Aujourd'hui, je vais manger avec des collègues. Donc no comment, à part ce texte en l'honneur des amoureux transis d'antan, les rêveurs et les mélancoliques et certainement pas ceux qui droguent ou frappent les meufs pour les violer en tournante dans des caves. Ceux-là, à mon avis, on devrait les condamner à perpet.
J’aime à m’en souvenir
Je me souviens,
je me souviens des jours heureux, du temps passé, des rires joyeux,
de tous ces gens, des amoureux., de toi, de moi, main dans la main, aux plus beaux matins du printemps,
nous étions tellement heureux.
Ensemble, nous rajoutions des étoiles au temps
pour fixer ces moments
où nous nous sommes posés la question
de savoir.
T’en souviens-tu seulement ?
Il n’y a pas tellement longtemps,
hier peut-être ou maintenant, lorsque nous nous promenions au milieu des champs
même les fleurs participaient à l’harmonie du bonheur d’un instant.
Mais t’en souviens-tu seulement ?
Tu avais posé sur ma main la fraîcheur d’un baiser mouillé,
nous étions des adolescents,
le printemps nous avait noyé de sensations
couchés au milieu des champs.
Le chant des oiseaux nous avait soufflé de ne pas attendre et d’oser.
T’en souviens-tu seulement ?
Dans le bonheur d’un instant, il n’y a pas tellement longtemps
nous nous sommes noyés, peut-être bien consumés.
C’était hier ou aujourd'hui, je m’en souviens parfaitement
les fleurs autour de nous faisaient comme un rempart
de couleurs éclatantes comme d’immenses petits espoirs.
Toi, moi, main dans la main, nous sommes repartis
sur le chemin de la vie.
Mais t’en souviens-tu seulement ?
Paris le 09/02/98
A demain et au plaisir.
René.
mercredi 30 janvier 2008
mardi 29 janvier 2008
"C'est celui qui n'a jamais exercé qui trouve que le pouvoir n'est pas plaisant". Proverbe africain.
Salut à la météorite qui est passée près de la terre. Dis à tes petites soeurs de ne pas nous faire du rentre dedans, s'il te plaît !
Alors, il paraît que, il paraît que.......le turfiste de la Société Général a des qualités insoupçonnées. Il se disait qu'il n'avait touché que 1600 euros de prime l'année dernière, mais qu'il aurait manipulé plus de deux milliards d'euros ? Est-ce possible ?
Qu'il est un expert de l'informatique au moins à la hauteur des pirates informatiques ? Est-ce vrai ?
Qu'il n'a rien volé, mais qu'il a perdu ? Bof !
Que sur le net, il est élevé à la hauteur de Robin des Bois. Trop délire !
Que ses patrons étaient au courant l'année dernière déjà. Trop top !
Qu'un des actionnaires a vendu une semaine avant l'annonce par la banque pour 80 millions d'euros d'actions. Trop fantasmagorique !
Que, que, que, c'est une histoire où encore nous sommes pris pour des cons. A part que les cinq milliards auraient suffi à doubler le minimum vieillesse par exemple. Par contre là, c'est pas sympa pour les vieux !
Tout ça ne nous dit pas si les cocus ne sont pas ceux qui cocufient au final !
Mais, cela aurait été tellement mieux avec du sang, des larmes et de l'amour. Cela aurait fait une histoire comme les aime notre éminent président qui rame à remonter la pente des sondages.
Il a beau s'agité notamment pour ce qu'il reste de la sidérurgie française, ce n'est pas son entretien avec Lakshimi Mittal qui va sauver les emplois à Gandrange. Après, tout, malgré le fait que l'entreprise puisse être potentiellement remise à flot, le déficit étant faible, sa production sera mieux valorisée en Inde. Alors, les désiratas du président ne survivront pas aux élections municipales. L'indien accepte d'attendre pour ne pas mettre Sarko en porte à faux pendant le déroulement desdites élections.
Pas plus, pas moins !
Quant-à sa charge contre le président de la Société Générale, tous les observateurs s'accordent à dire que ce n'est pas le moment d'ajouter une crise à une autre crise. Donc, pour le moment, il restera président, au moins tant que le danger d'un effondrement de la banque restera un danger potentiel.
Mais, toute cette histoire confirme publiquement qu'il y de l'argent en France. Cela donne donc raison à Besancenot qui affirme qu'il faut taxer les produits financiers. Rendez-vous compte, cinq milliards de perte pour un mouvement de 50 milliards. Prenons tous nos spéculateurs et le trou de la sécu est comblé les doigts dans le nez.
Pas si con, notre camarade Besancenot. Ces longues distributions du courrier à pied lui donne le temps de réfléchir. En tout cas, faut mieux lui que Ségolène qui continue à creuser la division au sein du PS.
PS qui d'ailleurs ressemble de moins en moins à un parti de gouvernement et de plus en plus à une ménagerie.
De plus, faut pas que le PS se fasse des illusions, si un vote majoritaire se dessine aux municipales en sa faveur. Ça sera surtout un vote de protestation contre les comportements de Sarko plutôt qu'une vague rose. Ça ne sera donc pas un électorat acqui, mais, plutôt un électorat prêt à accorder son soutien à d'autres ou à un autre à l'occasion d'autres élections.
En tout cas, il est évident que Sarko n'est pas à la hauteur de celui qu'il admire le plus, François Mitterrand. Pour preuve, il n'a pas réussi à liquider Bayrou et pas plus à neutraliser le PS.
Par contre, tous les petits partis qui se sont créés ou évoluent autour de l'UMP ont du souci à se faire, ils risquent de ne pas y survivre.
Et, tous ça, à cause de qui ? De celui pour qui, ils ont vendu leurs âmes !
Et, en ce qui concerne Bush et son discours à l'Union. Il n'y a rien à en retenir à part qu'il se retire dans la débâcle. Même pas, il n'aura une satisfaction en fin de règne avec une paix au Proche Orient. Il se retire pire que Bill Clinton qui n'avait pas réussi non plus au Proche Orient, mais qui laissait le pays avec une croissance enviée par les autres pays de l'hémisphère nord.
Et, le rêve de Sarko de faire un discours à la nation du perchoir de l'assemblée nationale, qu'en est-il ? Cette instance républicaine qu'il rend caduque en la traitant comme une simple chambre d'enregistrement de ses désirs.
Après tout, s'il veut lui donner un autre rôle, il n'a qu'à s'y marier, ça pourrait être marrant, non ?
Et, sur ce, je vous souhaite, une bonne année 2008 !
Mais, non, je rigole, ça va plutôt être une année à pleurer. Gardez quand même la niaque !
Un petit texte pour les petits mecs de banlieues ou les Kairas comme dit Sarko, tous ces salauds que je vous promets de nettoyer au carchère, dixit lui même.
Vraiment, des fois, il est pas poli notre président. Mais, il est vrai qu'il n'est pas le président de tous les français.
Bouge de là !
Si tu crois mon p’tit gars, si tu crois,
qu’t’iras loin avec tout ça,
lève les yeux, le plafond est plutôt bas.
Dans la jungle des sans-pitiés qui la font à l’envers,
tu traces pareil et tu t’essuies les pieds
sur tous ceux qui te servent de serpillière.
Et tu voudrais qu’on te respecte ?
Tu es fier de frapper ,
de dépouiller avec tes potes.
Sans compter les insultes pour la peur dans les yeux
et sentir la puissance de pouvoir les crever
mais as-tu oublié, le pourquoi, tu fais ça.
Alors, bouge,
fais en sorte que la prison ne soit pas la seule frontière
que tu puisses encore franchir.
Mais, si, c’est ça qu’tu veux, alors plonge,
engages-toi dans les troupes de voleurs de sacs,
de tireurs de voitures ou vendeurs de bédos,
pour en faire la littérature du rebelle qui baise
et la société et les cons qui la protègent.
Si tu crois mon p’tit gars, si tu crois,
qu’t’iras loin avec tout ça
sans même un détour côté taule ou bien cimetière
alors, mets le turbo !
Dans une voiture, tu traceras jusqu’à l’enfer
où tout est à vendre où tu pourras tout prendre
jusqu’à ce jour où la drogue, l’alcool et tes potes
te donneront aux poulets.
Alors, bouge,
fais en sorte que la prison ne soit pas la seule frontière
que tu franchisses avant le cimetière.
28/01/08
Allez, salut, les copains, les camarades, tout le monde, sauf les assassins de nos rêves, même les plus fous, comme celui d'un petit bonheur tout simple.
Ciao.
René.
Alors, il paraît que, il paraît que.......le turfiste de la Société Général a des qualités insoupçonnées. Il se disait qu'il n'avait touché que 1600 euros de prime l'année dernière, mais qu'il aurait manipulé plus de deux milliards d'euros ? Est-ce possible ?
Qu'il est un expert de l'informatique au moins à la hauteur des pirates informatiques ? Est-ce vrai ?
Qu'il n'a rien volé, mais qu'il a perdu ? Bof !
Que sur le net, il est élevé à la hauteur de Robin des Bois. Trop délire !
Que ses patrons étaient au courant l'année dernière déjà. Trop top !
Qu'un des actionnaires a vendu une semaine avant l'annonce par la banque pour 80 millions d'euros d'actions. Trop fantasmagorique !
Que, que, que, c'est une histoire où encore nous sommes pris pour des cons. A part que les cinq milliards auraient suffi à doubler le minimum vieillesse par exemple. Par contre là, c'est pas sympa pour les vieux !
Tout ça ne nous dit pas si les cocus ne sont pas ceux qui cocufient au final !
Mais, cela aurait été tellement mieux avec du sang, des larmes et de l'amour. Cela aurait fait une histoire comme les aime notre éminent président qui rame à remonter la pente des sondages.
Il a beau s'agité notamment pour ce qu'il reste de la sidérurgie française, ce n'est pas son entretien avec Lakshimi Mittal qui va sauver les emplois à Gandrange. Après, tout, malgré le fait que l'entreprise puisse être potentiellement remise à flot, le déficit étant faible, sa production sera mieux valorisée en Inde. Alors, les désiratas du président ne survivront pas aux élections municipales. L'indien accepte d'attendre pour ne pas mettre Sarko en porte à faux pendant le déroulement desdites élections.
Pas plus, pas moins !
Quant-à sa charge contre le président de la Société Générale, tous les observateurs s'accordent à dire que ce n'est pas le moment d'ajouter une crise à une autre crise. Donc, pour le moment, il restera président, au moins tant que le danger d'un effondrement de la banque restera un danger potentiel.
Mais, toute cette histoire confirme publiquement qu'il y de l'argent en France. Cela donne donc raison à Besancenot qui affirme qu'il faut taxer les produits financiers. Rendez-vous compte, cinq milliards de perte pour un mouvement de 50 milliards. Prenons tous nos spéculateurs et le trou de la sécu est comblé les doigts dans le nez.
Pas si con, notre camarade Besancenot. Ces longues distributions du courrier à pied lui donne le temps de réfléchir. En tout cas, faut mieux lui que Ségolène qui continue à creuser la division au sein du PS.
PS qui d'ailleurs ressemble de moins en moins à un parti de gouvernement et de plus en plus à une ménagerie.
De plus, faut pas que le PS se fasse des illusions, si un vote majoritaire se dessine aux municipales en sa faveur. Ça sera surtout un vote de protestation contre les comportements de Sarko plutôt qu'une vague rose. Ça ne sera donc pas un électorat acqui, mais, plutôt un électorat prêt à accorder son soutien à d'autres ou à un autre à l'occasion d'autres élections.
En tout cas, il est évident que Sarko n'est pas à la hauteur de celui qu'il admire le plus, François Mitterrand. Pour preuve, il n'a pas réussi à liquider Bayrou et pas plus à neutraliser le PS.
Par contre, tous les petits partis qui se sont créés ou évoluent autour de l'UMP ont du souci à se faire, ils risquent de ne pas y survivre.
Et, tous ça, à cause de qui ? De celui pour qui, ils ont vendu leurs âmes !
Et, en ce qui concerne Bush et son discours à l'Union. Il n'y a rien à en retenir à part qu'il se retire dans la débâcle. Même pas, il n'aura une satisfaction en fin de règne avec une paix au Proche Orient. Il se retire pire que Bill Clinton qui n'avait pas réussi non plus au Proche Orient, mais qui laissait le pays avec une croissance enviée par les autres pays de l'hémisphère nord.
Et, le rêve de Sarko de faire un discours à la nation du perchoir de l'assemblée nationale, qu'en est-il ? Cette instance républicaine qu'il rend caduque en la traitant comme une simple chambre d'enregistrement de ses désirs.
Après tout, s'il veut lui donner un autre rôle, il n'a qu'à s'y marier, ça pourrait être marrant, non ?
Et, sur ce, je vous souhaite, une bonne année 2008 !
Mais, non, je rigole, ça va plutôt être une année à pleurer. Gardez quand même la niaque !
Un petit texte pour les petits mecs de banlieues ou les Kairas comme dit Sarko, tous ces salauds que je vous promets de nettoyer au carchère, dixit lui même.
Vraiment, des fois, il est pas poli notre président. Mais, il est vrai qu'il n'est pas le président de tous les français.
Bouge de là !
Si tu crois mon p’tit gars, si tu crois,
qu’t’iras loin avec tout ça,
lève les yeux, le plafond est plutôt bas.
Dans la jungle des sans-pitiés qui la font à l’envers,
tu traces pareil et tu t’essuies les pieds
sur tous ceux qui te servent de serpillière.
Et tu voudrais qu’on te respecte ?
Tu es fier de frapper ,
de dépouiller avec tes potes.
Sans compter les insultes pour la peur dans les yeux
et sentir la puissance de pouvoir les crever
mais as-tu oublié, le pourquoi, tu fais ça.
Alors, bouge,
fais en sorte que la prison ne soit pas la seule frontière
que tu puisses encore franchir.
Mais, si, c’est ça qu’tu veux, alors plonge,
engages-toi dans les troupes de voleurs de sacs,
de tireurs de voitures ou vendeurs de bédos,
pour en faire la littérature du rebelle qui baise
et la société et les cons qui la protègent.
Si tu crois mon p’tit gars, si tu crois,
qu’t’iras loin avec tout ça
sans même un détour côté taule ou bien cimetière
alors, mets le turbo !
Dans une voiture, tu traceras jusqu’à l’enfer
où tout est à vendre où tu pourras tout prendre
jusqu’à ce jour où la drogue, l’alcool et tes potes
te donneront aux poulets.
Alors, bouge,
fais en sorte que la prison ne soit pas la seule frontière
que tu franchisses avant le cimetière.
28/01/08
Allez, salut, les copains, les camarades, tout le monde, sauf les assassins de nos rêves, même les plus fous, comme celui d'un petit bonheur tout simple.
Ciao.
René.
lundi 28 janvier 2008
"Le coassement des grenouilles n'empêche pas l'éléphant de boire". Proverbe africain qui donne un point à Sarko.
Salut à Besancenot, j'espère que tu arriveras à construire ce front anti-capitaliste à la gauche de la gauche.
Eh, oui, mes chers amis, il a raison le camarade, il faut redonner du peps au débat démocratique abandonné par les grands partis de la gauche parlementaire.
Parlement qui entre-nous n'a de voix que se positionner en écho des désiratas présidentielles. On se demande d'ailleurs à quoi il sert, à part voter des lois dont les décrets d'application sont renvoyés aux calendes grec.
Parce que si l'on prend le sénat, il serait temps de le dépoussiérer pour qu'il corresponde vraiment au paysage démographique de notre beau pays. Et, pour l'assemblée nationale, si, elle ne sert que de chambre d'enregistrement des désirs d'une seule personne, alors là aussi, il faudrait envisager d'en changer ses modalités de fonctionnement. Parce que là, nous sommes loin d'une articulation démocratique du choix des citoyens.
Donc, abolition ou ré aménagement ?
Perso, je voterais pour l'abolition. D'abord, ça coûte cher et le gouvernement justement cherche à faire des économies dans le fonctionnement de l'état. En, plus, si la chambre ne remplit plus sa fonction, il me semble inutile de prolonger un instrument stérile au débat démocratique.
Au moins, les économies réalisées pourraient être utilisées pour augmenter les petites retraites. Sans compter que la vente des immeubles liés à l'assemblée nationale pourrait servir à couvrir une partie de la dette de l'état puisque le gouvernement achève de vendre les bijoux de famille que Jospin a laissé.
Mais, basta, cela n'est faire que du mauvais esprit.
Pourtant, puisque j'y suis, pourquoi ne pas continuer avec le sujet du jour qui fait les gorges chaudes du monde de la finance.
Le trader fou a donc frappé. D'habitude, je pensais que c'était le concombre masqué, mais, il paraît que ça a changé.
Donc, un trader fou. Pas un as de la finance, mais un trader fou!
Le moins performant d'entre eux puisque sa commission de l'année dernière s'est élevé à 1600 euros alors que les coms de ses collègues peuvent aller entre 100.000 et un million d'euros.
Comment celui dont tout le monde se moquait, a-t-il pu commettre ce vol plané spéculatif sans alerter l'opinion mondiale ?
Oui, bizarre ?
En plus, ce n'est pas un criminel, donc il n'ira pas en prison. Il a joué, il a perdu ! C'est tout. Pourquoi, irait-il en prison pour cela ?
C'est la banque qui est fautive, pas lui.
Par contre, tous ces gens là, nous en racontaient des histoires en disant que les banques françaises n'étaient que peu touchées.
Mais, il en est autement. Car, à part les cinq milliards d'euros, effet collatéral d'une spéculation porté à 50 milliards d'euros, la Société Général a perdu deux milliards d'euros sur subprimes.
Et, parait-il que la Caisse d'Epargne en a perdu autant sinon plus.
