Salut à ceux qui croient en la vie, vous avez bien raison de continuer à vouloir tracer votre route et n'oubliez pas de glisser des peaux de banane sous les pieds de vos concurrents.
Chercher bonheur, chercher bonheur, qu'est-ce que cela peut bien signifier de nos jours. Pourquoi, ne se contente t-en pas de ce que l'on peut obtenir par l'ambition, les relations, la satisfaction de la belle ouvrage et être né le cul bordé de nouilles.
Dite-moi, sérieusement, pourquoi, cela n'est-il pas suffisant ?
Ben, je vais vous le dire mes petits canards boiteux. Dans le vie, il faut toujours chercher plus loin. C'est ça la vie, chercher plus loin et chercher plus haut.
Une fois qu'on a le loin et le haut, on peut prendre un juste repos au milieu de ses dizaines d'arrières petits enfants. Eh, oui, des petits enfants comme dans les contes de fées. Parce que j'en connais des jeunes filles au coeur tendre qui ne s'imaginent le bonheur qu'entourer d'une nuée d'enfants. Et, après tout, il faut bien repeupler notre république si on veut avoir pour demain des travailleurs qui vont s'échiner toute leur vie sur des machines.
C'est vrai quoi, faut penser à l'avenir. Alors, français, faîtes des gosses pour repeupler nos usines !
Eh, voilà, c'est tout le malheur que je vous souhaite, un bonheur tranquille.
Bon, me direz-vous, n'as-tu pas autre chose de plus sérieux à conter ?
Je vous répondrais que je ne vous ai rien demandé, "mind your own business !"
Non, mais, je vous jure, si on se laissait faire, les autres, ils viendraient faire la loi chez toi. Loi chez toi, tiens, ça me rappelle les djihadistes qui tentent de balancer des bombes à Londres. Comme on dit "pas beau, pas pris". Et, cela malgré la multitude de caméras qui se cachent au moindre recoin de rue. Moi, qui était contre, je me dis, si ça permet de choper les salopards, alors, en avant toute pour les caméras. Que ceux qui sont contre aillent voir le jour où un attentat explosera en France, les corps meurtris et les membres arrachés. Peut-être qu'après, ils changeront d'avis. Naturellement, cela est une atteinte aux libertés publiques, mais, lorsqu'en face, il y a des fanatiques qui cherchent carrément, non pas à s'attaquer aux libertés publiques, mais à un type de civilisation, alors là, il faut se battre.
Autrement, vous vous faites complices de ceux qui vous oppressent et qui vous terrorisent.
Dans le territoire des zones tribales au Pakistant, ils vont bientôt interdire aux oiseaux de chanter puisque le chant des oiseaux détournent le croyant de ses devoirs de bon musulman. La beauté pour eux n'a de sens que dans la pureté. A voir laquelle ?
Alors, lançons des cerfs volants, libérons des milliers d'oiseaux et lançons des ballons au dessus de l'Afganistan et des zones tribales pour que dans les regards des enfants un éclair de bonheur appararaisse.
C'est vrai qu'il en faut parfois un peu de ces petits bonheurs là, lorsque l'on vit dans l'oppression. Il faudrait des jours sans tortures par exemple, cela pourrait se faire à Guantanamo. Parce que là-bas, les chants des oiseaux couvrent les hurlements des suppliciés.
Et, à part ça, merci aux agriculteurs empoisonneurs car selon une étude scientifique, même dans les grandes villes nous respirons les poussières de fongicide, de pesticide et tout ce que l'industrie chimique est capable de produire pour empoisonner ou éliminer la population. En effet, des micro poussières de ces saletés se retrouvent dans l'air et emportés par les vents finissent par se déposer sur nos cheveux, nos vestes, nos chemises lorsque nous traversons innocemment aux feux croisés.
Merci amis agriculteurs, mais, prévenez-moi quand même le jour où vous augmenterez encore les doses que je mette au vert chez des amis bio dans les Alpes de Hautes Provence. Ah, au fait, bravo au gouvernement pour avoir refusé l'introduction d'une espèce d'OGM.
C'est un début.
Toujours à part ça, j'attends toujours la meuf avec du pognon commak, mais rien ne vient. Ah, si au fait, sur le site de rencontre Obsrencontre, y'en a une qui dit qu'elle est riche. Aussitôt, j'ai pris ma plus belle plume et je lui ai écris. Maintenant, je suis dans l'attente. C'est comme au loto, on espère gagner le gros lot. L'attente alors s'appelle souffrance.
Je prie donc pour qu'elle pense à moi et je lui souhaite bien le bonjour chez elle, surtout qu'on va habiter ensemble. C'est pour ça que je lui souhaite tout le bonheur du monde et à moi aussi d'ailleurs.
Et sur ce, Salud tous les amigos, sauf les mecs des FARC.
René.
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