d'une moyenne. Par Ailleurs beaucoup de consommateurs ont des tendances monophagiques, c'est-à-dire qu'ils ont tendance à consommer beaucoup du même produit augmentant ainsi la dose toxique absorbée. " Et si plusieurs types d'additifs sont absorbés au cours d'un même repas certains peuvent devenir beaucoup plus actifs et toxiques par une simple association de molécules ". (Dr Laurent Chevallier.......)
Selon l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), certains consommateurs peuvent absorber 2,3 mg/kg par semaine, soit plus de 2 fois la dose tolérable par l'être humain ! Et l'EFSA souligne que cette dose est déjà dépassée dans une proportion significative de la population européenne.
Une utilisation multiple
Les produits aluminiques sont diversement utilisés notamment pour le traitement de l'eau, la fabrication d'additifs alimentaires et de colorants ou encore de produits pharmaceutiques, mais également de cosmétiques , d'ustensiles et matériaux d'emballage de produits alimentaires.
La principale voie d'exposition à l'aluminium pour la population est cependant celle de l'alimentation.
Toxicité prouvée
Dés 2003, l'InVS, l'Institut de veille sanitaire, publiait un rapport spécifiant que " de nombreuses études montrent que l'aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l'homme ".
Après absorption, l'aluminium se répartit dans les tissus chez les animaux et chez l'homme et s'accumule dans certains d'entre eux, en particulier dans les os. L'aluminium peut pénétrer dans le cerveau, ou encore atteindre le placenta et le foetus. Les composés contenant de l'aluminium peuvent affecter le système reproducteur mâle. Ils sont encore embryotoxiques, c'est-à-dire qu'ils peuvent affecter le système nerveux du foetus.
L'aluminium peut persister pendant très longtemps dans divers organes et tissus avant qu'il ne soit excrété dans l'urine.
L'aluminium présente aussi une neurotoxicité pouvant entraîner la maladie d'Alzheimer (on retrouve notamment une présence plus importante d'aluminium dans le cerveau de ces malades) ainsi que d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.
L'aluminium peut également provoquer : nausées, vomissements, manques d'appétit, gastrite, ulcère d'estomac.
Les produits concernés
Selon l'EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments), la dose hebdomadaire tolérable pour un être humain est de 1mg d'aluminium/kg par semaine.
La plupart des denrées alimentaires non transformées contiennent habituellement moins de 5 mg d'aluminium/kg.
Des taux moyens de 5 à 10 mg/kg sont souvent observés dans les produits alimentaires transformés : pains, gâteaux et pâtisseries industriels (les taux les plus élevés étant dans les biscuits), mais aussi dans certains légumes (champignons, épinards, radis, laitue, ...), les fruits glacés, les produits laitiers, les saucisses, les abats, les coquillages, les aliments riches en sucre , les préparations à cuir au four et une majorité de produits farineux et de farines.
Les denrées alimentaires à très fortes concentrations moyennes en aluminium comprennent les feuilles de thé, les herbes, le cacao et les produits à base de cacao, ainsi que les épices.
Les produits qui comportent la plus grande exposition alimentaire à l'aluminium sont les céréales et les produits à base de céréales , les légumes , les boissons et certaines préparations pour nourrissons. Pour exemple, l'exposition potentielle chez les nourrissons nourris au sein a été estimée à moins de 0,07 mg/kg par semaine alors que l'exposition peut atteindre 1,1 mg/kg par semaine pour des préparations pour bébé à base de lait ou de soja pour des produits de grande consommation.
" L'absorption d'aluminium par le régime alimentaire se fait principalement via les céréales et les produits à base de céréales (pain, gâteaux, biscuits et pâtisseries), les légumes (champignons, épinards, radis et laitues), les boissons (thé et cacao) et certaines préparations pour nourrissons. L'eau potable ne représente qu'une source mineure d'exposition. Certains médicaments et produits de consommation contenant des composés d'aluminium peuvent constituer une exposition supplémentaire. " (Dr Sue Barlow, présidente du groupe scientifique AFC - EFSA, le 5 septembre 2008 - aluminium alimentaire et santé, Nutrimarketing SA)"
Et, j'en rajoute une couche : (source : Sud Ouest)
La lettre a été envoyée le 17 octobre dernier. Elle attend toujours la
réponse de Marisol Touraine, la ministre des Affaires sociales et de la
Santé. Voilà pourquoi Didier Lambert, président de E3M, l'Association d'entraide aux malades de myofasciite à macrophages, est furieux.