Au début, on nous annonçait 350 millions d'euros, peu après deux milliards et quant-est-il maintenant ?
L'état annonce qu'il couvrira les banques afin d'éviter qu'elles fassent faillite. Les banques seraient-elles en vrai si mal en point ? Et où prendra-t-il l'argent pour leur éviter la faillite ?
En ponctionnant les petits comme d'hab, c'est-à-dire nous ?
La Société Général a contacté des banques américaines et fait un tour de table européen pour demander à d'autres banques de lui venir en secours.
Pourtant, on nous susurre que malgré les pertes, elle reste excédentaire. Alors, si, elle est au positif, dites-moi pourquoi, elle cherche des partenaires pour entrer dans son capital et sauver les meubles ?
Bizarre, non ?
Toute cette affaire qui nous affaiblit au niveau international n'est-elle pas la preuve en live et en couleur du niveau où tous ces gens se permettent de nous prendre pour des abrutis ?
Eh, oui, je vous le dis. Actuellement, peut-être est-ce l'effet Sarko, plus personne ne prend de précaution pour nous manipuler, excusez-moi, pour nous prendre pour des cons.
J'espère que cette fois-ci, vous en serez convaincus !
Et, si vous voulez mon avis, changez de banque avant que la Société Générale ne vous fasse payer ses frais en vous augmentant de toutes les manières les frais de gestion de vos compte ou comme le Crédit Lyonnais vous dépece si vous avez le malheur d'avoir dépassé votre découvert.
Moi, elle me prend 20% de mon salaire. A bon entendeur salut !
Et, un petit texte pour vous décrire ce qu'il va vous arriver quand votre banque va s'occuper de vous.
INSOMNIE
Insomnie qu’en ton nom
tant de crimes assouvis
de haines qui sur les murs
s’éclatent en vaines querelles
de troupeaux sacrifiés
pour ta demeure gardée
De pauvres hères perdus
sur tes sentiers battus
de tant d’auteurs usés
par le temps écoulé
de corps abandonnés
par langueurs assouvies
de jouissances incertaines
par fatigue asservie
de tant de tes amants
dans les bars de la nuit
Insomnie ma trop fidèle amie
Moi seul te connais
et t’attends.
Paris le 31/04/2000
A bientôt et portez vous bien. Ah, au fait, si votre banque vous étrangle, écrivez le moi que je le mettes sur mon blog.
René.
Eh, oui, mes chers amis, il a raison le camarade, il faut redonner du peps au débat démocratique abandonné par les grands partis de la gauche parlementaire.
Parlement qui entre-nous n'a de voix que se positionner en écho des désiratas présidentielles. On se demande d'ailleurs à quoi il sert, à part voter des lois dont les décrets d'application sont renvoyés aux calendes grec.
Parce que si l'on prend le sénat, il serait temps de le dépoussiérer pour qu'il corresponde vraiment au paysage démographique de notre beau pays. Et, pour l'assemblée nationale, si, elle ne sert que de chambre d'enregistrement des désirs d'une seule personne, alors là aussi, il faudrait envisager d'en changer ses modalités de fonctionnement. Parce que là, nous sommes loin d'une articulation démocratique du choix des citoyens.
Donc, abolition ou ré aménagement ?
Perso, je voterais pour l'abolition. D'abord, ça coûte cher et le gouvernement justement cherche à faire des économies dans le fonctionnement de l'état. En, plus, si la chambre ne remplit plus sa fonction, il me semble inutile de prolonger un instrument stérile au débat démocratique.
Au moins, les économies réalisées pourraient être utilisées pour augmenter les petites retraites. Sans compter que la vente des immeubles liés à l'assemblée nationale pourrait servir à couvrir une partie de la dette de l'état puisque le gouvernement achève de vendre les bijoux de famille que Jospin a laissé.
Mais, basta, cela n'est faire que du mauvais esprit.
Pourtant, puisque j'y suis, pourquoi ne pas continuer avec le sujet du jour qui fait les gorges chaudes du monde de la finance.
Le trader fou a donc frappé. D'habitude, je pensais que c'était le concombre masqué, mais, il paraît que ça a changé.
Donc, un trader fou. Pas un as de la finance, mais un trader fou!
Le moins performant d'entre eux puisque sa commission de l'année dernière s'est élevé à 1600 euros alors que les coms de ses collègues peuvent aller entre 100.000 et un million d'euros.
Comment celui dont tout le monde se moquait, a-t-il pu commettre ce vol plané spéculatif sans alerter l'opinion mondiale ?
Oui, bizarre ?
En plus, ce n'est pas un criminel, donc il n'ira pas en prison. Il a joué, il a perdu ! C'est tout. Pourquoi, irait-il en prison pour cela ?
C'est la banque qui est fautive, pas lui.
Par contre, tous ces gens là, nous en racontaient des histoires en disant que les banques françaises n'étaient que peu touchées.
Mais, il en est autement. Car, à part les cinq milliards d'euros, effet collatéral d'une spéculation porté à 50 milliards d'euros, la Société Général a perdu deux milliards d'euros sur subprimes.
Et, parait-il que la Caisse d'Epargne en a perdu autant sinon plus.
Au début, on nous annonçait 350 millions d'euros, peu après deux milliards et quant-est-il maintenant ?
L'état annonce qu'il couvrira les banques afin d'éviter qu'elles fassent faillite. Les banques seraient-elles en vrai si mal en point ? Et où prendra-t-il l'argent pour leur éviter la faillite ?
En ponctionnant les petits comme d'hab, c'est-à-dire nous ?
La Société Général a contacté des banques américaines et fait un tour de table européen pour demander à d'autres banques de lui venir en secours.
Pourtant, on nous susurre que malgré les pertes, elle reste excédentaire. Alors, si, elle est au positif, dites-moi pourquoi, elle cherche des partenaires pour entrer dans son capital et sauver les meubles ?
Bizarre, non ?
Toute cette affaire qui nous affaiblit au niveau international n'est-elle pas la preuve en live et en couleur du niveau où tous ces gens se permettent de nous prendre pour des abrutis ?
Eh, oui, je vous le dis. Actuellement, peut-être est-ce l'effet Sarko, plus personne ne prend de précaution pour nous manipuler, excusez-moi, pour nous prendre pour des cons.
J'espère que cette fois-ci, vous en serez convaincus !
Et, si vous voulez mon avis, changez de banque avant que la Société Générale ne vous fasse payer ses frais en vous augmentant de toutes les manières les frais de gestion de vos compte ou comme le Crédit Lyonnais vous dépece si vous avez le malheur d'avoir dépassé votre découvert.
Moi, elle me prend 20% de mon salaire. A bon entendeur salut !
Et, un petit texte pour vous décrire ce qu'il va vous arriver quand votre banque va s'occuper de vous.
INSOMNIE
Insomnie qu’en ton nom
tant de crimes assouvis
de haines qui sur les murs
s’éclatent en vaines querelles
de troupeaux sacrifiés
pour ta demeure gardée
De pauvres hères perdus
sur tes sentiers battus
de tant d’auteurs usés
par le temps écoulé
de corps abandonnés
par langueurs assouvies
de jouissances incertaines
par fatigue asservie
de tant de tes amants
dans les bars de la nuit
Insomnie ma trop fidèle amie
Moi seul te connais
et t’attends.
Paris le 31/04/2000
A bientôt et portez vous bien. Ah, au fait, si votre banque vous étrangle, écrivez le moi que je le mettes sur mon blog.
René.
vendredi 25 janvier 2008
"Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques". Dalaï Lama.
Salut à ceux qui pensent que certainement, on ne nous prend pas pour des cons, mais, on nous laisse pour. Comme ils disent à Marseille.
C'est justement ce que je me demande lorsque je me pose la question de Dieu. Certains comme les chrétiens lui donnent l'apparence d'un vieillard bienveillant, d'autres comme les hébreux, l'image d'un vieillard courroucé avec deux ou trois éclairs dans les mains et certains comme les musulmans en interdisent toute représentation.
Alors, moi, je me demande si la meilleure représentation ne serait pas l'univers, l'univers qui vit d'une manière différente de nous, mais qui vit. Ne serait-il pas possible de s'imaginer que la création est dieu, tout simplement ? Et, dans ces conditions la question qui se pose est, comment appréhender l'immensité de l'univers ?
En plus, cela signifierait que nous vivons à l'intérieur de lui et qu'il n'est pas ce quelque chose qui nous regarde d'en haut. Donc, impossible d'en cerner le contour même pour un artiste doué pour les abstractions.
Ah, à quel niveau de réflexion, cela nous entraîne ! N'est-il pas vrai ?
Ouais, bon voilà à ce que je pense quand la brume envahit mon cerveau, les jours de grand vent en chantant "Hisse et Ho".
Mise à part ça ? Le monde de la finance se prend les pieds dans ses filets ? Oui, bon, est-ce vraiment intéressant ?
Par exemple de savoir que le président de la Société Générale a un salaire de 100.000 euros et qu'il a touché une prime de 2 millions l'année dernière. Oui, bon.
Que les traders de la Société Générale vont perdre cette année entre 100.000 et un millions d'euros de prime.
Oui, bon.
Et, vous, vous gagnez combien ? Si peu ! Alors, vous vous êtes sûrement trompés de métier.
Peut-être devrions-nous demander aux banques de faire un geste humanitaire, vu qu'elles brassent tout un tas de pognon inconsidérable.
Comment ? Par exemple en utilisant une partie des avoirs de leurs fondations pour soulager les ménages les plus en difficulté.
Imaginez, un staff, dans chaque banque, disposant d'une enveloppe financière dans le seul but d'aider les ménages les plus en difficultés, mais les plus méritants, ceux qui font des efforts pour faire face à leurs obligations et qui interviendrait pour éteindre leurs dettes, au moins une fois.
Ne serait-ce pas un beau geste de la part de ses banques qui se mettent à spéculer autant que les fonds de pensions et qui en conséquence participent à la dérégularisation de nos économies ?
Allez, un petit effort, messieurs les banquiers. Un tout petit effort de solidarité au moment où le corps social bascule dans la précarité.
Parce que tout ce fric que vous brassez à quoi vous sert-il, à part vous projeter dans un univers plus ou moins fantasmagorique qui vous place au dessus du commun des mortels. Mais, cela change-t-il le mortel ennui qui peut parfois vous saisir et que l'argent seul ne peut soigner. Ce mortel ennui qui me fait dire, "Est-ce simplement ça la vie ?", "Mais, alors, à quoi cela m'aura-t-il servi de vivre ?"
Enfin, bref, vous voyez le genre.
Il est vrai que le bonheur est égoïste et que seuls les fous sont prêts à le partager.
Et,.........Ouh là, qu'est-ce que je raconte ?
Ça y est, je me perd dans un délire. Pardonnez-moi, y'a des jours où je n'arrive pas à me contrôler. Ça doit être à force de boire du Coca Cola, ça doit me monter à la tête ce truc américain fait pour coloniser les esprits et détruire les corps. Un verre de coca égale six sucres ne l'oubllions pas !
Et, je suis sûr que même les FARC en Colombie en boivent.
Bon, pour me faire pardonner, je vous soumets un vieux poème que j'ai écris et qui sonne aujourd'hui, d'une actualité redoutable.
LE VOLEUR DE RÊVES
Voleur de rêves, voleur de rêves,
toi, qui marches dans les pas du vent
et redessines les contours des nuages fluctuants,
dis-moi, où as-tu mis le songe de l’âme
de celle qui loin de moi attends.
Voleur de vie,
lorsque tu dérobes le rêve et détruis l’illusion, l’amour s’en va aussi au fil de l’eau.
Derrière toi, l’oubli recouvre le crime et fait refleurir l’envie.
Tu ne nous laisses que le bruit de la fureur des armes,
chevaliers combattants sans veuves et sans orphelins
pour justifier notre drame.
Sabreur d’illusion, escamoteur de vision
lorsque ton ombre s’envole et parcourt l’espace infini,
il ne reste que des fenêtres aveugles et sans souvenirs.
Voleur de rêves, voleur de rêves,
Tu as détourné l’âme de l’image qu’elle se fait de moi.
Son attente est rendue stérile et sa fidélité inutile.
Toi, qui marches dans les pas du vent
et redessines les contours des nuages fluctuants,
en abolisant le rêve, tu as simplement effacé la vie.
Voleur de rêves, voleur de rêves, pourquoi, tu ne nous oublies ?
Paris le 05/03/98
Et, sur ces paroles de fiel, je vous salue bien bas, mes chers trois lecteurs et je vous dis, à tantôt, comme on disait dans le temps d'avant.
René.
C'est justement ce que je me demande lorsque je me pose la question de Dieu. Certains comme les chrétiens lui donnent l'apparence d'un vieillard bienveillant, d'autres comme les hébreux, l'image d'un vieillard courroucé avec deux ou trois éclairs dans les mains et certains comme les musulmans en interdisent toute représentation.
Alors, moi, je me demande si la meilleure représentation ne serait pas l'univers, l'univers qui vit d'une manière différente de nous, mais qui vit. Ne serait-il pas possible de s'imaginer que la création est dieu, tout simplement ? Et, dans ces conditions la question qui se pose est, comment appréhender l'immensité de l'univers ?
En plus, cela signifierait que nous vivons à l'intérieur de lui et qu'il n'est pas ce quelque chose qui nous regarde d'en haut. Donc, impossible d'en cerner le contour même pour un artiste doué pour les abstractions.
Ah, à quel niveau de réflexion, cela nous entraîne ! N'est-il pas vrai ?
Ouais, bon voilà à ce que je pense quand la brume envahit mon cerveau, les jours de grand vent en chantant "Hisse et Ho".
Mise à part ça ? Le monde de la finance se prend les pieds dans ses filets ? Oui, bon, est-ce vraiment intéressant ?
Par exemple de savoir que le président de la Société Générale a un salaire de 100.000 euros et qu'il a touché une prime de 2 millions l'année dernière. Oui, bon.
Que les traders de la Société Générale vont perdre cette année entre 100.000 et un millions d'euros de prime.
Oui, bon.
Et, vous, vous gagnez combien ? Si peu ! Alors, vous vous êtes sûrement trompés de métier.
Peut-être devrions-nous demander aux banques de faire un geste humanitaire, vu qu'elles brassent tout un tas de pognon inconsidérable.
Comment ? Par exemple en utilisant une partie des avoirs de leurs fondations pour soulager les ménages les plus en difficulté.
Imaginez, un staff, dans chaque banque, disposant d'une enveloppe financière dans le seul but d'aider les ménages les plus en difficultés, mais les plus méritants, ceux qui font des efforts pour faire face à leurs obligations et qui interviendrait pour éteindre leurs dettes, au moins une fois.
Ne serait-ce pas un beau geste de la part de ses banques qui se mettent à spéculer autant que les fonds de pensions et qui en conséquence participent à la dérégularisation de nos économies ?
Allez, un petit effort, messieurs les banquiers. Un tout petit effort de solidarité au moment où le corps social bascule dans la précarité.
Parce que tout ce fric que vous brassez à quoi vous sert-il, à part vous projeter dans un univers plus ou moins fantasmagorique qui vous place au dessus du commun des mortels. Mais, cela change-t-il le mortel ennui qui peut parfois vous saisir et que l'argent seul ne peut soigner. Ce mortel ennui qui me fait dire, "Est-ce simplement ça la vie ?", "Mais, alors, à quoi cela m'aura-t-il servi de vivre ?"
Enfin, bref, vous voyez le genre.
Il est vrai que le bonheur est égoïste et que seuls les fous sont prêts à le partager.
Et,.........Ouh là, qu'est-ce que je raconte ?
Ça y est, je me perd dans un délire. Pardonnez-moi, y'a des jours où je n'arrive pas à me contrôler. Ça doit être à force de boire du Coca Cola, ça doit me monter à la tête ce truc américain fait pour coloniser les esprits et détruire les corps. Un verre de coca égale six sucres ne l'oubllions pas !
Et, je suis sûr que même les FARC en Colombie en boivent.
Bon, pour me faire pardonner, je vous soumets un vieux poème que j'ai écris et qui sonne aujourd'hui, d'une actualité redoutable.
LE VOLEUR DE RÊVES
Voleur de rêves, voleur de rêves,
toi, qui marches dans les pas du vent
et redessines les contours des nuages fluctuants,
dis-moi, où as-tu mis le songe de l’âme
de celle qui loin de moi attends.
Voleur de vie,
lorsque tu dérobes le rêve et détruis l’illusion, l’amour s’en va aussi au fil de l’eau.
Derrière toi, l’oubli recouvre le crime et fait refleurir l’envie.
Tu ne nous laisses que le bruit de la fureur des armes,
chevaliers combattants sans veuves et sans orphelins
pour justifier notre drame.
Sabreur d’illusion, escamoteur de vision
lorsque ton ombre s’envole et parcourt l’espace infini,
il ne reste que des fenêtres aveugles et sans souvenirs.
Voleur de rêves, voleur de rêves,
Tu as détourné l’âme de l’image qu’elle se fait de moi.
Son attente est rendue stérile et sa fidélité inutile.
Toi, qui marches dans les pas du vent
et redessines les contours des nuages fluctuants,
en abolisant le rêve, tu as simplement effacé la vie.
Voleur de rêves, voleur de rêves, pourquoi, tu ne nous oublies ?
Paris le 05/03/98
Et, sur ces paroles de fiel, je vous salue bien bas, mes chers trois lecteurs et je vous dis, à tantôt, comme on disait dans le temps d'avant.
René.
mercredi 23 janvier 2008
Aujourd'hui, rien, j'ai pris une caisse hier soir à cause de mes collègues de travail. Mais, néanmoins un texte.
