La vente des aéroports Charles de Gaulle et Orly par… GOLDMAN SACHS
Par Karl - 4 septembre 2017 via On sait ce que l'on veut qu'on sache
Macron avait facilité les privatisations des aéroports de province, voici que l’information est tombée en douce fin juillet 2017, Edouard Philippe envisage des pistes de privatisations supplémentaires et il n’est pas exclu que les deux aéroports de Paris soient vendus.
Cela commencé comme cela pour les aéroports de province, Nice, Lyon, Toulouse, une petite info au mois de juillet et 1 an plus tard, bing, les aéroports étaient vendus, alors qu’ils ont été construits avec l’argent des Français.
Après ceux de Lyon et de Nice, les aéroports de la ville de Paris vont-ils être privatisés ? La question ne fait presque plus de doute selon BFM Business. Il s’agit désormais de savoir quand et comment, le ministère de l’Économie souhaitant vendre quelque 10 milliards d’euros de ses participations publiques, notamment dans Paris Aéroport (ADP). L’État en est détenteur à 50,6 %. Mercredi, BFM Business affirme donc que, depuis plusieurs semaines, l’ensemble des représentants et des dirigeants d’entreprises intéressés par la possible privatisation de Paris Aéroport seraient en contact permanent avec plusieurs interlocuteurs au gouvernement.
« Les retours sont très clairs, l’entreprise sera privatisée », affirme le site, citant l’une de ses sources. La direction de Paris Aéroport a déjà décidé de s’adjoindre les services de BNP Paribas et Goldman Sachs en vue d’une possible privatisation, bien que le mot reste encore un peu tabou dans l’administration. Aussi, Bercy serait en train d’étudier depuis le début du mois de juillet, quatre scénarios différents impliquant soit une vente totale des actifs de l’État dans Paris Aéroport, soit une vente partielle. Un premier scénario consisterait à vendre l’ensemble des 50,6 % de la participation de l’État afin de récupérer quelque sept milliards d’euros.
Vinci, dans les starting-blocks
Si telle était l’option finale choisie par le ministère de l’Économie, alors les candidats à la prise de capital devront être capables de lancer une offre publique sur 100 % du capital de Paris Aéroport, soit un financement de 15 milliards d’euros. Un acteur s’est déjà manifesté : Vinci. Dans un entretien au medium Le Revenu lundi, le PDG de l’entreprise, Xavier Huillard a affirmé que lui et ses équipes étaient « parfaitement capables de réaliser des opérations très significatives ». Vinci est déjà actionnaire de 8 % de Paris Aéroport, et tient donc pour l’instant la position de favori. Selon BFM Business, le groupe chercherait à créer un consortium avec plusieurs partenaires. Parmi les noms qui circulent : Prédica, l’assureur du Crédit agricole, actionnaire à 5 % depuis 2013 ; et la Caisse des dépôts du Québec.
Un second scénario envisagé par Bercy serait la vente partielle des parts de l’État dans ADP, une solution qui aurait les faveurs du PDG de l’entreprise, Augustin de Romanet. « Bien qu’il s’en défende, il ne souhaite pas que Vinci prenne le contrôle du groupe », affirme une source à BFM Business. « Il veut les maintenir en-dessous de 30 % aux côtés de l’État ». Dans les faits donc, l’État se séparerait de 20 % de ses actifs par lots mis en vente de 4 ou 5 %.
Une loi de privatisation ?
Deux autres options seraient à l’étude, mais ont moins de chances d’aboutir. L’État pourrait conserver la propriété foncière d’ADP afin d’éviter une spéculation immobilière. Enfin, la dernière option consisterait à scinder Aéroports de Paris en deux entités distinctes, d’un côté Roissy-CDG, de l’autre Orly, afin de stimuler une certaine concurrence. Dans tous les cas, Bercy devrait travailler sur le dossier ADP tout l’été, avec une annonce possible à la rentrée. Selon BFM Business, l’État doit privatiser le groupe dans le courant de l’année 2018 avant d’entamer, en 2019, avec le nouvel acquéreur la négociation de leur contrat de régulation économique.
Reste également à régler le volet légal de l’affaire. L’État devra légiférer pour lever l’interdiction de descendre sous la barre des 50 % de capital de l’entreprise. Et possiblement rédiger une loi de privatisation pouvant concerner d’autres sociétés telles EDF ou Engie, sociétés dans lesquelles l’État est propriétaire à 70 et 34 %.
Source : lepoint.fr
(Toujours goldman sachs qui a participé et cela reste à prouver, selon moi, au financement de la campagne présidentiel de macron. Donc, reprenons, la montagne d'or en Guyane pour jacques attali, les 11 vaccins pour son pote, serge weinberg, participant à sa campagne, directeur du labo pharmaceutique sanofi, concepteur de vaccins dont le gardasil et maintenant goldman sachs et les aéroports de Roissy et d'Orly.
Y-en-a-t-il d'autres cachés dans un placard, mon capitaine ? note de rené)
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