Salut aux peuples premiers, comme dirait Jacques Chirac, votre ennemi premier est les sociétés minières et pétrolières. Plus, le libéralisme arrogant et méprisant.
Bon, il paraît que les agences de notations donnent des boutons à nos dirigeants et que notre président national et son premier ministre ont les yeux scotchés sur l'évolution de leurs notations.
Et, qu'il paraît qu'en fait, avec les sondages, c'est ce qui influent leur politique économique et sociale.
Bien, au moins, ils ont une vision de la France à long terme. Une vraie vision gouvernementale !
Sauf, que les chinois s'y mettent aux notations et il semblerait que leur évaluation des potentialités économiques des pays soient différentes de celles véhiculées par les deux agences occidentales. Et, là, par contre, la France n'est pas très bien considérée.
N'oublions pas que les notations déterminent la hauteur des taux d'intérêts exigés par les créanciers.
Donc, espèrons que ceux-ci ne vont pas aller mettre leur nez dans les notations chinoises et s'en servir comme prétexte pour ponctionner encore plus notre beau pays.
Vous voyez ça d'ici, mes trois chers lecteurs, notre premier ministre Fillon serait obligé de revoir tous ses calculs et tailler encore plus dans les services publics et aides sociales diverses.
Peut-être même taxer rééllement les grandes fortunes ? Quel scandale en perspective !
Mais, je vous laisse à la lecture de l'article du Quotidien du Peuple.
"La Chine publie son premier rapport de notation de crédit souverain
Dimanche, une entreprise chinoise a publié le premier rapport jamais rédigé par la Chine sur la notation des crédits souverains, document qui évalue 50 pays ; cette société est la première agence de notation non occidentale à évaluer les risques et les crédits souverains du monde entier.
Ce rapport, établi par la Dagong Global Credit Rating Co., Ltd., première agence de notation locale en Chine, est publié au moment où nombreux sont ceux qui reprochent aux évaluations d'agences comme Moody's Investors Service, Standard & Poors and Fitch Ratings d'être en partie responsables de la récente crise financière mondiale et des malheurs de la crise de la dette grecque.
Le rapport Dagong couvre 50 pays dont le PIB total représente 90% de l'économie totale du monde, et donne, par rapport aux agences occidentales rivales comme Moody's, Standard & Poors and Fitch, des évaluations nettement différentes pour 27 pays.
Ainsi, par exemple, le Brésil et d'autres économies émergentes ont ils été mieux notés par la société chinoise, qui cite leur stabilité politique et leur forte croissance économique.
Et dans le même temps, des pays comme les Etats-Unis, la France ou d'autres nations développées ont reçu une note bien plus basse dans le rapport Dagong, du fait d'une faible croissance économique et d'un fardeau de la dette en augmentation.
Guan Jianzhong, président de Dagong, a déclaré durant une conférence de presse à Beijing destinée à présenter le premier rapport chinois de notation du crédit souverain, que le système de notation actuel, dirigé par l'Occident, « donne des informations relatives au classement du crédit erronées », et ne réussit pas à refléter les changements qui interviennent dans les capacités de remboursement de la dette.
« Nous voulons faire des classements réalistes et impartiaux et marquer un nouveau début dans la réforme du système mondial de notation, qui est irrationnel », a dit M. Guan.
D'après M. Dagong, les 50 pays ont été notés selon les propres critères de notation de sa société de l'entité souveraine d'un gouvernement central, comme « la capacité à gouverner un pays, la puissance économique, les capacités financières, le régime fiscal et les réserves en devises ».
Dans son rapport, Dagong a ainsi noté la dette gouvernement américain AA avec une perspective négative, note plus basse que le classement le plus haut de l'entreprise, qui est AAA. Il avertit aussi que Washington, ainsi que le Royaume-Uni, la France et d'autres pays, pourraient avoir des problèmes pour trouver plus d'argent si jamais ils laissaient leurs risques fiscaux devenir hors de contrôle.
« Le taux d'intérêt sur les instruments de la dette va augmenter rapidement et le risque de défaillance de ces pays va devenir encore plus grand », dit le rapport."
Alors, notre gouvernement français nous mentirait-il ?
Non, ce n'est pas possible, je n'en crois rien.
Sarko, nous mentir ?
Allons, allons, il faut raison garder.
Parce qu'entre-nous, cela signifierait qu'ils savent que leur plan de rigueur est bidon et qu'il nous en concocte déjà un autre par dessus les fagots encore plus drastique.
Non, je ne saurais le croire !
Car, Moi, je vous l'affirme, j'ai confiance !
Oui, mes chers trois et uniques lecteurs, je sais que Sarko et Fillon bossent pour notre bien être et que si mon pouvoir d'achat va finir à raz des paquerettes, c'est pour notre bien à tous.
Et, qu'après, l'orage, le beau temps reviendra.
Peut-être que j'aurais perdu mon boulot, ma maison, ma femme, que mes gamins seront à l'orphelinat, mais, au moins, j'aurais gardé le moral. Et, c'est le moral qui vous permets de rédémarrer, peut-être avec un nouveau boulot, un nouvel appartement, une nouvelle femme et pourquoi pas avec de nouveaux enfants.
Je vous le réaffirme, moi, j'ai confiance !
Par contre une bonne nouvelle prise sur Rue 89, il s'agit de Mosanto et son hégémonisme dangereux au point de mettre des milliers de vie en danger. Des milliers sinon des millions.
"Monsanto à l'amende : un tournant aux Etats-Unis ?
Par Sophie Verney-Caillat| 11/07/2010
2,5 millions de dollars. C'est le montant de l'amende que Monsanto devra payer pour vente non autorisée de coton OGM. La gifle infligée au semencier pourrait annoncer un tournant de l'administration américaine face à des cultures longtemps considérées comme incontournables.
L'Agence de protection de l'environnement (EPA) reproche au leader mondial des OGM d'avoir violé plus de 1 700 fois la législation lui interdisant de vendre des cotons génétiquement modifiés dans certaines régions du Texas, où, par crainte d'une résistance aux pesticides, ces variétés avaient été interdites."
Enfin, les Etats-Unis de barack Obama ne sont plus prêts à accepter n'importe quoi, au contraire des Etats-Unis de Georges Bush. Mosanto est, pour moi, le diable, avec sa puissance financière et ses méthodes de persuasions ou de coercitions. Prêt à écraser les hommes pour s'imposer. Il est également, pour, moi, le symbole de tout ce qui est détestable dans le libéralisme, l'argent triomphant.
Et, si, j'étais chrétien, je me battrais contre une société qui détruit l'oeuvre de Dieu.
Ouh, là, je vous l'accorde, c'est un coup bas. Mais, me connaissant, je suis sûr que vous me pardonnerez la violence du propos.
En attendant, ce sera tout pour aujourd'hui, mes chers trois lecteurs. je vous souhaite donc, tant que les 35 heures existent de passer un maximum de temps avec votre femme et vos enfants. Après, Dieu, seul sait le temps qu'il vous restera pour les élever.
A bientôt.
René.
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