Salut, à tous les seniors, l'âge de la retraite à 62 ans ne va pas arranger vos affaires.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, pensez bien que les seniors qui sont obsolètes dès l'âge de 45 ans, donc virés et qui triment de petits emplois à petits boulots en lorgant sur la retraite, vont être encore obligé d'attendre deux ans de plus. Deux ans de galère en plus. Merci Sarko !
Sarko qui nous a d'ailleurs fait un discours à la télé hier. Ben, mes amis, il n'y avait aucun souffle, c'était d'un plat d'une somnolence ahurissante.
Rien que nous sachions déjà. A mon avis, il aurait dû s'abstenir.
Décidement, cet homme là ne sait pas se taire. Et, comme finalement, il n'a rien de génial, soit, il répéte toujours les mêmes choses, soit, il ennuie.
Mais, passons. Il y a d'autres sujets aussi inquiétant que les bourasques lyriques de notre président. Par exemple, les pesticides.
Et, là, nous pouvons dire, "Au secours, Sarko va parler !"
Euh, excusez moi, je voulais dire, "Au secours, la malbouffe nous assassine !"
Car, des pesticides, il y en a tous les jours dans nos assiettes. Ca imprégne en plus les sols les contaminant pour des dizaines d'années, sinon des centaines.
Et, je ne vous parle pas de nos petits corps, ils sont devenus des éponges à pesticides, foncides et autres produits dérivés pourris. Sauf, que comme une éponge qui absorbe l'eau, il faudra bien un jour les recracher sous une forme ou une autre. Disons, plus justement, sous forme d'une maladie quelconque.
(source : Nouvel Obs.com)
"365 pesticides dans les fruits et légumes
C'est ce qu'observe un rapport de l'Agence européenne de sécurité alimentaire. 3,5% des échantillons présentent des taux supérieurs aux normes en vigueur.
365 pesticides identifiés dans les fruits et légumes européens (AFP)
Des résidus de 365 pesticides différents ont été identifiés dans les fruits et légumes consommés en Europe, dont 76 dans les céréales, selon une étude de l'Agence européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) communiquée lundi 12 juillet.
Toutefois, d'après cette étude effectuée selon les nouvelles normes entrées en vigueur mi-2008, seuls 3,5% des échantillons présentaient des traces de pesticides dépassant les limites maximales en résidus (LMR) autorisées.
"Le rapport montre que 96,5% des échantillons analysés sont conformes aux MRL de pesticides autorisés au sein de l'UE", note l'EFSA dans un communiqué accompagnant l'étude.
Il s'appuie sur plus de 11.000 échantillons de neuf productions différentes (oranges, mandarines, poires, pommes de terre, carottes, concombres, épinards, haricots sans cosse et riz) analysés en 2008 dans les 27 Etats membres (plus l'Islande et la Norvège)."
En continuant dans la même veine, causons du fameux chlordécone utilisé en France et aux antilles françaises. Ce pesticide est carrément délirant tellement, il est dangereux. Ce pesticide, nous l'avons tous absorbé pendant des années, pour ne pas dire dès notre naissance. Nous en gardons certainement des traces. En fait, nous avons été la génération sacrifiée de l'industrie chimique glorifiée par tous les pouvoirs politiques.
Le pire dans le cas du chlordécone, c'est qu'il empoisonne les sols pendant des siècles.
Cela signifie qu'en Martinique et en Guadeloupe, tous les sols cultivables sont empoisonnés. Et, comme, il n'y a que ces terres-là pour cultiver, même, s'ils font autre chose que la banane, ils continuent à s'empoisonner. Tout en continuant d'ailleurs à nous empoisonner en France avec leurs bananes subventionnés par l'Europe.
Normalement, un cordon sanitaire devrait être mis en place pour empêcher toutes exportations agricoles de ces îles et importer tous les produits nécessaire à une alimentation saine de leurs habitants.
Voilà, ce qui devrait être fait en attendant que le poison finisse par disparaître. Sans oublier d'exiger que la société qui a diffusé ce produit soit mise en demeure de payer les frais de soins pour les malades.
A moins que la France belle et généreuse n'offre une terre d'asile aux martiniquais et aux guadeloupéens, pourquoi pas dans le Berry.
Non, je rigole. Prenez pas peur, les berrichons !
(source : le Figaro Magazine, 23 juin 2010, p28)
"Le chlordécone contre la prostate.
Les liens directs entre toxiques et cancers se précisent. Ainsi, une étude de l'Inserm montre que les hommes dont l'organisme contient une concentration en chlordécone supérieure à un microgramme par litre de sang ont 80% plus de risques de développer un cancer de la prostate. Une accumulation qui résulterait davantage, selon les auteurs de l'étude, de la consommation de produits alimentaires contaminés que de la manipulation de la molécule elle-même. Le chlordécone, interdit en France depuis 1990, est un pesticide agricole fréquemment employé dans la production bananière en Guadeloupe et en Martinique jusqu'en 1993. Ce toxique perdure dans les sols durant plusieurs siècles."
Alors, que pensez-vous de tout cela, mes trois chers lecteurs ?
Cependant, je vous rappelle que les agriculteurs, céréaliers ou autres ont aussi empoisonné les nappes phréatiques, les sources, les rivières, les fleuves. A combien estime-t-on le coût des ces pertes ?
A quoi, peut bien nous servir une eau que l'on ne peut pas boire et qui à sont tour empoisonnera les sols ?
Et, où trouverons-nous l'eau pour remplacer celle-là ? A quelle prix ?
Les riches que prise tant Sarkozy n'en manqueront jamais, quitte à la faire venir par avion du Népal. Mais, nous, les petits, quel sort nous sera fait ?
Je vais vous le dire, car, je suis herculèenement intelligent. Eh, bien, c'est simple, "Nous sommes condamnés à boire de cette eau là !"
Et, sur cette bonne parole, pleine d'espoir, "Youpii ! Youppii !", je vous quitte en espérant qu'après vous avoir cassé le moral, vous alliez vous pendre devant le palais de l'Elysée, histoire d'embêter notre national président.
A bientôt.
René.
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