Cette maladie très invalidante - elle touche environ 600 personnes -, qui se caractérise par une fatigue chronique, une faiblesse musculaire et des troubles neurocognitifs, est associée à la persistance pathologique de l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans certains vaccins.
Or l'unité Inserm de l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, qui travaille sur « vaccins et sels d'aluminium », est privée de financement (lire ci-dessous l'interview du professeur Romain Gherardi).
« Nous avons les preuves, avance Didier Lambert, que le refus de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) de financer les travaux de l'équipe du professeur Gherardi n'a aucune justification scientifique. »
« Une décision inique »
Pour étayer son propos, le président d'E3M a remis un dossier intitulé « les preuves d'une décision inique » à plusieurs personnalités politiques. Ce dossier fournit une liste de courriers : une lettre du 6 septembre 2012 du directeur de l'ANSM, assurant au professeur Romain Gherardi « Votre projet n'a pas été classé en rang favorable » ; puis l'évaluation des experts envoyée par l'ANSM le 3 octobre 2012. Le premier expert estime que c'est un « bon dossier de financement proposé » et explique : « Je considère au nom de la société civile et des patients qu'il faut aller au bout du bout pour lever les doutes. Les enquêtes INVS/Afssaps ne les ont pas levés aux yeux de ceux qui craignent. »
Le deuxième expert confirme : « Très bon dossier. Devrait être financé. » Et avance : « Projet scientifiquement important du fait de la présence de l'aluminium dans les produits de santé. » Enfin, le jury, après l'évaluation des experts, le classe « acceptable » en commentant : « Le rapport entre macrophagic myofasciitis et des adjuvants reste à démontrer. »
Didier Lambert ne manque pas d'avancer certaines incohérences : « L'avis du jury s'éloigne notablement de l'analyse des experts. L'avis synthétique transmis par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) le 6 septembre n'a rien à voir avec l'avis des experts ayant évalué le dossier de recherche. »
Le Nobel « enrage »
Si on peut donc s'étonner de l'attitude de l'ANSM (qui vient de changer de nom et de président), le manque d'engagement derrière le projet des chercheurs de l'hôpital Henri-Mondor explique aussi que l'association E3M sonne l'alerte.
Elle s'appuie sur de nombreuses déclarations dénonçant la toxicité de l'aluminium. Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a reconnu au micro de RCF le 2 mai 2012 : « Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. J'enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques. »
Le président de E3M n'est pas le seul à se préoccuper de la question. La députée européenne Michèle Rivasi (qui tiendra une conférence de presse à Paris le 12 novembre), qui, depuis l'apparition il y a dix ans du syndrome de la guerre du Golfe, s'intéresse de près à l'incidence des vaccins sur le développement de la myofasciite, va interpeller les agences et le ministère de la Santé. Elle témoigne que, depuis dix ans, les pouvoirs publics mettent sciemment des bâtons dans les roues de l'équipe du professeur Gherardi. « Ce n'est pas la première fois, remarque-t-elle, que l'État est en situation de collusion avec les intérêts des grands laboratoires pharmaceutiques et privilégie leurs intérêts économiques plutôt que l'intérêt sanitaire du pays. Un des grands fabricants de vaccins en France reste Sanofi, qui a effectivement de nombreuses questions économiques à résoudre ces temps-ci. »
Sanofi Pasteur protège chaque année dans le monde plus de 500 millions de personnes contre des maladies infectieuses. Et investit plus de 1 million d'euros par jour dans la recherche et le développement. Actuellement, 13 vaccins sont en cours de développement ou en instance d'approbation. Et Michèle Rivasi de surenchérir : « Il est temps que cette loi sur les lanceurs d'alerte soit votée. Sinon, chaque chercheur qui met en avant un problème risque de se retrouver attaqué par les lobbies en retour. »
Quant à M. Lambert, il se méfie de l'hystérie qui entoure la moindre discussion concernant la vaccination. Sa demande est claire : la suppression des sels d'aluminium, pas celle de la vaccination.
« L'Agence de sécurité du médicament se déjuge » Le professeur Gherardi supporte depuis dix ans des bâtons dans les roues de sa recherche.
« Sud Ouest ». Votre unité Inserm de l'hôpital Mondor est à la pointe de la recherche dans le domaine des sels d'aluminium injectés dans l'organisme. Or l'ANSM (1) vient de retoquer deux de vos projets de recherche, contre les attendus des experts. Comment réagissez-vous ?
