Salut, à ceux qui croient que les socialistes vont nous sauver. Au moins, vous avez une raison d'espérer.
Bon, après, mon coup de colère d'hier, vous avez, évidemment compris, mes chers cinq lecteurs, que je n'avais pas été voté au premier tour de l'élection législative, et que, je ne compte pas me déplacer pour le deuxième tour.
En effet, depuis, l'élection présidentielle, j'ai rejoint le camp des abstentionnistes. Celui qui n'a pas besoin qu'on lui fasse des promesses à la con. Sans compter que je trouve les socialistes d'une suffisance qui me ramène à l'époque où Jospin a perdu les élections et le pourquoi de cette défaite.
Finalement, je n'ai rien à attendre d'eux, alors, je m'abstiens.
Et, j'espère que le camp des abstentionnistes dépassera les 50%.. Finalement, la vraie voix de la France.
Naturellement, vous n'êtes pas obligés de me suivre, faites donc selon votre humeur et votre envie de croire en leurs promesses.
Moi, c'est fini, je passe la main, je n'irais plus jamais voter.
Et, qu'ils fassent ce qu'ils veulent, moi, je vais tenter de me faire un coin tranquille où je ne serais pas trop atteint par ce qu'ils vont nous faire subir. Parce que n'oubliez pas, les promesses, c'est pour les élection, après, plus rien ne les empêchera de nous faire le coup, "c'est la seule solution".
Mais, passons.
Pour ceux qui s'intéressent à la situation au Mali, deux informations provenants du Quotidien du Peuple qui peuvent éclairer les futurs évènements en rapport aux mouvements armés djihadistes et proches d'al quaida qui se sont emparés d'une partie du territoire de l'Azawad.
A mon avis, ils font faire les frais des alliances qui se forment contre eux. Et, il n'y aura sans doute pas besoin des gros godillots des armées occidentales et des bombes à fragmentation qui font des victimes des années après que les conflits se soient apaisés.
Bon, après, mon coup de colère d'hier, vous avez, évidemment compris, mes chers cinq lecteurs, que je n'avais pas été voté au premier tour de l'élection législative, et que, je ne compte pas me déplacer pour le deuxième tour.
En effet, depuis, l'élection présidentielle, j'ai rejoint le camp des abstentionnistes. Celui qui n'a pas besoin qu'on lui fasse des promesses à la con. Sans compter que je trouve les socialistes d'une suffisance qui me ramène à l'époque où Jospin a perdu les élections et le pourquoi de cette défaite.
Finalement, je n'ai rien à attendre d'eux, alors, je m'abstiens.
Et, j'espère que le camp des abstentionnistes dépassera les 50%.. Finalement, la vraie voix de la France.
Naturellement, vous n'êtes pas obligés de me suivre, faites donc selon votre humeur et votre envie de croire en leurs promesses.
Moi, c'est fini, je passe la main, je n'irais plus jamais voter.
Et, qu'ils fassent ce qu'ils veulent, moi, je vais tenter de me faire un coin tranquille où je ne serais pas trop atteint par ce qu'ils vont nous faire subir. Parce que n'oubliez pas, les promesses, c'est pour les élection, après, plus rien ne les empêchera de nous faire le coup, "c'est la seule solution".
Mais, passons.
Pour ceux qui s'intéressent à la situation au Mali, deux informations provenants du Quotidien du Peuple qui peuvent éclairer les futurs évènements en rapport aux mouvements armés djihadistes et proches d'al quaida qui se sont emparés d'une partie du territoire de l'Azawad.
A mon avis, ils font faire les frais des alliances qui se forment contre eux. Et, il n'y aura sans doute pas besoin des gros godillots des armées occidentales et des bombes à fragmentation qui font des victimes des années après que les conflits se soient apaisés.
Mise à jour 11.06.2012 09h05
Crise malienne: le MNLA fait confiance à la médiation de la CEDEAO
Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) est venu pour la première fois remettre officiellement une lettre de son secrétaire général au président Blaise Compaoré, médiateur de la CEDEAO dans la crise malienne, a indiqué dimanche la direction de la communication de la présidence du Faso.
