dimanche 1 juin 2025

(On est d'accord, le. climat continue sa trajectoire de vie, mais il le fait en liaison avec la terre, les sols, et la terre évolue pareil. Cependant là dessus intervient l'ingénierie climatique massive réalisée par la Darpa de l'armée américaine et là, on ne s'y reconnaît plus vraiment, à cela se rajoute l'ingénierie climatique réalisée par les pays pour capter la pluie ce qui désertifie le pays voisin et l'ingénierie privée réalisée par des milliardaires américains comme bill gates dans des buts de tuer des populations. note de rené)


Mensonges climatiques sur le toit du monde


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par Damien François

C’est une remarque dans un article sur RT.com sur la mort de deux amis alpinistes russes au Dhaulagiri, le septième sommet du monde, situé au Népal et culminant à 8167m, le 6 octobre 2024, qui m’a prompté à réagir et écrire cet article. Car, une fois de plus, la doxa toxique utilise ou fait référence aux changements climatiques pour expliquer des phénomènes tout à fait naturels. Mon compte en banque est en piteux état – ce sont, évidemment, les changements climatiques qui sont les coupables ! Ou serait-ce à cause de Poutine ?

Les changements climatiques représentant un grave problème qui affecte la vie de centaines de millions de personnes directement et celle de tout terrien indirectement, il est impératif de les traiter factuellement, hors de tout contexte idéologique, politique et encore moins comme modèle économique. L’alarmisme et l’écologie de la peur (à laquelle nous sommes soumis actuellement en Europe), «Changements climatiques ! CHANGEMENTS climatiques !! CHANGEMENTS CLIMATIQUES !!!», ne nous aideront pas à trouver des solutions au problème. Mais aujourd’hui, nous n’avons plus le droit, en Occident, de penser ce qui est correct et juste ; nous devons obéir au diktat de ceux qui veulent nous imposer un narratif, pour remplacer la réalité phénoménale dont nous faisons l’expérience directe. Exit Spinoza et son «dans un État libre, il est loisible à chacun de penser ce qu’il veut et dire ce qu’il pense» (incipit du XXème chapitre de son Traité théologico-politique, 1670).

Comme cela a été le cas avec le vilain coco, la covid-19, qui, comme nous le savons aujourd’hui, cinq ans et demi après sa sortie du chapeau des magiciens globalistes, n’était pas tout à fait «ce qu’on voulait nous faire croire qu’elle était», pour rester politiquement correct, il est maintenant clair qu’avec le narratif «changements climatiques dus à l’homme et son CO2», on nous ment depuis près de 60 ans – depuis les débuts du Club de Rome et de son premier manifeste. Un autre exemple de narratif défendu corps et âme par la secte globaliste, c’est évidemment la victoire inéluctable de l’Ukraine bandériste sur la Russie… Duraki, me disent mes amis russes, des idiots-imbéciles-crétins. Trois pour le prix d’un ! Les changements climatiques, eux, sont bien réels, c’est un fait que j’ai pu observer moi-même au cours de ma vie (je suis né en 1964). Que ce soit ici, dans l’est de la Belgique, quasiment au niveau de la mer, ou dans les hauteurs de l’Himalaya, nous avons eu, nous avons et nous aurons à faire face à des phénomènes, voire catastrophes, liés aux changements climatiques.

 Le 14 juillet 2021, par exemple, ma ville (B-Eupen) et toute la vallée de la Vesdre ont connu le même type de dévastation, quoique à une échelle moindre car non-himalayenne, que certaines vallées du Népal à peu près á la même époque. Des pluies torrentielles ont, pendant des jours d’affilée, gonflé les rivières et causé des glissements de terrain. Les dégâts et pertes enregistrés en Belgique, des dégâts similaires ayant également affligé certaines régions rhénanes du côté allemand, représentent la plus grande catastrophe naturelle jamais connue ici. J’ai pu constater cette même dévastation, à l’échelle himalayenne cette fois, durant le trek ou marche d’approche du Manaslu (7ème sommet du monde), que j’ai gravi le 27 septembre 2021. La vallée de la Marsyangdi avait énormément souffert, et tout particulièrement le village de Tal, où j’étais déjà passé en 2008, avait été annihilé. Comme chez nous, on aurait dit qu’un tsunami était passé par là. Un bizarre sentiment de «je suis ici chez moi» montait en moi…