A force de passer par le cimetière Montparnasse
Bientôt parmi vous
je me reposerai
d’une trop courte vie
qui ne m’a rien laissée
en amour ou en drame
je n’ai fait que passer.
J’attends ce moment-là
avec trop de constance
pour que mes pas me mènent
vers un autre séjour.
Quand ce moment attendu
sera enfin venu
je me dresserai là
inébranlable entre les tombes
pour crier avec vous :
“ Debout les morts
il est temps
de réclamer à la vie
la part qui nous échoit. “
Paris le 11/05/98
PS : Ah, au fait, je cherche des renseignements sur une presse pour fabriquer des briques en terre crues pour un projet en Nouvelle Calédonie et ailleurs. Si vous avez, envoyez moi un mail à www.wabealo@voila.fr. Merci d'avance.
A force de passer par le cimetière Montparnasse
Bientôt parmi vous
je me reposerai
d’une trop courte vie
qui ne m’a rien laissée
en amour ou en drame
je n’ai fait que passer.
J’attends ce moment-là
avec trop de constance
pour que mes pas me mènent
vers un autre séjour.
Quand ce moment attendu
sera enfin venu
je me dresserai là
inébranlable entre les tombes
pour crier avec vous :
“ Debout les morts
il est temps
de réclamer à la vie
la part qui nous échoit. “
Paris le 11/05/98
PS : Ah, au fait, je cherche des renseignements sur une presse pour fabriquer des briques en terre crues pour un projet en Nouvelle Calédonie et ailleurs. Si vous avez, envoyez moi un mail à www.wabealo@voila.fr. Merci d'avance.
mardi 22 janvier 2008
"Celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas".Lao Tseu.
Salut au peuple Inuit qui continue de crever des poisons chimiques qui naviguent dans l'atmosphère. La Chine pense à vous !
Keng sang tch’ou lui dit :
— "Veillez à ce que votre corps bien sain emprisonne hermétiquement votre esprit vital ; ne laissez pas des pensées et des images bourdonner dans votre intérieur ; si vous faites cela durant trois années entières, vous obtiendrez ce que vous désirer".
Ce que l'on peut traduire en bon français, "Tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de sortir une connerie !"
Est-ce que cela vous fait penser à quelqu'un ?
Alors, ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est vous.
Par contre, nous avons une Sarkozette, paupiette, cosette qui nous fait la même que son président. Madame Fadela Amara veut diminuer le chômage par deux dans les banlieues et y installer 30.000 Pme avec un pactole de un milliard d'euros.
Bien, elle fait mieux que tout le monde. Mais, comment fait-elle ?
Un milliard, 30.000 Pme, ça, ça s'appelle un plan Marshall !
Déjà, moi, à cette annonce, je reste largement sceptique. Nous faire prendre des vessies pour des lanternes, c'est le langage présidentiel. Mais, si les Sarkozette s'y mettent, où allons-nous.
Parce que dans les banlieues, la réalité dépasse la fiction. Il n'y a rien ou si peu !
Et, où va-t-on les trouver le milliard, vu que le ministre de la culture va taxer les hôtels de luxe pour trouver l'argent nécessaire à l'entretien de nos monuments.
Les caisses sont vides, les cadeaux fiscaux en sont pour partie responsable, et pour remplir leur rôle l'état n'a plus qu'une solution : La Taxe.
Alors, que va taxer madame Amara ?
A mon avis, ça sera les multinationales françaises tel que Total pour les obliger à participer à l'effort national. Disons, 0,05 centimes d'euros par litre d'essence.
Eh, oui, parce qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses et que la crise financière qui s'annonce, même si ce ne sera pas le krak des années 1920, demandera des ressources à l'état pour protéger nos instituts financiers privés et étatiques.
Car, même si nos banques n'ont que très peu plongé dans l'histoire des subprimes américaines, elles n'en ont pas moins accordé des crédits à la consommation qui risquent de leur poser problème avec les capacité à faire face aux remboursements de leurs clients.
Parce que si nos banques arrêtaient de se conduire en prédateur des comptes courants en modulant par exemple l'injonction des taux variables, on pourrait peut-être passer la crise à venir en douceur. De manière à ce qu'elle soit moins douloureuses pour les ménages en attendent des jours meilleurs à venir.
Mais, est-ce que les banques seront prêtes à des sacrifices qui ne le seront pas puisque de toute façon, elles risquent de ne pas voir venir le remboursement du capital et de leurs agios à taux usuraires.
Car, ce n'est pas l'état qui va aider tous ces gens là. Il n'a pas les liquidités nécessaire et augmenter la dette n'est pas la solution, même à court terme.
Parce que le véritable problème de la France, n'est-il pas la dette de l'état et le service de la dette qui devient de plus en plus insupportable ?
Et, pour passer du coq à l'âne, je salue l'effort de la Chine pour lutter contre la pollution. En effet, 300 et quelques milliards d'euros, chapeau !
Messieurs les industriels français, il y a des marchés à prendre, alors à vos ordinateurs et à vos calculette avant que d'autres ne vous piquent le marché.
C'est vrai quoi ! Nous aurions pu être les prems sur ce marché comme Areva pour le nucléaire, mais, pour une cause plus juste, vu que les déchets à venir, on ne saura quoi en faire.
Bon, je m'excuse, je suis encore à la bourre. Trois quart d'heure pour avoir des idées et rédiger et corriger, c'est pas vraiment beaucoup. Mais, je n'ai pas internet chez moi et ne dispose que d'un vieil ordi. Alors, si vous en avez un à m'offrir, je suis preneur.
Donc, avant de vous quitter un autre texte qui ne me satisfait pas vraiment et qui méritera un travail à venir.
Hommage guévariste
La police est dans la rue, elle me cherche partout.
Je courre dans tous les sens pour fuir sa vigilance.
Je vous jure, elle est après moi parce que comme qui dirait
je suis le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.
Je prends le fric là où il est.
Dans le milieu, je suis connu comme le lupin garou des faubourgs
et tous m’aident à me planquer pour éviter une justice
qui ne connaît de droit que celui de l’enfermement.
La police est après moi et après vous aussi, si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès de cette société sans pitié.
La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé quand les poulets montrent leurs nez.
Avec tous mes compagnons, nous sommes partis sur la route
nous avons soulevé les foules et notre nombre est important.
A nos côtés flamboie le drapeau de toutes les révolutions
qui ont conduits les crétins à fabriquer des camps à la place des prisons.
A notre arrivée, nous l’avons déposé sur le mur des fédérés
en l’honneur de tous ceux qui sont morts pour toutes les libertés.
En tout cas, j’en profite bien et je poursuis leur mission
de piquer aux nantis pour le rendre à ceux qui n’en ont plus.
La police est après moi et après vous aussi si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès d’une société sans pitié.
Alors, battons-nous
rassemblons-nous et crions, mais, restons solidaire quand il s’agit d’argent
et distribuons le pour sauver des gens
et écoutons l”accordéon.
On m’appelle le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.
Je cours pour éviter la police.
Mais, les gens sont avec moi contre une justice
qui veut me faire connaître la prison.
La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens, en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas, pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé, quand les poulets montrent leurs nez.
27/06/04
Et, sur à bientôt.
René.
Keng sang tch’ou lui dit :
— "Veillez à ce que votre corps bien sain emprisonne hermétiquement votre esprit vital ; ne laissez pas des pensées et des images bourdonner dans votre intérieur ; si vous faites cela durant trois années entières, vous obtiendrez ce que vous désirer".
Ce que l'on peut traduire en bon français, "Tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de sortir une connerie !"
Est-ce que cela vous fait penser à quelqu'un ?
Alors, ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est vous.
Par contre, nous avons une Sarkozette, paupiette, cosette qui nous fait la même que son président. Madame Fadela Amara veut diminuer le chômage par deux dans les banlieues et y installer 30.000 Pme avec un pactole de un milliard d'euros.
Bien, elle fait mieux que tout le monde. Mais, comment fait-elle ?
Un milliard, 30.000 Pme, ça, ça s'appelle un plan Marshall !
Déjà, moi, à cette annonce, je reste largement sceptique. Nous faire prendre des vessies pour des lanternes, c'est le langage présidentiel. Mais, si les Sarkozette s'y mettent, où allons-nous.
Parce que dans les banlieues, la réalité dépasse la fiction. Il n'y a rien ou si peu !
Et, où va-t-on les trouver le milliard, vu que le ministre de la culture va taxer les hôtels de luxe pour trouver l'argent nécessaire à l'entretien de nos monuments.
Les caisses sont vides, les cadeaux fiscaux en sont pour partie responsable, et pour remplir leur rôle l'état n'a plus qu'une solution : La Taxe.
Alors, que va taxer madame Amara ?
A mon avis, ça sera les multinationales françaises tel que Total pour les obliger à participer à l'effort national. Disons, 0,05 centimes d'euros par litre d'essence.
Eh, oui, parce qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses et que la crise financière qui s'annonce, même si ce ne sera pas le krak des années 1920, demandera des ressources à l'état pour protéger nos instituts financiers privés et étatiques.
Car, même si nos banques n'ont que très peu plongé dans l'histoire des subprimes américaines, elles n'en ont pas moins accordé des crédits à la consommation qui risquent de leur poser problème avec les capacité à faire face aux remboursements de leurs clients.
Parce que si nos banques arrêtaient de se conduire en prédateur des comptes courants en modulant par exemple l'injonction des taux variables, on pourrait peut-être passer la crise à venir en douceur. De manière à ce qu'elle soit moins douloureuses pour les ménages en attendent des jours meilleurs à venir.
Mais, est-ce que les banques seront prêtes à des sacrifices qui ne le seront pas puisque de toute façon, elles risquent de ne pas voir venir le remboursement du capital et de leurs agios à taux usuraires.
Car, ce n'est pas l'état qui va aider tous ces gens là. Il n'a pas les liquidités nécessaire et augmenter la dette n'est pas la solution, même à court terme.
Parce que le véritable problème de la France, n'est-il pas la dette de l'état et le service de la dette qui devient de plus en plus insupportable ?
Et, pour passer du coq à l'âne, je salue l'effort de la Chine pour lutter contre la pollution. En effet, 300 et quelques milliards d'euros, chapeau !
Messieurs les industriels français, il y a des marchés à prendre, alors à vos ordinateurs et à vos calculette avant que d'autres ne vous piquent le marché.
C'est vrai quoi ! Nous aurions pu être les prems sur ce marché comme Areva pour le nucléaire, mais, pour une cause plus juste, vu que les déchets à venir, on ne saura quoi en faire.
Bon, je m'excuse, je suis encore à la bourre. Trois quart d'heure pour avoir des idées et rédiger et corriger, c'est pas vraiment beaucoup. Mais, je n'ai pas internet chez moi et ne dispose que d'un vieil ordi. Alors, si vous en avez un à m'offrir, je suis preneur.
Donc, avant de vous quitter un autre texte qui ne me satisfait pas vraiment et qui méritera un travail à venir.
Hommage guévariste
La police est dans la rue, elle me cherche partout.
Je courre dans tous les sens pour fuir sa vigilance.
Je vous jure, elle est après moi parce que comme qui dirait
je suis le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.
Je prends le fric là où il est.
Dans le milieu, je suis connu comme le lupin garou des faubourgs
et tous m’aident à me planquer pour éviter une justice
qui ne connaît de droit que celui de l’enfermement.
La police est après moi et après vous aussi, si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès de cette société sans pitié.
La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé quand les poulets montrent leurs nez.
Avec tous mes compagnons, nous sommes partis sur la route
nous avons soulevé les foules et notre nombre est important.
A nos côtés flamboie le drapeau de toutes les révolutions
qui ont conduits les crétins à fabriquer des camps à la place des prisons.
A notre arrivée, nous l’avons déposé sur le mur des fédérés
en l’honneur de tous ceux qui sont morts pour toutes les libertés.
En tout cas, j’en profite bien et je poursuis leur mission
de piquer aux nantis pour le rendre à ceux qui n’en ont plus.
La police est après moi et après vous aussi si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès d’une société sans pitié.
Alors, battons-nous
rassemblons-nous et crions, mais, restons solidaire quand il s’agit d’argent
et distribuons le pour sauver des gens
et écoutons l”accordéon.
On m’appelle le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.
Je cours pour éviter la police.
Mais, les gens sont avec moi contre une justice
qui veut me faire connaître la prison.
La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens, en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas, pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé, quand les poulets montrent leurs nez.
27/06/04
Et, sur à bientôt.
René.
lundi 21 janvier 2008
"Celui qui plante la vertu, ne doit pas oublier de l'arroser souvent".Confucius.
Salut les artistes, commençons par une phrase forte, "Sarko a commencé dans le méli, il finira dans le mélo".
Eh,oui, Bush s'affole et quand l'amérique tousse, le monde prend froid. Que dire à part bien fait pour leurs tronches. Entre nous, c'est bien de spéculer, mais, peut-être doit-on s'en tenir aux chasses gardées boursières plutôt que vouloir envahir tous les domaines qui concernent le banking.
Je dirais que c'est comme les espèces de poissons, à partir d'un taux de prélèvement trop important l'espèce ne peut plus se renouveler. Les taux variables, c'est pareil. Lorsque la banque investit une trop grande part de son capital sur les taux variables, la moindre crise financière met sa pérennité même en jeu. Tout simplement parce qu'elle n'a plus assez de fond propre pour compenser ses pertes.
Alors, l'état intervient.....en baissant les impôts entre autre.
Ça, c'est un truc qui va arranger les banques, une baisse d'impôt. Et, surtout, ça va relancer la croissance à moyen terme, vu que les ménages en période de crise thésaurisent.
Les ménages vont plutôt se mettre en stand by sur la consommation, d'autant plus que tous les experts affirment que ça puent la catastrophe. Une nouvelle dynamique économique, peut-être ?
Dommage ! Toutes les niches ont été investies précédemment et ont donné lieu à des kracks boursiers. Aujourd'hui, c'est l'immobilier, demain, cela sera autre chose et les financiers se précipiteront sur la même niche au point de la faire exploser comme d'habitude.
Bon, et de notre pouvoir d'achat, qu'en-est-il ?
Zéro + Zéro = la tête à toto.
Voilà, où il en est notre pouvoir d'achat qui laisse notre président sans voix. Bien que, bien que.....paraît-il, il réserve ses annonces pour les élections municipales. Sauf, qu'il devra être sacrément costaud pour trouver une solution là où son idole américaine se plante. Bof! Il ajoutera sûrement des mots au mots, comme d'hab.
Par contre s'impliquer dans les élections municipales en tant que président de la république, c'est faire la démonstration qu'il n'est pas le président de tous les français, mais, seulement d'une marge de la nation.
Les autres ? C'est cocus et compagnie !
Y'a pas à dire, il n'est pas comme les autres présidents, il ne respecte pas la neutralité de la fonction. Il agit là, plutôt comme un chef de bande. De bande de banlieue s'entend.
Bon, désolé, y'a ma collègue de travail qui me prend la tête pour prendre l'ordi. Alors, je vous laisse.
Un autre texte et vous pourrez dormir tranquille chez vous.
La danse du diable
Ça avance, ça avance
Il n’y a pas que le diable qui danse.
Il y a ceux qui promènent leurs rêves
sur les nuages dont les formes diverges.
Et , moi je te regarde
Droit, tout droit
et mon regard unique reste pour toi.
II y a ceux qui balancent leurs désirs
sur des monticules d’espérances à venir.
Et tous ceux qui ne vivent même pas
se contentent d’avancer d’un seul pas
plus tous ceux qui n’attendent qu’un mot
pour pouvoir mettre le feu dans le métro.
Malgré ça, ça avance, ça avance
et Il n’y a pas que le diable qui danse.
Il y a moi qui regarde ma banquière
avec dans les yeux des balles meurtrières
qui aimerait voir brûler la planète
pour voir comment courent les athlètes.
Ça avance, ça avance
les nantis entrent dans la danse
bientôt, je vais leur cirer les pompes
et qu’ils crèvent.
Et j’entends cette musique qui chante
qui me renvoie à ces galères
qui m’ont conduite à fréquenter
la tôle sans compter l’enfer.
et je les enverrais bien tous
dans le trou du cul du monde.
Ça avance, ça avance
il n’y a pas que le diable qui danse
il y a moi et ma ritournelle
qui ballade les espoirs qui sommeillent
pour rendre la vie plus vermeille
et les cons plus apparents.
18/01/2008
A bientôt.
René.
Eh,oui, Bush s'affole et quand l'amérique tousse, le monde prend froid. Que dire à part bien fait pour leurs tronches. Entre nous, c'est bien de spéculer, mais, peut-être doit-on s'en tenir aux chasses gardées boursières plutôt que vouloir envahir tous les domaines qui concernent le banking.
Je dirais que c'est comme les espèces de poissons, à partir d'un taux de prélèvement trop important l'espèce ne peut plus se renouveler. Les taux variables, c'est pareil. Lorsque la banque investit une trop grande part de son capital sur les taux variables, la moindre crise financière met sa pérennité même en jeu. Tout simplement parce qu'elle n'a plus assez de fond propre pour compenser ses pertes.
Alors, l'état intervient.....en baissant les impôts entre autre.
Ça, c'est un truc qui va arranger les banques, une baisse d'impôt. Et, surtout, ça va relancer la croissance à moyen terme, vu que les ménages en période de crise thésaurisent.
Les ménages vont plutôt se mettre en stand by sur la consommation, d'autant plus que tous les experts affirment que ça puent la catastrophe. Une nouvelle dynamique économique, peut-être ?
Dommage ! Toutes les niches ont été investies précédemment et ont donné lieu à des kracks boursiers. Aujourd'hui, c'est l'immobilier, demain, cela sera autre chose et les financiers se précipiteront sur la même niche au point de la faire exploser comme d'habitude.
