Aujourd'hui, juste cet article, vu qu'il avait disparu de ma page facebook et que j'ai mis un certain temps à le retrouver concernant l'OGM et le Round Up de Mosanto et l'avis de l'académie des sciences françaises condamnant l'étude du professeur Seralini à ce sujet.
C'est bien la raison pour laquelle, je disais que les scientifiques affidés de l'agro-alimentaire dont Mosanto vont se découvrir. Il suffira simplement après de trouver les liens qui les tiennent.
A mon avis, ils méritent la prison !
(source ; le Nouvel Observateur)
Des épis de maïs OGM Monsanto (F. DURAND/SIPA)
A bientôt, et n'oubliez pas, à la fin de la chaîne comme consommateurs, c'est vous qui décidez !
Question quand même : "Mais, que fait le gouvernement dont les membres mangent bio. Sans doute préfère-t-il nous laisser nous empoisonner au nom du "PROFIT !é
René.
C'est bien la raison pour laquelle, je disais que les scientifiques affidés de l'agro-alimentaire dont Mosanto vont se découvrir. Il suffira simplement après de trouver les liens qui les tiennent.
A mon avis, ils méritent la prison !
(source ; le Nouvel Observateur)
OGM : le comité de l'ombre de l'Académie des sciences
Créé le 24-10-2012 à 19h14 - Mis à jour le 25-10-2012 à 11h06
INFO OBS. L'anonymat du communiqué condamnant l'étude Séralini a choqué. Il n'est levé qu'en partie...
Mots-clés : planète, Académie, OGM
Le communiqué des "six académies" condamnant vendredi dernier en termes très violents les travaux de Gilles-Eric Séralini sur l'OGM NK603avait choqué de nombreux académiciens qui s'étaient étonnés de l'anonymat des signataires. D'autant que selon nos informations, ils n'étaient guère alors que… deux membres à s'être érigés porte-parole des "six académies". La "puissance statistique" de la représentation serait donc pour le moins discutable.
Un comité de l'ombre qui a en outre soigneusement écarté les académiciens ayant une autre analyse. A commencer par le seul spécialiste des statistiques, Paul Deheuvels, qui avait publiquement soutenu le travail de Gilles Eric Séralini dans une tribune adressée au "Nouvel Observateur".
Mercredi, en début d'après midi, un courriel, en provenance de la présidence et signé "le bureau de l'Académie" justifiait ainsi "la procédure rapide" "toujours utilisée""depuis une dizaine d'années".
Le courriel reconnaissait cependant "être conscient de l'intérêt qu'il y aura à affiner les modalités de réactivité rapide de notre Académie en cas de besoin".
"Fait accompli"
Cinq académiciens du "groupe de travail" "consultés" avant "l'avis des six Académies" sont donc cités : Jean-François Bach, de l’Académie de pharmacie, l'épidémiologiste Alain-Jacques Valleron, le cancérologue Hugues de The, le généticien Georges Pelletier membre de l'AFBV (Association française des biotechnologies végétales) et Bernard Meunier, délégué à la communication de l'Académie des sciences.
"Il faut rajouter la quinzaine de membres de notre Académie consultés", est-il noté sans autres précisions. 15 nouveaux anonymes.
Réaction d'un académicien choqué par le procédé "honteux" consistant à mettre ses collègues devant "le fait accompli" : "Cela montre bien que ce dossier touche tellement d'intérêts qu'il ne peut faire l'objet d'un véritable traitement objectif, venant de la part de personnes qui sont à la fois juge et partie (l'Inra, l'Anses, le HCB et l'Académie)".
Il est exact que Georges Pelletier, directeur de recherche émérite à l'Institut national de la recherche agronomique (Inra), a siégé par le passé à la CGB (Commission du génie biomoléculaire) et avait alors validé l’autorisation de mise sur le marché du Maïs NK603 étudié et mis en cause par Gilles-Eric Seralini.
On remarquera enfin que Catherine Brechignac, secrétaire perpétuelle de l’Académie des Sciences n’est pas signataire du texte. Elle fut pourtant présidente du Haut conseil des biotechnologies d’avril 2009 à décembre 2010.
Guillaume Malaurie
A bientôt, et n'oubliez pas, à la fin de la chaîne comme consommateurs, c'est vous qui décidez !
Question quand même : "Mais, que fait le gouvernement dont les membres mangent bio. Sans doute préfère-t-il nous laisser nous empoisonner au nom du "PROFIT !é
René.
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