mercredi 31 juillet 2013
(blog à finir et à corriger)
Mes chers cinq lecteurs, un petit rappel sur Mosanto :
(source : Uranopole)
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Mes chers cinq lecteurs, un petit rappel sur Mosanto :
(source : Uranopole)
Mercredi 31 juillet 2013
Tout le monde connaît la société Monsanto de Saint-Louis (Missouri) pour sa mise en œuvre des fameux organismes génétiquement modifiés (OGM) et ses méthodes quasi mafieuses pour en inonder le marché agro-alimentaire. Tout le monde connaît la société Monsanto de Saint-Louis (Missouri) pour ses tentatives d’appropriation des produits de la nature, mieux connues sous l’expression brevetage du vivant.
Les installations de Monsanto à Saint-Louis (Missouri)
Tout le monde connaît aussi la société Blackwater de Moyock (Caroline du Nord) qui recrute pour les services secrets américains et l’armée américaine des mercenaires pour effectuer le « sale boulot », notamment en Irak et en Afghanistan. Blackwater a troqué son nom pour Academi ( !) de Moyock (Caroline du Nord).
Blackwater a été fondée par Erik Prince suite au génocide rwandais en 1994. Ce brave homme se disait « choqué » (on le serait à moins !) par cette tragédie et a décidé « par humanité » de fonder « Blackwater » en 1995, ayant hérité de la fortune de son père décédé l’année précédente. Prince a fait ses premières « armes » au SEAL, forces spéciales de la marine américaine.
Le très chrétien Erik Prince, fondateur de Blackwater
Le parcours politique d’Erik Prince est révélateur. D’après Wikipedia : Il est vice-président de la société philanthropique Edgar and Elsa Prince Foundation, qui a financé au moins à hauteur de 670 000 dollars le Family Research Council et 531 000 dollars Focus on the Family", une organisation de la Christian right. La fondation est également un donneur majeur du Calvin College, institution chrétienne de Grand Rapids. Prince est aussi membre du bureau de Christian Freedom International , une ONG dont la mission est d'aider les « Chrétiens persécutés en raison de leur foi ». Depuis 1998, Prince a donné personnellement plus de 200 000 dollars aux campagnes du Parti républicain. Prince est également un donateur de la conservatrice Alliance Defense Fund.
Au moins, on sait à qui on a affaire !
Pour prendre un exemple : suite à l’échec cuisant de l’intervention occidentale (où des paras belges ont participé…) en Somalie, la CIA a demandé à Blackwater de mettre sur pied une armée privée qui sert aujourd’hui à combattre, avec une efficacité toute relative et des conséquences sanglantes, les pirates qui attaquent les navires occidentaux le long de la côte somalienne. Et on peut multiplier les exactions de ce genre à tous les théâtres d’opération des services secrets américains. Balckwater – Academi est le « bras armé » destiné à faire le sale boulot imposé par la politique impérialiste américaine, pour le plus grand intérêt des firmes multinationales.
L'armée "privée" de Blackwater en Somalie
Voilà donc une étape supplémentaire. Blackwater – Academi s’est mise directement au service desdites multinationales comme la pétrolière Chevron et l’agro-alimentaire Monsanto. Aujourd’hui, cette dernière aurait carrément acheté la boîte de mercenaires. Certaines sources démentent cette information, et le site «Le Grand Soir» a publié un erratum. Cependant, la vraie question est : pour quelles raisons la multinationale Monsanto se sert des «services» de Monsanto ?
C’est ici que cela devient inquiétant. Jusqu’à présent, ces firmes ne sont pas intervenues de près ou de loin dans des opérations militaires. Alors, si Monsanto consent un pareil investissement, il doit y avoir une raison impérieuse.
Sans doute, la contestation de plus en plus forte de la culture OGM et des méthodes commerciales illicites de Monsanto devient gênante. Aussi, il importe d’user d’autres moyens de « dissuasion » pour lesquels Blackwater – Academi est tout à fait compétente.
Cela prouve que les multinationales les plus agressives ont franchi une étape supplémentaire pour asseoir leur pouvoir : celle de la violence. Cela s’appelle du crime organisé et il n’est pas excessif de considérer que le capitalisme use désormais de moyens criminels.
Voici ce que nous explique cet article paru sur le site du « Grand Soir » (traduit de l’espagnol) et qui se réfère à une enquête publiée par l’hebdomadaire new-yorkais de gauche The Nation, un des plus anciens et plus sérieux des journaux progressistes qui montre que Blackwater - Academi est au service à la fois des services secrets et des multinationales et qui ne prétend pas que la firme de mercenaires ait été rachetée par Monsanto.
C'est là l'intérêt de l'article ci-dessous que nous reproduisons du site «Le Grand Soir» avec les réserves ci-dessus
Pierre Verhas
mardi 30 juillet 2013
Monsanto achète Blackwater, la plus grande armée mercenaire du monde. ERRATUM : après vérification il faut plutôt lire le titre "Monsanto achète LES SERVICES de Blackwater..." (LGS)
Matriz del Sur
S’il manquait quelque chose à la néfaste société Monsanto, c’était une armée officielle d’assassins payés. C’est fait : Monsanto est la société « parapluie » de Resident Evil mais dans le monde réel. Elle contrôle la distribution des aliments, partage des financiers avec l’industrie pharmaceutique et fabrique des armes nucléaires et bactériologiques.
C’est ce que révèle un article de Jeremy Scahill pour le journal « The Nation » dans lequel il informe que la plus grande armée mercenaire de la planète, le « service » criminel d’intelligence Blackwater (connue sous le nom de Xe services et plus récemment sous celui d’Academi), a été vendu à la société transnationale Monsanto.
Après d’innombrables plaintes internationales pour violation de la loi, et s’étant fait connaitre par ses massacres en Irak et dans d’autres pays, Blackwater a changé de nom en 2009. Toutefois il continue d’être le plus grand sous-traitant privé du Département d’Etat des Etats-Unis en tant qu’agence secrète de « services de sécurité » qui pratique le terrorisme d’état en donnant au gouvernement la possibilité de le nier.
POURQUOI LES CONCERTS DE CASSEROLES NE SERVENT A RIEN ?
Political Blind Spot a dénoncé le fait que beaucoup d’agents de la CIA et d’ex militaires travaillent pour Blackwater ou pour des compagnies en relation qui cherchent à détourner l’attention de sa mauvaise réputation et à réaliser d’importants bénéfices commerciaux. Ces mercenaires vendent leurs services, qui vont de l’information illégale, à l’intelligence d’infiltration, le lobbysme politique et l’entrainement paramilitaire, à des gouvernements, des banques, et des sociétés multinationales. Selon Scahill, les affaires avec Monsanto, Chevron, et des géants financiers comme Barclays ou Deutsche Bank, se développent par le biais de deux entreprises (Total Intelligence solutions et Terrorism research center) dont le propriétaire est Erik Prince, qui est également propriétaire de Blackwater .