Romain Gherardi. Je suis très en colère, parce que cela fait dix ans que nous travaillons sur le sujet et sans un centime. Nous avons fonctionné sur la dotation récurrente du labo, un peu d'argent pris sur d'autres projets et ce que nous a versé une association de patients, E 3M. De plus, j'ai appris que l'ANSM ne voulait pas que nous puissions concourir lors du prochain appel d'offres concernant notre recherche, parce que j'étais tellement impliqué intellectuellement que je me trouvais quasiment en position de conflit. Je trouve la ficelle un peu grosse.
Qu'est-ce qui vous paraît incompréhensible ?
L'ANSM se déjuge elle-même. Elle n'agit pas pour le retrait de l'aluminium des vaccins alors qu'elle le préconise pour la cosmétique.
Pourquoi les sels d'aluminium vous paraissent-ils si dangereux ?
C'est le deuxième métal le plus présent dans notre environnement. Or, depuis toujours, les êtres vivants, du plus petit organisme cellulaire à l'homme, ont installé un système de barrière contre l'aluminium pour l'empêcher de se disséminer dans le corps. Quand les sels d'aluminium arrivent à pénétrer dans le cerveau, ils n'en ressortent pas. Nous risquons de développer une intolérance à l'aluminium, d'autant qu'il peut s'opérer un cumul via d'autres sources que les vaccins, par exemple le dentifrice, les cosmétiques, l'eau de boisson.
Chez les personnes atteintes de myofasciite, soupçonnez-vous l'impact d'autres éléments que les sels d'aluminium ?
Nous avons tous été vaccinés. Or nous ne sommes pas tous malades. On peut donc soupçonner une sensibilité de nature génétique. D'autant que nous avons pu constater que les cellules macrophages qui se déclenchent pour capter les sels d'aluminium sont capables de se mettre en position d'immortalité tant qu'elles n'ont pas fini le travail, que les sels ne sont pas dissous. Or certains gènes seraient responsables de la déficience de la cellule à assumer son travail de nettoyage.
Il suffirait de changer les adjuvants des vaccins pour régler le problème. En dispose-t-on ?
Jusqu'en 1987, les vaccins de l'Institut Pasteur étaient adjuvantés sur du phosphate de calcium, qui ne présente pas la toxicité de l'aluminium et dont l'utilisation ne génère aucune polémique.
À quoi attribuez-vous la lenteur des décisions dans cette affaire ?
Je m'en tiens aux faits. Mais je crains qu'il s'agisse d'un problème économique et qu'on attende que les adjuvants soient prêts pour montrer que l'on résoud le problème sans remettre en cause la stratégie économique des laboratoires pharmaceutiques.
(1) L'Agence nationale de sécurité du médica
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
PS :
Par Gérard Faure-Kapper
Voici l'analyse des infractions relevées par nos experts sur les dossiers de crédits confiés par nos adhérents.
Il s'agit de crédits à la consommation, personnels, revolving, découverts, prêts immobiliers, prêts relais et crédits professionnels.
Selon les infractions, la sanction peut aller de l'annulation du crédit et/ou le remboursement de l'ensemble des intérêts.
1°) LA FORCLUSION. C'est l'annulation pure est simple du crédit. La forclusion intervient 2 ans après le dernier incident non régularisé et en l'absence de toutes poursuites judiciaires. Si le calcul est simple à faire pour les crédits amortissable, il est beaucoup plus complexe pour les revolving et les découverts.
2°) L'ABSENCE DE CONTRAT ET DE DOCUMENT. C'est très courant quand le crédit est confié à un cabinet de recouvrement. Nous demandons toujours aux organismes de nous fournir les offres, les avenants, les tableaux d'amortissement, les documents d'assurance et surtout, l'extrait de compte reprenant tous les mouvements.
3°) L'ABSENCE DE SIGNATURE. C'est très courants pour les déblocages des revolving. les ordres données par téléphone ou internet ne comptent pas pour un tribunal.
4°) LE TEG ERRONÉ. C'est la grande classique, le Paris-Roubaix des emprunts. le Taux Effectif Global doit être affiché et doit être exact. Il est le reflet de tous les frais engagés par le client pour obtenir le crédit. Or la banque a une fâcheuse tendance à ne pas en inclure certains.
5°) LES FRAIS DE PRISE D'HYPOTHÈQUE NON INCLUS. En cas de prêt immobilier notamment, la banque doit inclure tous les frais sans lesquels le prêt ne peut-être obtenu. Les frais de notaire ne sont donc pas compris, mais à l'intérieur de ceux-ci les frais de prise d’hypothèque doivent être extraits. Les banques se défendent en arguant le fait qu'ils ne sont pas connus au jour de l'offre du crédit. C'est faux, un simple appel téléphonique au notaire en lui donnant les caractéristiques du prêt et de l'achat permet de les connaître au centime près.