Bon, et de notre pouvoir d'achat, qu'en-est-il ?
Zéro + Zéro = la tête à toto.
Voilà, où il en est notre pouvoir d'achat qui laisse notre président sans voix. Bien que, bien que.....paraît-il, il réserve ses annonces pour les élections municipales. Sauf, qu'il devra être sacrément costaud pour trouver une solution là où son idole américaine se plante. Bof! Il ajoutera sûrement des mots au mots, comme d'hab.
Par contre s'impliquer dans les élections municipales en tant que président de la république, c'est faire la démonstration qu'il n'est pas le président de tous les français, mais, seulement d'une marge de la nation.
Les autres ? C'est cocus et compagnie !
Y'a pas à dire, il n'est pas comme les autres présidents, il ne respecte pas la neutralité de la fonction. Il agit là, plutôt comme un chef de bande. De bande de banlieue s'entend.
Bon, désolé, y'a ma collègue de travail qui me prend la tête pour prendre l'ordi. Alors, je vous laisse.
Un autre texte et vous pourrez dormir tranquille chez vous.
La danse du diable
Ça avance, ça avance
Il n’y a pas que le diable qui danse.
Il y a ceux qui promènent leurs rêves
sur les nuages dont les formes diverges.
Et , moi je te regarde
Droit, tout droit
et mon regard unique reste pour toi.
II y a ceux qui balancent leurs désirs
sur des monticules d’espérances à venir.
Et tous ceux qui ne vivent même pas
se contentent d’avancer d’un seul pas
plus tous ceux qui n’attendent qu’un mot
pour pouvoir mettre le feu dans le métro.
Malgré ça, ça avance, ça avance
et Il n’y a pas que le diable qui danse.
Il y a moi qui regarde ma banquière
avec dans les yeux des balles meurtrières
qui aimerait voir brûler la planète
pour voir comment courent les athlètes.
Ça avance, ça avance
les nantis entrent dans la danse
bientôt, je vais leur cirer les pompes
et qu’ils crèvent.
Et j’entends cette musique qui chante
qui me renvoie à ces galères
qui m’ont conduite à fréquenter
la tôle sans compter l’enfer.
et je les enverrais bien tous
dans le trou du cul du monde.
Ça avance, ça avance
il n’y a pas que le diable qui danse
il y a moi et ma ritournelle
qui ballade les espoirs qui sommeillent
pour rendre la vie plus vermeille
et les cons plus apparents.
18/01/2008
A bientôt.
René.
vendredi 18 janvier 2008
"Sois avare de tes paroles et les choses s'arrangeront d'elles-mêmes".Lao-Tseu.
Salut au chevalier à la triste figure. A mon avis, tu as du travail, les moulins à vent poussent comme des champignons.
D'abord, les banques qui pratiquent de plus en plus des taux usuraires pour les crédits revolving. Ensuite, pour les frais qu'elles prennent pour les dépassement de découvert et les frais qu'elles prennent pour chèque refusé. Sans compter l'échange épistolaire qu'elle taxe à fond la caisse.
Donc, s'il se projette à l'horizon une crise quant-à la capacité des ménages à faire face à leurs emprunts bancaires, elles vont se faire dépecer sur pied.
En effet, parce qu'en 2008, leur pouvoir d'achat va se réduire d'une manière significative. Aussi, elles ne pourront faire face ni à leur crédit revolving qui une pratique dégueulasse, ni à leurs crédits à la consommation qui vont les asphyxier.
Il faudra donc prévoir des associations qui puissent introduire des recours contre les banques en faveur de leurs adhérents. Et, plus, ces associations seront nombreuses, plus le gouvernement devra en tenir compte.
Voilà, pour la crise qui se profile, c'est tout ce que j'ai à dire, "Battez-vous ou crevez. Il n'y aura pas d'autre alternative !"
D'un autre côté, après les élections municipales, le gouvernement va peut-être s'occuper des prud'hommes, histoire de nous faire aborder la nouvelle donne sarkozienne avec bonne humeur. Car, il ne peut s'attaquer au code du travail sans s'attaquer aux prud'hommes. Logique, non ?
Faut dire qu'il fait un peu n'importe quoi notre gouvernement. Supprimer la pub pour les chaînes publiques en taxant le surplus de pub pour les chaînes privées. C'est, encore n'importe quoi !
Pendant ce temps le cercle d'amis de Sarko va dépecer le service public, ce qui permettra à notre président de contrôler par personne interposée la grande majorité des médias télévisuels. Et, tout ces médias nous enverront un message, "Il a la volonté, mais le contexte international contrarie les effets attendus. Soyez patients en lui gardant votre soutien, les résultats finiront par émerger".
Évidemment, toutes les conneries qu'il continuera à nous sortir seront si peu commentées qu'elles finiront par paraître insignifiantes.
En attendant, il continue à se Bushider. Comme l'autre, il nous fait le coup de la religion, comme l'autre, il nous fait le discours à la nation, comme l'autre sa culture en politique étrangère est plutôt faiblarde, comme l'autre son pays s'enfonce dans la crise et comme l'autre, il propose des allégements d'impôts et comme l'autre, il veut faire la guerre à tous ceux qui lui soufflent dans les bronches. Bref, il s'est Bushidé complet.
Pratiquement un frère jumeau !
Ce qui me fait penser au copié collé qu'il pratique dans ses régulation de la politique économique et sociale. Un coup, on prend en Suède, un coup, on prend en Angleterre, un coup, je ne sais où.
En fait, il agit comme s'il était un clone. Il clone partout. Alors, que moi, je préfère faire des boutures, le résultat est plus joli.
Et, voilà qui me permet de m'introduire sur le sujet de l'agriculture. Ça y est, la production d'éthanol et de l'autre truc est parti. Une partie pour le rouler propre, une partie pour la nourriture animale.
Ce qui nous prévoit des hausses du prix de la viande encore et encore. Je vous le disais, nous allons revenir à l'époque d'Henri IV avec une poule au pot par semaine, vu le prix de la bidoche en hausse.
La viande rouge, bientôt, sera réservé aux classes moyennes. En tout cas de ce qu'il en restera !
A quand un gouvernement qui imposera un contrôle stricte de la hausse des prix comme au temps du général De Gaulle ?
Autant pour l'alimentaire, le fuel et le logement, oui, à quand ?
Notre président national est en retard d'une guerre, il n'est plus temps de la libéralisation pour sauver la nation, il est temps d'un contrôle plus ferme de l'état.
Bon, je pense que je vous ai tout dit pour aujourd'hui. Et, comme ce qui est devenu une habitude et le sera jusqu'au 31 janvier, je vous commets un autre texte.
Le Lama bleu
Poursuivi par la colère du grand Lama bleu
j’ai caché ma tête derrière mon oreille
son souffle maléfique m’a dissimulé jusqu’au soleil
et j’ai crié ma colère de sa pensée totalitaire.
Cours, cours, si tu peux
mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
Il m’a poursuivi tout autour de la terre
en lui lançant des peaux de bananes
je l’ai évité au moins deux fois.
Mais à chaque fois son visage de cauchemar
à nouveau s’est imposé à moi.
En courant de travers, j’ai pu gagné du temps.
Alors, il m’a fait un croche pied, je suis tombé par terre
le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Voltaire,
le museau dans la boue, c’est la faute à Rousseau.
Cours, cours, si tu peux.
Mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
Il m’a soufflé au nez un nuage de fumée
et j’ai vu des formes dans le difforme d’une étoile
dont un grand champignon poussant à toute vitesse
il ressemblait à un gruyère mangé par une souris.
Le Lama m’a souri,
il rigolait bêtement et toutes ses dents tombaient
dans une boule de fakir pour devenir poissons.
J’ai rigolé bêtement,
Rousseau avait raison et Voltaire avait tord
fumer un bon cigare n’abîme pas les dents.
Cours, cours, si tu peux.
Mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
17/01/2008
Ah, au fait, vous avez la réponse, si les psychotropes pris abusivement sont un déclencheur de la maladie d'alzheimer ?
A bien le bonjour chez vous.
René.
D'abord, les banques qui pratiquent de plus en plus des taux usuraires pour les crédits revolving. Ensuite, pour les frais qu'elles prennent pour les dépassement de découvert et les frais qu'elles prennent pour chèque refusé. Sans compter l'échange épistolaire qu'elle taxe à fond la caisse.
Donc, s'il se projette à l'horizon une crise quant-à la capacité des ménages à faire face à leurs emprunts bancaires, elles vont se faire dépecer sur pied.
En effet, parce qu'en 2008, leur pouvoir d'achat va se réduire d'une manière significative. Aussi, elles ne pourront faire face ni à leur crédit revolving qui une pratique dégueulasse, ni à leurs crédits à la consommation qui vont les asphyxier.
Il faudra donc prévoir des associations qui puissent introduire des recours contre les banques en faveur de leurs adhérents. Et, plus, ces associations seront nombreuses, plus le gouvernement devra en tenir compte.
Voilà, pour la crise qui se profile, c'est tout ce que j'ai à dire, "Battez-vous ou crevez. Il n'y aura pas d'autre alternative !"
D'un autre côté, après les élections municipales, le gouvernement va peut-être s'occuper des prud'hommes, histoire de nous faire aborder la nouvelle donne sarkozienne avec bonne humeur. Car, il ne peut s'attaquer au code du travail sans s'attaquer aux prud'hommes. Logique, non ?
Faut dire qu'il fait un peu n'importe quoi notre gouvernement. Supprimer la pub pour les chaînes publiques en taxant le surplus de pub pour les chaînes privées. C'est, encore n'importe quoi !
Pendant ce temps le cercle d'amis de Sarko va dépecer le service public, ce qui permettra à notre président de contrôler par personne interposée la grande majorité des médias télévisuels. Et, tout ces médias nous enverront un message, "Il a la volonté, mais le contexte international contrarie les effets attendus. Soyez patients en lui gardant votre soutien, les résultats finiront par émerger".
Évidemment, toutes les conneries qu'il continuera à nous sortir seront si peu commentées qu'elles finiront par paraître insignifiantes.
En attendant, il continue à se Bushider. Comme l'autre, il nous fait le coup de la religion, comme l'autre, il nous fait le discours à la nation, comme l'autre sa culture en politique étrangère est plutôt faiblarde, comme l'autre son pays s'enfonce dans la crise et comme l'autre, il propose des allégements d'impôts et comme l'autre, il veut faire la guerre à tous ceux qui lui soufflent dans les bronches. Bref, il s'est Bushidé complet.
Pratiquement un frère jumeau !
Ce qui me fait penser au copié collé qu'il pratique dans ses régulation de la politique économique et sociale. Un coup, on prend en Suède, un coup, on prend en Angleterre, un coup, je ne sais où.
En fait, il agit comme s'il était un clone. Il clone partout. Alors, que moi, je préfère faire des boutures, le résultat est plus joli.
Et, voilà qui me permet de m'introduire sur le sujet de l'agriculture. Ça y est, la production d'éthanol et de l'autre truc est parti. Une partie pour le rouler propre, une partie pour la nourriture animale.
Ce qui nous prévoit des hausses du prix de la viande encore et encore. Je vous le disais, nous allons revenir à l'époque d'Henri IV avec une poule au pot par semaine, vu le prix de la bidoche en hausse.
La viande rouge, bientôt, sera réservé aux classes moyennes. En tout cas de ce qu'il en restera !
A quand un gouvernement qui imposera un contrôle stricte de la hausse des prix comme au temps du général De Gaulle ?
Autant pour l'alimentaire, le fuel et le logement, oui, à quand ?
Notre président national est en retard d'une guerre, il n'est plus temps de la libéralisation pour sauver la nation, il est temps d'un contrôle plus ferme de l'état.
Bon, je pense que je vous ai tout dit pour aujourd'hui. Et, comme ce qui est devenu une habitude et le sera jusqu'au 31 janvier, je vous commets un autre texte.
Le Lama bleu
Poursuivi par la colère du grand Lama bleu
j’ai caché ma tête derrière mon oreille
son souffle maléfique m’a dissimulé jusqu’au soleil
et j’ai crié ma colère de sa pensée totalitaire.
Cours, cours, si tu peux
mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
Il m’a poursuivi tout autour de la terre
en lui lançant des peaux de bananes
je l’ai évité au moins deux fois.
Mais à chaque fois son visage de cauchemar
à nouveau s’est imposé à moi.
En courant de travers, j’ai pu gagné du temps.
Alors, il m’a fait un croche pied, je suis tombé par terre
le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Voltaire,
le museau dans la boue, c’est la faute à Rousseau.
Cours, cours, si tu peux.
Mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
Il m’a soufflé au nez un nuage de fumée
et j’ai vu des formes dans le difforme d’une étoile
dont un grand champignon poussant à toute vitesse
il ressemblait à un gruyère mangé par une souris.
Le Lama m’a souri,
il rigolait bêtement et toutes ses dents tombaient
dans une boule de fakir pour devenir poissons.
J’ai rigolé bêtement,
Rousseau avait raison et Voltaire avait tord
fumer un bon cigare n’abîme pas les dents.
Cours, cours, si tu peux.
Mais, cours bien loin d’ici
avant que le lama bleu ne t’attrape par la queue.
17/01/2008
Ah, au fait, vous avez la réponse, si les psychotropes pris abusivement sont un déclencheur de la maladie d'alzheimer ?
A bien le bonjour chez vous.
René.
jeudi 17 janvier 2008
Comment voulez-vous que votre pays inspire le respect quand vous passez tout votre temps à faire le marchand de canons ?
Salut à tous ceux qui veulent garder la planète belle. Imaginez que l'évolution continue à s'inscrire, alors, il y a de l'espoir.
Bon, parlons peu, mais parlons bien. Pourquoi, Hilary Clinton n'annoncerait-elle pas qu'elle serait prête à prendre Obama comme vice président ? En effet pourquoi pas ? Pour tous ceux qui adulent Obama, mais qui doutent de sa compétence à diriger un pays, cela pourrait être une porte de sortie acceptable. Le temps qu'il se forme pour une future mandature.
Il est vrai que Hilary Clinton doit avoir un sacré caractère et qu'il devra la supporter. Sauf que le siège de vice-président est un lot de consolation acceptable. Et, en plus le ticket Clinton-Obama pourrait être ravageur. Mais, peut-être qu'elle a déjà prévu les bonnes personnes pour les postes.
Là, elle devrait à mon avis, écouter Henri IV, "Washington vaut bien une messe !"
Ah, oui, quant-au papa d'Obama, pour la petite histoire, il n'était pas religieux, il était comme sa mère agnostique. Alors, fi, de ces tentatives pour le relier à une espèce d'internationale musulmane. En plus, lui même s'est converti au christianisme.
Heureusement qu'il a fait ça aux States parce que s'il s'était converti en Turquie par exemple, il aurait été massacré par les intégristes musulmans.
Après, certains souhaitent intégrer la Turquie dans l'Europe alors qu'il ne reste pratiquement plus de chrétien et qu'ils continuent à se faire assassiner. La Turquie ne veut pas de chrétien OK, dites-moi alors pourquoi elle veut s'intégrer à l'europe qui malgré tout est terre chrétienne.
Si, la politique de civilisation de Sarko consiste à bloquer toute nouvelle immigration d'origine musulmane en France alors qu'il le dise. Je suis sûr que la majorité des français l'approuveront.
Mais, faire en catimini ce qu'il met en place dans le réel, ce n'est pas faire preuve de courage politique. Une telle prise de position ferait parler de lui et lancerait un débat dans toute l'europe.
Par contre, la candidate UMP à la mairie de Paris qui déclare vouloir construire une troisième grande mosquée parce qu'elle a découvert que les musulmans priaient dans la rue Myrha et la rue Polonceau, c'est pipo et compagnie.
Des tas de reportages et des articles ont été fait. Elle, la maire du XVII, à côté, elle n'a jamais été au courant ? Elle prend les gens pour des imbéciles. De plus son argument est biaisé. Les musulmans de la Goutte d'Or ne se déplacent pas pour aller prier le vendredi à la mosquée de la rue de Tanger. Ils n'iront pas prier loin de leur quartier et ils ont raison.
Alors, de la démagogie pure et dure ?
Et, pourquoi ? Pour une élection perdue d'avance ?
Décidément, elle n'est pas à la hauteur la miss. Et, ce n'est pas en faisant de la surenchère qu'elle gagnera ces élections.
Quant-au vert qui présente Voynet à Montreuil contre le maire communiste, c'est carrément minable. Sauf, que ça fait longtemps que les verts sont minables. A mon avis, ils feraient bien de disparaître du paysage politique et laisser la place à José Bové. Peut-être serait-il moins sectaire. Bien que sa tentative de parcours politique ne se soit pas très bien annoncée dernièrement.
Quant-à l'Irak, ah, oui, l'Irak. Il était sûr qu'un jour les sunnites finiraient par en avoir marre de tous ces djihadistes qui viennent les commander chez eux en les traitant comme de la merde. Faut pas titiller l'orgueil d'un bédouin, il finit toujours par voir rouge.
Naturlich, ils ont été un peu bloqués par la référence au Coran que ces extrémistes faisaient. Mais, comme on dit, il y a Coran et Coran et demi.
Les américains devraient pousser le président du Pakistan à faire la même dans les territoires tribaux. Là, où les djihadistes étrangers ont même fermé les écoles après les avoir interdites aux filles.
Car, en réalité, ce que font les djihadistes, c'est de l'oppression. Un jour vient où le sentiment d'appartenance à un peuple libre et fier remonte à la surface et une réaction s'ensuit.
Comme en France d'ailleurs où les patrons, les banques, les médias, les politiques, les services nous oppriment en tentant de nous faire croire qu'ils font le maximum pour nous.