Les mercenaires de Blackwater aussi au service de Monsanto
C’est quand il était directeur de Total Intelligence Service en 2008, que Cofer Black (qui s’était fait connaitre par sa brutalité en tant que directeur de la CIA), contacta Monsanto. Monsanto s’offrit ses services pour espionner et infiltrer des organisations de droits de l’homme, des droits des animaux et des organisations ayant des activités anti transgéniques, en plus d’exercer un contrôle sur d’autres sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques.
La société Monsanto n’assassine pas seulement des personnes avec ses produits chimiques mais aussi par balles et au moyen d’ « accidents ». Ses victimes sont des journalistes, des activistes politiques, et tous ceux qui peuvent être un obstacle potentiel à ses plans d’expansion. Contacté par Scahill, le directeur de Monsanto, Kevin Wilson refusa de faire des commentaires ; toutefois, il fut confirmé plus tard à « The Nation » que Monsanto avait passé un contrat avec Total Intelligence en 2008 et 2009 mais, selon Monsanto , c’était seulement « pour faire un suivi d’information publique de ses opposants. Le directeur de Monsanto crut bon de préciser que Total Intelligence était une société « totalement séparée de Blackwater ».
Mais Scahill possède des copies de courriers électroniques de Cofer Black envoyés après la réunion avec Kevin Wilson de Monsanto, ou il explique à d’autres ex agents de la CIA, que cette réunion avait mis en évidence le fait que Total Intelligence était devenu « le bras d’intelligence de Monsanto » pour espionner les activistes et faire d’autres actions comme par exemple intégrer légalement ces groupes.
Monsanto a payé 127.000 dollars à Blackwater en 2008, et 105.000 en 2009.
Il n’est pas surprenant qu’une entreprise amplement dédiée à la science de la mort, comme Monsanto, qui dès le début s’est consacrée à produire des poisons toxiques comme l’Agent Orange, les PCB (biphényles chlorés), des pesticides, des hormones, des graines génétiquement modifiées, et même la bombe atomique, s’associe avec une organisation d’assassins et de mercenaires.
LES DEBUTS DE LA RELATION BILL GATES ET MONSANTO
Presqu’en même temps que la publication de cet article dans « The Nation », l’organisation des agriculteurs organiques Via Campesina, signala que la fondation Bill et Melinda Gates avait acheté 500.000 actions de Monsanto, au prix de plus de 23 millions de dollars faisant ainsi tomber leur masque de philanthropes. C’est encore une association de criminels qui n’a rien de surprenant.
Le "philanthrope" Bill Gates s'est mis lui aussi au service de Monsanto. Dans quel but ?
Bill Gates contrôle plus de 90% du marché des licences dans le monde de l’informatique, en plus de promotionner des campagnes de vaccination pour les laboratoires génocidaires, tout en étant responsable d’expérimentation illégale de médicaments dans des pays sous-développés ; pendant que Monsanto contrôle 90% du marché mondial des graines transgéniques et des graines commerciales au niveau mondial, et a fondé « Pharmacia » qui appartient aujourd’hui à Pfizer.
En d’autres termes, il n’existe pas de pires monopoles dans le secteur industriel, ni d’aussi immenses. L’existence même de ces sociétés implique que la terre est sous le joug d’un régime financier totalitaire qui nie le principe de « compétitivité de libre commerce ». Bill Gates aussi bien que Monsanto sont extrêmement agressifs quand il s’agit de défendre leurs monopoles mal acquis.
(...) Bill Gates et Monsanto se consacrent à détruire l’agriculture organique dans le monde entier, ce quidébuta avec la création de l « Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA) qui œuvra comme un cheval de Troie pour enlever les graines traditionnelles aux pays Africains pauvres et les remplacer par des graines transgéniques. Pour cela, la fondation engagea Robert Horsch en 2006, qui était alors directeur de Monsanto. Maintenant Gates obtient de grands bénéfices en se soumettant aux politiques de dépeuplement (...) (1).
Traduction IRISINDA pour le Grand Soir
(1) Passages supprimés par nous, car étant hors sujet et non étayés par des sources.
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(blog à finir et à corriger)
Allez, cela continue, l'Europe dont les fonctionnaires sont "TOUS" pourris jusqu'à la moelle sont prêts à nous empoisonner du moment que cela profite aux laboratoire pharmaceutique.
(source : les Moutons Enragés)
Les lobbys agissent, Bruxelles impose, la France doit se
soumettre! Cela se résume cela! La pilule Diane-35 entachée par le
scandale, considérée même comme étant une autre affaire Médiator,
devrait donc de nouveau être autorisée à la vente en France!
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Allez, cela continue, l'Europe dont les fonctionnaires sont "TOUS" pourris jusqu'à la moelle sont prêts à nous empoisonner du moment que cela profite aux laboratoire pharmaceutique.
(source : les Moutons Enragés)
Bruxelles impose à la France de remettre Diane 35 sur le marché
31 juillet, 2013 | Posté par Benji sous Médical et alimentation |
Six mois après l’éclatement du scandale lié à Diane 35, un traitement antiacné prescrit à tort comme pilule, la Commission européenne a imposé à la France, mardi 30 juillet, de remettre ce traitement sur le marché.Le scandale a donc éclaté il y a plusieurs mois, petit rappel des faits avec cet autre article du journal Le Monde:
Tenant compte des inquiétudes françaises, la Commission a toutefois décidé de restreindre les prescriptions de ce médicament et d’imposer une meilleure information sur ses contre-indications, pour minimiser le risque « connu de thrombo-embolie » (formation de caillots sanguins pouvant boucher un vaisseau irriguant les poumons).
Lire : « Le ‘scandale Diane 35′, antiacnéique détourné en pilule
DES PRÉCAUTIONS SUPPLÉMENTAIRESLa décision française de retrait, prise en janvier et entrée en vigueur le 21 mai, avait été désavouée en mai par l’organisme regroupant les agences nationales du médicament des différents Etats membres, le CMDH. Ce dernier s’était toutefois lui aussi prononcé pour des précautions supplémentaires dans l’usage du médicament, resté disponible dans tous les pays européens.Il revenait à la Commission de trancher en dernière instance, une décision que le groupe Bayer doit désormais examiner avant une reprise de la commercialisation.
Sur la base des conclusions du Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC), la Commission juge que « le rapport bénéfice/risque du médicament est favorable », mais avec une série de réserves.
