samedi 1 décembre 2018


Non au Dicamba, le nouveau poison de Monsanto ! (France)
source : Les lignes bougent.org (pétition)
Adressé à : Emmanuel Macron, Président de la République française

Les firmes Monsanto et BASF sont en train de faire valider secrètement un nouveau poison qui a déjà fait des ravages aux Etats-Unis. C’est un nouveau cas d’ECOCIDE avéré.
Ce produit ayant comme principe actif du Dicamba est un nouvel Herbicide détruisant toutes les plantes n’étant pas génétiquement modifiées par les mêmes producteurs. L’intérêt du Dicamba est soi-disant de détruire uniquement les mauvaises herbes devenues résistantes aux herbicides tels que le Glyphosate.
Le Glyphosate présent dans leur produit phare, le RoundUp, va peut-être enfin être interdit d’ici 3 ans après des décennies d’utilisations et de contamination et surtout plusieurs années après que ce produit ait été publiquement reconnu comme étant cancérigène.
La volatilité de l’herbicide Dicamba est telle, qu’un champ voisin n’utilisant pas les semences OGM et même les arbres aux alentours meurent en quelques semaines seulement. C’est un nouveau Fléau qu’il faut stopper au plus VITE !
Perturbateurs de l’hormone de croissance.
Le dicamba va perturber la régulation d’une hormone de croissance végétale appelée l’auxine. Toute plante ayant été en contact avec du Dicamba va voir sa croissance accélérée jusqu’à en mourir. Imaginez-vous un enfant de 3 ans qui grandirait de 50 cm en quelques semaine. C’est l’effet monstrueux qu’a le Dicamba sur les plantes non modifiées.
Bien évidemment ce phénomène n’aurait, selon plusieurs analyses, aucune incidence sur l’homme. Toutefois, les examens de ces nouveaux produits contenant du Dicamba n’ont été testés que sur des rats. Il a fallu plusieurs années pour que le Glyphosate soit répertorié comme cancérigène. Combien de temps voulez-vous attendre avant que l’histoire ne se répète ?
Sur Wikipédia on peut lire que le Dicamba est tératogène.
La tératogenèse désigne la production de malformations. Issu du grec, le terme signifie littéralement « création de monstres ».
Il pourrait ainsi altérer le processus de reproduction et généré des malformations et également avoir les effets suivants :
  • Perte d’appétit
  • Vomissement
  • Douleurs et contractions musculaires (Spasmes, battement de cœur
  • Essoufflement
  • Effet sur le système nerveux central
  • Incontinence
  • Cyanose (Peau Bleu)
  • L’inhalation peut causer l’irritation des cloisons nasales, des poumons et la perte de voix
  • Très irritant et corrosif pour les muqueuses oculaires et les yeux
Ceci est bien évidemment une nouvelle mascarade de ces firmes pour pouvoir contrôler encore plus la chaîne de valeur au détriment des consommateurs et agriculteurs.
Après avoir obtenu l’autorisation de l’union européenne en 2015 et 2016 pour vendre et importer leurs nouvelles semences de coton et de soja génétiquement modifiées qui supportent la nouvelle formule du Dicamba, ce n’est qu’une question de mois avant que ce produit, en rien miraculeux, ne soit utilisé sur notre territoire.
L’Etat américain de l’Arkansas est en train de délibérer sur l’interdiction de ce produit suite à la plainte de milliers d’agriculteurs. N’attendons pas que les Etats-Unis délibèrent sur ce sujet de sécurité national, agissons avant que cette industrie ne trouve un nouveau moyen de nous vendre leur poison.
Ne laissons pas des entreprises privées tels que Monsanto et BASF nous empoissoner pendant des années avant d’obtenir un débat.  Interdisons DÈS MAINTENANT ce nouveau poison avant qu’il ne se répande dans nos champs et nos assiettes.
Signez tout de suite cette GRANDE PETITION afin d’obliger le gouvernement français à INTERDIRE le Dicamba de Monsanto.

Auteur : Sébastien Aubry

(Parmi, les effets secondaires, "déformation" au niveau des foetus. Tiens, en France, des enfants naissent sans mains ou sans pieds, mais, ce n'est pas la faute des agriculteurs qui chaque années augmentent leur utilisation de pesticides mosanto ou autre. Ce qui est prévu vu que les récoltes baissent et que l'augmentation d'engrais et de pesticides sont nécessaires pour en maintenir le niveau. Alors, si, les agriculteurs, vignerons ou autre nous tuent, nous et nos enfants, on fait quoi ? On baille aux corneilles ? note de rené)

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