Maximum, mort de rire, oui !
Bon, je repart dans mon blues même pas synchro.
Il est peut-être temps de vous laisser.
Peut-être un petit texte, histoire de vous miner le moral.
Cette flamme en moi
Pour tout l’amour du monde
sans savoir, ni prévoir
je donnerais le peu
et toute l’immensité pour remplir
l’espace qui nous sépare.
Pour retrouver la lumière
brûlante sous ce soleil glacé
j’ajouterais des étoiles
dans un firmament aveugle
où ne brille plus l’espérance.
Pour toutes ces routes sans but
où mes pas s’égarent
dans une attente inassouvie
le vent seul m’apporte ton nom
comme une condamnation.
Pour ressentir à nouveau
le souffle de la caresse exécrée
je jetterais mon âme dans les enfer
et piétinerais ma dignité
dans le plus sombre des égouts.
Pour te revoir, au moins une fois
avant que la lumière ne s’éteigne
au fond de mon regard absent
à la vie, en attente de l’instant
où ma main sera sur ta peau nue.
Pour que les flammes finissent
par atteindre ma souffrance
finissent de consumer ma haine de toi
j’ai plongé dans le brasier
mes mains jointe en forme de ton coeur.
Pour que mon repos soit éternel
je me suis fait vagabond
avec mes pieds collés aux pas du vent
et j’ai mis les vapeurs célestes
de l’alcool à la place de mon sang.
Paris le 13/08/98
Bon, c'est vrai, je commence à fatiguer de vous proposer des textes et je trouve celui-là pas terrible finalement. A beaucoup retravailler sans doute.
Donc, sur ce, bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas, n'achetez plus le Monde tant qu'ils n'ont pas fait le ménage des affidés du patronat.
Finalement, peut-être que je fatigue de tout simplement écrire ?
A plus, malgré tout.
René.
Bon, parlons peu, mais parlons bien. Pourquoi, Hilary Clinton n'annoncerait-elle pas qu'elle serait prête à prendre Obama comme vice président ? En effet pourquoi pas ? Pour tous ceux qui adulent Obama, mais qui doutent de sa compétence à diriger un pays, cela pourrait être une porte de sortie acceptable. Le temps qu'il se forme pour une future mandature.
Il est vrai que Hilary Clinton doit avoir un sacré caractère et qu'il devra la supporter. Sauf que le siège de vice-président est un lot de consolation acceptable. Et, en plus le ticket Clinton-Obama pourrait être ravageur. Mais, peut-être qu'elle a déjà prévu les bonnes personnes pour les postes.
Là, elle devrait à mon avis, écouter Henri IV, "Washington vaut bien une messe !"
Ah, oui, quant-au papa d'Obama, pour la petite histoire, il n'était pas religieux, il était comme sa mère agnostique. Alors, fi, de ces tentatives pour le relier à une espèce d'internationale musulmane. En plus, lui même s'est converti au christianisme.
Heureusement qu'il a fait ça aux States parce que s'il s'était converti en Turquie par exemple, il aurait été massacré par les intégristes musulmans.
Après, certains souhaitent intégrer la Turquie dans l'Europe alors qu'il ne reste pratiquement plus de chrétien et qu'ils continuent à se faire assassiner. La Turquie ne veut pas de chrétien OK, dites-moi alors pourquoi elle veut s'intégrer à l'europe qui malgré tout est terre chrétienne.
Si, la politique de civilisation de Sarko consiste à bloquer toute nouvelle immigration d'origine musulmane en France alors qu'il le dise. Je suis sûr que la majorité des français l'approuveront.
Mais, faire en catimini ce qu'il met en place dans le réel, ce n'est pas faire preuve de courage politique. Une telle prise de position ferait parler de lui et lancerait un débat dans toute l'europe.
Par contre, la candidate UMP à la mairie de Paris qui déclare vouloir construire une troisième grande mosquée parce qu'elle a découvert que les musulmans priaient dans la rue Myrha et la rue Polonceau, c'est pipo et compagnie.
Des tas de reportages et des articles ont été fait. Elle, la maire du XVII, à côté, elle n'a jamais été au courant ? Elle prend les gens pour des imbéciles. De plus son argument est biaisé. Les musulmans de la Goutte d'Or ne se déplacent pas pour aller prier le vendredi à la mosquée de la rue de Tanger. Ils n'iront pas prier loin de leur quartier et ils ont raison.
Alors, de la démagogie pure et dure ?
Et, pourquoi ? Pour une élection perdue d'avance ?
Décidément, elle n'est pas à la hauteur la miss. Et, ce n'est pas en faisant de la surenchère qu'elle gagnera ces élections.
Quant-au vert qui présente Voynet à Montreuil contre le maire communiste, c'est carrément minable. Sauf, que ça fait longtemps que les verts sont minables. A mon avis, ils feraient bien de disparaître du paysage politique et laisser la place à José Bové. Peut-être serait-il moins sectaire. Bien que sa tentative de parcours politique ne se soit pas très bien annoncée dernièrement.
Quant-à l'Irak, ah, oui, l'Irak. Il était sûr qu'un jour les sunnites finiraient par en avoir marre de tous ces djihadistes qui viennent les commander chez eux en les traitant comme de la merde. Faut pas titiller l'orgueil d'un bédouin, il finit toujours par voir rouge.
Naturlich, ils ont été un peu bloqués par la référence au Coran que ces extrémistes faisaient. Mais, comme on dit, il y a Coran et Coran et demi.
Les américains devraient pousser le président du Pakistan à faire la même dans les territoires tribaux. Là, où les djihadistes étrangers ont même fermé les écoles après les avoir interdites aux filles.
Car, en réalité, ce que font les djihadistes, c'est de l'oppression. Un jour vient où le sentiment d'appartenance à un peuple libre et fier remonte à la surface et une réaction s'ensuit.
Comme en France d'ailleurs où les patrons, les banques, les médias, les politiques, les services nous oppriment en tentant de nous faire croire qu'ils font le maximum pour nous.
Maximum, mort de rire, oui !
Bon, je repart dans mon blues même pas synchro.
Il est peut-être temps de vous laisser.
Peut-être un petit texte, histoire de vous miner le moral.
Cette flamme en moi
Pour tout l’amour du monde
sans savoir, ni prévoir
je donnerais le peu
et toute l’immensité pour remplir
l’espace qui nous sépare.
Pour retrouver la lumière
brûlante sous ce soleil glacé
j’ajouterais des étoiles
dans un firmament aveugle
où ne brille plus l’espérance.
Pour toutes ces routes sans but
où mes pas s’égarent
dans une attente inassouvie
le vent seul m’apporte ton nom
comme une condamnation.
Pour ressentir à nouveau
le souffle de la caresse exécrée
je jetterais mon âme dans les enfer
et piétinerais ma dignité
dans le plus sombre des égouts.
Pour te revoir, au moins une fois
avant que la lumière ne s’éteigne
au fond de mon regard absent
à la vie, en attente de l’instant
où ma main sera sur ta peau nue.
Pour que les flammes finissent
par atteindre ma souffrance
finissent de consumer ma haine de toi
j’ai plongé dans le brasier
mes mains jointe en forme de ton coeur.
Pour que mon repos soit éternel
je me suis fait vagabond
avec mes pieds collés aux pas du vent
et j’ai mis les vapeurs célestes
de l’alcool à la place de mon sang.
Paris le 13/08/98
Bon, c'est vrai, je commence à fatiguer de vous proposer des textes et je trouve celui-là pas terrible finalement. A beaucoup retravailler sans doute.
Donc, sur ce, bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas, n'achetez plus le Monde tant qu'ils n'ont pas fait le ménage des affidés du patronat.
Finalement, peut-être que je fatigue de tout simplement écrire ?
A plus, malgré tout.
René.
mercredi 16 janvier 2008
Ah, le temps heureux où les profs nous tapaient sur les doigts avec une règle en fer. Au moins, on ne brûlait pas les écoles.
Salut aux contrats précaires. Rassurez-vous, bientôt, la masse des travailleurs va vous rejoindre. Vous ne vous sentirez plus seuls.
Bon, il y eut les nouveaux pauvres de l'époque Mitterrand. Désormais, il y aura les travailleurs pauvres de l'époque Sarko. Ainsi, la cinquième république s'inscrit dans une continuité historique.
Normal, car pour faire différemment, il eut été nécessaire qu'une révolution passe par là. Hélas, non !
Nous nous contentons de nous inscrire dans une continuité historique.
Pauvre France, je te plains. Tes enfants ne sont pas à la hauteur de ce que ton nom même inspire comme espoir, réussite, grandeur, j'en passe et des meilleurs.
Par contre, Sarko va faire une base militaire au Quatar, face à l'Iran. Qu'est-ce que cela peut vouloir dire, à part que la France se prépare à une intervention. Parce qu'au niveau stratégique, je ne vois pas très bien la signification.
En effet, il y a déjà une base militaire américaine très conséquente en Arabie Saoudite. A côté, la base française va faire lilliputienne.
De plus, la base militaire française de Djibouti est à côté, alors à quoi sert d'en faire une à à deux mille kilomètre ou même un peu plus.
Si, c'est pour rassurer le Quatar, ce ne sont pas les quatre ou misérables avions que l'on va y mettre qui vont impressionner les gardiens de la révolution iraniennes. Même, l'unique porte avion nucléaire ne fera pas le poids face à des attaques suicides. D'ici, que les terroristes nous coulent notre seul porte-avion, y'a pas loin.
Et, après, on demandera aux contribuables d'en payer un autre. On nous demandera à nous évidemment puisque les caisses sont vides.
Bref, stratégiquement, c'est une grosse connerie !
Et, cela même, si l'armée compte à moyen terme se baser sur le Quatar en se retirant de Djibouti. Elle n'a même pas de moyens et Sarko veut la positionner à côté des zones de conflits du Moyen Orient.
Sans compter que le Quatar est proche des viviers fournisseurs de kamikazes.
A mon humble avis, notre président devrait laisser la politique étrangère à des spécialistes. Et, quand, je parle de spécialistes, je ne parle pas de Kouchner.
Au lieu de jouer au va-t-en guerre, Sarko devrait plus travailler sur une force d'intervention européenne. Parce que en croyant faire peur à l'Iran, comme il fait peur à la Syrie, c'est simplement Al Quaida qui va lui tomber dessus pour oser envoyer ses croisés sur la terre de Mahommet. Et, la France a sans doute déjà des réseaux dormants sur son sol.
Mais, il n'écoute que les voix qui lui parlent dans sa tête, qui lui disent d'aller bouter dehors des nations le vilain président d'Iran.
A la fin, on va finir par se demander si il ne veut pas tout faire pour impliquer la France dans un conflit armé quel qu'il soit. Parce entre-nous, l'opposition en Iran se renforce. Sauf, que Sarko ou Bush n'en ont rien à faire. On dirait qu'ils veulent absolument que cette guerre ait lieu. On se demande bien pourquoi. Parce que ce n'est pas Sarko ou Bush qui iront mourir en Iran ou même l'un des leurs. Non, ce sont nos petits soldats, loin d'être aussi nombreux que les soldats iraniens qui ont appris de la guerre d'Irak.
Y'a qu'à voir comment l'armée éthiopienne s'enlise en Somalie. Pas très édifiant comme intervention armée ! Même, si l'armée américaine dit en avoir tiré les enseignements.
C'est simple, le combattant est dans le peuple comme un poisson dans l'eau. Alors, selon la guerre révolutionnaire de nos chers militaires de la guerre d'Indochine, il faut vider le bocal pour que le poisson ne puisse se reproduire, se cacher et se renforcer.
La signification, c'est qu'il faut parquer le peuple, le terroriser pour l'amener à dénoncer ses "libérateurs" et l'amener ou le forcer à les combattre. Bref, relisez la guerre révolutionnaire qui a instruit par la suite les bérets verts américains qui ont ensemencé la torture dans toute l'amérique du sud.
Vous comprendrez peut-être ce que signifie la guerre quand la morale en est exclue.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien bas. Et, n'oubliez pas, si personne ne me dit de continuer à vous assommer avec mes poèmes, c'est juré, j'arrête fin janvier. Je les garderais pour moi et ma poubelle.
Donc, un texte en pensant à tous les enfants que maltraitent les adultes. Ceux-là, je leur crache dessus, les adultes s'entend.
Pas qu'il ne faille pas contrôler un enfant qui se prend pour l'enfant roi, mais, prendre du plaisir ou ressentir comme un besoin de maltraiter un enfant, c'est saloperie et compagnie.
Bon, il y eut les nouveaux pauvres de l'époque Mitterrand. Désormais, il y aura les travailleurs pauvres de l'époque Sarko. Ainsi, la cinquième république s'inscrit dans une continuité historique.
Normal, car pour faire différemment, il eut été nécessaire qu'une révolution passe par là. Hélas, non !
Nous nous contentons de nous inscrire dans une continuité historique.
Pauvre France, je te plains. Tes enfants ne sont pas à la hauteur de ce que ton nom même inspire comme espoir, réussite, grandeur, j'en passe et des meilleurs.
Par contre, Sarko va faire une base militaire au Quatar, face à l'Iran. Qu'est-ce que cela peut vouloir dire, à part que la France se prépare à une intervention. Parce qu'au niveau stratégique, je ne vois pas très bien la signification.
En effet, il y a déjà une base militaire américaine très conséquente en Arabie Saoudite. A côté, la base française va faire lilliputienne.
De plus, la base militaire française de Djibouti est à côté, alors à quoi sert d'en faire une à à deux mille kilomètre ou même un peu plus.
Si, c'est pour rassurer le Quatar, ce ne sont pas les quatre ou misérables avions que l'on va y mettre qui vont impressionner les gardiens de la révolution iraniennes. Même, l'unique porte avion nucléaire ne fera pas le poids face à des attaques suicides. D'ici, que les terroristes nous coulent notre seul porte-avion, y'a pas loin.
Et, après, on demandera aux contribuables d'en payer un autre. On nous demandera à nous évidemment puisque les caisses sont vides.
Bref, stratégiquement, c'est une grosse connerie !
Et, cela même, si l'armée compte à moyen terme se baser sur le Quatar en se retirant de Djibouti. Elle n'a même pas de moyens et Sarko veut la positionner à côté des zones de conflits du Moyen Orient.
Sans compter que le Quatar est proche des viviers fournisseurs de kamikazes.
A mon humble avis, notre président devrait laisser la politique étrangère à des spécialistes. Et, quand, je parle de spécialistes, je ne parle pas de Kouchner.
Au lieu de jouer au va-t-en guerre, Sarko devrait plus travailler sur une force d'intervention européenne. Parce que en croyant faire peur à l'Iran, comme il fait peur à la Syrie, c'est simplement Al Quaida qui va lui tomber dessus pour oser envoyer ses croisés sur la terre de Mahommet. Et, la France a sans doute déjà des réseaux dormants sur son sol.
Mais, il n'écoute que les voix qui lui parlent dans sa tête, qui lui disent d'aller bouter dehors des nations le vilain président d'Iran.
A la fin, on va finir par se demander si il ne veut pas tout faire pour impliquer la France dans un conflit armé quel qu'il soit. Parce entre-nous, l'opposition en Iran se renforce. Sauf, que Sarko ou Bush n'en ont rien à faire. On dirait qu'ils veulent absolument que cette guerre ait lieu. On se demande bien pourquoi. Parce que ce n'est pas Sarko ou Bush qui iront mourir en Iran ou même l'un des leurs. Non, ce sont nos petits soldats, loin d'être aussi nombreux que les soldats iraniens qui ont appris de la guerre d'Irak.
Y'a qu'à voir comment l'armée éthiopienne s'enlise en Somalie. Pas très édifiant comme intervention armée ! Même, si l'armée américaine dit en avoir tiré les enseignements.
C'est simple, le combattant est dans le peuple comme un poisson dans l'eau. Alors, selon la guerre révolutionnaire de nos chers militaires de la guerre d'Indochine, il faut vider le bocal pour que le poisson ne puisse se reproduire, se cacher et se renforcer.
La signification, c'est qu'il faut parquer le peuple, le terroriser pour l'amener à dénoncer ses "libérateurs" et l'amener ou le forcer à les combattre. Bref, relisez la guerre révolutionnaire qui a instruit par la suite les bérets verts américains qui ont ensemencé la torture dans toute l'amérique du sud.
Vous comprendrez peut-être ce que signifie la guerre quand la morale en est exclue.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien bas. Et, n'oubliez pas, si personne ne me dit de continuer à vous assommer avec mes poèmes, c'est juré, j'arrête fin janvier. Je les garderais pour moi et ma poubelle.
Donc, un texte en pensant à tous les enfants que maltraitent les adultes. Ceux-là, je leur crache dessus, les adultes s'entend.
Pas qu'il ne faille pas contrôler un enfant qui se prend pour l'enfant roi, mais, prendre du plaisir ou ressentir comme un besoin de maltraiter un enfant, c'est saloperie et compagnie.
Toutes les peines au monde
Toutes les peines au monde
se glissent comme des ombres
dans le coeur des enfants.
Les sanglots qui ruissellent
en perles sur les visages
annoncent la marque du temps.
Dans les regards de l’innocence
peu à peu s’évanouit la lumière
qui fait le bonheur des parents.
Toutes les peines au monde
finissent par creuser des sillons
dans l’âme des enfants.
Paris le 05/04/98
Toutes les peines au monde
se glissent comme des ombres
dans le coeur des enfants.
Les sanglots qui ruissellent
en perles sur les visages
annoncent la marque du temps.
Dans les regards de l’innocence
peu à peu s’évanouit la lumière
qui fait le bonheur des parents.
Toutes les peines au monde
finissent par creuser des sillons
dans l’âme des enfants.
