Salut à tous ceux qui sont persuadés que Mosanto empoisonne volontairement la planète. Un jour, la vérité sortira et des gens comme Bill Gates se retrouveront devant un tribunal pour crime contre l'humanité.
Pas d'hirondelles, une de temps à autre, mais,a disparu ces ballets qu'elles nous offraient dans le ciel autrefois par dizaines. Aujourd'hui, 31 mai, le ciel est sombre, pluvieux.
Les giboulées de mars tombent en mai et le joli mois de mai a disparu des écrans radars. Dans nos régions, les légumes pourrissent dans un sol gorgé d'eau.
Le changement climatique nous a rattrapé.
Ne reste plus, pour parfaire le tableau, que les compagnies pétrolières forent pour le gaz de schiste, finissant d'empoisonner l'eau que nos agriculteurs ont déjà bien pollué, ainsi,le tableau sera achevé.
Dans une France où la santé ne sera plus que le parent pauvre d'une république égalitaire et solidaire. Dans, cette France, les citoyens ne seront plus égaux en terme de santé.
Tout cela pour une croissance qui ne signifie plus rien et de la faute de responsables politiques incapables de penser en dehors des schémas ingurgités dans les écoles de cadres.
Alors,où irais-je ?
Au Bouthan, là haut dans l'Himalaya qui utilise le BNB, le bonheur national brut, pour mesure le niveau de vie de ses habitants et a interdit l'utilisation d'intrants chimiques en agriculture ?
Dommage pour moi, je n'aime pas la neige et le froid.
Devrais-je aller sur une autre planète ?
Encore faudrait-il que j'en trouve la porte.
Alors, que me reste-t-il ?
Je crois qu'il me faille faire confiance finalement au réveil citoyen, de tous ces citoyens à qui la démocratie a été volée.
Aux libres citoyens des Amériques !
Aux libres citoyens européens !
Et, oui, c'est tout ce qu'il nous reste, la confiance en notre capacité de faire bouger les lignes.
Mais, passons.
A part cela, que cherche la Commission Européenne en suivant la politique prédatrice de Mosanto aux Etats-Unis ?
Et, question, combien Mosanto paie ses membres ?
(source : Nature to share)
Et, toujours pour parler de Mosanto, cet article de la Dépêche du Midi :
Le Roundup, premier désherbant vendu au monde commercialisé
par le géant américain Monsanto, programmerait la mort des cellules
humaines. C'est un universitaire français de Caen, Gilles-Eric Seralini,
qui vient d'en faire la démonstration. « Nous avons travaillé sur des
cellules de nouveau nés avec des doses de produits 100 000 fois
inférieures à celles avec lesquelles le jardinier lambda est en contact.
Les Roundup programment la mort des cellules en quelques heures », a
déclaré à l'AFP le professeur de biologie moléculaire auteur d'une étude
financée par la Fondation de France et mise en ligne, fin décembre, par
la revue Chemical Research in toxicology. Depuis, elle fait grand
bruit.
D'une part, l'industriel Monsanto dément la thèse avancée sur la dangerosité du Roundup sur la santé humaine même à dose infinitésimale. Pour l'heure, sa filiale française, Monsanto France (basée à Bron dans le Rhône), soupçonne que les travaux de Gilles-Eric Seralini, aussi chercheur du Comité de recherche et d'information indépendante sur le génie génétique, n'ont qu'une vocation, celle de « dénigrer un produit
[…] qui a fait la preuve de sa sécurité sanitaire depuis 35 ans dans le monde ». « Roundup n'a pas été conçu pour autre chose que désherber. Les travaux régulièrement effectués par M. Seralini constituent un détournement systématique de l'usage normal du produit », a déclaré Monsanto France. La Dépêche du Mid
Et, cela sera tout pour aujourd'hui......peut-être.
Encore que..........
(source : Médiapart)
Par le correspondant de RTSinfo à Manille, Adrien Demun"
Cliquer ici pour écouter l'émission ! (site rts.ch)
Bien le bonjour chez vous.
René.
Pas d'hirondelles, une de temps à autre, mais,a disparu ces ballets qu'elles nous offraient dans le ciel autrefois par dizaines. Aujourd'hui, 31 mai, le ciel est sombre, pluvieux.
Les giboulées de mars tombent en mai et le joli mois de mai a disparu des écrans radars. Dans nos régions, les légumes pourrissent dans un sol gorgé d'eau.
Le changement climatique nous a rattrapé.
Ne reste plus, pour parfaire le tableau, que les compagnies pétrolières forent pour le gaz de schiste, finissant d'empoisonner l'eau que nos agriculteurs ont déjà bien pollué, ainsi,le tableau sera achevé.
Dans une France où la santé ne sera plus que le parent pauvre d'une république égalitaire et solidaire. Dans, cette France, les citoyens ne seront plus égaux en terme de santé.
