samedi 1 août 2015

(blog à finir et à corriger)

Bon, constat, mes chers cinq lecteurs, nos amerloks adorés sont comme toujours très pragmatiques, ils poussent l'Europe à se passer du gaz russe, ce qui est une mission impossible et de l'autre, ils augmentent leur achat de pétrole à la Russie.

(source : Sputnik)

Les USA augmentent leurs importations de pétrole russe

© Sputnik. Dmitry Korobeynikov
ECONOMIE
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Deux tendances se manifestent depuis quelque temps dans les relations russo-américaines: l'augmentation substantielle des importations de pétrole russe par les Etats-Unis et l'accentuation sans précédent des tensions dues au conflit en Ukraine.

Une analyse des transports maritimes internationaux montre qu'en juin et juillet derniers, les Etats-Unis ont importé en moyenne plus de 70.000 barils de pétrole brut russe par jour.
C'est la première fois depuis 2012 que les exportations pétrolières russes se sont maintenues à un niveau si élevé pendant deux mois consécutifs. Au total, plus de 4,6 millions de barils ont été acheminés vers les raffineries américaines.
"L'essentiel réside dans le prix: si le pétrole, les produits ou les matières premières ont un bon prix, ils sont plus attrayants sur le marché mondial. A condition, bien sûr, qu'il n'y ait pas de restrictions géopolitiques", affirme Gary Ross, directeur exécutif de la société de conseil Pira Energy Group.
De la sorte, il est économiquement plus rentable d'acheter du pétrole russe surtout si l'on tient compte du coût relativement faible des transports maritimes par rapport aux transports ferroviaires effectués depuis les exploitations de pétrole de schiste dans le Dakota du nord.
Un autre facteur qui détermine le niveau élevé des exportations pétrolières russes consiste dans l'augmentation substantielle des livraisons provenant des régions orientales du pays. Grâce à ces livraisons, la Russie espère conquérir de nouveaux marchés en Asie, car l'Europe menace de diversifier ses importations énergétiques.
Bien que les sanctions décrétées contre Moscou suite à la crise ukrainienne aient exercé un effet négatif sur les relations entre la Russie et l'Occident, ce dernier n'a pourtant pas cessé d'acheter du pétrole russe.
Ce fait atteste que si les négociants ont la possibilité d'acheter du pétrole à un prix plus attrayant, les considérations géopolitiques n'ont aucune importance.


Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/economie/20150731/1017328487.html#ixzz3hZp2nCfc



Et, pendant ce temps, l'Islande continue à faire son bonhomme de chemin, sans "LEUR" Europe.

(source : histoireetsociete)

L’Islande dit adieu à l’Union européenne, sans même un référendum par Romain Godin

31JUIL



Par Romaric Godin  |  24/02/2014, 15:59  |  807  mots



L'Islande va sans doute se passer de référendum pour mettre fin aux négociations avec l'UE
L’Islande va sans doute se passer de référendum pour mettre fin aux négociations avec l’UE (Crédits : © 2010 Thomson Reuters)




Reykjavik devrait retirer officiellement sa candidature à l’UE déposée en 2009 sans en passer par une consultation populaire, contrairement aux promesses du gouvernement.




Adieu l’UE. Comme la Suisse et la Norvège en 1994, l’Islande devrait refuser officiellement son adhésion à l’Union européenne. Vendredi, les deux partis de centre-droit de la coalition au pouvoir, le parti du Progrès et le parti de l’Indépendance se sont mis d’accord sur une proposition de loi qui sera soumise à l’Althing, la chambre unique du parlement islandais. Ce texte prévoit de retirer la candidature du pays à l’UE sans passer par la voie du référendum comme l’avait promis le gouvernement lors de son entrée en fonction en avril dernier.

Négociations au point mort

En réalité, les négociations avec l’UE entamée en juillet 2009 sont au point mort depuis un vote de l’Althing de janvier 2013, précédant donc les dernières élections parlementaires, qui demandait le gel des discussions. En avril, le centre-droit au pouvoir avait confirmé la suspension de toutes les négociations en attendant un référendum. C’est le gouvernement de centre-gauche issu de la crise violente qu’a connu le pays en 2009 qui avait décidé de lancer l’Islande dans une procédure d’adhésion. Cette adhésion devait être suivie d’une adoption rapide de l’euro afin de donner au pays une « stabilité » dont elle rêvait alors. Mais ces négociations qui ne devaient être qu’une formalité ont achoppé sur trois sujets principaux.

Le problème de la pêche

Le premier, le plus essentiel, est le problème de la pêche. Avec l’effondrement de son système financier, la pêche est redevenue un secteur essentiel de l’économie islandaise. Son poids dans le PIB est passé de 4,7 % en 2008 à 7,1 % en 2012 et 42 % des exportations islandaises sont des produits de la pêche. Or, l’entrée dans l’UE signifierait l’adoption de quotas de pêche plus restreints. Or, compte tenu du poids économique de ce secteur, Reykjavik veut continuer à disposer de cette liberté. L’embargo imposé par l’UE aux harengs et maquereaux des îles Féroé en août dernier a inquiété beaucoup en Islande. Et puis, il y a cette épineuse question de la chasse à la baleine, toujours pratiquée en Islande à la grande indignation de Bruxelles et qui est un sujet fort sensible dans l’île nordique.