Pour le traitement de l’acné, la Diane 35 ne doit ainsi être utilisée qu’« après échec d’un traitement topique ou de traitements antibiotiques systémiques ». Source et suite de l’article sur Le Monde
Les risques d’accidents thromboemboliques sont en revanche bien documentés. L’acétate de cyprotérone, progestatif de Diane 35, multiplierait le risque de thrombose veineuse par 6,68 au cours de la première année d’utilisation, selon des données danoises publiées en 2009. Un niveau de l’ordre de celui des pilules de 3e génération.Quand aux victimes de cette pilule, peut-être devraient-elles avoir droit à la parole également dans la décision de la France…
Les signaux d’alerte ont été nombreux, tant en France qu’à l’étranger. La revue Prescrire a alerté dès 1982 sur « les risques de voir ce médicament antiacnéique devenir un contraceptif largement prescrit », indiquait le Journal du dimanche, le 6 janvier. Le généraliste Dominique Dupagne, qui a créé le site Atoute.org, évoquait de son côté le sujet en 2004.
MISE EN GARDE EN 2005 AU CANADA
Au Canada, où Diane 35 a été commercialisée en 1998, les autorités sanitaires ont fait une mise en garde en 2005, pour « décourager la promotion ou l’utilisation de ce médicament comme méthode de contraception », du fait d’inquiétudes sur son innocuité.
Article complet sur Le Monde
« J’ai fait un accident vasculaire cérébral en février 2003. Je prenais Diane 35 depuis la mi-octobre. J’étais en très bonne santé. Je fumais juste trois-quatre cigarettes en soirée, mais jamais au quotidien. J’ai eu des signes avant-coureurs. Cela faisait un mois que j’avais des maux de tête et la nuque raide et un soir, en rentrant chez moi, je n’ai pas réussi à ouvrir la porte de mon appartement et je me suis effondrée. J’ai cru que j’étais fatiguée.
Une semaine après cet incident, je suis partie en vacances au Canada. Une nuit, je me suis réveillée et je ne pouvais plus me mettre debout. A l’hôpital, ils ont d’abord cru que j’étais déshydratée. Puis j’ai commencé à tenir des propos incohérents et j’ai fait deux crises d’épilepsie. Là, on m’a fait passer une IRM : j’avais un caillot et des hémorragies dans le cerveau. C’était extrêmement massif. Je suis tombée dans un semi-coma. Je me réveillais juste quelques minutes par jour. J’étais entièrement paralysée, tétraplégique. Je ne pouvais plus parler, mais mes facultés mentales n’étaient pas atteintes. Les médecins ont prévenu ma famille en France car, selon eux, mon pronostic vital était en jeu.
Crises d’épilepsie
Je n’ai pas été opérée. Le traitement médicamenteux était très compliqué car il fallait dé-coaguler le caillot sans augmenter les hémorragies. Au bout d’une semaine, j’ai pu reparler normalement mais je suis restée tétraplégique plusieurs semaines. C’est revenu très doucement. Tu bouges un bras, tu soulèves une jambe… J’ai pu remuer mon pied droit au bout de trois mois. Je suis sortie de l’hôpital fin juin. J’avais des séances de rééducation régulières que j’ai arrêtées au bout de sept ans.
J’ai dû complètement réapprendre à marcher. Je suis devenue épileptique mais je ne fais plus de crises grâce à un traitement. Aujourd’hui, je marche, en boitant un peu car je n’ai quasiment plus de sensibilité en dessous de mon genou droit. La plupart de mes mouvements ne seront plus jamais intuitifs. Mon rétablissement est inespéré. J’ai pu reprendre mes études au bout d’un an.
Le lien avec la pilule, c’était ma grosse interrogation. Des médecins m’ont dit que mon AVC était dû à la pilule, d’autres non. Mon gynécologue me l’a prescrite sans me faire de prise de sang, sans me communiquer les risques, ni m’expliquer les signes d’une embolie ou d’un AVC. Si j’avais connu ces signes, j’aurais pu me rendre à l’hôpital beaucoup plus tôt. Il faudrait qu’il y ait une meilleure information. Je voulais un contraceptif et comme j’avais un peu d’acné, elle m’a donné cette pilule. Je ne savais pas que ce n’était pas à proprement parler un contraceptif. J’ai fait des bilans hématologiques et, contrairement à Marion Larat, je n’ai rien. Quand je vois ces femmes porter plainte, j’y réfléchis. Le lien avec Diane 35 me semble aujourd’hui évident. Et j’ai vécu l’enfer. »
Article complet sur tempsreel.nouvelobs.com
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mardi 30 juillet 2013
Salut aux hommes de bonnes volontés. La volonté est là, mais, les résultats sont aux abonnés absents.
Bon, mes chers cinq lecteurs, la Syrie n'est déjà plus le lieu pour une opération militaire ou même pour l'envoi d'armement qui risque fort de se retrouver dans les mains des islamistes radicaux.
Et, dans la reconstruction, la Chine et la Russie se tailleront la part du lion.
(source : El Watan)
(source : Le Post archives)
http://www.femininbio.com/cuisine-bio/zoom-ingredients/l-amarante-sacrement-savoureuse.html
Et, toujours dans un joyeux désordre, une action du gouvernement péruvien envers sa population pauvre, du genre de celle que ne ferait pas le gouvernement américain, vu, qu'il n'aime pas les pauvres et qu'ils préfèrent les laisser crever. Du moins, c'est mon opinion.
(source : Powerclouds.com)
Et, encore et toujours dans un joyeux désordre, passons aux Chemtrails.
(source : Paradigme.com)
Un communiqué de presse émanant de l'acseipica (Association Citoyenne pour le Suivi, l'Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques) nous délivre un rapport d'analyse sur des filaments de provenance aérienne collectés en france.
Des filaments atmosphériques aéroportés, collectés au sol aux quatre coins de la France en fin d'année 2012 par de simples citoyens, ont été confiés à AnAlytikA (Centre Indépendant d'Investigations et d'Expetises en Chimie Organique, situé à Cuers, Var, France).
Le rapport analytique publié récemment par AnAlytikA apporte les preuves scientifiques de l'origine anthropique de ces filaments. Parmi les nombreux composants organiques détectés figurent plusieurs molécules connues pour entrer dans la composition des carburants et lubrifiants de réacteurs d'aviation, y compris plusieurs « phtalates » perturbateurs endocriniens.
Bernard Tailliez, Fondateur et Directeur Scientifique d'AnAlytikA, se déclare préoccupé car ses investigations révèlent l'existence d'une nouvelle forme de pollution atmosphérique, directement imputable au trafic aérien. La communauté scientifique et les autorités compétentes - maintenant alertées - doivent rapidement approfondir leur connaissance de l'origine et des conséquences, sanitaires et climatiques, de cette nouvelle forme de pollution atmosphérique, et publier leurs conclusions, puisque :
« L'obligation de subir donne le droit de savoir » (Jean Rostand).
AnAlytikA remercie l'association ACSEIPICA et les citoyennes ayant participé à la collecte des échantillons et au financement des investigations : sans un tel engagement citoyen la problématique en question n'aurait jamais éveillé l'attention des autorités.