Tout cela pour une croissance qui ne signifie plus rien et de la faute de responsables politiques incapables de penser en dehors des schémas ingurgités dans les écoles de cadres.
Alors,où irais-je ?
Au Bouthan, là haut dans l'Himalaya qui utilise le BNB, le bonheur national brut, pour mesure le niveau de vie de ses habitants et a interdit l'utilisation d'intrants chimiques en agriculture ?
Dommage pour moi, je n'aime pas la neige et le froid.
Devrais-je aller sur une autre planète ?
Encore faudrait-il que j'en trouve la porte.
Alors, que me reste-t-il ?
Je crois qu'il me faille faire confiance finalement au réveil citoyen, de tous ces citoyens à qui la démocratie a été volée.
Aux libres citoyens des Amériques !
Aux libres citoyens européens !
Et, oui, c'est tout ce qu'il nous reste, la confiance en notre capacité de faire bouger les lignes.
Mais, passons.
A part cela, que cherche la Commission Européenne en suivant la politique prédatrice de Mosanto aux Etats-Unis ?
Et, question, combien Mosanto paie ses membres ?
(source : Nature to share)
Une
nouvelle loi proposée par la Commission européenne souhaite
l'illégalité de la pousse, la reproduction ou la vente des semences de
végétaux qui n’ont pas été testées et approuvées par une nouvelle
autorité (l’Agence européenne des variétés végétales). En criminalisant
la culture privée de légumes, la Commission européenne remettrait le
contrôle de l’approvisionnement alimentaire à des sociétés comme
Monsanto.
"Nous voulons rester libres de manger ce que nous voulons et ce que nous cultivons et libres de cultiver les variétés anciennes." Ces mots sont ceux de Damien, l'un de nos internautes qui nous avait écrit via notre page Alerte-nous pour rappeler qu'une marche pacifique mondiale se déroulait ce samedi 25 mai contre Monsanto. En Belgique, la mobilisation a eu lieu à 16h à Bruxelles (quelque 1.000 personnes se sont réunies place de la Bourse) et à 14h à Anvers (80 personnes ont été arrêtées). Monsanto est un géant américain producteur de semences génétiquement modifiées.
Pour les militants d'aujourd'hui, il s'agit principalement de dénoncer une nouvelle loi proposée par la Commission européenne qui veut rendre illégal le fait de faire pousser, de reproduire ou de vendre des semences de végétaux qui n’ont pas été testées, approuvées et acceptées par une nouvelle autorité (l’Agence européenne des variétés végétales). Les jardiniers qui cultivent leurs propres plantes à partir de graines non réglementées pourraient-ils un jour être considérés comme des criminels en vertu de cette loi ? La Commission assure que non.
"L’utilisation de semences dans les jardins privés n’est pas régie par la législation de l’UE et les jardiniers amateurs pourront continuer à acheter tout type de matériel végétal et à vendre leurs semences en petites quantités. En outre, il sera précisé que tout non-professionnel (jardinier amateur, par exemple) peut procéder à des échanges de semences avec d’autres particuliers sans être concerné par les dispositions du règlement proposé", précise la Commission dans un communiqué expliquant sa proposition de loi.
Les OGM progressent aux Etats-Unis
Mais les petits acteurs du secteur restent méfiants. Ils s'insurgent contre des propositions qui favoriseraient les poids lourds de l'industrie semencière (Monsanto, Pionner, Sygenta et Dupont). Ils en veulent pour preuve les Etats-Unis où les anti-OGM dénoncent le Monsanto Protection Act: un amendement glissé dans une loi budgétaire pour l'agriculture qui indique que la justice américaine ne pourra plus s'opposer aux mises en culture de plantes génétiquement modifiées, même si leur homologation est contestée devant un tribunal.
Indignation
Les eurodéputés verts voient d'un mauvais oeil la proposition de la Commission jugée "contreproductive et dangereuse": "La biodiversité est en danger. Les multinationales ont focalisé leurs efforts sur la création de plantes à haut rendement, mais qui sont fragiles. Elles ne peuvent subsister que dans un environnement artificialisé dépendant des engrais chimiques et des pesticides, donc du pétrole", affirme José Bové.
Un avis partagé par notre internaute Damien: "Monsanto cherche à privatiser comme d'autres multinationales les semences, ce qui mettrait en péril notre indépendance, notre souveraineté et notre sécurité alimentaire en tant que consommateur et producteur. On pourrait croire que cela touche seulement les agriculteurs, mais pas du tout. Ces multinationales font pression dans les plus hautes sphères politiques de l'Europe à tel point que les petits jardiniers belges pourraient se trouver dans l'illégalité de semer leur propre variété récoltée d'année en année."