6°) L'ASSURANCE NON INCLUSE. Souvent l'assurance est obligatoire, quelquefois elle est facultative. Ces deux points sont à étudier.
7°) L'ASSURANCE INCENDIE NON INCLUSE. Lors de la signature, la banque exige que le bien soit assuré. Le montant de la police rentre dans le TEG.
8°) LES FRAIS D'AVERTISSEMENT DES CAUTIONS NON INCLUS. S'il y a des cautions, la loi impose à la banque qu'ils soient prévenus par courrier chaque année sur l'état de la créance. Cette lettre est facturée en général une soixantaine d'euros. Ces frais doivent être inclus, mais ne le sont presque jamais.
9°) LA LETTRE ANNUELLE DE RENOUVELLEMENT DU REVOLVING. Le client doit la recevoir chaque année, 3 mois avant la date anniversaire.
Il y a beaucoup d'autres anomalies portant sur la spécificité des prêts, les clauses abusives, etc.
D'autre part, quand le prêt est en recouvrement, que la créance a été confiée ou "vendue" à un cabinet de recouvrement, quand il y a conflit d'intérêt entre la fonction de l'huissier "officier ministériel" et le même huissier "cabinet de recouvrement", si l'on rajoute les "zones d'incompétences", le harcèlement et bien d'autres anomalies, il y a matière à réflexion.
L'APLOMB aide ses adhérents a effectuer le "contrôle technique" de leurs engagements.
Pour ce faire, vous devez lui fournir la copie de tous les éléments concernant vos crédits. Ils seront confiés à un expert pour une première analyse, puis à un avocat si vous désirez poursuivre. Seul l'avocat est habilité à vos donner des conseils juridiques spécifiques.
Bon, mes chers cinq lecteurs, pensons un peu à notre petite santé puisque certains s'occupent à la pourrir.
En ce qui concerne l'aluminium que l'on utilise même pour faire lever la pâte du pain, il serait urgent que nous les consommateurs nous prenions en main notre destin ou plutôt notre santé en n'achetant pas, le plus possible les produits en contenant.
Parce qu'il y a danger !
(source : Bioaddict.fr)
L'aluminium : un additif toxique dans nos aliments
Sommaire
1 - L'aluminium : un additif toxique dans nos aliments
2 - Les produits bio peuvent-ils contenir de l'aluminium ?
3 - Comment savoir quels produits contiennent de l'aluminium ?
4 - Comment éviter l'aluminium dans son assiette ?
Publié Le 21 Mai 2009 à 02h22
L'aluminium est un des métaux lourds les plus dangereux pour notre
santé. Il est pourtant présent dans beaucoup d'aliments. Et dans bien
d'autres produits de consommation courante.
info +
Bientôt, on ne souhaitera plus " bon appétit ", mais " bonne chance " ! (Piere Rabbhi, agriculteur et philosophe né en 1938, père du concept " oasis en tous lieux " qui promeut l'agroécologie en Europe et en Afrique)
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La mise sur le marché de ces produits ne peut se faire qu'avec l'aval des Autorités sanitaires qui définissent une dose journalière admissible calculée à partir d'un schéma moyen de consommation. Or, cette dose est bien souvent dépassée puisqu'il s'agit d'une moyenne. Par Ailleurs beaucoup de consommateurs ont des tendances monophagiques, c'est-à-dire qu'ils ont tendance à consommer beaucoup du même produit augmentant ainsi la dose toxique absorbée. " Et si plusieurs types d'additifs sont absorbés au cours d'un même repas certains peuvent devenir beaucoup plus actifs et toxiques par une simple association de molécules ". (Dr Laurent Chevallier.......)
Selon l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), certains consommateurs peuvent absorber 2,3 mg/kg par semaine, soit plus de 2 fois la dose tolérable par l'être humain ! Et l'EFSA souligne que cette dose est déjà dépassée dans une proportion significative de la population européenne.
Une utilisation multiple
Les produits aluminiques sont diversement utilisés notamment pour le traitement de l'eau, la fabrication d'additifs alimentaires et de colorants ou encore de produits pharmaceutiques, mais également de cosmétiques , d'ustensiles et matériaux d'emballage de produits alimentaires.
La principale voie d'exposition à l'aluminium pour la population est cependant celle de l'alimentation.