Et, pour finir, cette action pour une agriculture contrôlée.
(source : chaos-contrôlé.com)
Et si la volatilité des cours du blé n’était pas une fatalité ? Et si pendant quelques années les agriculteurs, meuniers et boulangers pouvaient souffler ? Lassés de se faire mener à la baguette par le marché, du champ aux fourneaux, une centaine d’acteurs de la filière blé se sont unis pour reprendre la main sur les prix. Cet été, les 116 agriculteurs signataires du pacte Blé agri-éthique, mis en place par la Cavac, une coopérative agricole de l’ouest, moissonneront leur première récolte à tarifs fixes. En Vendée et en Deux-Sèvres, 4 000 hectares échapperont ainsi, pour au moins trois ans, à la toute puissance de la place de Chicago.
Source : terraeco / actuwiki
A bientôt.
René.
PS :
Bon, mes chers cinq lecteurs, la Syrie n'est déjà plus le lieu pour une opération militaire ou même pour l'envoi d'armement qui risque fort de se retrouver dans les mains des islamistes radicaux.
Et, dans la reconstruction, la Chine et la Russie se tailleront la part du lion.
(source : El Watan)
Syrie : la peur commence à changer de camp
le 30.07.13 | 10h00
Réagissez
En plus de ses nombreux déboires politiques, l’opposition à Bachar Al Assad vient de subir un nouveau revers militaire sur le terrain, ce qui rend de plus en plus irréalisable son projet de provoquer un changement de régime par la force comme cela s’est fait en Libye.
L’armée syrienne a annoncé hier la capture de Khaldiyé, un quartier
rebelle clé de Homs, troisième ville de Syrie et un des symboles de la
révolte, au terme d’une violente offensive d’un mois, un nouveau succès
militaire pour Bachar Al Assad. Il s’agit incontestablement du deuxième
succès militaire pour le régime en moins de deux mois. Le 5 juin,
l’armée avait pris Qousseir (centre-ouest), ville de la province de Homs
tenue par les rebelles pendant un an.
La chute de Khaldiyé est un revers pour les rebelles, maîtres du quartier depuis septembre 2011, soit près de deux ans. Leur recul le plus important dans cette ville datait de mars 2012 lorsque l’armée avait repris le contrôle de Baba Amr, un autre quartier symbole de la rébellion. «Effondrement de la citadelle des terroristes à Khaldiyé. On est de plus en plus victorieux», a annoncé vers midi la télévision d’Etat en montrant également des soldats brandissant leurs armes et le drapeau syrien en signe de victoire. Certains scandaient «Par notre âme, par notre sang, nous nous sacrifierons pour toi ô Bachar». L’armée «a écrasé les derniers repaires des terroristes» du quartier, a indiqué de son côté l’agence officielle Sana.
La prise de Khaldiyé, un des haut lieux de la rébellion, signifie que le régime n’a plus devant lui que quelques zones rebelles, notamment dans le vieux Homs, avant la chute totale de cette ville du centre du pays. Un officier a ainsi affirmé à la télévision publique que l’armée allait «poursuivre les terroristes dans tous les autres quartiers de Homs». Un contrôle total de Homs permettrait au régime de sécuriser la route allant de Damas vers le littoral et qui traverse Homs. L’armée a bénéficié aussi du soutien du Hezbollah libanais.
Discrédité aux yeux de l’opinion publique internationale, les rebelles – qui pourtant bénéficient depuis le début de la révolte du soutien de l’Occident et de milliers de mercenaires wahhabo-takfiristes gracieusement financés par la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite – ont, de leur côté, reproché aux pays occidentaux de ne pas leur avoir fourni d’armes pour faire face à la puissance de feu des troupes de Bachar Al Assad et réclament sans cesse les moyens qui leur permettent d’assurer une «légitime défense». Face aux succès de l’armée dans la région de Homs, les rebelles avaient néanmoins avancé au cours des récentes semaines dans le Nord, dans la province d’Alep, où ils ont pris notamment la ville de Khan Al Assal.
Mais au regard de la détermination affichée par les troupes restées fidèles à Bachar Al Assad à reconquérir les villes tombées entre les mains des takfiristes, il est peu probable que les rebelles puissent parvenir à conserver les positions acquises récemment. Surtout pas maintenant que la peur a commencé à changer de camp. D’une rare violence, les combats obligent tous les jours à l’exil des centaines de Syriens. Le conflit a déjà fait plus de 100 000 morts, selon l’ONU. Le drame c’est qu’aucune solution politique ne se profile à l’horizon.
La chute de Khaldiyé est un revers pour les rebelles, maîtres du quartier depuis septembre 2011, soit près de deux ans. Leur recul le plus important dans cette ville datait de mars 2012 lorsque l’armée avait repris le contrôle de Baba Amr, un autre quartier symbole de la rébellion. «Effondrement de la citadelle des terroristes à Khaldiyé. On est de plus en plus victorieux», a annoncé vers midi la télévision d’Etat en montrant également des soldats brandissant leurs armes et le drapeau syrien en signe de victoire. Certains scandaient «Par notre âme, par notre sang, nous nous sacrifierons pour toi ô Bachar». L’armée «a écrasé les derniers repaires des terroristes» du quartier, a indiqué de son côté l’agence officielle Sana.
La prise de Khaldiyé, un des haut lieux de la rébellion, signifie que le régime n’a plus devant lui que quelques zones rebelles, notamment dans le vieux Homs, avant la chute totale de cette ville du centre du pays. Un officier a ainsi affirmé à la télévision publique que l’armée allait «poursuivre les terroristes dans tous les autres quartiers de Homs». Un contrôle total de Homs permettrait au régime de sécuriser la route allant de Damas vers le littoral et qui traverse Homs. L’armée a bénéficié aussi du soutien du Hezbollah libanais.
Discrédité aux yeux de l’opinion publique internationale, les rebelles – qui pourtant bénéficient depuis le début de la révolte du soutien de l’Occident et de milliers de mercenaires wahhabo-takfiristes gracieusement financés par la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite – ont, de leur côté, reproché aux pays occidentaux de ne pas leur avoir fourni d’armes pour faire face à la puissance de feu des troupes de Bachar Al Assad et réclament sans cesse les moyens qui leur permettent d’assurer une «légitime défense». Face aux succès de l’armée dans la région de Homs, les rebelles avaient néanmoins avancé au cours des récentes semaines dans le Nord, dans la province d’Alep, où ils ont pris notamment la ville de Khan Al Assal.
Mais au regard de la détermination affichée par les troupes restées fidèles à Bachar Al Assad à reconquérir les villes tombées entre les mains des takfiristes, il est peu probable que les rebelles puissent parvenir à conserver les positions acquises récemment. Surtout pas maintenant que la peur a commencé à changer de camp. D’une rare violence, les combats obligent tous les jours à l’exil des centaines de Syriens. Le conflit a déjà fait plus de 100 000 morts, selon l’ONU. Le drame c’est qu’aucune solution politique ne se profile à l’horizon.