Talbi Taoufik
"Nous voulons rester libres de manger ce que nous voulons et ce que nous cultivons et libres de cultiver les variétés anciennes." Ces mots sont ceux de Damien, l'un de nos internautes qui nous avait écrit via notre page Alerte-nous pour rappeler qu'une marche pacifique mondiale se déroulait ce samedi 25 mai contre Monsanto. En Belgique, la mobilisation a eu lieu à 16h à Bruxelles (quelque 1.000 personnes se sont réunies place de la Bourse) et à 14h à Anvers (80 personnes ont été arrêtées). Monsanto est un géant américain producteur de semences génétiquement modifiées.
Pour les militants d'aujourd'hui, il s'agit principalement de dénoncer une nouvelle loi proposée par la Commission européenne qui veut rendre illégal le fait de faire pousser, de reproduire ou de vendre des semences de végétaux qui n’ont pas été testées, approuvées et acceptées par une nouvelle autorité (l’Agence européenne des variétés végétales). Les jardiniers qui cultivent leurs propres plantes à partir de graines non réglementées pourraient-ils un jour être considérés comme des criminels en vertu de cette loi ? La Commission assure que non.
"L’utilisation de semences dans les jardins privés n’est pas régie par la législation de l’UE et les jardiniers amateurs pourront continuer à acheter tout type de matériel végétal et à vendre leurs semences en petites quantités. En outre, il sera précisé que tout non-professionnel (jardinier amateur, par exemple) peut procéder à des échanges de semences avec d’autres particuliers sans être concerné par les dispositions du règlement proposé", précise la Commission dans un communiqué expliquant sa proposition de loi.
Les OGM progressent aux Etats-Unis
Mais les petits acteurs du secteur restent méfiants. Ils s'insurgent contre des propositions qui favoriseraient les poids lourds de l'industrie semencière (Monsanto, Pionner, Sygenta et Dupont). Ils en veulent pour preuve les Etats-Unis où les anti-OGM dénoncent le Monsanto Protection Act: un amendement glissé dans une loi budgétaire pour l'agriculture qui indique que la justice américaine ne pourra plus s'opposer aux mises en culture de plantes génétiquement modifiées, même si leur homologation est contestée devant un tribunal.
Indignation
Les eurodéputés verts voient d'un mauvais oeil la proposition de la Commission jugée "contreproductive et dangereuse": "La biodiversité est en danger. Les multinationales ont focalisé leurs efforts sur la création de plantes à haut rendement, mais qui sont fragiles. Elles ne peuvent subsister que dans un environnement artificialisé dépendant des engrais chimiques et des pesticides, donc du pétrole", affirme José Bové.
Un avis partagé par notre internaute Damien: "Monsanto cherche à privatiser comme d'autres multinationales les semences, ce qui mettrait en péril notre indépendance, notre souveraineté et notre sécurité alimentaire en tant que consommateur et producteur. On pourrait croire que cela touche seulement les agriculteurs, mais pas du tout. Ces multinationales font pression dans les plus hautes sphères politiques de l'Europe à tel point que les petits jardiniers belges pourraient se trouver dans l'illégalité de semer leur propre variété récoltée d'année en année."
Talbi Taoufik
Et, toujours pour parler de Mosanto, cet article de la Dépêche du Midi :
Le désherbant Roundup serait un poison pour les cellules humaines
Publié le 08/01/2009 à 11:01 | 6
Agriculture. Une étude accuse.
Le désherbant mis en accusation. Photo D. R. DDM
D'une part, l'industriel Monsanto dément la thèse avancée sur la dangerosité du Roundup sur la santé humaine même à dose infinitésimale. Pour l'heure, sa filiale française, Monsanto France (basée à Bron dans le Rhône), soupçonne que les travaux de Gilles-Eric Seralini, aussi chercheur du Comité de recherche et d'information indépendante sur le génie génétique, n'ont qu'une vocation, celle de « dénigrer un produit
[…] qui a fait la preuve de sa sécurité sanitaire depuis 35 ans dans le monde ». « Roundup n'a pas été conçu pour autre chose que désherber. Les travaux régulièrement effectués par M. Seralini constituent un détournement systématique de l'usage normal du produit », a déclaré Monsanto France. La Dépêche du Mid
Et, cela sera tout pour aujourd'hui......peut-être.
Encore que..........
(source : Médiapart)
Monsanto essuie un revers aux Philippines
30 mai 2013
Par Corinne N
"Le leader des cultures OGM Monsanto
encaisse un nouveau coup dur. La Cour d’Appel des Philippines a ordonné
l’arrêt des essais menés par une filiale de la Compagnie américaine sur
la culture d’aubergines génétiquement modifiées et a ordonné la
réhabilitation des espaces exploités. Cette décision est très importante
car les Philippines constituent pour les entreprises étrangères un des
plus gros laboratoires d’OGM au monde. Par le correspondant de RTSinfo à Manille, Adrien Demun"
Cliquer ici pour écouter l'émission ! (site rts.ch)
Bien le bonjour chez vous.
René.
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