Toxicité prouvée
Dés 2003, l'InVS, l'Institut de veille sanitaire, publiait un rapport spécifiant que " de nombreuses études montrent que l'aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l'homme ".
Après absorption, l'aluminium se répartit dans les tissus chez les animaux et chez l'homme et s'accumule dans certains d'entre eux, en particulier dans les os. L'aluminium peut pénétrer dans le cerveau, ou encore atteindre le placenta et le foetus. Les composés contenant de l'aluminium peuvent affecter le système reproducteur mâle. Ils sont encore embryotoxiques, c'est-à-dire qu'ils peuvent affecter le système nerveux du foetus.
L'aluminium peut persister pendant très longtemps dans divers organes et tissus avant qu'il ne soit excrété dans l'urine.
L'aluminium présente aussi une neurotoxicité pouvant entraîner la maladie d'Alzheimer (on retrouve notamment une présence plus importante d'aluminium dans le cerveau de ces malades) ainsi que d'autres maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.
L'aluminium peut également provoquer : nausées, vomissements, manques d'appétit, gastrite, ulcère d'estomac.
Les produits concernés
Selon l'EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments), la dose hebdomadaire tolérable pour un être humain est de 1mg d'aluminium/kg par semaine.
La plupart des denrées alimentaires non transformées contiennent habituellement moins de 5 mg d'aluminium/kg.
Des taux moyens de 5 à 10 mg/kg sont souvent observés dans les produits alimentaires transformés : pains, gâteaux et pâtisseries industriels (les taux les plus élevés étant dans les biscuits), mais aussi dans certains légumes (champignons, épinards, radis, laitue, ...), les fruits glacés, les produits laitiers, les saucisses, les abats, les coquillages, les aliments riches en sucre , les préparations à cuir au four et une majorité de produits farineux et de farines.
Les denrées alimentaires à très fortes concentrations moyennes en aluminium comprennent les feuilles de thé, les herbes, le cacao et les produits à base de cacao, ainsi que les épices.
Les produits qui comportent la plus grande exposition alimentaire à l'aluminium sont les céréales et les produits à base de céréales , les légumes , les boissons et certaines préparations pour nourrissons. Pour exemple, l'exposition potentielle chez les nourrissons nourris au sein a été estimée à moins de 0,07 mg/kg par semaine alors que l'exposition peut atteindre 1,1 mg/kg par semaine pour des préparations pour bébé à base de lait ou de soja pour des produits de grande consommation.
" L'absorption d'aluminium par le régime alimentaire se fait principalement via les céréales et les produits à base de céréales (pain, gâteaux, biscuits et pâtisseries), les légumes (champignons, épinards, radis et laitues), les boissons (thé et cacao) et certaines préparations pour nourrissons. L'eau potable ne représente qu'une source mineure d'exposition. Certains médicaments et produits de consommation contenant des composés d'aluminium peuvent constituer une exposition supplémentaire. " (Dr Sue Barlow, présidente du groupe scientifique AFC - EFSA, le 5 septembre 2008 - aluminium alimentaire et santé, Nutrimarketing SA)"
Et, j'en rajoute une couche : (source : Sud Ouest)
Santé : trop d'aluminium dans nos vaccins ?
L'Association d'entraide aux malades de myofasciite s'alarme de l'inertie des pouvoirs publics et de l'abandon des recherches sur les dangers des sels d'aluminium.
Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. (photo arch. Guillaume Bonnaud)
Cette maladie très invalidante - elle touche environ 600 personnes -, qui se caractérise par une fatigue chronique, une faiblesse musculaire et des troubles neurocognitifs, est associée à la persistance pathologique de l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans certains vaccins.
Pathologie découverte en 1998
L'hydroxyde d'aluminium est un produit utilisé depuis 1923. Il a
remplacé comme adjuvant dans les vaccins le phosphate de calcium
(constituant naturel de l'organisme, qui crée donc moins d'effets
indésirables) au début des années 1990. L'aluminium entre dans la
composition des principaux vaccins : diphtérie, tétanos, coqueluche,
hépatite B, polio, hépatite A, méningite.
Le professeur Louis Lery, ancien chef des vaccinations à l'Institut Pasteur de Lyon, estime que si on veut déclencher une allergie chez des animaux pour une expérience médicale, il suffit de rajouter des sels d'aluminium.
Les adjuvants permettent de mieux stimuler la réponse immunitaire des patients. Le problème est qu'il reste dans les cellules et continue de stimuler le système immunitaire. L'aluminium peut entraîner la formation de granulomes (petites tumeurs), de nodules (lésions cutanées), au point d'injection dans les mois qui suivent la vaccination.