Zine Cherfaoui
A part, cela, un petit rappel concernant Mosanto. Eh, non, mes chers lecteurs, je ne lâche pas la bête ou plutôt le monstre.(source : Le Post archives)
L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto
12/06/2009 à 13h35 | - vues | - réactions
- L'amarante Pourrie la Vie des OGM et Monsanto -
Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.
Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
Mais revenons aux OGM.
La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.
Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.
Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.
L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.
Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.
Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.
Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.
Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.
Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.
Mais revenons aux OGM.
La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.
Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.
Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.
Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.
Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.
Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.
Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».
La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.
Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.
Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.
5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.
Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.
Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.
Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.
Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».
L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».
Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
A voir également :
http://www.planete-attitude.fr/profiles/blogs/mieux-que-les-faucheurs L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.
« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».
Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?
A voir également :
http://www.femininbio.com/cuisine-bio/zoom-ingredients/l-amarante-sacrement-savoureuse.html
Et, toujours dans un joyeux désordre, une action du gouvernement péruvien envers sa population pauvre, du genre de celle que ne ferait pas le gouvernement américain, vu, qu'il n'aime pas les pauvres et qu'ils préfèrent les laisser crever. Du moins, c'est mon opinion.
(source : Powerclouds.com)
Au Pérou, électricité gratuite grâce au photovoltaïque
July 26, 2013- Au Pérou, électricité gratuite grâce au photovoltaïque
Grâce
à l’approbation d’un Programme dont la finalité est l’électrification
des foyers, le gouvernement de Lima a donné le coup d’envoi, le 8
juillet dernier, à un grand projet qui prévoit l’installation d’environ
1.600 panneaux solaires en mesure de fournir de l’énergie à des familles
pauvres.
Le
programme porte une attention particulière aux pauvres qui n’ont pas la
disponibilité de l’énergie. Pour eux, en plus de la garantie d’un
fourniture privée de coûts, il a été pensé d’adopter des solutions
contribuisant à l’amélioration de leurs conditions de vie. Par
conséquent, quelles sont les meilleures solutions que la production
électrique photovoltaïque évitant l’émission de polluants dans
l’environnement, utilisant une source propre et manifestant une
efficacité de production élevée.
Un projet caritatif durable
Dans la province de Contumaza,
environ 126 communautés sont dans une pauvreté extrême mais
représentent seul une partie minime de la population dans le besoin
résidente dans le Pays. En effet, le ministre de l’Énergie, Jorge Merino,
a annoncé que grâce au programme seront installés, avant la fin 2016,
environ 12.000 structures photovoltaïques en mesure de donner de
l’énergie à plus d’un demi-million de familles, couvrant 95% du besoin
national.
Dans une première phase seront installés des solutions domestiques dans les districts pauvres de Cupisnique, San Benito, Tantarica, Chilete, Yonan, San Luis et Contai,
puis dans une phase successive seront lancés des appels d’offres pour
la construction de moyennes et grandes structures, ouverts également aux
investisseurs étrangers, jusqu’à atteindre la couverture quasi totale
de la demande énergétique nationale.
Aujourd’hui
au Pérou, seulement 66% de la population a accès à l’électricité, mais
grâce à ce programme dans lequel sera investit environ 200 millions de
dollars, il sera recherché l’amélioration des conditions de vie dans le
Pays, tel que rapporté par El Comercio. Grâce à ces mesures ce seront plus de 2 millions de citoyens qui auront bientôt accès à l’électricité.
Et, encore et toujours dans un joyeux désordre, passons aux Chemtrails.
(source : Paradigme.com)
Mercredi 24 juillet 2013
Un communiqué de presse émanant de l'acseipica (Association Citoyenne pour le Suivi, l'Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques) nous délivre un rapport d'analyse sur des filaments de provenance aérienne collectés en france.
Des filaments atmosphériques aéroportés, collectés au sol aux quatre coins de la France en fin d'année 2012 par de simples citoyens, ont été confiés à AnAlytikA (Centre Indépendant d'Investigations et d'Expetises en Chimie Organique, situé à Cuers, Var, France).
Le rapport analytique publié récemment par AnAlytikA apporte les preuves scientifiques de l'origine anthropique de ces filaments. Parmi les nombreux composants organiques détectés figurent plusieurs molécules connues pour entrer dans la composition des carburants et lubrifiants de réacteurs d'aviation, y compris plusieurs « phtalates » perturbateurs endocriniens.
Bernard Tailliez, Fondateur et Directeur Scientifique d'AnAlytikA, se déclare préoccupé car ses investigations révèlent l'existence d'une nouvelle forme de pollution atmosphérique, directement imputable au trafic aérien. La communauté scientifique et les autorités compétentes - maintenant alertées - doivent rapidement approfondir leur connaissance de l'origine et des conséquences, sanitaires et climatiques, de cette nouvelle forme de pollution atmosphérique, et publier leurs conclusions, puisque :
« L'obligation de subir donne le droit de savoir » (Jean Rostand).
AnAlytikA remercie l'association ACSEIPICA et les citoyennes ayant participé à la collecte des échantillons et au financement des investigations : sans un tel engagement citoyen la problématique en question n'aurait jamais éveillé l'attention des autorités.
Vous avez aimé cet article ?
Et, pour finir, cette action pour une agriculture contrôlée.
(source : chaos-contrôlé.com)
lundi 29 juillet 2013
En s’alliant, paysans, meuniers et boulangers défient le marché du blé
Ils changent le monde – Jusqu’ici contraints par la loi du marché, l’agriculteur enfilait souvent les habits du trader, le meunier ceux du spéculateur et le boulanger subissait le tout. Dans l’ouest, la filière s’est unie pour stopper la volatilité des prix.Et si la volatilité des cours du blé n’était pas une fatalité ? Et si pendant quelques années les agriculteurs, meuniers et boulangers pouvaient souffler ? Lassés de se faire mener à la baguette par le marché, du champ aux fourneaux, une centaine d’acteurs de la filière blé se sont unis pour reprendre la main sur les prix. Cet été, les 116 agriculteurs signataires du pacte Blé agri-éthique, mis en place par la Cavac, une coopérative agricole de l’ouest, moissonneront leur première récolte à tarifs fixes. En Vendée et en Deux-Sèvres, 4 000 hectares échapperont ainsi, pour au moins trois ans, à la toute puissance de la place de Chicago.