Paris le 05/04/98
A bientôt, sauf dans un autre monde.
René.
PS: est-ce que la prise abusive de tranquilisants ne pourrait pas être un facteur pouvant entraîner l'apparition de la maladie d'Alzheimer ?
mardi 15 janvier 2008
La domination est un état qui exige aucune concession. Comprenne qui pourra.
Salut aux compagnons du front de l'ouest. Ne laissez pas passer la projection de l'ombre de l'ordre fasciste. Continuez à vous battre !
On dit en France, qu'impossible n'est pas français. Je veux bien, mais la désespérance où la place-t-on ?
Parce qu'elle peut être "se désespérer de sa situation", "se désespérer de l'avenir de son pays", ce qui peut revenir au même. ou se désespérer dans le sens "no future".
Et, si, c'est "no future", cela signifie que je ne me vois pas d'avenir ni dans mon présent, ni dans mon future accessible.
Ce n'est même pas tourner en rond puisque tourner en rond, c'est aller quelque part pour revenir au point de départ. Là, il n'y a pas d'aller quelque part. Il y a juste un positionnement en "je fais du sur place".
Dans ces conditions, il a répétition de l'échec ou même stratégie de l'échec. L'initiative n'est plus et l'envie s'est émoussée.
Alors, faut-il comme le gouvernement travailler sur la projection que l'on se fait du désir de l'autre ou travailler sur le désir de l'autre ?
Il semble pour déterminer le diagnostic qu'il faille mettre des termes sur les maux. A partir de là, un protocole de soins ou d'action peut être émis en direction du récepteur.
Le gouvernement, lui, pose le terme "politique des civilisations" en le mixant à la sauce américaine. Qu'est-ce que cela veut dire ?
A mon avis, rien !
Par contre, si vous écoutez les conseillers de l'Elysée qui passent en boucle à la télé, ils le mettent à toutes les sauces. Dès qu'ils émettent une proposition d'action, c'est en rapport à la politique des civilisations. C'est à croire qu'ils nous prennent pour des neu neu !
Si, dans leurs discours, vous supprimez politique des civilisations, vous vous apercevrez que la phrase est tout à fait compréhensible sans.
C'est comme si, ils inventaient une nouvelle langue de bois. Une langue parée d'un obscurantisme intello, caviar, sociolo que même Lepen n'aurait osé conceptualiser.
Bref, c'est de la merde en boite !
A part ça ? Ah, oui, il se dit que la Clinton familly charge méchamment Obama et cela d'une manière qui sent plus la poubelle que le combat d'idées. Est-ce que Bill a besoin de ça. Je trouve que ça fait un peu minable et que cela dénote un manque de confiance en leur message.
Moi, à leur place, j'aurais plutôt dit que je prendrais Obama comme vice-président si j'étais élu. En fait, la mère Clinton apparaît comme pas commode et plus à la recherche du pouvoir que de se mettre au service de ses concitoyens. Dommage !
Pourtant, ses dernières réflexions pour résoudre les difficultés économiques des américains vont dans le bon sens. Alors, quel besoin a-t-elle de s'abaisser à faire des trucs orduriers. Par exemple à laisser ses affidés faire passer des messages sur le net comme quoi Obama est musulman. Et, alors même si c'était vrai. Cela serait à l'honneur de l'amérique qu'un musulman respectueux du rêve américain puisse au moins se présenter. Mais, Obama n'est pas musulman. Son père, oui, mais pas lui.
Ce fait n'est pas sans rappeler un certain rendez-vous entre Jacques Chirac et François Mitterrand pour contrer un certain Giscard d'Estaing pour les présidentielles de 1981.
Bill n'a pas besoin de ça vraiment surtout lorsque l'on voit Bush qui s'était moqué de lui lors de sa tentative d'instaurer la paix au Moyen Orient avant la fin de son mandat faire la même chose pour la fin de sa propre mandature. Vraiment, Bill, il a vraiment pas besoin de jouer au technicien de surface. Et, ce n'est pas parce qu'il s'agit de sa femme qu'il doive s'abaisser à ce degré.
Elle gagnera, tout simplement, parce que les wasp restent des wasp.
Bon, mise à part ça ? Toujours rien !
Les FARC continuent d'enlever. Normal, c'est une source de revenu.
L'Iran semble mettre de l'eau dans son vin....pardon, dans son alcool de rose d'Ispahan au sujet de l'arme nucléaire. Ce qui n'empêche Israël et Bush de vouloir lui envoyer des missiles dans sa tronche. Israël, Bush et j'allais l'oublier.....Sarko. Que la société civile se bouge lentement, mais, sûrement, ça n'a pas l'air de les intéresser. Est-ce que cela signifierait des concessions territoriales pour les palestiniens de la part d'Israël en échange d'une intervention sur l'Iran. Et, Sarko voudrait nous cacher ça ?
Vous voyez, il y a des choses qui peuvent se passer dans le monde comme par exemple ces deux journalistes prisonniers au Niger. Ils faisaient une enquête sur la révolte Touareg. Mais, les Touaregs du Niger remettent en cause aussi Areva pour l'exploitation de l'uranium. Alors, qui emprisonnent, Areva ou les autorités nigériennes ?
Réfléchissez, mes trois braves lecteurs. Et, dites-vous bien que la misère est toujours plus belle chez les autres.
Et, avant de vous quitter, je vous commets cet autre texte.
Mordor
De toutes ces nuits qui sombrent
de l’âme morte des ombres
comme feuiles d’automne
retombent
il ne reste rien du passé.
De tout le souvenir étrange
de ces chants qui dérangent
comme temps troublé
mélange
amour et épouvante.
De toutes les peines qui songent
de chairs et de souffrances
comme réponse à un monde
où l’oubli seul dérange
25/11/2000
Et, sur ce, je vous souhaite de garder votre liberté de penser, sans parler de votre libre arbitre dont il faudra parler un jour pour déterminer comment les médias patronnaux tentent de le manipuler.
A bientôt.
René.
On dit en France, qu'impossible n'est pas français. Je veux bien, mais la désespérance où la place-t-on ?
Parce qu'elle peut être "se désespérer de sa situation", "se désespérer de l'avenir de son pays", ce qui peut revenir au même. ou se désespérer dans le sens "no future".
Et, si, c'est "no future", cela signifie que je ne me vois pas d'avenir ni dans mon présent, ni dans mon future accessible.
Ce n'est même pas tourner en rond puisque tourner en rond, c'est aller quelque part pour revenir au point de départ. Là, il n'y a pas d'aller quelque part. Il y a juste un positionnement en "je fais du sur place".
Dans ces conditions, il a répétition de l'échec ou même stratégie de l'échec. L'initiative n'est plus et l'envie s'est émoussée.
Alors, faut-il comme le gouvernement travailler sur la projection que l'on se fait du désir de l'autre ou travailler sur le désir de l'autre ?
Il semble pour déterminer le diagnostic qu'il faille mettre des termes sur les maux. A partir de là, un protocole de soins ou d'action peut être émis en direction du récepteur.
Le gouvernement, lui, pose le terme "politique des civilisations" en le mixant à la sauce américaine. Qu'est-ce que cela veut dire ?
A mon avis, rien !
Par contre, si vous écoutez les conseillers de l'Elysée qui passent en boucle à la télé, ils le mettent à toutes les sauces. Dès qu'ils émettent une proposition d'action, c'est en rapport à la politique des civilisations. C'est à croire qu'ils nous prennent pour des neu neu !
Si, dans leurs discours, vous supprimez politique des civilisations, vous vous apercevrez que la phrase est tout à fait compréhensible sans.
C'est comme si, ils inventaient une nouvelle langue de bois. Une langue parée d'un obscurantisme intello, caviar, sociolo que même Lepen n'aurait osé conceptualiser.
Bref, c'est de la merde en boite !
A part ça ? Ah, oui, il se dit que la Clinton familly charge méchamment Obama et cela d'une manière qui sent plus la poubelle que le combat d'idées. Est-ce que Bill a besoin de ça. Je trouve que ça fait un peu minable et que cela dénote un manque de confiance en leur message.
Moi, à leur place, j'aurais plutôt dit que je prendrais Obama comme vice-président si j'étais élu. En fait, la mère Clinton apparaît comme pas commode et plus à la recherche du pouvoir que de se mettre au service de ses concitoyens. Dommage !
Pourtant, ses dernières réflexions pour résoudre les difficultés économiques des américains vont dans le bon sens. Alors, quel besoin a-t-elle de s'abaisser à faire des trucs orduriers. Par exemple à laisser ses affidés faire passer des messages sur le net comme quoi Obama est musulman. Et, alors même si c'était vrai. Cela serait à l'honneur de l'amérique qu'un musulman respectueux du rêve américain puisse au moins se présenter. Mais, Obama n'est pas musulman. Son père, oui, mais pas lui.
Ce fait n'est pas sans rappeler un certain rendez-vous entre Jacques Chirac et François Mitterrand pour contrer un certain Giscard d'Estaing pour les présidentielles de 1981.
Bill n'a pas besoin de ça vraiment surtout lorsque l'on voit Bush qui s'était moqué de lui lors de sa tentative d'instaurer la paix au Moyen Orient avant la fin de son mandat faire la même chose pour la fin de sa propre mandature. Vraiment, Bill, il a vraiment pas besoin de jouer au technicien de surface. Et, ce n'est pas parce qu'il s'agit de sa femme qu'il doive s'abaisser à ce degré.
Elle gagnera, tout simplement, parce que les wasp restent des wasp.
Bon, mise à part ça ? Toujours rien !
Les FARC continuent d'enlever. Normal, c'est une source de revenu.
L'Iran semble mettre de l'eau dans son vin....pardon, dans son alcool de rose d'Ispahan au sujet de l'arme nucléaire. Ce qui n'empêche Israël et Bush de vouloir lui envoyer des missiles dans sa tronche. Israël, Bush et j'allais l'oublier.....Sarko. Que la société civile se bouge lentement, mais, sûrement, ça n'a pas l'air de les intéresser. Est-ce que cela signifierait des concessions territoriales pour les palestiniens de la part d'Israël en échange d'une intervention sur l'Iran. Et, Sarko voudrait nous cacher ça ?
Vous voyez, il y a des choses qui peuvent se passer dans le monde comme par exemple ces deux journalistes prisonniers au Niger. Ils faisaient une enquête sur la révolte Touareg. Mais, les Touaregs du Niger remettent en cause aussi Areva pour l'exploitation de l'uranium. Alors, qui emprisonnent, Areva ou les autorités nigériennes ?
Réfléchissez, mes trois braves lecteurs. Et, dites-vous bien que la misère est toujours plus belle chez les autres.
Et, avant de vous quitter, je vous commets cet autre texte.
Mordor
De toutes ces nuits qui sombrent
de l’âme morte des ombres
comme feuiles d’automne
retombent
il ne reste rien du passé.
De tout le souvenir étrange
de ces chants qui dérangent
comme temps troublé
mélange
amour et épouvante.
De toutes les peines qui songent
de chairs et de souffrances
comme réponse à un monde
où l’oubli seul dérange
25/11/2000
Et, sur ce, je vous souhaite de garder votre liberté de penser, sans parler de votre libre arbitre dont il faudra parler un jour pour déterminer comment les médias patronnaux tentent de le manipuler.
A bientôt.
René.
lundi 14 janvier 2008
Jardinier cultive ton jardin, car la terre est la seule garantie que tu possédes pour ne pas finir neu neu.
Salut, hommes de peu de foi. Lorsque vous rencontrez celui qui doit vous guider, pourquoi êtes-vous aussi sceptiques. Cela serait-il parce que tout simplement vous êtes français, rouspéteurs institutionnels !
Bon, que fait la Russie ? Elle s'enfonce tout doucement dans le tsarisme dissimulé. C'est à Poutine que Le directeur de Libération aurait dû poser à la question du pouvoir personnel plutôt qu'à Sarko. Parce qu' entre nous, il n'en est qu'une pâle figurine.
Par contre, comment peut-on demander à la Chine ou à la Russie de passer directement à la démocratie alors qu'ils ont connu l'autocratie depuis tant de siècles.
Même les leaders africains émettent un avis défavorable lorsqu'on leur imposent le développement contre les droits de l'homme. Ils pointent le fait que l'Europe à mis des décennies avant d'y parvenir alors qu'on exige d'eux une application immédiate. La démocratie en tant que telle ne peut se construire lorsqu'on est comme eux des états sans nation.
Des états où la référence à l'ethnie se construit en source du pouvoir. Quel état africain a sû éviter ces écueils ?
Pour l'instant, le Mali, le Sénégal et encore pour combien de temps vu la pression islamiste. Et, qui d'autre ?
Le Botswana, peut-être. Et, qui encore ? Ah, peut-être la Namibie.
Mais, si, ces états se sont construits sans nation, n'est-ce pas aussi de la faute du découpage des frontières, héritage de la colonisation. Je rappelle que l'état français s'est construit sur des décénnies de massacres.
Mais, pour l'Afrique, comment a-t-on pu imaginer mettre les touaregs dans le même pays que ceux qu'ils ont eu l'habitude de razzier et soumettre à l'esclavage ?
Et, des exemples de ce type, en Afrique, il y en a un paquet.
En ce moment, la pression sur les terres cultivables de la zone sahélienne provoque des guerres civiles. L'eau et la terre sont des enjeux majeurs dans ces régions. C'est aussi bien une question de survie pour les agriculteurs que pour les éleveurs nomades. Et, plus la désertification s'étend, plus les zones de conflits apparaîtront. Ceux qui gagneront, sont ceux qui auront des armes. Et, dans la région des armes, il y en a à foison.
Bon, un petit mot quand même pour notre cher président qui sérieusement à part faire du copié collé, ne sait pas vraiment où il va. Le copié collé, c'est facile, mais, ça ne nous dit pas où il cherche à nous entraîner.
Après avoir fait un foin du diable contre la police de proximité, les culs terreux qui disputaient des matchs de foot contre les petits mecs des banlieues, il nous sort la police de quartier pour nous faire croire que c'est différent. Et, pour en parler, il nous sort sa politique de civilisation qui est à mon avis une vaste connerie. Même si, c'est un dénommé Morin qui l'a sorti. Lui le sort de son contexte pour en faire une cuisine à l'américaine. Un concept d'ailleurs englobant, peut-être pas vraiment signifiant.
Mais, basta de tout cela, parlons plutôt de la pollution.
Les pesticides tuent les agriculteurs et par la même empoissonnent les consommateurs. Mais, parle-t-on des ouvriers agricoles qui ont sont directement confrontés à ces poisons .
Dans un article de Gerardo Reyes du El Nuevo Hérald cité par le Courrier International du 21-27 juin 07, il est question de ces travailleurs agricoles du Nicaragua.
"Le sucre produit ici est souillé du sang de centaines de travailleurs nicaraguayens. Mais, personne ne veut l'entendre....Nous avons travaillé pour eux, (la famille Pellas) toute notre vie et ils nous ont jetés à la rue lorsqu'ils ont découvert que nous étions malades (IRC, insuffisance rénale chronique)......Il y a trois ans, l'assemblée nationale du Nicaragua, sous la pression des paysans, a adopté une loi faisant de l'insuffisance rénale chronique une maladie professionnelle".
Alors, quand, les paysans, notamment français arrêteront de nous inonder de saloperie chimique ? C'est pas qu'on leur demande d'arrêter tout de suite, vu le manque de solution pour pallier le problème des nuisibles (insectes ou autres). Mais, au moins qu'ils diminuent sérieusement l'utilisation de tous les produits chimiques qu'ils nous font ingurgiter en bout de chaîne.
Désolé, le temps me manque encore, je ne peux continuer à vous insuffler mon vague à l'âme. Aussi, un autre poème et à la fin du mois, je vous le promets si personne ne me dit de continuer, c'est juré, j'arrête.
Pensée en buvant mon café au lait
Dans cette caverne blanche
où tu me rejoins
tâche ma douce, ma jolie de faire de ma folie
son plus puissant accent
pour qu’il me rende la vie belle
et que j’ai dans les yeux
la fumée des étoiles comme un feu merveilleux
où brûle ma pupille
et la plonge dans un noir à jamais consumé.
Et à part ce noir devant mes yeux
qui t’envoie tout droit l’enfer.
Et, si par chance, tu y entres,
alors bois au calice, mon frère
qu’elle te tend
jusqu’à la fin du monde
et dans cette folle ronde
où nous sommes,
nous, galériens de la rue
âmes sans êtres, dans nos prisons de verre.
qui contemplons notre misère
pour paraître en habit de lumière
et faire croire l’aventure où il n’y a qu’ennui.
Alors, jetons les rames à la mer
pour que les flots engloutissent
jusqu’à nos destinées.
Paris le 14/05/2002
Bon, que fait la Russie ? Elle s'enfonce tout doucement dans le tsarisme dissimulé. C'est à Poutine que Le directeur de Libération aurait dû poser à la question du pouvoir personnel plutôt qu'à Sarko. Parce qu' entre nous, il n'en est qu'une pâle figurine.
Par contre, comment peut-on demander à la Chine ou à la Russie de passer directement à la démocratie alors qu'ils ont connu l'autocratie depuis tant de siècles.
Même les leaders africains émettent un avis défavorable lorsqu'on leur imposent le développement contre les droits de l'homme. Ils pointent le fait que l'Europe à mis des décennies avant d'y parvenir alors qu'on exige d'eux une application immédiate. La démocratie en tant que telle ne peut se construire lorsqu'on est comme eux des états sans nation.
Des états où la référence à l'ethnie se construit en source du pouvoir. Quel état africain a sû éviter ces écueils ?
Pour l'instant, le Mali, le Sénégal et encore pour combien de temps vu la pression islamiste. Et, qui d'autre ?
