Guerre au Yémen : le secteur bancaire émirati s’effondre
Le secteur bancaire émirati traverse une phase catastrophique en raison de la participation des Emirats Arabes Unis dans la guerre au Yémen en est la cause principale.
Selon le site Voice Of Market (VOM) , rapporte le site en ligne de la télévision al-Mayadeen, le premier indice de cet effondrement est que la banque de Charjah pour les investissements est sur le point de faire faillite, malgré une tentative qui avait eu lieu en catimini au cours de ce mois-ci, destinée à la sauver.
Des experts économiques ont assuré que la participation des EAU dans la coalition contre le Yémen a largement contribué à l’épuisement des ressources des émirats, sans compte l’appréhension des investisseurs et des hommes d’affaires de faire part aux partenariats et aux alliances dans le marché déambulant des EAU.
« Bank of Shargah a atteint le point de l’effondrement critique en raison du manque en liquidités et en capitaux, et de la déficience des bénéfices et en raison des pertes énormes dans les prêts », précise VOM.
Un plan pour le licenciement de plusieurs centaines d’employés de la banque a eu lieu durant la tentative de la sauver.
Selon le site, il faut s’attendre à une opération de fusion des banques dans les EAU dans les mois prochains.
Un plan pour le licenciement de plusieurs centaines d’employés de la banque a eu lieu durant la tentative de la sauver.
Selon le site, il faut s’attendre à une opération de fusion des banques dans les EAU dans les mois prochains.
Le gouvernement de Charjah détient la plupart des actions de la banque. Et il faut s’attendre à ce que les actionnaires actuels aux EAU vont eux aussi perdre leurs fonds, à l’instar d’al-Massouki, al-Houssani et de deux sociétés privées.
Davantage de milliardaires ont déjà perdu leurs fonds aux EAU, révèle le site, selon lequel les fusions bancaires ne sont pas un signe de puissance.
Davantage de milliardaires ont déjà perdu leurs fonds aux EAU, révèle le site, selon lequel les fusions bancaires ne sont pas un signe de puissance.
« Ces fusions se font dans la grande clandestinité avec l’intention de dissimuler les pertes considérables essuyées et le manque de liquidités, ce qui place les banques au Moyen-Orient dans une situation moins sécurisée qu’ailleurs dans le monde », a conclu VOM.
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