Diminuer le stress et préserver des emplois
« On voulait en finir avec cette impression de ne rien maîtriser », explique Ludovic Brindejonc, directeur général de Blé Agri-éthique France. Depuis dix-huit mois, ce responsable de la Cavac travaille sur la mise en place d’un système qu’il présente comme « gagnant-gagnant ». Pour lui, lutter contre la volatilité des prix revient à « diminuer le stress des agriculteurs, sécuriser l’activité de toute la filière, minoteries et boulangeries incluses, et en bout de chaîne, protéger des emplois ». Sans oublier l’environnement. « En contrepartie de cette sécurité, les agriculteurs s’engagent à mettre en place une action qui protège l’eau, l’air ou les sols », poursuit Ludovic Brindejonc. Sur quelques parcelles déjà, des épandages issus d’une unité collective de compostage ont remplacé les engrais chimiques.Des bénéfices d’image plutôt que financiers
Indépendants et responsables, oui mais à quel prix ? Avant de s’engager, agriculteurs et meuniers ont sorti leur calculette. La coopérative ne communique pas le prix auquel elle achètera le blé agri-éthique, en revanche on sait qu’elle le revendra un peu plus de 200 euros la tonne. En ce moment, le tarif en vigueur avoisine les 195 euros, les meuniers seront donc légèrement perdants. Oui mais sur la durée ? Ces cinq dernières années, Philippe Bertrand, à la tête de la minoterie vendéenne qui porte son nom, a acheté son blé tantôt 130, tantôt 270 euros. La moyenne obtenue se situant un peu au-dessus du prix proposé par Agri-éthique, le meunier a signé. Afin d’établir le prix fixe de rachat du blé aux agriculteurs, la Cavac a fait le même calcul, « le montant retenu est à peu près équivalent à la moyenne sur ces cinq dernières années », glisse Ludovic Brindejonc.Ni perte, ni profit donc. Les signataires mettent en avant d’autres motifs que les bénéfices financiers. « Ce pacte permet de donner de la visibilité aux actions de développement durable qu’on met en place depuis quatre ans », explique Olivier Chauvin, co-fondateur de l’entreprise Tradeoz, une boulangerie industrielle qui fournit la restauration. Ardent partisan du circuit court et de l’agriculture raisonnée, l’entrepreneur, premier boulanger signataire du pacte, s’est engagé à acheter sa farine et vendre ses baguettes au même prix pendant trois ans. « On paie le blé plus cher, mais ça a du sens et on le fait valoir auprès des clients. » Comme lui, la plupart des signataires de Blé agri-éthique sont déjà engagés dans une démarche RSE (Responsabilité sociétale des entreprises). « Ce pacte est plus qu’un label, c’est un nouveau système », tient à préciser Ludovic Brindejonc.« Le blé je ne le revends pas, je l’écrase, voilà mon métier »
En bouleversant son mode de fonctionnement, à travers une filière dédiée, la coopérative gagnera elle aussi en stabilité. « Quand les cours étaient élevés, j’avais pris l’habitude d’acheter du blé tous les quinze jours », confirme Philippe Bertrand. En attendant de pouvoir s’approvisionner en blé « agri-éthique », le meunier vendéen signe des dizaines de contrats par an, contre un seul il y a quelques années. « Mais je n’ai pas les moyens de faire autrement », confie-t-il. Certains mois, quand les prix flambent, le moulin de la famille Bertrand ne rapporte rien. Pourtant le patron est vigilant. Chaque jour, il scrute les fluctuations des marchés pour acheter son blé au meilleur moment.Son activité de trader s’arrête là. Contrairement à ses plus gros concurrents, le meunier refuse d’acheter du blé pour le revendre. « Le blé, je l’écrase, voilà mon métier », abrège-t-il. De toute façon, sa minoterie, qui fournit les boulangeries et pizzerias alentours, est trop petite pour boursicoter. Et le meunier refuse catégoriquement un regroupement pour s’y adonner. « Qu’on fasse ce genre d’opération sur les voitures ou les vêtements pourquoi pas, mais quand il s’agit de ce qui nous nourrit, ça ne me plaît pas », explique-t-il. Lassé de subir, impuissant, les répercussions des sécheresses américaines et des incendies russes, le meunier a rejoint la filière Blé agri-éthique sans hésiter. Pour autant, il refuse pour l’instant de s’y fournir en intégralité. « En cas de chute des cours, la concurrence baisserait ses prix et je resterais sur la touche », se justifie-t-il.Convaincre plus de céréaliers ? Pas gagné
L’emprise du marché reste également tenace chez les agriculteurs. Beaucoup conçoivent le pacte agri-éthique comme une simple assurance et aucun n’y engage plus de 20% à 30% de sa récolte. Ludovic Brindejonc s’en contente largement. « On n’ira pas au-delà », affirme l’opérateur du projet « comme ça, même les mauvaises années, les agriculteurs seront capables d’honorer leur contrat. »Afin d’atteindre l’objectif que le directeur général de Blé agri-éthique s’est fixé – passer de 30 000 à 100 000 tonnes de blé vendu à prix fixe en trois ans – il faudra donc convaincre plus de céréaliers. Et ce n’est pas gagné. Certains se sont habitués à jouer avec le marché. Didier Guillonneau, pourtant déjà converti à l’agriculture raisonnée, a préféré ne pas s’engager. « Si les prix étaient à la baisse j’aurais sans doute signé, mais comme en ce moment ils montent, je ne voyais pas l’intérêt », reconnaît le viticulteur-céréalier. « Car on a pris l’habitude de compenser les mauvais chiffres du vin avec les hausses du cours du blé », poursuit-il. Conscient de ces réticences, le directeur de Blé agri-éthique reste néanmoins confiant. Une fois la filière blé éprouvée, Ludovic Brindejonc s’imagine déjà décliner son alternative au marché à de nouvelles filières comme le lait, la viande et d’autres céréales dont les tarifs sont aujourd’hui malmenés.Source : terraeco / actuwiki
A bientôt.
René.
PS :
mardi 30 juillet 2013
80% des Américains proches de la pauvreté!!
Selon
l'AP, l'économie américaine se dirige vers un approfondissement du
fossé entre les pauvres et les riches , et une raréfication des emplois
bien rémunérés.
Selon un
sondage réalisé par l'AP, 63% des blancs américains jugent l'économie de
leur pays "faible" et prévoient une détérioration de la situation car "
il n'y a plus d'embauche, et même embauché, on ne reçoit pas de salaire
suffisant, dans ces conditions, les jeunes n'ont d'autre choix que de
trafiquer les stupéfiants, les inégalités ne touchent plus seulement les
minorités! au contraire des années 70, l'insécurité économique frappe
de plein fouet les blancs, le recours aux coupons alimentaires , aux
aides sociales sont en nette hausse. et la pauvreté est en hausse de 79%
auprès de tous les groupes ethniques ...
Source : french.irib
lundi 29 juillet 2013
(blog à finir et à corriger)
Bon, mes cinq chers lecteurs, les américains ont vraiment de sales manières de faire la guerre.
Au Vietnam, l'agent orange de Mosanto a causé des milliers de malformations infantiles et de cancers chez les combattants américains et alliés.
