(Bon, ils ont stigmantisé les sympathisants de trump de complotistes alors qu'ils soutenaient simplement et normalement leur candidat. Ils les ont appelé Qua Non, histoire de bien les séparer de la population. La CIA se transforme en multinationale avec sa banque, son fond d'investissement et ses nettoyeurs, mais, personne ne dite rien. Biden a déjà la NSA qui surveille la moindre opinion émise, alors un peu plus, un peu moins. note de rené)
Biden va engager des entreprises privées pour espionner les citoyens américains qui diffusent des « théories du complot »
Selon certaines informations, Joe Biden va engager des entreprises privées pour espionner les citoyens américains susceptibles de discuter ou de diffuser des contenus « extrémistes » en ligne.
Selon CNN, « le plan discuté au sein du DHS, selon des sources multiples, permettrait en fait au département de contourner » les lois qui limitent ce que le gouvernement fédéral peut faire en matière de surveillance des citoyens américains sans mandat.
« Une source familière avec l’effort a déclaré qu’il ne s’agit pas de décrypter les données mais plutôt d’utiliser des entités extérieures qui peuvent légalement accéder à ces groupes privés pour recueillir de grandes quantités d’informations qui pourraient aider le DHS à identifier les récits clés à mesure qu’ils émergent. »
Rebelnews.com rapporte : Le rapport affirme que l’administration Biden envisage d’utiliser des entreprises privées pour « agir en tant qu’intermédiaires » afin d’obtenir des informations qui consisteraient en « de larges résumés ou analyses des récits qui émergent sur ces sites » et ne « cibleraient pas des individus spécifiques ». Cependant, certaines firmes créent de fausses identités pour accéder aux espaces privés des médias sociaux auxquels le gouvernement ne peut pas accéder.
« La collecte d’informations sur les citoyens américains – quelle que soit l’horreur de leurs croyances – soulève des défis constitutionnels et juridiques instantanés », ajoute le rapport. « Les défenseurs des libertés civiles et les faucons de la vie privée critiquent depuis longtemps tout effort visant à collecter en masse des informations, même publiquement disponibles, sur les Américains, comme une violation des droits du Premier et du Quatrième amendement. »
Le rapport a été condamné par les deux côtés du spectre politique, y compris par d’anciens responsables du renseignement.
L’ancien chef de cabinet de Trump, Mark Meadows, a répondu : « Ils ont espionné la campagne présidentielle de Donald Trump et ont patiné sans conséquences… et maintenant ils veulent vous espionner aussi. C’est une idée effrayante et terrible qui devrait être rejetée en bloc. »
« Le gouvernement confie l’espionnage domestique sans mandat des citoyens américains à des sociétés extérieures ne le rend pas moins dangereux, inconstitutionnel ou illégal. », écrit le stratège politique Andrew Surabian. « Y a-t-il des politiciens qui ont le courage de s’opposer à un État de sécurité nationale de plus en plus anarchique et autoritaire ?. »
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