C'est en août 1998 que le professeur Romain Gherardi et son équipe annoncent dans « The Lancet » la découverte d'une nouvelle pathologie musculaire inflammatoire d'origine inconnue baptisée myofasciite à macrophages (MFM), qui touche des hommes et des femmes de tous âges. Les biopsies pratiquées sur les 25 malades diagnostiqués à l'époque révèlent la présence d'une concentration anormale de cellules immunitaires, les macrophages, dans les muscles.
La présence d'inclusions cristallines dans les macrophages mise au jour par les travaux du centre de myopathie de Bordeaux lance les chercheurs sur l'établissement d'un lien entre ces cristaux d'aluminium et la virulence de la réponse immunitaire, la réaction inflammatoire ayant été localisée dans le muscle de l'épaule.
Dans cette lettre, Didier Lambert rappelle les termes du rapport de
l'Institut national de veille sanitaire (INVS) de 2003 : « De nombreuses
études montrent à présent que l'aluminium peut être toxique pour les
plantes, les animaux et l'homme. » Et il ajoute : « L'Académie de
médecine admet maintenant (juin 2012) que les sels d'aluminium injectés
dans l'organisme atteignent le cerveau. »Le professeur Louis Lery, ancien chef des vaccinations à l'Institut Pasteur de Lyon, estime que si on veut déclencher une allergie chez des animaux pour une expérience médicale, il suffit de rajouter des sels d'aluminium.
Les adjuvants permettent de mieux stimuler la réponse immunitaire des patients. Le problème est qu'il reste dans les cellules et continue de stimuler le système immunitaire. L'aluminium peut entraîner la formation de granulomes (petites tumeurs), de nodules (lésions cutanées), au point d'injection dans les mois qui suivent la vaccination.
C'est en août 1998 que le professeur Romain Gherardi et son équipe annoncent dans « The Lancet » la découverte d'une nouvelle pathologie musculaire inflammatoire d'origine inconnue baptisée myofasciite à macrophages (MFM), qui touche des hommes et des femmes de tous âges. Les biopsies pratiquées sur les 25 malades diagnostiqués à l'époque révèlent la présence d'une concentration anormale de cellules immunitaires, les macrophages, dans les muscles.
La présence d'inclusions cristallines dans les macrophages mise au jour par les travaux du centre de myopathie de Bordeaux lance les chercheurs sur l'établissement d'un lien entre ces cristaux d'aluminium et la virulence de la réponse immunitaire, la réaction inflammatoire ayant été localisée dans le muscle de l'épaule.
Or l'unité Inserm de l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, qui travaille sur « vaccins et sels d'aluminium », est privée de financement (lire ci-dessous l'interview du professeur Romain Gherardi).
« Nous avons les preuves, avance Didier Lambert, que le refus de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) de financer les travaux de l'équipe du professeur Gherardi n'a aucune justification scientifique. »
« Une décision inique »
Pour étayer son propos, le président d'E3M a remis un dossier intitulé « les preuves d'une décision inique » à plusieurs personnalités politiques. Ce dossier fournit une liste de courriers : une lettre du 6 septembre 2012 du directeur de l'ANSM, assurant au professeur Romain Gherardi « Votre projet n'a pas été classé en rang favorable » ; puis l'évaluation des experts envoyée par l'ANSM le 3 octobre 2012. Le premier expert estime que c'est un « bon dossier de financement proposé » et explique : « Je considère au nom de la société civile et des patients qu'il faut aller au bout du bout pour lever les doutes. Les enquêtes INVS/Afssaps ne les ont pas levés aux yeux de ceux qui craignent. »
Le deuxième expert confirme : « Très bon dossier. Devrait être financé. » Et avance : « Projet scientifiquement important du fait de la présence de l'aluminium dans les produits de santé. » Enfin, le jury, après l'évaluation des experts, le classe « acceptable » en commentant : « Le rapport entre macrophagic myofasciitis et des adjuvants reste à démontrer. »
Didier Lambert ne manque pas d'avancer certaines incohérences : « L'avis du jury s'éloigne notablement de l'analyse des experts. L'avis synthétique transmis par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) le 6 septembre n'a rien à voir avec l'avis des experts ayant évalué le dossier de recherche. »
Le Nobel « enrage »
Si on peut donc s'étonner de l'attitude de l'ANSM (qui vient de changer de nom et de président), le manque d'engagement derrière le projet des chercheurs de l'hôpital Henri-Mondor explique aussi que l'association E3M sonne l'alerte.
