Salut les compagnons du coquelicot, je vous annonce désormais que pour être membre, il faut simplement être d'accord pour souhaiter la disparition de l'espèce humaine, sans prendre de carte de membre. Si, il y a des personnes en accord avec nous, ils n'ont qu'à simplement se revendiquer des compagnons du coquelicot.
Comme, je l'affirme, il n'y a pas de maître à penser dans ce monde. Sigmund Freud était un être infâme, d'une mégalomanie monstrueuse, le genre, parfait sale type et quant-à Descartes, il s'est trompé lorsqu'il a sorti son illustre, "Je pense, donc, je suis".
Eh, bien, non, monsieur Descartes, car dans votre axiome, il y a pêché d'orgueil de l'espèce humaine. Parce que nous n'existons pas sans notre environnement et surtout, nous n'existerions pas sans lui.
Donc, comme je l'ai formulé dans une précédente lettre, je propose, "Je me pense, donc je suis".
Pourquoi ?
Parce que je me pense dans mon environnement et c'est l'inter-action avec cet environnement, ce positionnement dans l'espace qui me permet de me penser alors en tant que tel.
L'axiome de Descartes par contre nous isole et nous place en tant qu'être supérieur au dessus de notre environnement dont il ne tient pas compte pour réfléchir sur lui même.
Donc, j'accuse Descartes d'être à l'origine de la pensée qui a isolé l'être humain de son environnement, plaçant l'humanité au dessus de lui.
Et, pour être simpliste, je dirais, si l'homme n'a pas besoin de son environnement où place-t-il ses pieds...en l'air ?
Il faut donc reformuler la pensée cartésienne où la mettre dans la poubelle des grandes idées intellectuelles qui furent et ne durèrent que l'espace d'une époque.
Alors, qu'en pensez-vous mes trois chers lecteurs ?
Ne suis-je pas d'une subtilité mégalomaniaque, moi aussi ?
Je pense, donc, je suis, et comme je pense beaucoup, je vais vous en faire une tartine.
Et, tout d'abord, comment se porte le trafic international de la drogue ou pour parler encore de l'Afrique, toujours pour en dire du mal, l'impact du trafic sur les états africains.
(source : La Croix.com)
14/10/2010 17:19
"La cocaïne fait la loi en Guinée-Bissau
Sous la pression de l’armée, le président a remis en fonction à la tête de la Marine un officier soupçonné d’être un baron du trafic de drogue
A la veille de l’ouverture à Dakar d’une conférence sur « l’Afrique et les dangers de la mondialisation du crime », le président de la Guinée-Bissau voisine, fréquemment présentée comme un « narco-État », rétablissait dans ses fonctions à la tête de la Marine un amiral accusé d’être impliqué dans le trafic de cocaïne.
Déjà chef d’état-major de la Marine par le passé, soupçonné de vouloir commettre un putsch, José Américo Bubo Na Tchuto avait fui le pays en août 2008. En avril dernier, il avait été ajouté à la liste américaine des « barons de la drogue », interdisant toute relation commerciale avec lui et gelant ses avoirs aux États-Unis.
L’officier est « depuis longtemps soupçonné d’être un soutien majeur au trafic de stupéfiants en Guinée-Bissau », selon le Département du Trésor. Washington l’accuse notamment d’avoir été partie prenante en 2008, avec son homologue chef d’état-major de l’armée de l’air, du transfert aérien d’une cargaison de plusieurs centaines de kilos de cocaïne depuis la Colombie."
Eh, oui, messieurs mes trois chers lecteurs, l'Afrique est déjà depuis longtemps une plaque tournante du trafic de drogue. Et, cela est normal puisque la corruption y est endémique. Car, la corruption est la première porte à travers laquelle s'engouffre tous les trafics. Toute la zone francophone est d'ailleurs concernée, le Sénégal en première ligne d'ailleurs puisque les narcos y investissent dans le tourisme.
Sauf que l'Afrique en a peut-être marre de se faire stigmatiser.
Dommage, parce que l'on ne peut pas dire qu'elle ne nous donne pas du grain à moudre. Y'a qu'à voir le Sénégal qui risque de basculer dans la "république" dynastique autoritaire avec Wade, son président qui prépare son fils à sa succession.
Mais, vu qu'en France Sarko a tenté de nous faire la même avec son fils, faut peut-être mieux baisser d'un ton et se poser cette question sidérante, la mer va-t-elle disparaître dans une mer de plastique ?
