Salut aux oiseaux migrateurs. Au moins, vous, vous pouvez changer d'air.
Tiens, donc, mes chers cinq lecteurs, la crise continue benoîtement son chemin. Et, personne ne nous dit rien. Foutre Dieu !
De toute façon, c'est à n'y rien comprendre. Leur Europe impose aux Etats une rigueur à 3% alors qu'elle vient d'en accorder 4% au Portugal.
Selon, certains, aucun état ne tiendra un déficit public de l'ordre de 3% et que c'est du déclaratif plus politique qu'économique.
Mais, les experts continuent à jouer la peur. En tout cas, espérons qu'ils ne jouent que sur la peur et qu'une autre réalité ne se dessine pas.
De toute façon, il n'est plus que temps de brider les banques avant qu'elles ne nous coulent tous.
A moins que Goldman Sachs cherche à nous faire peur. Parce que lorsque on a fait partie de cette banque, les liens demeurent.
(source : Le Journal du Siècle)
Plus possible de retirer votre argent des banques d’ici peu, selon un ancien de Goldman Sachs
Jean-Michel Steg a été formé à l’université de Harvard aux USA avant d’intégrer l’IEP (Institut des Études Politiques) Sciences Po à Paris. Ancien directeur général dans les banques Citigroup, Goldman Sachs et Lazard Freres, il est actuellement chez Blackstone.
Alors qu’il débat sur la faillite du système de retraites complémentaires avec Nicolas Doze sur Bfm Business, il évoque ouvertement que le système bancaire sera en panne d’ici peu, les invités étant scotchés avant d’enchaîner sur un autre sujet.
« Je pense (…) qu’en France, on ne bougera vraiment que le jour où on mettra sa carte de crédit (…) dans le distributeur automatique et que ça ne sortira pas, que ce soit le distributeur automatique de votre banque, le compte bancaire d’un employé public ou celui d’un retraité. Et je pense que ce jour là se profile. »
Evidemment, mes chers lecteurs, vous vous posez la question de savoir, si, une telle perspective est plausible. Ce monsieur a-t-il raison, a-t-il tort de jouer les Cassandre ?
A-t-il raison contre tous ?
Et, bien, si, j'ai un conseil à vous donner, c'est de "STOCKER !"
Au moins de quoi vous sustenter pendant quatre à six moix de denrées non périssables.
Et, comme, je vous l'avais conseillé, il y a peu, de retirer tout ce que vous pouvez en liquide de votre compte en banque.
Et, par la même occasion, faites marcher le commerce, achetez un congélateur.
N'est-ce pas ce qu'à fait Noé lorsqu'il a stocké en des temps plus sombres que les nôtres. Au moins, lui, il a pris de la viande sur pieds. Disons, que le congélateur sera votre arche de Noé.
Mais, passons.
Car, nous devons mettre chapeau bas en solidarité avec les travailleurs chinois.
Pourquoi ?
Simple, parce que le patronat chinois trouvent que la tendance des salaires est à l'augmentation et que cela nuit à leur PROFIT.
Alors, que font-ils ? Ils se tirent ailleurs, tout bêtement.
Il faut dire que des régions industrielles ont des niveaux de salaires qui atteint celui de la Roumanie.
Incredible !
Mais, un terrible questionnement me taraude l'esprit. Où vont aller nos industriels européens, si, les industriels chinois s'en vont ?
Parce que si, les chinois font moins cher ailleurs qu'eux en Chine, leurs produits ne seront pas concurrentiels.
(source : le Quotidien du Peuple)
Les opportunités d'emploi vont vers d'autres pays que la
Chine dans le cadre du «grand transfert d'industrie » que connaît la
Chine aujourd'hui.
La hausse des salaires et la baisse de la demande à l'exportation contraignent les industriels à quitter la Chine pour les pays voisins du Sud-Est asiatique et, parmi ceux qui restent, nombreux sont ceux qui songent sérieusement à faire de même, a déclaré un responsable du commerce extérieur au Ministère du Commerce.
Ce fonctionnaire, qui a souhaiter conserver l'anonymat, a déclaré que « près d'un tiers des fabricants chinois de textiles, vêtements, chaussures et chapeaux » ‘travaillent maintenant « sous une pression croissante » et ont déplacé tout ou partie de leur production en dehors de Chine dans ce qu'il a appelé le grand transfert d'industrie.
Les destinations les plus prisées sont généralement des pays membres de l'Association des Nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), en particulier le Vietnam, l'Indonésie et la Malaisie.
Et, selon toute vraisemblance, « la tendance va se poursuivre » avec davantage d'industriels des secteurs traditionnels à forte main-d'œuvre procédant à un transfert de leur production, a-t-il déclaré au China Daily.