Elle s'appuie sur de nombreuses déclarations dénonçant la toxicité de l'aluminium. Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a reconnu au micro de RCF le 2 mai 2012 : « Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. J'enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques. »
Le président de E3M n'est pas le seul à se préoccuper de la question. La députée européenne Michèle Rivasi (qui tiendra une conférence de presse à Paris le 12 novembre), qui, depuis l'apparition il y a dix ans du syndrome de la guerre du Golfe, s'intéresse de près à l'incidence des vaccins sur le développement de la myofasciite, va interpeller les agences et le ministère de la Santé. Elle témoigne que, depuis dix ans, les pouvoirs publics mettent sciemment des bâtons dans les roues de l'équipe du professeur Gherardi. « Ce n'est pas la première fois, remarque-t-elle, que l'État est en situation de collusion avec les intérêts des grands laboratoires pharmaceutiques et privilégie leurs intérêts économiques plutôt que l'intérêt sanitaire du pays. Un des grands fabricants de vaccins en France reste Sanofi, qui a effectivement de nombreuses questions économiques à résoudre ces temps-ci. »
Sanofi Pasteur protège chaque année dans le monde plus de 500 millions de personnes contre des maladies infectieuses. Et investit plus de 1 million d'euros par jour dans la recherche et le développement. Actuellement, 13 vaccins sont en cours de développement ou en instance d'approbation. Et Michèle Rivasi de surenchérir : « Il est temps que cette loi sur les lanceurs d'alerte soit votée. Sinon, chaque chercheur qui met en avant un problème risque de se retrouver attaqué par les lobbies en retour. »
Quant à M. Lambert, il se méfie de l'hystérie qui entoure la moindre discussion concernant la vaccination. Sa demande est claire : la suppression des sels d'aluminium, pas celle de la vaccination.
« L'Agence de sécurité du médicament se déjuge » Le professeur Gherardi supporte depuis dix ans des bâtons dans les roues de sa recherche.
« Sud Ouest ». Votre unité Inserm de l'hôpital Mondor est à la pointe de la recherche dans le domaine des sels d'aluminium injectés dans l'organisme. Or l'ANSM (1) vient de retoquer deux de vos projets de recherche, contre les attendus des experts. Comment réagissez-vous ?
Romain Gherardi. Je suis très en colère, parce que cela fait dix ans que nous travaillons sur le sujet et sans un centime. Nous avons fonctionné sur la dotation récurrente du labo, un peu d'argent pris sur d'autres projets et ce que nous a versé une association de patients, E 3M. De plus, j'ai appris que l'ANSM ne voulait pas que nous puissions concourir lors du prochain appel d'offres concernant notre recherche, parce que j'étais tellement impliqué intellectuellement que je me trouvais quasiment en position de conflit. Je trouve la ficelle un peu grosse.
Qu'est-ce qui vous paraît incompréhensible ?
L'ANSM se déjuge elle-même. Elle n'agit pas pour le retrait de l'aluminium des vaccins alors qu'elle le préconise pour la cosmétique.
Pourquoi les sels d'aluminium vous paraissent-ils si dangereux ?
C'est le deuxième métal le plus présent dans notre environnement. Or, depuis toujours, les êtres vivants, du plus petit organisme cellulaire à l'homme, ont installé un système de barrière contre l'aluminium pour l'empêcher de se disséminer dans le corps. Quand les sels d'aluminium arrivent à pénétrer dans le cerveau, ils n'en ressortent pas. Nous risquons de développer une intolérance à l'aluminium, d'autant qu'il peut s'opérer un cumul via d'autres sources que les vaccins, par exemple le dentifrice, les cosmétiques, l'eau de boisson.
Chez les personnes atteintes de myofasciite, soupçonnez-vous l'impact d'autres éléments que les sels d'aluminium ?
Nous avons tous été vaccinés. Or nous ne sommes pas tous malades. On peut donc soupçonner une sensibilité de nature génétique. D'autant que nous avons pu constater que les cellules macrophages qui se déclenchent pour capter les sels d'aluminium sont capables de se mettre en position d'immortalité tant qu'elles n'ont pas fini le travail, que les sels ne sont pas dissous. Or certains gènes seraient responsables de la déficience de la cellule à assumer son travail de nettoyage.
Il suffirait de changer les adjuvants des vaccins pour régler le problème. En dispose-t-on ?
Jusqu'en 1987, les vaccins de l'Institut Pasteur étaient adjuvantés sur du phosphate de calcium, qui ne présente pas la toxicité de l'aluminium et dont l'utilisation ne génère aucune polémique.
