Salut au peuple tibétain. Votre plus grand ennemi est la puissance financière au pied d'argile de la Chine.
Oh, rage, Oh, désespoir !
Cela pourrait être le cri de tous les suppliciés, de tous les assasinés, de toutes les femmes violées de la République du Congo. L'ONU dénonce un génocide contre un génocide, le Rwanda et l'OUganda en particulier, de l'autre côté les hutus.
Il est vrai que l'on oublie de souligner que les Hutus réfugiés en RDC furent à leur époque les génocidaires des Tsutsis. Femmes, hommes, adolescents, il faut le rappeller, tous ont participés, pour dire, même les curés. Ils ont coupé au coupe coupe leur voisin avec délectation en tuant d'abord leurs enfants devant eux ou en les violant avant de les tuer et les femmes et les adolescents hutus ne furent pas les derniers à s'en amuser. N'oublions pas ça, parce que moi, si, j'avais été un survivant, seule la haine aurait dirigé ma vie.
Mais, continuons sur les hutus.
Traqués jusqu'en RDC, dans une zone habitée par l'ethnie banyamulenge de souche tutsi, qu'ils se sont empressés de massacrer, ils ont été joyeusement massacrés à leur tour par les militaires rwuandais et ougandais dont une partie est également de souche tutsi.
D'autant plus que l'armée Hutu en déroute était passée avec armes et bagages en RDC, sans qu'aucune tentative du gouvernement de l'époque de RDC n'ait été faite pour la désarmer.
Celle-ci jurant devant les médias du monde de repartir à la conquête du pays.
Pour les soldats rwuandais, même les femmes avaint participés activement au massacre.
Aujourd'hui, le "génocide" perpétré par l'armée tutsi était prévisible et d'ailleurs peu de voix, sinon, aucune ne s'est élevée lorsqu'il a été commis. Pourtant, tout le monde était au courant.
Qu'est-ce que l'ONU pensait ?
Que les tutsis n'allaient pas se venger puisqu'en grande partie les génocideurs étaient pratiquement tous partis en RDC, concentrés dans une seule région ?
Le massacre s'est fait au vu et au su de tous le monde, pour ne pas dire le silence complice de l'ensemble de la planète.
Maintenant, on va demander des comptes, mais à qui ?
Décidemment, toute cette histoire depuis le génocide des tutsis dont la planète clame n'avoir pas été au courant pour dissimuler sa veulerie, est une affaire de dupe.
Si, il n'y avait pas tant de sang déversé en fleuve, l'histoire serait comique, mais, sans doute qu'il faille aussi trouver des coupables à l'ONU, dans le gouvernement de RDC et chez tous les entités intéressés par le minérai congolais.
Tous ces gens en marge qui "travaillent" par l'intermédiaire de responsables rwuandais et ougandais.
Alors, on va faire quoi et que vient faire la diplomatie française dans cette histoire ?
Car, on ne peut pas dire que la France mitterandienne n'ait pas été au courant. Je rappelle qu'elle a versé des aides qui ont servi à acheter des dizaines de milliers en Chine de machettes qui ont servi au génocide.
Mais, tout n'a pas été dit dans cette histoire, mais, passons.
Passons, pour voir comment le Maroc traite les négociateurs internationaux impliqués dans l'histoire du Sahraouis dans un silence sidéral international comme pour le génocide tutsi, comme pour le génocide des génocideurs hutus.
(source : El Watan)
"Des militants sahraouis et des observateurs internationnaux reprimés à El Ayoun
C’était devenu une habitude. A chaque fois que des militants sahraouis rejoignent leurs villes après avoir séjourner dans d’autres pays, ils sont réprimés dans le sang par des policiers marocains.
C’est ce qui s’est produit encore une fois mercredi dernier pour des observateurs internationaux et des activistes sahraouis des droits humains sahraouis, de retour d'Alger où ils avaient participé à une conférence internationale sur le droit des peuples à la résistance, "cas du peuple sahraoui ", selon des sources sahraouies.
Les forces de répression marocaines ont torturé "sauvagement" les observateurs internationaux, dont les Espagnols, Carmelo Ramirez, conseiller municipal à Las Palmas de Gran canaria, Mme "Maity" membre du Parti de la gauche unie de la région de Cantabrie, l’acteur, Willy Toledo, qui a subi une fracture au niveau de sa main droite et confisqué de son téléphone cellulaire.
Un autre observateur international de l’Uruguay, José Morales, a été lui aussi tabassé, a ajouté la même source.
Du côté sahraoui, le défenseur sahraouis des droits humains, Mohamed Mayara a été également été battu par les forces de répression marocaines, souffrant de blessures au niveau du visage, alors que la militante, Sultana Khaya a été elle aussi blessé par un coup de couteau et d’une "injection" sur sa jambe droite, selon la même source."
Et, ce sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
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