Liang Shiyu, Directeur du bureau administratif de la Chambre de commerce chinoise pour l'importation et l'exportation des textiles, a confirmé que de nombreux fabricants ont délocalisé une partie ou la totalité de leur activité à l'étranger.
Mais le responsable du commerce extérieur a déclaré que, bien que des pertes d'emplois aient été dues à ces transferts, le phénomène est « globalement positif » et est « en ligne avec » les engagements du Gouvernement pour améliorer la puissance industrielle de la Chine et changer son modèle de croissance économique.
Le 12e Plan Quinquennal (2011-15) a en effet invité les exportateurs à produire des produits plus haut de gamme.
Les exportateurs chinois cherchent aussi de nouvelles façons de faire davantage d'affaires dans un contexte de baisse des exportations en raison d'une combinaison de facteurs négatifs tant en Chine qu'à l'étranger, de coûts salariaux plus élevés et de la faible demande de l'Union européenne et des États-Unis.
Les coûts de main-d'œuvre en Chine ont récemment fortement progressé, de 15 à 20% par an, réduisant les marges et menant certaines entreprises à la faillite.
Selon le Ministère des Ressources Humaines et de la Sécurité Sociale, de janvier à juin, le salaire minimum a été augmenté, en moyenne, de 20% dans 16 provinces.
Le salaire minimum à Shenzhen se situe ainsi maintenant à 1 500 Yuans (238 Dollars US) par mois, le plus haut niveau pour l'ensemble du continent chinois.
De nombreux pays en développement d'Asie du Sud ont des coûts de main-d'œuvre inférieurs.
Le salaire mensuel pour les emplois manufacturiers au Vietnam était ainsi en moyenne de 600 yuans en 2011, soit le niveau d'il y a 10 ans à Dongguan, une ville industrielle du Delta de la Rivière des Perles, dans le Sud de la Chine.
Certains pays de l'ASEAN, dont le Vietnam, ont étendu leurs politiques préférentielles concernant l'utilisation des terres et les services pour les investissements étrangers, y compris ceux venant de Chine.
Les entreprises de l'habillement et du textile ont quitté le Delta de la Rivière des Perles vers l'Asie du Sud-Est. (...)
Que, c'est triste Venise, comme dirait l'autre. Et, ce n'est pas que dire.
Peut-être, que lorsque nos industriels auront fait le tour du monde, ils reviendront à la maison.comme le Candide de Voltaire.
Et; sur ce, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
René.
Tiens, donc, mes chers cinq lecteurs, la crise continue benoîtement son chemin. Et, personne ne nous dit rien. Foutre Dieu !
De toute façon, c'est à n'y rien comprendre. Leur Europe impose aux Etats une rigueur à 3% alors qu'elle vient d'en accorder 4% au Portugal.
Selon, certains, aucun état ne tiendra un déficit public de l'ordre de 3% et que c'est du déclaratif plus politique qu'économique.
Mais, les experts continuent à jouer la peur. En tout cas, espérons qu'ils ne jouent que sur la peur et qu'une autre réalité ne se dessine pas.
De toute façon, il n'est plus que temps de brider les banques avant qu'elles ne nous coulent tous.
A moins que Goldman Sachs cherche à nous faire peur. Parce que lorsque on a fait partie de cette banque, les liens demeurent.
(source : Le Journal du Siècle)
Plus possible de retirer votre argent des banques d’ici peu, selon un ancien de Goldman Sachs
Jean-Michel Steg a été formé à l’université de Harvard aux USA avant d’intégrer l’IEP (Institut des Études Politiques) Sciences Po à Paris. Ancien directeur général dans les banques Citigroup, Goldman Sachs et Lazard Freres, il est actuellement chez Blackstone.
Alors qu’il débat sur la faillite du système de retraites complémentaires avec Nicolas Doze sur Bfm Business, il évoque ouvertement que le système bancaire sera en panne d’ici peu, les invités étant scotchés avant d’enchaîner sur un autre sujet.
« Je pense (…) qu’en France, on ne bougera vraiment que le jour où on mettra sa carte de crédit (…) dans le distributeur automatique et que ça ne sortira pas, que ce soit le distributeur automatique de votre banque, le compte bancaire d’un employé public ou celui d’un retraité. Et je pense que ce jour là se profile. »
Evidemment, mes chers lecteurs, vous vous posez la question de savoir, si, une telle perspective est plausible. Ce monsieur a-t-il raison, a-t-il tort de jouer les Cassandre ?
A-t-il raison contre tous ?
Et, bien, si, j'ai un conseil à vous donner, c'est de "STOCKER !"
Au moins de quoi vous sustenter pendant quatre à six moix de denrées non périssables.
Et, comme, je vous l'avais conseillé, il y a peu, de retirer tout ce que vous pouvez en liquide de votre compte en banque.