"source : Sciences et Vie.com"
Un « continent de plastique » est révélé dans l’Atlantique Nord
Par Pierre Grumberg • 23 août 2010 à 9:48 • Categorie: Actualités, Océanographie, Pollution, biosphère, ecologie
"Les concentrations maximales sont relevées à peu près dans la zone des Bermudes
Une gigantesque concentration de déchets de plastiques, semblable à celle observée dans le Pacifique Nord, est confirmée au large des côtes américaines grâce aux travaux conjoints d’océanographes de la Sea Education Association, de l’institution océanographique Woods Hole et de l’Université de Hawaii. Basée sur le suivi pendant 22 ans de 6 136 points de collecte, l’étude publiée dans le journal Science montre des concentrations maximales dans une région située au large des côtes de Floride et de Géorgie, dans la zone des Bermudes. Ce qui est cohérent, estiment les chercheurs, avec les courants locaux. La surprise vient plutôt de la stabilité des quantités de déchets retrouvés sur la période, en dépit de l’augmentation des rejets. Le plus probable, estiment les chercheurs, est que les fragments , minuscules confettis de quelques mm flottants en raison de leur faible densité, sont altérés par l’activité biologique et finissent par couler. Reste à savoir ce que deviennent les déchets une fois au fond de la mer."
Et, la mer des Bermudes ou mer des Sargasses refait surface. Jadis, il s'agissait d'un cimetière de bateaux, hier, d'avions qui disparaissaient dans la quatrième dimension, aujourd'hui, c'est une mer de déchets industriels. Et, dire que l'industrie tant chantée, tant provocatrice de corruptions, de maladies diverses et variées, est devenu génératrice de la matière qui va être notre cercueil commun et tout cela au nom de notre humanité. C'est bien pour cela, mes trois chers lecteurs, qu'il est temps que vous rejoignez les compagnons du coquelicot.
Car, dans un monde sans humanité, vous aurez au moins la consolation de savoir que les déchets continueront à polluer, même en dehors de notre existence.
Mais, passons.
Pour finir, je vous cite presque entièrement un article parlant de la rouille noire qui s'attaque au blé. Pour simplement dire, que nous n'avons pas éradiqué les maladies qui s'attaquent aux cultures. Elles se sont adaptées aux produits, soi-disants qui devaient les éradiquer. Qui a dit, "Rien ne se perd, tout se transforme". Eh, bien les maladies, les virus et autres trucs dégueulasses ne disparaissent pas, ils se transforment.
(source : Le Maghreb, le quotidien de l'économie)
"Une nouvelle race de rouille noire menace le blé.
Une nouvelle race de rouille noire menace la production mondiale de blé. Le nouvel agent pathogène a été baptisé Ug99. Il est apparu pour la première fois en Ouganda en 1999.
Comme prévu, cette race du champignon Ug99 (ou plus scientifiquement TTKS), a rapidement été observée au Kenya, puis en 2003 en Ethiopie. Elle s'est répandue ensuite vers le Yemen et la péninsule arabique. Elle se trouve aujourd'hui au seuil de l'Egypte, du Moyen-Orient et de l'Asie. En plus de cette propagation naturelle, une dissémination accidentelle par des voyageurs ne peut être exclue sur les autres continents. A titre préventif, le niveau de résistance des variétés du programme de sélection du blé et de la collection de la Station de recherche Agroscope Changins-Wädenswil ACW est testé. La résistance particulièrement élevée de variétés locales d'orges, déjà mise en évidence, pourra servir de matériel pour les programmes d'amélioration des plantes. La rouille noire est une maladie des céréales qui se traduit par l'apparition de pustules qui brisent l'épiderme de la tige des plantes. Elle peut provoquer des pertes de rendement conséquentes. Dans les années cinquante, une épidémie de rouille noire avait détruit 40% des récoltes de blés de printemps en Amérique du Nord.
Depuis cette époque, la rouille noire n'a plus provoqué d'épidémies en Europe et n'est observée que sporadiquement en Suisse, où elle est toutefois toujours présente. Par ailleurs, suite à l'analyse de milliers de variétés de blé et d'orge, il s'est avéré qu'une très grande partie des variétés cultivées actuellement en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et près de 80% de celles cultivées en Afrique et sur le continent Indien ne résistent pas au nouveau pathogène.
(...) Les travaux de sélection pour la résistance à la rouille noire sont en cours. Environ cinquante gènes de résistance sont actuellement connus. Ce sont, à l'exception du gène Sr2, tous des gènes de résistance spécifique à une race du champignon. Parmi ces gènes, une trentaine sont contournés par Ug99 qui est, de plus, la seule race virulente contre le gène Sr31, très largement répandu dans les blés actuels. Le gène Sr2, s'il est associé à d'autres gènes mineurs, assure une protection durable mais la fréquence de cette combinaison est relativement faible. La stratégie proposée par les spécialistes est de reconstituer, dans les variétés actuelles, le "complexe Sr2".
Il est déconseillé de baser la lutte uniquement sur des résistances spécifiques à la race Ug99, car les barrières de résistance de ces gênes risquent de tomber les unes après les autres avec le temps.Dans une situation où la production mondiale de blé est sous tension (sécheresses en Australie, germination sur pied en Europe, augmentation de la demande, etc.) cette nouvelle menace est prise très au sérieux.
Une initiative internationale, à savoir The Global Rust Initiative ( www.globalrust.org) suit de près l'évolution de la situation, évalue les variétés de céréales et recherche des solutions.
Dalila B."
Et, sur ces paroles d'espoirs, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
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