Dans la lettre, il est signifié que le MNLA est disposé et accepte la médiation de la CEDEAO et de la communauté internationale pour une sortie de crise au Mali: "le MNLA se met à la disposition de la CEDEAO et de la communauté internationale pour trouver une sortie honorable à cette crise".
Cette déclaration est de Ibrahim Ag Mohamed Assaleth, membre du Conseil de transition de l'Azawad (CTA), une composante du MNLA, à l'issue d'une audience le 9 juin avec le président du Faso, Blaise Compaoré, médiateur désigné de la CEDEAO.
Le chef de la délégation du MNLA, M. Assaleth, avait à ses côtés, deux autres membres du MNLA dont le colonel Hassan Ag Mehdy et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale du Burkina, Yipénè Djibrill Bassolé.
Selon M. Bassolé, l'audience accordée par le président du Faso à la délégation du MNLA fait suite à une "décision du secrétaire général de ce mouvement d'envoyer des membres du MNLA auprès du médiateur de la CEDEAO, Blaise Compaoré, pour préparer les conditions et les modalités du dialogue".
"Le MNLA marque ainsi sa disponibilité à trouver une solution négociée avec la CEDEAO et la communauté internationale", a souligné le ministre burkinabé en charge des Affaires étrangères.
Selon lui, le MNLA veut également trouver une cohésion interne en son sein et va procéder très prochainement à une concertation plus élargie avec les autres mouvements armés et toutes les communautés vivant dans le Nord du Mali pour trouver une plate-forme qui sera soutenue par tous et sera portée à la connaissance du médiateur de la CEDEAO.
M. Bassolé a fait remarquer que d'autres "acteurs importants que sont l'Algérie, la Mauritanie seront associés à la démarche du médiateur pour trouver une solution durable au problème malien, de même que le président nigérian Goodluck Jonathan, le président en exercice de la CEDEAO, Alassane Ouattara et le président du Niger, Mahamadou Issoufou dont le pays est géographiquement très proche du Nord Mali".
Réagissant à la dernière tentative de rapprochement entre le MNLA et un Mouvement islamiste de la région, le chef de la délégation du MNLA a été catégorique : "Le MNLA se démarque de tout autre groupe à velléité islamique ou terroriste dans la zone. Le MNLA est un mouvement autonome qui veut privilégier le dialogue, car dans toute guerre, on finit toujours autour d'une table de négociation".
Ibrahim Ag Mohamed Assaleth dit avoir foi en la médiation du président Blaise Compaoré. "Le président Blaise Compaoré n'est pas médiateur seulement aujourd'hui dans la crise malienne. Il connaît le problème azawadien depuis les années 1990", a-t-il affirmé.
Dans la lettre, il est signifié que le MNLA est disposé et accepte la médiation de la CEDEAO et de la communauté internationale pour une sortie de crise au Mali: "le MNLA se met à la disposition de la CEDEAO et de la communauté internationale pour trouver une sortie honorable à cette crise".
Cette déclaration est de Ibrahim Ag Mohamed Assaleth, membre du Conseil de transition de l'Azawad (CTA), une composante du MNLA, à l'issue d'une audience le 9 juin avec le président du Faso, Blaise Compaoré, médiateur désigné de la CEDEAO.
Le chef de la délégation du MNLA, M. Assaleth, avait à ses côtés, deux autres membres du MNLA dont le colonel Hassan Ag Mehdy et le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale du Burkina, Yipénè Djibrill Bassolé.
Selon M. Bassolé, l'audience accordée par le président du Faso à la délégation du MNLA fait suite à une "décision du secrétaire général de ce mouvement d'envoyer des membres du MNLA auprès du médiateur de la CEDEAO, Blaise Compaoré, pour préparer les conditions et les modalités du dialogue".
"Le MNLA marque ainsi sa disponibilité à trouver une solution négociée avec la CEDEAO et la communauté internationale", a souligné le ministre burkinabé en charge des Affaires étrangères.