À quoi attribuez-vous la lenteur des décisions dans cette affaire ?
Je m'en tiens aux faits. Mais je crains qu'il s'agisse d'un problème économique et qu'on attende que les adjuvants soient prêts pour montrer que l'on résoud le problème sans remettre en cause la stratégie économique des laboratoires pharmaceutiques.
(1) L'Agence nationale de sécurité du médica
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.
PS :
vendredi 26 juillet 2013
Crédits: les 9 infractions qui peuvent faire annuler vos contrats
Par Gérard Faure-Kapper
Voici l'analyse des infractions relevées par nos experts sur les dossiers de crédits confiés par nos adhérents.
Il s'agit de crédits à la consommation, personnels, revolving, découverts, prêts immobiliers, prêts relais et crédits professionnels.
Selon les infractions, la sanction peut aller de l'annulation du crédit et/ou le remboursement de l'ensemble des intérêts.
1°) LA FORCLUSION. C'est l'annulation pure est simple du crédit. La forclusion intervient 2 ans après le dernier incident non régularisé et en l'absence de toutes poursuites judiciaires. Si le calcul est simple à faire pour les crédits amortissable, il est beaucoup plus complexe pour les revolving et les découverts.
2°) L'ABSENCE DE CONTRAT ET DE DOCUMENT. C'est très courant quand le crédit est confié à un cabinet de recouvrement. Nous demandons toujours aux organismes de nous fournir les offres, les avenants, les tableaux d'amortissement, les documents d'assurance et surtout, l'extrait de compte reprenant tous les mouvements.
3°) L'ABSENCE DE SIGNATURE. C'est très courants pour les déblocages des revolving. les ordres données par téléphone ou internet ne comptent pas pour un tribunal.
4°) LE TEG ERRONÉ. C'est la grande classique, le Paris-Roubaix des emprunts. le Taux Effectif Global doit être affiché et doit être exact. Il est le reflet de tous les frais engagés par le client pour obtenir le crédit. Or la banque a une fâcheuse tendance à ne pas en inclure certains.
5°) LES FRAIS DE PRISE D'HYPOTHÈQUE NON INCLUS. En cas de prêt immobilier notamment, la banque doit inclure tous les frais sans lesquels le prêt ne peut-être obtenu. Les frais de notaire ne sont donc pas compris, mais à l'intérieur de ceux-ci les frais de prise d’hypothèque doivent être extraits. Les banques se défendent en arguant le fait qu'ils ne sont pas connus au jour de l'offre du crédit. C'est faux, un simple appel téléphonique au notaire en lui donnant les caractéristiques du prêt et de l'achat permet de les connaître au centime près.
6°) L'ASSURANCE NON INCLUSE. Souvent l'assurance est obligatoire, quelquefois elle est facultative. Ces deux points sont à étudier.
7°) L'ASSURANCE INCENDIE NON INCLUSE. Lors de la signature, la banque exige que le bien soit assuré. Le montant de la police rentre dans le TEG.
8°) LES FRAIS D'AVERTISSEMENT DES CAUTIONS NON INCLUS. S'il y a des cautions, la loi impose à la banque qu'ils soient prévenus par courrier chaque année sur l'état de la créance. Cette lettre est facturée en général une soixantaine d'euros. Ces frais doivent être inclus, mais ne le sont presque jamais.
9°) LA LETTRE ANNUELLE DE RENOUVELLEMENT DU REVOLVING. Le client doit la recevoir chaque année, 3 mois avant la date anniversaire.
Il y a beaucoup d'autres anomalies portant sur la spécificité des prêts, les clauses abusives, etc.
D'autre part, quand le prêt est en recouvrement, que la créance a été confiée ou "vendue" à un cabinet de recouvrement, quand il y a conflit d'intérêt entre la fonction de l'huissier "officier ministériel" et le même huissier "cabinet de recouvrement", si l'on rajoute les "zones d'incompétences", le harcèlement et bien d'autres anomalies, il y a matière à réflexion.
L'APLOMB aide ses adhérents a effectuer le "contrôle technique" de leurs engagements.
Pour ce faire, vous devez lui fournir la copie de tous les éléments concernant vos crédits. Ils seront confiés à un expert pour une première analyse, puis à un avocat si vous désirez poursuivre. Seul l'avocat est habilité à vos donner des conseils juridiques spécifiques.
Contactez-nous au 01 57 05 86 76
ou sur aplombfrance@gmail.com
ou sur le site www.aplombfrance.fr
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