Au Népal, ce ne sont pas des erreurs humaines, qui ont été faites, la force des éléments prenant une magnitude autre dans les plus hautes montagnes du monde. Mais ici, en Belgique, des décisions d’ordre politiques et économiques sont à l’origine de l’ampleur de la catastrophe – sans pour autant être responsables, évidemment, des crues diluviennes. Si le grand barrage (qui se trouve à 4 km d’ici, le second plus grand du pays) avait lâché des eaux de manière préventive (les prévisions météorologiques étaient univoques), il y aurait certes eu des crues et des inondations, mais en aucun cas, une telle dévastation, qui a coûté la vie à plus de quarante personnes dans la vallée et causé pour plus de quatre milliards de dégâts – pour ne citer que les chiffres. Le ministre de tutelle, un… vert-écologiste, aurait dit : «Il faut sauver l’eau wallonne !» (sic !). Le coupable, bien entendu, a vite été nommé : les changements climatiques. Oui, mais, dirais-je, oui mais…

Au moment où j’écris ces lignes, le village de Blatten en Suisse vient d’être partiellement enseveli sous des coulées de boues et de gravats, suite à l’affaissement et l’écroulement d’une demi-montagne et des glaciers qu’elle abritait. Oui, le réchauffement ambiant dans cette région a peut-être causé la chose, mais il ne faut pas utiliser des phénomènes naturels à des fins idéologiques (écologisme socio-politique et économique) pour la cause. Les facéties climatiques font partie d’un système gigantesque sur lequel les activités humaines n’ont pas d’influence, mais qui influe quant à lui sur la vie de la planète, des montagnes, du vivant. Allez dire aux habitants de Novosibirsk, qui a connu en 2023, si je ne m’abuse, des températures records de… -60°, voire même plus – froid.

Il ne fait aucun doute que le temps, qui n’est qu’une partie du tout appelé «climat», a été assez chaotique, ces dernières années. Les extrêmes semblent être la néo-normalité, pas uniquement dans la «zone de la mort» (qui débute vers les 7300-7500m), mais un peu partout sur le plancher des vaches.

J’ai ainsi observé que contrairement à il y a une vingtaine d’années encore, quand on disait «Ne vous exposez pas au soleil de midi !», la période la plus chaude de la journée s’est déplacée vers la fin de l’après-midi, voire le début de soirée. Le CO2 peut-il avoir une influence sur le temps mesuré par les horloges ? Les idiots doxiques (de «doxa» et «toxique») vous démontreront que oui, mais ce délire du politiquement correct et du progressisme escrologique, n’est plus à prendre au sérieux, depuis longtemps. Le politiquement correct n’a jamais été aussi toxique, un véritable poison, que depuis qu’il est un «roi nu». Hélas, quand le sage pointe la lune du doigt, l’idiot regarde… le doigt.

Les changements climatiques, j’ai eu le droit d’en faire l’expérience en Himalaya, à l’Everest (8848m), aussi. Le 18 avril 2014, j’étais au camp de base – ma première expédition à l’Everest. Je dormais dans ma tête, vers les 6h45 du matin, quand j’ai été réveillé par un bruit distant mais fort. Un énorme sérac avait chuté de l’épaule ouest de l’Everest dans la fameuse cascade de glace, la Khumbu Icefall, entre le camp de base (5300m) et le camp 1 (6000m). Seize Sherpas ont été ensevelis sous les masses de glace et de neige. J’entends encore le «crack, brrroummmmmm»… Une année plus tard, j’étais de nouveau là quand, le 25 avril à 11h56, le premier de deux tremblements de terre (entre 7,9 et 8,2 sur l’échelle de Richter, selon les appréciations pour le premier, 7,2 pour le second le 12 mai) dévastateurs s’est produit – j’étais à Patan, ville satellitaire de Katmandou (où, pour la petite histoire, j’ai donné une conférence sur les… changements climatiques – d’un point de vue philosophique – en 2010), quand le second s’est produit. Je doute fort que ces tremblements de terre se soient produits pour des raisons de changements climatiques, mais, ne riez pas, j’ai lu et entendu des experts disant que c’était envisageable. Ils devaient faire partie du Club de Rome, à défaut de faire partie du club des Everestiens… Certes, selon Jean-Pierre Petit, des tremblements de terre peuvent être délibérément causés, la technologie pour le faire existe. Mais je doute que c’était le cas au Népal, car aucune motivation géo-politique, ni économique, n’expliquerait la chose. En 2017, qui est entré dans les annales comme «l‘année des gelures à l’Everest», ma troisième tentative s‘est terminée au camp 3 (7200m), pour des raisons météorologiques ; des vents trop forts ont soufflé pendant plusieurs jours et nous avons ainsi manqué la «fenêtre de beau temps». Une année plus tard, en 2018, vers les 7600m, entre le camp 3 et le camp 4 au Col sud (7950m), juste sous la Bande jaune (Yellow Band), j‘ai dû abandonner l‘ascension, car j‘avais des difficultés respiratoires dues à la… chaleur ! Il n‘y avait pas de vent et la réflexion du soleil sur la neige blanche et la glace bleue faisait de la face raide (60°) du Lhotse (4ème sommet du monde, qui jouxte l‘Everest) un véritable four à cuire. Il devait faire une température ressentie de 40°c ! Je suis finalement parvenu au sommet de l‘Everest le 23 mai 2019, par un temps relativement stable. Vers midi, arrivés juste sous le Sommet sud à 8750m, les vents se sont levés et nous sommes redescendus dans la tempête, qui s‘est calmée un peu avant que nous arrivions au camp 4, au Col sud (7950m), à 17h30. C’était épique!

