Cela se passe toujours jeudi soir ou bien un vendredi après-midi quand les grandes banques annoncent des licenciements. En cette fin novembre 2023, année misérable s'il en est, Barclays Bank et la Lloyds ont annoncé à quelques 4.500 salariés (et juste avant Noël) qu'ils vont être virés, comme dans le film Margin Call. Et je ne parle même pas de la Citi américaine qui a sabré 300 hauts cadres dirigeants DE PLUS, ce qui met le nombre de virés à presque 5.000 (juste en quelques jours).
Le blabla de justification de la Lloyds: ""Nous évoluons et transformons notre entreprise pour nous assurer de pouvoir faire plus pour nos clients et leur fournir les produits et services dont ils ont besoin", a déclaré un porte-parole de la banque , ajoutant que la banque examinait comment les équipes travaillaient sans donner de détails sur les coupes potentielles.
La nouvelle intervient après que Reuters a rapporté jeudi que le rival de Lloyds, Barclays travaille sur des plans pour économiser jusqu'à 1 milliard de livres (1,25 milliard de dollars), ce qui pourrait impliquer la suppression d'environ 2 000 emplois.
La plupart des banques britanniques ont fait état d'une série de bénéfices solides alors que des taux plus élevés ont stimulé les revenus de prêt.
Mais les préoccupations des investisseurs concernant une concurrence plus difficile pour l'argent des épargnants et les défauts de paiement potentiels des prêts dans un contexte de crise du coût de la vie pèsent sur le secteur"
La nouvelle intervient après que Reuters a rapporté jeudi que le rival de Lloyds, Barclays travaille sur des plans pour économiser jusqu'à 1 milliard de livres (1,25 milliard de dollars), ce qui pourrait impliquer la suppression d'environ 2 000 emplois.
La plupart des banques britanniques ont fait état d'une série de bénéfices solides alors que des taux plus élevés ont stimulé les revenus de prêt.
Mais les préoccupations des investisseurs concernant une concurrence plus difficile pour l'argent des épargnants et les défauts de paiement potentiels des prêts dans un contexte de crise du coût de la vie pèsent sur le secteur"
Barclays veut économiser 1 milliard, et on en déduit logiquement que c'est environ le même montant pour la Barclays. Ces Ne plans de licenciements (ou sauvegarde de l'emploi) témoigne bien du stress qui agite en ce moment même leurs bilans, lire ici Reuters, et ici Bloomberg.
Respectant la "Loi Jovanovic" ;-) le cours de l'action Barclays a perdu presque 12% de plus en 2023.
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