L’euro peu attirant

Le deuxième écueil est celui de l’euro. Sans doute pouvait-on voir la zone euro en juillet 2009 comme un « havre de stabilité. » Ce n’est plus guère le cas après quatre ans de crise profonde de l’UEM. Sans compter que, parallèlement, l’Islande a beaucoup profité (au prix d’une très forte inflation) de la dépréciation de la couronne qui a atteint jusqu’à un quart de sa valeur. Beaucoup d’Islandais doutent donc qu’il soit utile de perdre la maîtrise de sa politique monétaire. L’Islande, avec un PIB d’une dizaine de milliards d’euros et 380.000 habitants, sera certaine de voir ses intérêts ignorés par la BCE. Or, les avantages de l’euro sont assez limités puisque les importations en provenance de la zone euro ne représentent que 27 % du total (32 % avec le Danemark dont la monnaie est ancrée sur l’euro). Le jeu pourrait ne pas en valoir la chandelle. Mais enfin, l’Islande pourrait entrer dans l’UE en conservant la couronne.

Un intérêt limité

Troisième raison de l’échec des négociations, c’est la gestion de l’UE. L’Islande est sortie de la crise en tentant de préserver les intérêts de ses nationaux, notamment en pratiquant un défaut sur les investisseurs étrangers et en renonçant de facto à l’indépendance de sa banque centrale. C’eût été évidemment impossible en cas d’adhésion à l’UE. Les partis opposés à l’UE soulignent aussi combien la technocratie bruxelloise serait négative pour la démocratie islandaise. D’autant que, ajoute-t-il, l’Islande, membre de l’accord de libre-échange avec l’UE et de l’espace Schengen, bénéficie déjà d’une bonne intégration dans l’espace européen. Une adhésion à l’UE n’apporterait rien de plus à un pays qui compterait bien peu à Bruxelles.

Des sondages peu favorables à l’adhésion

Les derniers sondages laissaient peu de chances à l’adhésion à Bruxelles. Celui paru dans le quotidien Frettabladid du 3 février indiquait que 49 % des Islandais refusaient l’adhésion, 26 % l’acceptaient.
#Iceland – Fréttablaðið 2 poll: 74.6% want to hold a referendum on membership talks with the EU. 49% oppose EU membership, 26% are in favour
– electionista (@electionista) 3 Février 2014
Néanmoins, ce chiffre semblait en recul par rapport à l’an dernier. Le gouvernement a donc préférer clore le débat plutôt que de faire campagne et prendre un risque. C’est sans doute un oubli des promesses. Et la question est de savoir si les électeurs en tiendront rigueur au gouvernement. Car selon le même sujet, trois quarts des Islandais voulaient un référendum sur la question.

Et, pendant ce temps, angela merckel, la chancelière allemande continue son bonhomme de chemin en allant encourager les pays des balkans non intégré à l'union européenne à persévérer dans leur démarche.
Sérieux, l'Albanie, c'est du grand n'importe quoi, il faudrait arrêter de vouloir intégrer des pays européens dans l'union européenne trop faible pour résister à l'intégration, juste dans l'intention de leur piller le peu de ressources qu'ils possèdent.

(source : Euronews)

En pleine crise grecque, Angela Merkel est partie en visite dans les Balkans. Ce mercredi, la chancelière allemande s’est rendue à Tirana en Albanie, avant de rejoindre la Serbie. L’objectif, aider ces Etats à gérer le flux migratoire et évoquer des perspectives d’adhésion à l’Union Européenne. En pleine tourmente de la zone euro, Angela Merkel dit “soutenir l’intégration des pays des Balkans dans l’Union Européenne”. Elle entend intensifier la coopération, notamment avec Belgrade. Selon le gouvernement serbe, Belgrade a reçu 34 000 demandes d’asile depuis le début de l’année. Le pays est aujourd’hui l’une des portes de l’Europe, avec des frontières qui mènent vers quatre pays de l’Union. Face à l’afflux de migrants, la Hongrie, elle, a choisi d‘édifier un mur à la frontière serbe. Un choix fustigé par Belgrade et Bruxelles. La chancelière allemande doit poursuivre sa tournée dans la région ce jeudi, direction Sarajevo."

Et, quant-au gouvernement ukrainien teinté de ses sympathies fascisantes, il veut qu'on oublie la participation de ceux qu'il élève au pinacle, aux crimes nazies, crimes, en la circonstance, qu'ils ont commis de leur propre chef !
Alors que, alors que le massacre de polonais par l'Union Soviétique, pendant et après la victoire contre les nazis est reconnu puisque les archives soviétiques ouvertes au public l'affirment.
La différence, c'est que c'était un état, dans le cas des polonais d'Ukraine, c'était une milice dirigée par bandera machin truc, un criminel de guerre notoire, héros des ukrainiens nationalistes.
Et, ce même gouvernement s'offusque lorsqu'on ose en parler, cherchant sans doute à réécrire l'histoire.
Sauf que, si, il arrivait à se débarrasser des russophones ukrainiens, les hongrois et les polonais et les autres ne tarderaient pas à faire les frais de leurs exactions.
Mais, l'Europe et les Etats-Unis sont trop préoccupés à piller l'Ukraine pour s'en préoccuper !

(source : histoireetsociete)

 

Un film polonais met en colère le gouvernement ukrainien

31JUIL
Comme je vous l’avais dit le néo-nazisme ukrainien, l’apologie de Bandera y compris par Porochenko, commence à irriter les Polonais, un film d’un auteur à succès irrite Kiev. Il est vrai que le gouvernement ukrainien a déjà déclaré 600 artistes persona non grata (dont Gérard Depardieu) et lancé une fatwa (menace d’arrestation s’ils mettent les pieds en Ukraine) des députés français ayant voyage en Crimée. Il nous a été conseillé Marianne et moi de ne plus passer par l’Ukraine… Bref ces gens sont fous et il faut toute la vassalisation aux Etats-Unis de l’Europe et du gouvernement français pour accepter sans mot dire ce règne des fascistes et l’interdiction des communistes (note de Danielle Bleitrach)

vvvv


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