Et, en Irak, sans doute en Afghanistan, des déformations infantiles, dues aux munitions à l'uranium appauvri sont constatées dans les hôpitaux.
Ils s'amusent à quoi, les américains, à faire des expériences sur le genre humain ?
Il est vraiment temps que le peuple américain se réveille et s'aperçoive que cela fait depuis longtemps qu'il ne vit plus dans un pays démocratique.
Et, qu'il doive en remercier Reagan, les Bush et même Clinton.
Bon, mes cinq chers lecteurs, les américains ont vraiment de sales manières de faire la guerre.
Au Vietnam, l'agent orange de Mosanto a causé des milliers de malformations infantiles et de cancers chez les combattants américains et alliés.
Et, en Irak, sans doute en Afghanistan, des déformations infantiles, dues aux munitions à l'uranium appauvri sont constatées dans les hôpitaux.
Ils s'amusent à quoi, les américains, à faire des expériences sur le genre humain ?
Il est vraiment temps que le peuple américain se réveille et s'aperçoive que cela fait depuis longtemps qu'il ne vit plus dans un pays démocratique.
Et, qu'il doive en remercier Reagan, les Bush et même Clinton.
dimanche 28 juillet 2013
(blog à finir et à corriger)
Toujours aussi menteur ce président de notre belle France.
(source : Reporterre)
Et, en plus, il a oublié de nous parler de cela : (source : la Tribune)
Dahr Jamail d'Al Jazeera rapporte que la contamination par les armes des États-Unis, de l'uranium munitions particulièrement appauvri (UA), a conduit à une crise de proportions épiques de santé irakien. «les enfants sont nés avec deux têtes, les enfants nés avec un seul œil, les tumeurs multiples, défigurant malformations faciales et du corps, et les problèmes du système nerveux complexes", sont quelques-unes des malformations congénitales étant liées à la pollution liée à l'armée.
Dans certaines villes irakiennes, les conséquences sur la santé sont bien pires que celles observées à la suite du bombardement atomique du Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Les taux les plus élevés se trouvent dans la ville de Fallujah, qui a subi deux campagnes massives de bombardements américains en 2004. Bien que les Etats-Unis d'abord nié, fonctionnaires plus tard admis l'utilisation du phosphore blanc. En outre, les forces américaines et britanniques ont déclenché quelque 2.000 tonnes de munitions à l'uranium appauvri dans les villes irakiennes peuplées en 2003.
DU, un métal lourd toxique chimiquement produite dans les déchets nucléaires, est utilisé dans les armes en raison de sa capacité à percer l'armure. C'est pourquoi les Etats-Unis et au Royaume-Uni ont été parmi une poignée de pays (France et Israël) qui en Décembre a refusé de signer un accord international visant à limiter son utilisation, insistant DU n'est pas nocif, la science sera condamné. Pendant ce temps, le Pentagone le refus de divulguer les détails sur l'endroit où munitions à l'UA ont été licenciés il a été difficile à nettoyer.
Aujourd'hui, 14,7 pour cent des bébés de Fallujah sont nés avec une malformation congénitale, 14 fois le taux documenté à Hiroshima et Nagasaki. Les bébés de Fallujah ont également connu une malformation cardiaque 13 fois le taux européen et anomalies du système nerveux 33 fois supérieure à celle de l'Europe. Cela vient s'ajouter à une augmentation de 12 fois dans les taux de cancer d'enfance depuis 2004. En outre, le taux de naissance mâle-femelle est maintenant 86 garçons pour 100 filles, indiquant des dommages génétiques qui affecte autant les hommes plus que les femmes.
Toujours aussi menteur ce président de notre belle France.
(source : Reporterre)
Un forage de pétrole de schiste programmé le 3 août en Seine-et-Marne
Stop gaz de schiste
samedi 27 juillet 2013
Au coeur de l’été, la compagnie pétrolière Hess Oil France prévoit de forer à la recherche de pétrole de schiste en Ile-de-France. Un rassemblement d’opposants aura lieu le même jour.
Rassemblement au lieu-dit La Petite Brosse sur le territoire de la commune de Jouarre (77640).
ALERTE FORAGE PÉTROLE DE SCHISTE EN SEINE ET MARNE
Ce rassemblement aura lieu le samedi 3 août à partir de 14 heures, devant la plateforme d’exploration pétrolière érigée par l’entreprise Hess Oil.
Depuis le 14 juillet, le jour de la déclaration de François Hollande - "Tant que je suis président, il n’y aura pas d’exploration du gaz de schiste en France" - une foreuse est pourtant installée sur la plateforme de Jouarre.
Certes, à Jouarre, comme pour toutes les plateformes du bassin parisien, les pétroliers ne cherchent pas du "gaz de schiste", ils cherchent du "pétrole de schiste". Et la déclaration du Président de la République ne concerne que le gaz.
Par ailleurs, le discours officiel de Hess Oil France, prétendant ne chercher que du "pétrole conventionnel", est en contradiction avec les documents administratifs les autorisant à forer.
Ces autorisations, données en 2010, concernent uniquement la recherche de pétrole "non-conventionnel", c’est-à-dire le "pétrole de schiste".
Le démarrage du forage est imminent. Le 3 août, en venant devant la plateforme qui sera en activité ce jour là, vous pourrez dire votre opposition à cette première phase d’exploration du pétrole de schiste.
Source : Stop gaz de schiste
Photo : Collectif du pays Fertois - avec information sur le rassemblement du 3 août.
Et, en plus, il a oublié de nous parler de cela : (source : la Tribune)
La restructuration de la dette européenne n'est plus un tabou. Les ennuis commencent...
Romaric Godin | 24/07/2013, 17:50 - 867 mots
Jadis considérée comme « populiste », l'option de la restructuration de la dette des pays européens dits périphériques devient « acceptable. » Mais passer à l'acte s'annonce délicat.
Les temps changent, et avec eux les convictions. Souvenez-vous, c’était il n’y a pas si longtemps, à peine quatre mois… C’était le temps où l’austérité, la réduction rapide des dépenses publiques et la dévaluation interne étaient les « seules alternatives » à la crise que traversaient les pays d’Europe du sud. Tous ceux qui osaient sortir de ce discours étaient considérés comme « populistes » et, en tant que tels bannis de la communauté des gens sérieux.
Au temps où toute alternative était du populisme
Proposer une annulation de la dette souveraine, par exemple, ne pouvait que flatter les bas instincts des peuples en faisant payer aux malheureux créanciers les erreurs des populations. Populisme, donc. Qui se hasardait à proposer la réduction de l’austérité, ne tendait-il pas à faire croire que les Etats pouvaient encore vivre à crédit et donc à flatter les envies de dépenses publiques des électeurs ? Populisme, encore ! Tout ce que l’Europe comptait de « gens honnêtes » ne pouvait donc que rejeter ces options « faciles. » C’était le temps où le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, pouvait avec mépris dénoncer la « sottise » du débat entre austérité et croissance, puisque des finances publiques assainies sont les conditions sine qua non de la croissance.
