Salut à ces messieurs du gouvernement. Non, seulement Woerth se garantit ses indemnités de conseillers de Picardie, mais, en plus, les députés UMP, eux, protégent leur système de retraite tout en sabrant celui des français.
Quelle est belle la France Sarkozienne !
Alors, alors, le prix du gaz s'écroule suite à l'exploitation des gaz non conventionnels américains. Ces mêmes gaz qui vont provoquer des catastrophe écologiques aux States. D'ailleurs, il faudra avoir les yeux rivés sur les US, vu que c'est chez eux que va poindre les premiers effets catastrophiques de la pollution industrielle.
Déjà, les effets Mosanto ont de quoi nous effrayer. Le pire, c'est que maintenant grâce à un lobbying intensif mené par des scientifiques malhonnêtes en faveur de ses produits, le monde entier est concerné.
Mais, passons, cela est hors sujet car je voulais simplement parler du prix du gaz dont nos industriels en France persistent à augmenter le prix sans nous prévenir qu'il est en baisse drastique.
Alors, je me pose cette simple question, "GDF va-t-il baisser ses tarifs ?" Etre simplement honnête avec ses usagers pour une fois ou va-t-il comme il est dans l'air du temps, continuer à les prendre pour des gogos comme il est d'usage dans cette ère sarkozienne ?
(source : El Watan)
"Le GNL algérien face au cauchemar américain
le 20.10.10
L’Algérie, qui comptait développer le marché de GNL aux USA, a dû réorienter une partie de ses exportations vers l’Asie. Alors qu’un débat sur la politique énergétique du pays s’impose, une multitude de défis s’offre à l’Algérie.
Les marchés du gaz continuent de valser au rythme d’une perturbation profonde produite par l’émergence de nouvelles technologies dans le secteur gazier. Les Etats-Unis d’Amérique ont sérieusement bouleversé les marchés en accélérant la production du gaz non conventionnel.En 2009, les USA, qui étaient jusqu’ici grand importateur de gaz, ont devancé les plus grands producteurs de gaz, à l’instar de la Russie, grâce à la «révolution» que représente le gaz non conventionnel. Les pays producteurs d’hydrocarbures, dont l’Algérie qui exportait un volume important de son GNL vers les USA, sont confrontés à un double défi : faire face à cette nouvelle donne qui suppose le «dépérissement» de certains marchés et résister à une chute brutale des prix. Les cours du gaz ont ainsi connu une chute vertigineuse ces derniers mois, se situant entre 3,5 dollars par million de Btu et 4 dollars/mbtu pour les contrats de septembre et octobre."
Mais, passons, car une nouvelle guerre va se déclarer dans le Sud Soudan, vu que le président Omar El Béchir considère que la logique veuille que le sud reste intégré au Soudan.
Mais, passons parce que tout le monde s'en fout.
Par contre en Australie, l'état démocratique a fait capoter le projet de consortium entre Rio Tinto et BHP-Billiton pour dominer le marché.
La preuve que les régimes démocratiques ont encore leur mot à dire contre le marché si, et seulement si, ils le décident et n'ont pas leurs dirigeants inféodés au-dit marché.
En France, cela ne serait jamais arrivé. On nous aurait parlé d'emplois, de croissance, de la France qui gagne et le gouvernement aurait soutenu le projet de ce consortium qui cherche surtout à contrôler les prix (toujours à la hausse naturellement).
C'est d'ailleurs ce qui fait la différence ave la France où les politiques, les économistes, les journalistes, les médias, nous disent "Ouh, là, c'est foutu, faut tout casser pour tout refaire en tout petit, tout petit !"
Et, pendant ce temps, le gouvernement se prépare à se partager le gâteau entre amis.
(source : les Nouvelles Calédoniennes)
"Rio Tinto et BHP font grise mine.
"Les géants miniers Rio Tinto et BHP-Billiton ont abandonné « à regret » leur projet controversé de société conjointe dans la production de fer en Australie. L'opposition des autorités de la concurrence de plusieurs pays et le projet de taxe sur les super-profits miniers ont eu raison des projets des deux groupes.
C’était dans l’air depuis plusieurs semaines, c’est dorénavant officiel : BHP-Billiton et Rio Tinto ne fusionneront pas leurs activités de minerai de fer dans l’Ouest australien.
Les numéros 2 et numéro 3 mondiaux du minerai de fer anticipent ainsi le refus des autorités de la concurrence de plusieurs pays. « Depuis la signature de l'accord de projet, il est devenu de plus en plus évident qu'il est peu probable que les autorisations réglementaires soient obtenues », indiquent les deux compagnies."
Et, voilà, ce sera tout pour aujourd'hui, il faut que je retourne au travail.
Bien le bonjour chez vous et pensez à la famille sarkozy, bientôt, ils seront au niveau des gros richards qu'ils apprécient tant.
A bientôt.
René.
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