Le Botswana, peut-être. Et, qui encore ? Ah, peut-être la Namibie.
Mais, si, ces états se sont construits sans nation, n'est-ce pas aussi de la faute du découpage des frontières, héritage de la colonisation. Je rappelle que l'état français s'est construit sur des décénnies de massacres.
Mais, pour l'Afrique, comment a-t-on pu imaginer mettre les touaregs dans le même pays que ceux qu'ils ont eu l'habitude de razzier et soumettre à l'esclavage ?
Et, des exemples de ce type, en Afrique, il y en a un paquet.
En ce moment, la pression sur les terres cultivables de la zone sahélienne provoque des guerres civiles. L'eau et la terre sont des enjeux majeurs dans ces régions. C'est aussi bien une question de survie pour les agriculteurs que pour les éleveurs nomades. Et, plus la désertification s'étend, plus les zones de conflits apparaîtront. Ceux qui gagneront, sont ceux qui auront des armes. Et, dans la région des armes, il y en a à foison.
Bon, un petit mot quand même pour notre cher président qui sérieusement à part faire du copié collé, ne sait pas vraiment où il va. Le copié collé, c'est facile, mais, ça ne nous dit pas où il cherche à nous entraîner.
Après avoir fait un foin du diable contre la police de proximité, les culs terreux qui disputaient des matchs de foot contre les petits mecs des banlieues, il nous sort la police de quartier pour nous faire croire que c'est différent. Et, pour en parler, il nous sort sa politique de civilisation qui est à mon avis une vaste connerie. Même si, c'est un dénommé Morin qui l'a sorti. Lui le sort de son contexte pour en faire une cuisine à l'américaine. Un concept d'ailleurs englobant, peut-être pas vraiment signifiant.
Mais, basta de tout cela, parlons plutôt de la pollution.
Les pesticides tuent les agriculteurs et par la même empoissonnent les consommateurs. Mais, parle-t-on des ouvriers agricoles qui ont sont directement confrontés à ces poisons .
Dans un article de Gerardo Reyes du El Nuevo Hérald cité par le Courrier International du 21-27 juin 07, il est question de ces travailleurs agricoles du Nicaragua.
"Le sucre produit ici est souillé du sang de centaines de travailleurs nicaraguayens. Mais, personne ne veut l'entendre....Nous avons travaillé pour eux, (la famille Pellas) toute notre vie et ils nous ont jetés à la rue lorsqu'ils ont découvert que nous étions malades (IRC, insuffisance rénale chronique)......Il y a trois ans, l'assemblée nationale du Nicaragua, sous la pression des paysans, a adopté une loi faisant de l'insuffisance rénale chronique une maladie professionnelle".
Alors, quand, les paysans, notamment français arrêteront de nous inonder de saloperie chimique ? C'est pas qu'on leur demande d'arrêter tout de suite, vu le manque de solution pour pallier le problème des nuisibles (insectes ou autres). Mais, au moins qu'ils diminuent sérieusement l'utilisation de tous les produits chimiques qu'ils nous font ingurgiter en bout de chaîne.
Désolé, le temps me manque encore, je ne peux continuer à vous insuffler mon vague à l'âme. Aussi, un autre poème et à la fin du mois, je vous le promets si personne ne me dit de continuer, c'est juré, j'arrête.
Pensée en buvant mon café au lait
Dans cette caverne blanche
où tu me rejoins
tâche ma douce, ma jolie de faire de ma folie
son plus puissant accent
pour qu’il me rende la vie belle
et que j’ai dans les yeux
la fumée des étoiles comme un feu merveilleux
où brûle ma pupille
et la plonge dans un noir à jamais consumé.
Et à part ce noir devant mes yeux
qui t’envoie tout droit l’enfer.
Et, si par chance, tu y entres,
alors bois au calice, mon frère
qu’elle te tend
jusqu’à la fin du monde
et dans cette folle ronde
où nous sommes,
nous, galériens de la rue
âmes sans êtres, dans nos prisons de verre.
qui contemplons notre misère
pour paraître en habit de lumière
et faire croire l’aventure où il n’y a qu’ennui.
Alors, jetons les rames à la mer
pour que les flots engloutissent
jusqu’à nos destinées.
Paris le 14/05/2002
vendredi 11 janvier 2008
Le silence dans certain cas est le bonheur du couple. Alors, acte !
Salut à tout mes compagnons de Longo Maï. Pourvu que ça dure !
Eh, oui, je ne suis pas seul au monde. Quelque part en France, j'ai des amis qui m'apprécient. Les pauvres !
Parce qu'autrefois, il paraît que je fus un mec bien. Un mec qui se battait pour les autres et qui ne demandait rien en échange. Mais, ce temps est loin et mes compagnons de lutte de cette époque ont depuis longtemps penser à construire leur vie. C'est vrai que se battre pour les autres ne te construit pas un avenir lorsque tu ne cherche pas à devenir leader assermenté et payé.
Arrive toujours un jour où tu te regardes et tu te demandes, mais, qu'ais-je fait pour moi et pour les miens ?
Le sacrifice au nom des autres est un plaisir égoïste et s'inscrit dans un narcissisme prononcé.
Pourtant, je ne regrette pas ces jours passés à ne pas savoir si demain tu seras toujours vivant. Je ne regrette pas, non plus, ces jours où la faim te tenaillait le ventre, la faim et la peur parce que tu savais que ce pour quoi tu te battais, était juste.
Cependant, il en reste toujours une trace qui te marque comme un fer rouge tant que tu n'es pas en paix avec toi même. Cette même marque qui t'as livrée à toutes les luttes qui se proposaient. Cette marque qui te nargue depuis ton adolescence.
Aujourd'hui, je suis plus reposé, moins fébrile, moins compulsif et je n'attends de la vie que le peu qu'elle peut m'apporter encore.
Voilà, mes chers lecteurs, je suis passé à confesse. Cependant, rassurez-vous, des vrais militants, il y en a encore. Des Don Quichotte, il y en aura toujours parce qu'il y aura toujours des causes à défendre. José Bové en est un illustre exemple.
Par contre, pour le compulsif, le narcissisme, le fébrile, Sarko en est un autre aussi.
Mais, il faut lui rendre ce qui lui est dû. Chapeau bas, messieurs, pour la libération des deux otages colombiens. Son rentre dedans a fini par payer et c'est à lui et à lui seul que le mérite en revient. Pour la suite, on s'inscrit pour le feuilleton.
Quant-à ce qui concerne la France, le medef continue à prendre les travailleurs pour des merdes. Le nouveau contrat qu'il nous a concocté est de la saloperie en boîte. Que font les syndicats représentatifs ?
Ils ont peur ou quoi ? C'est au conflit qu'il faut aller, le medef ne nous laisse aucun autre choix.
Si, personne ne se bat aujourd'hui, alors, on est mort.
Qu'est-ce que le medef propose à la place des CDD et de CDI, un contrat intérim camouflé sans le bénéfice des 20% maximum en plus sur la fiche de salaire.
Les syndicats représentatifs, je me marre. Syndicats patronal, plutôt ! Avec la CGT en tête !
Tout ça parce que le patronat n'a pas d'idée pour créer des produits nouveaux ou des produits qui ne pourraient être repris par les industries des pays émergents.
De toute façon, la mondialisation fait que les brevets des sociétés françaises partent à l'étranger après des prises d'intérêts dans le capital. Mais, il paraît qu'il ne faut pas réglementer parce que cela nuirait à l'investissement étranger en France.
C'est facile de dire, il est vrai, parions sur l'innovation, sauf que personne n'arrive à l'identifier. La recherche développement, c'est sûr. Encore faut-il avoir les capitaux pour le faire.
L'université, un vivier de cerveaux ?
Il y a longtemps que c'est fini, vu le peu de moyens mis à la disposition des chercheurs français, sans parler de leur salaire de misère.
Bref, le père Noël est passé, mais, il a oublié de mettre des cerveaux dans ses paquets cadeaux.
Bon, mise à part ça. Je pense à tous les parents qui sont séparés de leur enfant. Comme moi, je l'ai été. Séparé par 22.000 km et le RMI. Il en restera toujours une trace dans la douleur que traîne mon gamin et dans celle que je m'évertue de gommer. Aussi, je dédie ce poème à tous les parents qui par bonheur ou malheur, on ne sait jamais pour les gamins, ont été séparés de leur enfant. Et, en plus, je n'ai pas beaucoup de temps aujourd'hui pour écrire.
Montjay La Tour le 25/10/98
Eh, oui, je ne suis pas seul au monde. Quelque part en France, j'ai des amis qui m'apprécient. Les pauvres !
Parce qu'autrefois, il paraît que je fus un mec bien. Un mec qui se battait pour les autres et qui ne demandait rien en échange. Mais, ce temps est loin et mes compagnons de lutte de cette époque ont depuis longtemps penser à construire leur vie. C'est vrai que se battre pour les autres ne te construit pas un avenir lorsque tu ne cherche pas à devenir leader assermenté et payé.
Arrive toujours un jour où tu te regardes et tu te demandes, mais, qu'ais-je fait pour moi et pour les miens ?
Le sacrifice au nom des autres est un plaisir égoïste et s'inscrit dans un narcissisme prononcé.
Pourtant, je ne regrette pas ces jours passés à ne pas savoir si demain tu seras toujours vivant. Je ne regrette pas, non plus, ces jours où la faim te tenaillait le ventre, la faim et la peur parce que tu savais que ce pour quoi tu te battais, était juste.
Cependant, il en reste toujours une trace qui te marque comme un fer rouge tant que tu n'es pas en paix avec toi même. Cette même marque qui t'as livrée à toutes les luttes qui se proposaient. Cette marque qui te nargue depuis ton adolescence.
Aujourd'hui, je suis plus reposé, moins fébrile, moins compulsif et je n'attends de la vie que le peu qu'elle peut m'apporter encore.
Voilà, mes chers lecteurs, je suis passé à confesse. Cependant, rassurez-vous, des vrais militants, il y en a encore. Des Don Quichotte, il y en aura toujours parce qu'il y aura toujours des causes à défendre. José Bové en est un illustre exemple.
Par contre, pour le compulsif, le narcissisme, le fébrile, Sarko en est un autre aussi.
Mais, il faut lui rendre ce qui lui est dû. Chapeau bas, messieurs, pour la libération des deux otages colombiens. Son rentre dedans a fini par payer et c'est à lui et à lui seul que le mérite en revient. Pour la suite, on s'inscrit pour le feuilleton.
Quant-à ce qui concerne la France, le medef continue à prendre les travailleurs pour des merdes. Le nouveau contrat qu'il nous a concocté est de la saloperie en boîte. Que font les syndicats représentatifs ?
Ils ont peur ou quoi ? C'est au conflit qu'il faut aller, le medef ne nous laisse aucun autre choix.
Si, personne ne se bat aujourd'hui, alors, on est mort.
Qu'est-ce que le medef propose à la place des CDD et de CDI, un contrat intérim camouflé sans le bénéfice des 20% maximum en plus sur la fiche de salaire.
Les syndicats représentatifs, je me marre. Syndicats patronal, plutôt ! Avec la CGT en tête !
Tout ça parce que le patronat n'a pas d'idée pour créer des produits nouveaux ou des produits qui ne pourraient être repris par les industries des pays émergents.
De toute façon, la mondialisation fait que les brevets des sociétés françaises partent à l'étranger après des prises d'intérêts dans le capital. Mais, il paraît qu'il ne faut pas réglementer parce que cela nuirait à l'investissement étranger en France.
C'est facile de dire, il est vrai, parions sur l'innovation, sauf que personne n'arrive à l'identifier. La recherche développement, c'est sûr. Encore faut-il avoir les capitaux pour le faire.
L'université, un vivier de cerveaux ?
Il y a longtemps que c'est fini, vu le peu de moyens mis à la disposition des chercheurs français, sans parler de leur salaire de misère.
Bref, le père Noël est passé, mais, il a oublié de mettre des cerveaux dans ses paquets cadeaux.
Bon, mise à part ça. Je pense à tous les parents qui sont séparés de leur enfant. Comme moi, je l'ai été. Séparé par 22.000 km et le RMI. Il en restera toujours une trace dans la douleur que traîne mon gamin et dans celle que je m'évertue de gommer. Aussi, je dédie ce poème à tous les parents qui par bonheur ou malheur, on ne sait jamais pour les gamins, ont été séparés de leur enfant. Et, en plus, je n'ai pas beaucoup de temps aujourd'hui pour écrire.
EBAUCHE D’UN COEUR INACHEVÉ
Il est si loin
Si loin de tout
Si loin de moi
Qu’ça m’fout un coup
Partout son souvenir me dérange
Quand son absence s’appelle souffrance.
Il est si loin
Si loin de tout
Si loin de moi
Qu’ça détruit tout
Même l’infime espoir d’un bonheur
Qui agirait comme un baume au coeur
En glissant comme une voile l’oubli
Sur mes angoisses et
Sur mes peurs.
Il est si loin
Si loin de tout
Si loin de moi
Qu’ça m’fout un coup
Partout son souvenir me dérange
Quand son absence s’appelle souffrance.
Il est si loin
Si loin de tout
Si loin de moi
Qu’ça détruit tout
Même l’infime espoir d’un bonheur
Qui agirait comme un baume au coeur
En glissant comme une voile l’oubli
Sur mes angoisses et
Sur mes peurs.
Il est si loin Si loin de tout
Parti trop loin, parti pour tout
De lui, il ne me reste plus rien
Que le vague d’une image floue
Qui s’évapore quelque part
au bout d’un chemin
Si loin, si loin
de tout et
de rien
......
....
..
.
Parti trop loin, parti pour tout
De lui, il ne me reste plus rien
Que le vague d’une image floue
Qui s’évapore quelque part
au bout d’un chemin
Si loin, si loin
de tout et
de rien
......
....
..
.
Montjay La Tour le 25/10/98
Allez, je vous en commets un autre, style vieille France.
Ephémérité
Jolie rose
belle rose, à peine éclose
larme du matin dans son écrin
consolation de mon regard chagrin
petit bonheur fugace
tu resplendis
de vie.
Matin blême
Jour nouveau, fleur nouvelle
au souffle du vent qui se déchaîne
et arrache sans haine tes pétales vermeilles
sans cris, sans souffrances,
tu te redresses
et vis.
Soirée radieuse
ultime journée, vie éphémère
parée des couleurs de ta robe sans pareille
dans un dernier adieux sans regret, ni mélancolie
ployant ta tige dans un suprême hommage
tu remercies
la vie.
Paris le 05/11/97
Jolie rose
belle rose, à peine éclose
larme du matin dans son écrin
consolation de mon regard chagrin
petit bonheur fugace
tu resplendis
de vie.
Matin blême
Jour nouveau, fleur nouvelle
au souffle du vent qui se déchaîne
et arrache sans haine tes pétales vermeilles
sans cris, sans souffrances,
tu te redresses
et vis.
Soirée radieuse
ultime journée, vie éphémère
parée des couleurs de ta robe sans pareille
dans un dernier adieux sans regret, ni mélancolie
ployant ta tige dans un suprême hommage
tu remercies
la vie.
Paris le 05/11/97
A bienôt, j'espère.
René.
jeudi 10 janvier 2008
"Un seul être vous manque et tout est dépeuplé". Je ne dirais pas ça de Sarko.
Salut à mes compagnons. Nous nous sommes battus, mais le rêve a été récupéré. Souvenons-nous et retrouvons l'espoir pour d'autres jours de lutte.
Bon, mes chers lecteurs. J'ai reçu un message anonyme qui dit,"On te surveille !"
Bien, alors, je demande si c'est quelqu'un que je connais qu'il se manifeste autrement, j'en ai rien à cirer.
En tout cas, comme disent les africains, le discours de Sarko m'a laissé pantois. Pour moi, c'est un discours fait de rien.
Rassurez-vous, lorsque je pose le mot "rien", cela ne signifie pas que je vais repartir dans le débat que nous avons eu sur le rien et le néant. Quoique ?
Par contre, je suis d'accord avec un député socialiste qui dit que le gouvernement compte privatiser une partie des chaînes publiques pour faire plaisir à des copains, plein de fric sans doute, afin de récupérer des tunes.
Et, en ce qui concerne la durée du travail, il va sans doute s'enliser dans l'art et la manière d'avancer masquer pour petit à petit réduire les 35 heures à merci.
A part ça, le vide des abysses !
Ah, si ! Ah, si ! Le medef exige de faire passer le mois d'essai à trois mois renouvelable pour le simple travailleur et à un an pour le cadre.
Et la rentabilité sociale de l'entreprise ? A-t-elle seulement existé un jour ?
Tout à fait, je vous l'affirme.
Elle existait lorsque les entreprises familiales comme Michelin ou à l'époque les grandes familles industrielles créaient des crèches, des écoles, des magasins pour leurs ouvriers et des bourses pour les fils d'ouvriers. C'était le bon temps, aujourd'hui disparu. Dommage. !
Y'a qu'à voir certaines grosses entreprises américaines qui avaient acceptés de mettre en place une caisse retraite pour leurs salariés et qui aujourd'hui font machine arrière grave à cause du coût final.
Mais, voilà, on critique, on critique et on ne fait pas de proposition. Le gouvernement a raison dans un sens, vous critiquez, mais, vous ne proposez rien.
Il a raison, on cause, on cause, mais, à part ça, on se la coule. Alors, une idée ?
Bon, nous allons tenter de réfléchir. D'abord avant de réfléchir, il faut savoir sur quel champ, nous nous devons de réfléchir.
Le pouvoir d'achat ?
Non, je ne pense pas car ce n'est qu'un effet collatéral.
Mais, un effet collatéral de quoi ?
Ben, mes bons messieurs, de la croissance, off course !