Selon lui, le MNLA veut également trouver une cohésion interne en son sein et va procéder très prochainement à une concertation plus élargie avec les autres mouvements armés et toutes les communautés vivant dans le Nord du Mali pour trouver une plate-forme qui sera soutenue par tous et sera portée à la connaissance du médiateur de la CEDEAO.
M. Bassolé a fait remarquer que d'autres "acteurs importants que sont l'Algérie, la Mauritanie seront associés à la démarche du médiateur pour trouver une solution durable au problème malien, de même que le président nigérian Goodluck Jonathan, le président en exercice de la CEDEAO, Alassane Ouattara et le président du Niger, Mahamadou Issoufou dont le pays est géographiquement très proche du Nord Mali".
Réagissant à la dernière tentative de rapprochement entre le MNLA et un Mouvement islamiste de la région, le chef de la délégation du MNLA a été catégorique : "Le MNLA se démarque de tout autre groupe à velléité islamique ou terroriste dans la zone. Le MNLA est un mouvement autonome qui veut privilégier le dialogue, car dans toute guerre, on finit toujours autour d'une table de négociation".
Ibrahim Ag Mohamed Assaleth dit avoir foi en la médiation du président Blaise Compaoré. "Le président Blaise Compaoré n'est pas médiateur seulement aujourd'hui dans la crise malienne. Il connaît le problème azawadien depuis les années 1990", a-t-il affirmé.
Mise à jour 04.06.2012 13h20
Les arabes du nord malien réunis en Mauritanie pour discuter de la lutte contre les islamistes armés
Des centaines d'arabes de l'Azawad, nord malien, se sont réunis dimanche, à Mbeiket Lahwach (plus de 1.200 km à l'est de Nouakchott), pour se concerter sur une stratégie à adopter afin de lutter contre l'invasion de l'Azawad par les islamistes armés, a-t-on appris de source sécuritaire.
Les participants à cette rencontre devront également examiner une proposition du Mouvement national de la libération de l'Azawad (MNLA, un des groupes rebelle au nord malien), visant à libérer l'Azawad pour y instaurer un Etat laïc.
Selon des témoins, un important dispositif sécuritaire a été déployé par les forces mauritaniennes dans la zone de Mbeiket Lahwach où se déroule cette rencontre, à moins de 40 km de la frontière malienne.
Selon une source proche des arabes de l'Azawad, cette conférence à laquelle prennent part des notables, des militaires de l'armée malienne, des chefs de tribus arabes, et des hommes politiques, devra aboutir à une feuille de route pour la lutte contre les mouvements islamistes armés alliés d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique dans le nord du Mali.
Des milliers de Maliens arabes et touaregs se sont refugiés en Mauritanie depuis l'éclatement, en février dernier, de la rébellion ayant conduit à l'occupation de l'Azawad par des mouvements islamistes armés allié d'AQMI.
La situation au Mali devient préoccupante pour la communauté internationale et les pays du champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie), notamment depuis la proclamation par les islamistes armés d'un Etat islamique indépendant de l'Azawad où règne la loi islamique.
Les participants à cette rencontre devront également examiner une proposition du Mouvement national de la libération de l'Azawad (MNLA, un des groupes rebelle au nord malien), visant à libérer l'Azawad pour y instaurer un Etat laïc.
Selon des témoins, un important dispositif sécuritaire a été déployé par les forces mauritaniennes dans la zone de Mbeiket Lahwach où se déroule cette rencontre, à moins de 40 km de la frontière malienne.
Selon une source proche des arabes de l'Azawad, cette conférence à laquelle prennent part des notables, des militaires de l'armée malienne, des chefs de tribus arabes, et des hommes politiques, devra aboutir à une feuille de route pour la lutte contre les mouvements islamistes armés alliés d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique dans le nord du Mali.
Des milliers de Maliens arabes et touaregs se sont refugiés en Mauritanie depuis l'éclatement, en février dernier, de la rébellion ayant conduit à l'occupation de l'Azawad par des mouvements islamistes armés allié d'AQMI.
La situation au Mali devient préoccupante pour la communauté internationale et les pays du champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie), notamment depuis la proclamation par les islamistes armés d'un Etat islamique indépendant de l'Azawad où règne la loi islamique.
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