Extrême, oui. Mais le temps est toujours extrême, là-haut, et il n‘y a que des moments, voire quelques jours, de temps clément, par… an. C‘est la raison pour laquelle les expéditions à ces altitudes ne sont possibles que pendant un court laps de temps ; c‘est pourquoi on peut voir des files d‘alpinistes, qui sont parfois assez longues, gravir les pentes de l‘Everest, qui culmine à près de 9000m et c‘est pourquoi on parle de «fenêtre de beau temps nécessaire à une ascension».

 Dans la «Cascade de glace du Khumbu – Khumbu Icefall», des séracs s‘affaissent tous les jours, il n‘y a rien de «climatique» à la chose en soi et c‘est la raison pour laquelle cela s‘appelle une «cascade de glace». C‘était un peu la «faute à pas de chance» pour les travailleurs de la haute altitude qui étaient au mauvais endroit, au mauvais moment. La «tempête sur l’Everest» (clin d‘oeil au titre d‘un documentaire célèbre sur un drame bien connu, car médiatisé, qui s‘est produit à l‘Everest en 1996 et relaté dans un livre bestseller de Jon Krakauer, Into Thin Air) que nous avons connue n‘a strictement rien à voir avec les changements climatiques. Peu après midi, en début d‘après-midi, en montagne, surtout en très haute altitude, les vents se lèvent et soufflent. C‘est un phénomène quotidien et non une question de (changement de) climat, mais plutôt de topographie.

Et j’en viens maintenant à la raison qui m’a poussé à écrire cet article, dans lequel je ne fais que répéter ce que de plus en plus de gens, non-lobotomisés par la doxa et les narratifs, savent depuis longtemps. Quand j‘ai lu dans un article publié le 28 mai sur RT.com1 que «lors d‘une autre tragédie, cinq alpinistes russes sont morts en octobre 2024 au Dhaulagiri à une altitude de 7100m à cause du mauvais temps» (je mets en évidence), j‘ai dû réagir. Deux des cinq alpinistes étaient des amis, Mikhail Nosenko (Micha) et Dmitry Shpilevoy (Dima).

Le «temps extrême» n‘a rien à voir avec la mort de mes amis. Quand leurs corps furent retrouvés quelques jours plus tard, ceux-ci étaient toujours encordés et se trouvaient non loin l‘un de l’autre ; apparemment, ils avaient fait une chute fatale, peut-être d‘une altitude de 7600m. Mais nous ne saurons jamais pourquoi. Un rapport de la Fédération russe d‘alpinisme évoque une possible chute de blocs de glace qui serait à l‘origine du drame. Le rapport stipule aussi qu‘au moment des faits, la météo était clémente. Il ne peut donc pas s‘agir de temps extrême, ni, partant, de changements climatiques pour justifier l‘accident. A moins d‘être complètement tordu et prétendre que le temps extrême, c‘est à la fois et simultanément la tempête et le temps calme, les vents forts et l‘absence de vent, les froids de -50°c et -10°c, etc. Les avalanches, les chute de morceaux de glace, les séracs qui croulent, sont des phénomènes aussi vieux que la montagne elle-même. Pour rappel, l‘Himalaya, ce sont 20 millions d‘années

Je connais le Dhaulagiri, j‘y étais en septembre 2022, juste un mois avant de faire la connaissance de Micha et Dima à l‘Ama Dablam, autre sommet emblématique du Népal. L‘énorme et belle «Montagne blanche», le nom local du Dhaulagiri, avec ses pentes raides et ses névés/champs de neige propices aux avalanches, est une montagne difficile à cause des facéties du temps, qui y est quasi toujours carrément dégueulasse – pardon my French. Mon ami-guide (Jamling Bhote, EverQuest Expeditions) et moi nous sommes d‘ailleurs barrés après 10 jours au camp de base seulement. Nous avons attendu, en vain, dans ce camp de base horrible, à 5000m environ, que le temps nous laisse mettre un pied sur la montagne. Mais il pleuvait quasiment tout le temps, ce qui voulait dire que plus haut, au-delà du camp de base, il neigeait. Aucune chance de pouvoir tenter de monter cet automne-là. C‘est la loi de la montagne : parfois le temps est bon, parfois, non. Au printemps suivant, de nouvelles ascensions furent réussies…