Et, par la même occasion, faites marcher le commerce, achetez un congélateur.
N'est-ce pas ce qu'à fait Noé lorsqu'il a stocké en des temps plus sombres que les nôtres. Au moins, lui, il a pris de la viande sur pieds. Disons, que le congélateur sera votre arche de Noé.
Mais, passons.
Car, nous devons mettre chapeau bas en solidarité avec les travailleurs chinois.
Pourquoi ?
Simple, parce que le patronat chinois trouvent que la tendance des salaires est à l'augmentation et que cela nuit à leur PROFIT.
Alors, que font-ils ? Ils se tirent ailleurs, tout bêtement.
Il faut dire que des régions industrielles ont des niveaux de salaires qui atteint celui de la Roumanie.
Incredible !
Mais, un terrible questionnement me taraude l'esprit. Où vont aller nos industriels européens, si, les industriels chinois s'en vont ?
Parce que si, les chinois font moins cher ailleurs qu'eux en Chine, leurs produits ne seront pas concurrentiels.
(source : le Quotidien du Peuple)
Les coûts plus élevés forcent des entreprises à quitter la Chine
( le Quotidien du Peuple en ligne )
22.10.2012 à 15h29
La hausse des salaires et la baisse de la demande à l'exportation contraignent les industriels à quitter la Chine pour les pays voisins du Sud-Est asiatique et, parmi ceux qui restent, nombreux sont ceux qui songent sérieusement à faire de même, a déclaré un responsable du commerce extérieur au Ministère du Commerce.
Ce fonctionnaire, qui a souhaiter conserver l'anonymat, a déclaré que « près d'un tiers des fabricants chinois de textiles, vêtements, chaussures et chapeaux » ‘travaillent maintenant « sous une pression croissante » et ont déplacé tout ou partie de leur production en dehors de Chine dans ce qu'il a appelé le grand transfert d'industrie.
Les destinations les plus prisées sont généralement des pays membres de l'Association des Nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), en particulier le Vietnam, l'Indonésie et la Malaisie.
Et, selon toute vraisemblance, « la tendance va se poursuivre » avec davantage d'industriels des secteurs traditionnels à forte main-d'œuvre procédant à un transfert de leur production, a-t-il déclaré au China Daily.
Liang Shiyu, Directeur du bureau administratif de la Chambre de commerce chinoise pour l'importation et l'exportation des textiles, a confirmé que de nombreux fabricants ont délocalisé une partie ou la totalité de leur activité à l'étranger.
Mais le responsable du commerce extérieur a déclaré que, bien que des pertes d'emplois aient été dues à ces transferts, le phénomène est « globalement positif » et est « en ligne avec » les engagements du Gouvernement pour améliorer la puissance industrielle de la Chine et changer son modèle de croissance économique.
Le 12e Plan Quinquennal (2011-15) a en effet invité les exportateurs à produire des produits plus haut de gamme.
Les exportateurs chinois cherchent aussi de nouvelles façons de faire davantage d'affaires dans un contexte de baisse des exportations en raison d'une combinaison de facteurs négatifs tant en Chine qu'à l'étranger, de coûts salariaux plus élevés et de la faible demande de l'Union européenne et des États-Unis.
Les coûts de main-d'œuvre en Chine ont récemment fortement progressé, de 15 à 20% par an, réduisant les marges et menant certaines entreprises à la faillite.
Selon le Ministère des Ressources Humaines et de la Sécurité Sociale, de janvier à juin, le salaire minimum a été augmenté, en moyenne, de 20% dans 16 provinces.
Le salaire minimum à Shenzhen se situe ainsi maintenant à 1 500 Yuans (238 Dollars US) par mois, le plus haut niveau pour l'ensemble du continent chinois.
De nombreux pays en développement d'Asie du Sud ont des coûts de main-d'œuvre inférieurs.
Le salaire mensuel pour les emplois manufacturiers au Vietnam était ainsi en moyenne de 600 yuans en 2011, soit le niveau d'il y a 10 ans à Dongguan, une ville industrielle du Delta de la Rivière des Perles, dans le Sud de la Chine.
Certains pays de l'ASEAN, dont le Vietnam, ont étendu leurs politiques préférentielles concernant l'utilisation des terres et les services pour les investissements étrangers, y compris ceux venant de Chine.
Les entreprises de l'habillement et du textile ont quitté le Delta de la Rivière des Perles vers l'Asie du Sud-Est. (...)
Que, c'est triste Venise, comme dirait l'autre. Et, ce n'est pas que dire.
Peut-être, que lorsque nos industriels auront fait le tour du monde, ils reviendront à la maison.comme le Candide de Voltaire.
Et; sur ce, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
René.
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