Et, la croissance, c'est, je vous le donne en mille, le revenu.
Et, pour avoir un revenu, il faut avoir un travail.
Donc, maintenant que nous avons cerné le champ, il faut l'identifier.
Qu'est-ce qui amène du travail en France, à mon avis, c'est le tissu nationale des PME-PMI. N'êtes-vous pas d'accord ?
Donc, il faut pouvoir booster nos braves industriels qui actuellement cherchent à exploiter à mort leurs salariés. Besancenot, au secours !
C'est quoi ton problème comme dirait Georges Marchais ?
Leur problème, c'est qu'ils ont cru que la libéralisation de la circulation des biens et des personnes allaient être un arc de triomphe pour balancer leurs produits dans le monde. Les plus malins ont tout de suite compris que la délocalisation allait leur permettre d'atteindre un stade international.
Ailleurs, nos délocalisés produisent pour moins cher des biens qu'ils revendent en France au même tarif. Ça, c'est pas gentil !
D'autre part, les industries au pays se retrouvent confronter à un savoir faire des pays émergents qui ne peut aller qu'en s'améliorant.
Alors que faire ?
Simple, comme dirait Sarko, il faut créer les conditions localement pour que nos industriels puissent répondre à la concurrence internationale. Et, quelle est sa solution, simple encore, car vous apprenez ça quand vous faites un MBA américain, réduire les coûts de production et optimiser la chaîne de production.
Dans ce cadre, le travailleur n'est plus qu'une force de travail corvéable à merci et à coût réduit. Entre-nous, faut pas être grand clerc pour arriver à une telle abstraction de la productivité.
Bon, vous me direz que c'est du baratin et que je repars dans mes délires.
Alors, je vous réponds, si cela ne marche plus avec du vieux, créons du neuf. Inventons puisque nous n'avons pas de pétrole, mais des idées, des produits innovants.
Parce que selon la bonne loi de la consommation, c'est pas le produit qui détermine le marché, c'est le besoin créé de toute pièce qui provoquent l'effet d'entraînement.
En peu de mots. Considérons, les produits qui sont fortement concurrencés et créons leur un nouvel emballage pour intégrer le marché, en somme une nouvelle utilité.
Ce qui veut dire, que sur les produits, il faut imaginer de nouvelles transformations. Pas tous s'y prêteront évidemment, un certain nombre, c'est sûr.
Les pays émergents reproduisent, à nous alors d'inventer de nouvelles présentations de nos produits pour les rendre audibles et attrayants.
Bon, je m'excuse! Je dois rompre là parce que j'écris pendant l'heure du repas et là, le temps va me manquer. Il est donc temps de conclure.
Aussi, je vous propose ce texte, pas vraiment terminé et qui est aussi une réflexion sur ce que nous ne pourrons plus faire du fait de la chute drastique de notre pouvoir d'achat.
Rêve en couleurs.
Il y a tant à voir
tant de choses à connaître
tant d'aventures à vivre
tant d'amours à en jouir
que ma vie seule
ne saurait y suffire.
J'aspire pourtant d'en faire
une pérpétuelle surprise
de ce que je ressens
et ne connais encore.
Il y a tant à parcourir
de ces terres si lointaines.
Malgré tout, un jour
mes voyages ont dépassés
mes rêves.
Mais, en vrai
je n'ai pas quitté mon quartier.
Paris, le 08/1/2008
C'est vrai, c'est un peu court et pas vraiment fini. Je vous promets de faire mieux la prochaine fois.
Donc, c'est l'histoire d'un mec qui n'est pas parti parce qu'il n'avait pas les moyens. Ce qui me fait penser à tous ceux qui en France ne partent plus en vacances. Merci François Mitterrand pour les nouveaux pauvres de ton époque.
Après, on dira que tu as été un grand président !
Et, sur ces paroles de miel et de sucre, je vous tire ma révérence.
A bientôt.
René.
Bon, mes chers lecteurs. J'ai reçu un message anonyme qui dit,"On te surveille !"
Bien, alors, je demande si c'est quelqu'un que je connais qu'il se manifeste autrement, j'en ai rien à cirer.
En tout cas, comme disent les africains, le discours de Sarko m'a laissé pantois. Pour moi, c'est un discours fait de rien.
Rassurez-vous, lorsque je pose le mot "rien", cela ne signifie pas que je vais repartir dans le débat que nous avons eu sur le rien et le néant. Quoique ?
Par contre, je suis d'accord avec un député socialiste qui dit que le gouvernement compte privatiser une partie des chaînes publiques pour faire plaisir à des copains, plein de fric sans doute, afin de récupérer des tunes.
Et, en ce qui concerne la durée du travail, il va sans doute s'enliser dans l'art et la manière d'avancer masquer pour petit à petit réduire les 35 heures à merci.
A part ça, le vide des abysses !
Ah, si ! Ah, si ! Le medef exige de faire passer le mois d'essai à trois mois renouvelable pour le simple travailleur et à un an pour le cadre.
Et la rentabilité sociale de l'entreprise ? A-t-elle seulement existé un jour ?
Tout à fait, je vous l'affirme.
Elle existait lorsque les entreprises familiales comme Michelin ou à l'époque les grandes familles industrielles créaient des crèches, des écoles, des magasins pour leurs ouvriers et des bourses pour les fils d'ouvriers. C'était le bon temps, aujourd'hui disparu. Dommage. !
Y'a qu'à voir certaines grosses entreprises américaines qui avaient acceptés de mettre en place une caisse retraite pour leurs salariés et qui aujourd'hui font machine arrière grave à cause du coût final.
Mais, voilà, on critique, on critique et on ne fait pas de proposition. Le gouvernement a raison dans un sens, vous critiquez, mais, vous ne proposez rien.
Il a raison, on cause, on cause, mais, à part ça, on se la coule. Alors, une idée ?
Bon, nous allons tenter de réfléchir. D'abord avant de réfléchir, il faut savoir sur quel champ, nous nous devons de réfléchir.
Le pouvoir d'achat ?
Non, je ne pense pas car ce n'est qu'un effet collatéral.
Mais, un effet collatéral de quoi ?
Ben, mes bons messieurs, de la croissance, off course !
Et, la croissance, c'est, je vous le donne en mille, le revenu.
Et, pour avoir un revenu, il faut avoir un travail.
Donc, maintenant que nous avons cerné le champ, il faut l'identifier.
Qu'est-ce qui amène du travail en France, à mon avis, c'est le tissu nationale des PME-PMI. N'êtes-vous pas d'accord ?
Donc, il faut pouvoir booster nos braves industriels qui actuellement cherchent à exploiter à mort leurs salariés. Besancenot, au secours !
C'est quoi ton problème comme dirait Georges Marchais ?
Leur problème, c'est qu'ils ont cru que la libéralisation de la circulation des biens et des personnes allaient être un arc de triomphe pour balancer leurs produits dans le monde. Les plus malins ont tout de suite compris que la délocalisation allait leur permettre d'atteindre un stade international.
Ailleurs, nos délocalisés produisent pour moins cher des biens qu'ils revendent en France au même tarif. Ça, c'est pas gentil !
D'autre part, les industries au pays se retrouvent confronter à un savoir faire des pays émergents qui ne peut aller qu'en s'améliorant.
Alors que faire ?
Simple, comme dirait Sarko, il faut créer les conditions localement pour que nos industriels puissent répondre à la concurrence internationale. Et, quelle est sa solution, simple encore, car vous apprenez ça quand vous faites un MBA américain, réduire les coûts de production et optimiser la chaîne de production.
Dans ce cadre, le travailleur n'est plus qu'une force de travail corvéable à merci et à coût réduit. Entre-nous, faut pas être grand clerc pour arriver à une telle abstraction de la productivité.
Bon, vous me direz que c'est du baratin et que je repars dans mes délires.
Alors, je vous réponds, si cela ne marche plus avec du vieux, créons du neuf. Inventons puisque nous n'avons pas de pétrole, mais des idées, des produits innovants.
Parce que selon la bonne loi de la consommation, c'est pas le produit qui détermine le marché, c'est le besoin créé de toute pièce qui provoquent l'effet d'entraînement.
En peu de mots. Considérons, les produits qui sont fortement concurrencés et créons leur un nouvel emballage pour intégrer le marché, en somme une nouvelle utilité.
Ce qui veut dire, que sur les produits, il faut imaginer de nouvelles transformations. Pas tous s'y prêteront évidemment, un certain nombre, c'est sûr.
Les pays émergents reproduisent, à nous alors d'inventer de nouvelles présentations de nos produits pour les rendre audibles et attrayants.
Bon, je m'excuse! Je dois rompre là parce que j'écris pendant l'heure du repas et là, le temps va me manquer. Il est donc temps de conclure.
Aussi, je vous propose ce texte, pas vraiment terminé et qui est aussi une réflexion sur ce que nous ne pourrons plus faire du fait de la chute drastique de notre pouvoir d'achat.
Rêve en couleurs.
Il y a tant à voir
tant de choses à connaître
tant d'aventures à vivre
tant d'amours à en jouir
que ma vie seule
ne saurait y suffire.
J'aspire pourtant d'en faire
une pérpétuelle surprise
de ce que je ressens
et ne connais encore.
Il y a tant à parcourir
de ces terres si lointaines.
Malgré tout, un jour
mes voyages ont dépassés
mes rêves.
Mais, en vrai
je n'ai pas quitté mon quartier.
Paris, le 08/1/2008
C'est vrai, c'est un peu court et pas vraiment fini. Je vous promets de faire mieux la prochaine fois.
Donc, c'est l'histoire d'un mec qui n'est pas parti parce qu'il n'avait pas les moyens. Ce qui me fait penser à tous ceux qui en France ne partent plus en vacances. Merci François Mitterrand pour les nouveaux pauvres de ton époque.
Après, on dira que tu as été un grand président !
Et, sur ces paroles de miel et de sucre, je vous tire ma révérence.
A bientôt.
René.
mercredi 9 janvier 2008
Pour savoir qui a tort ou savoir qui a raison, j'irais voir le capitaine du port. Il me dira que le roi du monde a pris le gouvernail.
Salut aux frères de la côte. Il se dit que dans le golf de Siam, vous volez et vous tuez. Nous sommes en 2008 et l'homme compte retourner polluer la lune. Comprenne qui pourra !
Eh, oui, messieurs, les pirates existent toujours. Mais, ceux-là sont une redoutable engeance qui pille et qui tue sans pitié. Par contre, il y a des pirates en col blanc et ceux-là ne tuent pas, mais, ils jettent dans la misère les ouvriers dont ils découpent les entreprises pour mieux en écouler les morceaux sur le marché.
Sauf que ceux-là sont fêtés, appréciés et invités à intervenir dans les médias pour se faire mousser. On dit alors que c'est la réussite sociale.
Eh, bien, oui, mes chers amis. C'est la réussite sociale comme ces spéculateurs qui achètent le pétrole en euro et le revende dans la zone dollars un peu plus cher pour s'enrichir sur les quantités vendues. Que ce soit le baril de pétrole ou les matières premières alimentaires, tel le blé, les produits laitiers....etc.
Car ça, c'est de la vrai spéculation. Sans capital avancé, vous achetez et vous revendez aussitôt en payant avec le gain perçu.
Et, croyez-moi, tous les spéculateurs sont sur la brèche.
Merci pour eux, tant pis pour nous.
Mais, que cela veut-il dire pour les usagers ? Des émeutes de la faim au Pakistan et ailleurs ?
En Afrique, notamment, où même le prix du mil est parti pour la hausse. Bientôt, si ça continue, même le prix de la viande de chameau va s'envoler. Si, nous prenons les pays où ça va le plus craindre en Afrique, nous trouvons en premier le zimbabwe, la Somalie, le Malawi, bref, tous les pays qui ne sont pas ou plus autosuffisant.
Et, comme, il n'y a plus de réserve mondiale, ils sont morts !
Ah, par contre, ce qui risque de changer en Afrique, c'est l'Afrique du Sud. Parce que le nouveau président de l'ANC a plutôt le profil de celui du zimbabwe. Il aura tendance à s'occuper beaucoup de son compte en banque et à placer ses affidés. Ensuite, il rendra les blancs responsable des déboires du pays comme au zimbwabwe.
Bref, tout ça n'annonce rien de bon, surtout si il essaie de se faire passer aux yeux des zoulous pour celui par qui la revanche arrive.
Finalement, l'Afrique continue à accumuler les problèmes et lorsque cela s'arrête dans un endroit, cela recommence ailleurs.
Peut-être que la famine qui s'annonce un peu partout va calmer tout le monde. Qui sait ?
Bon, à part ça, espérons qu'Hilary Clinton changera la politique extérieure américaine et que plutôt qu'engraisser l'establishment militaro-industriel, elle pense plus à empêcher le million de propriétaires américains de se retrouver à la rue et à augmenter les aides sociales. Et, peut-être que le rêve américain commencera à rééxister.
Bon, à part ça, aujourd'hui, j'ai pas trop envie de parler. Aussi, je vous propose au poème que la fille aux yeux de lac avait bien aimé.
Désir perdu
Objet de tous mes désirs
objet de tous mes soupirs
fille reine, princesse de l’oubli
tu règnes, coeur de pierre
sur les malheurs de ceux
qui un jour ont cru
te conquérir.
Fille catin, reine menteuse
légende perdue et retrouvée
semblable à l’image oubliée
d’un présent déjà lointain
tu marches sur les corps
des victimes de la poursuite
d’un rêve inachevé.
Objet de tous mes désirs
objet de tous mes soupirs
femme infidèle et souveraine
à l’ombre de ta silhouette
ô ma reine, je hume
le parfum de ton corps
pareil à un chien fidèle.
Paris le 06/11/97
Et, sur ces bonnes paroles, je vous dis, demain sera un autre jour. Mais, surtout ne demandez pas de sous à Sarko, les caisses sont vides. Mais, rassurez-vous, maintenant, il va s'occuper de la caisse retraite et il va s'arranger pour que vous en touchiez encore moins.
A bientôt.
René.
Eh, oui, messieurs, les pirates existent toujours. Mais, ceux-là sont une redoutable engeance qui pille et qui tue sans pitié. Par contre, il y a des pirates en col blanc et ceux-là ne tuent pas, mais, ils jettent dans la misère les ouvriers dont ils découpent les entreprises pour mieux en écouler les morceaux sur le marché.
Sauf que ceux-là sont fêtés, appréciés et invités à intervenir dans les médias pour se faire mousser. On dit alors que c'est la réussite sociale.
Eh, bien, oui, mes chers amis. C'est la réussite sociale comme ces spéculateurs qui achètent le pétrole en euro et le revende dans la zone dollars un peu plus cher pour s'enrichir sur les quantités vendues. Que ce soit le baril de pétrole ou les matières premières alimentaires, tel le blé, les produits laitiers....etc.
Car ça, c'est de la vrai spéculation. Sans capital avancé, vous achetez et vous revendez aussitôt en payant avec le gain perçu.
Et, croyez-moi, tous les spéculateurs sont sur la brèche.
Merci pour eux, tant pis pour nous.
Mais, que cela veut-il dire pour les usagers ? Des émeutes de la faim au Pakistan et ailleurs ?
En Afrique, notamment, où même le prix du mil est parti pour la hausse. Bientôt, si ça continue, même le prix de la viande de chameau va s'envoler. Si, nous prenons les pays où ça va le plus craindre en Afrique, nous trouvons en premier le zimbabwe, la Somalie, le Malawi, bref, tous les pays qui ne sont pas ou plus autosuffisant.
Et, comme, il n'y a plus de réserve mondiale, ils sont morts !
Ah, par contre, ce qui risque de changer en Afrique, c'est l'Afrique du Sud. Parce que le nouveau président de l'ANC a plutôt le profil de celui du zimbabwe. Il aura tendance à s'occuper beaucoup de son compte en banque et à placer ses affidés. Ensuite, il rendra les blancs responsable des déboires du pays comme au zimbwabwe.
Bref, tout ça n'annonce rien de bon, surtout si il essaie de se faire passer aux yeux des zoulous pour celui par qui la revanche arrive.
Finalement, l'Afrique continue à accumuler les problèmes et lorsque cela s'arrête dans un endroit, cela recommence ailleurs.
Peut-être que la famine qui s'annonce un peu partout va calmer tout le monde. Qui sait ?
Bon, à part ça, espérons qu'Hilary Clinton changera la politique extérieure américaine et que plutôt qu'engraisser l'establishment militaro-industriel, elle pense plus à empêcher le million de propriétaires américains de se retrouver à la rue et à augmenter les aides sociales. Et, peut-être que le rêve américain commencera à rééxister.
Bon, à part ça, aujourd'hui, j'ai pas trop envie de parler. Aussi, je vous propose au poème que la fille aux yeux de lac avait bien aimé.
Désir perdu
Objet de tous mes désirs
objet de tous mes soupirs
fille reine, princesse de l’oubli
tu règnes, coeur de pierre
sur les malheurs de ceux
qui un jour ont cru
te conquérir.
Fille catin, reine menteuse
légende perdue et retrouvée
semblable à l’image oubliée
d’un présent déjà lointain
tu marches sur les corps
des victimes de la poursuite
d’un rêve inachevé.
Objet de tous mes désirs
objet de tous mes soupirs
femme infidèle et souveraine
à l’ombre de ta silhouette
ô ma reine, je hume
le parfum de ton corps
pareil à un chien fidèle.
Paris le 06/11/97
Et, sur ces bonnes paroles, je vous dis, demain sera un autre jour. Mais, surtout ne demandez pas de sous à Sarko, les caisses sont vides. Mais, rassurez-vous, maintenant, il va s'occuper de la caisse retraite et il va s'arranger pour que vous en touchiez encore moins.
A bientôt.
René.
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