Faire porter le chapeau au «temps extrême» pour la mort des cinq alpinistes russes est donc fallacieux – mais politiquement correct. C‘est un abus de la réalité des changements climatiques. Le temps est toujours extrême, dans la «Zone de la mort», et quand il ne l‘est pas, je le répète, il le sera bientôt. Les experts de l‘Académie des Sciences… russe expliquent depuis des lunes que les changements climatiques sont dus à deux phénomènes récurrents : d‘une part, l‘axe de rotation de la Terre, qui tourne sur elle-même, autour du soleil, donc son orbite, a légèrement changé depuis quelques décennies ; cela n‘a rien d‘exceptionnel, mais se produit régulièrement au bout de quelques centaines, voire milliers d‘années. D‘autre part, le phénomène des explosions solaires, très fréquentes, ces dernières années, qui jouent également un rôle. La Russie étant certainement le pays qui, dans l‘Histoire, a fourni le plus grand nombre de scientifiques de niveau mondial, je fais plus confiance à ces derniers qu‘au Club de Rome – un produit des Bilderberg, si je ne m‘abuse, qui poursuit un programme d‘ingénierie sociale. Ce sont ces deux phénomènes qui expliquent pourquoi nous avons affaire à un temps souvent chaotique et non le méchant CO2 qui, soit dit en passant, rend la planète de plus en plus verte. Comment les humains pourraient-ils influer sur l‘orbite terrestre et l‘activité solaire ? Les Alpes, ses sommets, par exemple, n‘étaient pas recouverts de glace il y a environ 4000 ans : est-ce parce que Ötzi et ses potes faisaient trop de barbecues en altitude et envoyaient ainsi trop de CO2 dans l‘atmosphère?

Les dernières études en date, très récentes, révèlent que dans l‘Arctique et l‘Antarctique, les masses glaciaires augmentent. Il a fallu des milliers d‘années aux glaciers himalayens pour se former. Donc, même si ceux-ci sont maintenant dans une phase de rétraction due à un réchauffement, on peut s‘attendre à ce qu‘un jour, ils recommencent à se développer et regagnent du terrain. Nous devons simplement faire preuve de zen, de patience bouddhiste, au lieu de nous prendre la tête pour des raisons idiotologiques. Laissons travailler la nature, qui de toute manière n‘a pas de but défini – ou, «temps extrême natura naturans», pour citer Spinoza une nouvelle fois.

Le système climatique de la planète Terre obéit à un autre «chronomètre» que l‘humain. Le «speed climbing» est à la mode, mais ce n‘est pas ainsi qu‘opère le climat, ni que se forment les montagnes, l‘Himalaya ayant commencé à se former il y a environ 20 millions d‘années… En outre, les glaciers du Pakistan, dans le Karakoram, où se trouvent cinq des quatorze sommets de plus de 8000m, eux, ne perdent pas en taille, au contraire. S‘agirait-il de changements climatiques inversés ?

Je n‘ai d‘ailleurs jamais vu l‘Everest aussi blanc et couvert de neige qu‘à l‘automne 2024 (ma 17ème visite dans le Khumbu, vallée des Sherpas, qui mène à l‘Everest – sur les 19 fois où je suis allé au Népal) et sur les photos et films de la saison printemps 2025 qui vient juste de s‘achever.

Le système climatique de la planète Terre, vu son immensité et sa complexité, en fera toujours à sa tête et il n‘est jamais sage de gaspiller moyens, énergie et argent pour remédier à des problèmes qui n‘en sont pas, au lieu de chercher à trouver des solutions à des problèmes bien réels. Il n‘est non plus bien avantageux, sur le long terme, de mentir aux peuples qui, un jour ou l‘autre, peuvent se réveiller de la torpeur mentale dans laquelle on les plonge. Ce sont encore et toujours les masses, non de glace, mais d’humains, qui font les sociétés. Et même si les masses paraissent encore endormies, gare au jour où elles se réveille(ro)nt. L‘Histoire est remplie d‘exemples qui montrent que mentir aux gens pour des raisons socio-politiques, idéologiques, pour cause d‘«agenda», c‘est-à-dire de programme, de téléologie, peut se terminer très mal, très très mal.

Le narratif des «changements climatiques dus à l‘influence de l’homme», un narratif parmi tant d‘autres, avec lequel on se fout de notre gueule depuis trop longtemps n‘aidera pas à… aider les populations qui sont actuellement confrontées aux problèmes bien réels que posent ces changements. Il ne fait qu‘accroitre les problèmes, non pas uniquement des populations concernées, mais de tous les humains qui habitent notre belle planète.

R.i.p. Micha et Dima

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