L’échec patent de la stratégie européenne
Ce temps est désormais révolu. La stratégie européenne a montré plus que ses limites : elle a créé les conditions de la récession, elle a inquiété les marchés au lieu de les apaiser (et c’est pourquoi la BCE a dû intervenir par l’OMT puis par la fixation d’une politique de taux « durablement bas. »), elle a enfin crée un environnement politique européen très préoccupant.
Du coup, les mea culpa et les changements de pied se multiplient. Le FMI a reconnu en partie ses erreurs dans la crise grecque. La Commission européenne entend désormais promouvoir la croissance et a accordé des délais à plusieurs pays pour réduire leurs déficits. Même les éditorialistes français jadis les plus favorables à l’austérité demandent aujourd’hui que l’on réfléchisse aux deux options « populistes » ci-devant décrites.
L’austérité continue
Ces pirouettes intellectuelles peuvent être moquées, mais elles sont en réalité les bienvenues. Elles sont une condition nécessaire au changement de politique dont a besoin l’Europe. Nécessaire, mais pas suffisante. Il faudra finir par passer aux actes. Car si les discours changent, l’austérité se poursuit dans les faits au quotidien. En Grèce, sous la pression des créanciers, on a encore entamé une politique de réduction des dépenses. Au Portugal, le nouveau gouvernement s’est encore dit déterminé ce mercredi à tenir la feuille de route de la Troïka. Et la doctrine officielle concernant la dette en Europe demeure que la Grèce est un « cas particulier. »
Trancher la dette dans le vif
On peut certes espérer qu’après les élections allemandes, ce changement de doctrine deviendra un changement de stratégie. Rien n’est moins sûr, mais Angela Merkel a montré sa capacité à changer de pied si nécessaire. Or, le poids des dettes souveraines des pays dont les programmes d’aide viennent à échéance en 2014 (Irlande, Grèce, Portugal) est insoutenable, car il réduit à néant les efforts réalisés jusqu’ici.
Accorder un nouveau programme d’aide serait illusoire puisque cela ne fera qu’alourdir encore la dette. Il faudra donc trancher dans le vif et annuler une partie de cette dette. Mais attention : faire payer les seuls créanciers privés ne sera pas suffisant. On l’a bien vu dans le cas grec où l’on a fait payer – en vain – les créanciers privés par deux fois. Pour être efficace, la restructuration de la dette devra inclure les créanciers « publics » : le MES, les Etats de la zone euro, la BCE, l’UE.
Réaliser une restructuration ambitieuse
Cette option induit plusieurs conséquences : certains pays, comme l’Espagne, la Slovénie, l’Italie, la France, vont subir des pertes lourdes pour leurs propres comptes publics. Si l’on veut rendre cette restructuration efficace, il faudra qu’elle soit élargie au MES. Evidemment, la crédibilité de la dette européenne sera lourdement entachée. Mais ce sera le prix à payer pour réellement couper le nœud gordien de l’endettement public. Une plus forte intégration des politiques européennes devra alors tenter de rassurer les marchés.
Trouver le courage pour réaliser le tournant
Si les dirigeants européens, plaçant comme cela a été le cas jusqu’ici leurs intérêts nationaux et de politique intérieure avant ceux de la zone euro, refusent de bâtir une solution ambitieuse de ce type, s’ils se contentent de gérer l’urgence et de mêler une nouvelle aide du MES et une restructuration de la seule dette privée, s'ils veulent à tout prix sauver la face et "ajuster" leur stratégie au lieu de la changer, alors à terme, les pays en difficulté ne pourront à terme avoir d’autre recours que le défaut national, accompagné de l’abandon de l’euro.
Le coût n’en sera pas moindre que dans la première option pour les autres pays de la zone euro. Autrement dit, pour être efficace, ce changement de doctrine ne pourra être efficace pour l’Europe que s’il est accompagné de courage politique. Un courage dont les dirigeants européens ont singulièrement manqué jusqu’ici, au point de laisser l’essentiel du travail à la BCE. Mais cette fois, Francfort ne pourra pas les aider… "
Mais, passons parce qu'il y a plus horrible, cependant, nous devons en être conscients :
(source :
Malformations congénitales irakiens pire que Hiroshima
Les Etats-Unis peut être fini de larguer des bombes sur l'Irak, mais les corps irakiens seront face aux conséquences pour les générations à venir, sous la forme d'anomalies congénitales, les maladies mystérieuses et de flambée des taux de cancer.
Dahr Jamail d'Al Jazeera rapporte que la contamination par les armes des États-Unis, de l'uranium munitions particulièrement appauvri (UA), a conduit à une crise de proportions épiques de santé irakien. «les enfants sont nés avec deux têtes, les enfants nés avec un seul œil, les tumeurs multiples, défigurant malformations faciales et du corps, et les problèmes du système nerveux complexes", sont quelques-unes des malformations congénitales étant liées à la pollution liée à l'armée.
Dans certaines villes irakiennes, les conséquences sur la santé sont bien pires que celles observées à la suite du bombardement atomique du Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Les taux les plus élevés se trouvent dans la ville de Fallujah, qui a subi deux campagnes massives de bombardements américains en 2004. Bien que les Etats-Unis d'abord nié, fonctionnaires plus tard admis l'utilisation du phosphore blanc. En outre, les forces américaines et britanniques ont déclenché quelque 2.000 tonnes de munitions à l'uranium appauvri dans les villes irakiennes peuplées en 2003.
DU, un métal lourd toxique chimiquement produite dans les déchets nucléaires, est utilisé dans les armes en raison de sa capacité à percer l'armure. C'est pourquoi les Etats-Unis et au Royaume-Uni ont été parmi une poignée de pays (France et Israël) qui en Décembre a refusé de signer un accord international visant à limiter son utilisation, insistant DU n'est pas nocif, la science sera condamné. Pendant ce temps, le Pentagone le refus de divulguer les détails sur l'endroit où munitions à l'UA ont été licenciés il a été difficile à nettoyer.
Aujourd'hui, 14,7 pour cent des bébés de Fallujah sont nés avec une malformation congénitale, 14 fois le taux documenté à Hiroshima et Nagasaki. Les bébés de Fallujah ont également connu une malformation cardiaque 13 fois le taux européen et anomalies du système nerveux 33 fois supérieure à celle de l'Europe. Cela vient s'ajouter à une augmentation de 12 fois dans les taux de cancer d'enfance depuis 2004. En outre, le taux de naissance mâle-femelle est maintenant 86 garçons pour 100 filles, indiquant des dommages génétiques qui affecte autant les hommes plus que les femmes.
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