(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, toute cette semaine, je n'aurais pas le temps d'écrire, vu que je suis occupé à aider bénévolement un couple d'ami.
Mais, je vais vous donner des nouvelles de mon potager quand même. Eh, bien, il va très bien, vu qu'il a fait et fait encore une chaleur propice aux légumes.
Mais, ces cinq dernières années, j'ai dû protéger mes poules contre les chiens du voisin, ensuite, contre les chats d'un voisin qui mangent les poussins. Faut dire qu'il en a eu jusqu'à une vingtaine qu'il ne nourrissait pas.
Et, aujourd'hui, oh, horreur, je dois protéger mes tomates contre les faisans qui viennent les "Dévorer", même vertes.
Les salauds !
Du coup, de mes jolies tomates, je n'en ai mangé qu'une seule à peine rosée et me disant, "C'est toujours une que vous aurez pas !"
Tomates provenant de semences traditionnelles, off course !
A part cela, pour revenir à nos poussins, pardon, à nos moutons, la Grèce, c'est Open Bar. Tous le monde vient y faire ses courses. C'est bien la raison, mes chers lecteurs, que la troïka, dont la France, impose des conditions de soi-disant redressement de l'économie aux grecs, pour les laisser à "poil".
Ne nous leurrons pas et surtout ne nous laissons pas tromper par la propagande de nos journaux nationaux. L'Union Européenne n'aide pas la Grèce à se relever, elle l'a coule et ce à quoi nous assistons sans rien dire et sans verser une larme pour les grecs, c'est à une mise à mort.
Remarquez, la France vend aussi, les biens nationaux sans le dire.
Ah, nos braves socialistes français, pro-américain, pro-israélien, pro-mondialisation, ils nous font la même en loucedé.
Et, comme, concernant, le plan de redressement, grec, c'est l'Allemagne qui est à la tête de la flotte pirate, cela explique mon espoir que nous tous, nous refusions dorénavant d'acheter des articles ou biens matériels "made in Germany) ou tout simplement allemand.
Si, nous le faisions, dans les six mois qui viennent des signes d'alerte apparaîtraient sur les radars de l'économie allemande. Dans l'année qui suivraient leur balance commerciale plongerait.
Mais, pour se faire, il faut adopter une telle attitude partout à travers le monde.
Vous voyez un produit allemand, "VOUS ZAPPEZ !"
Pourquoi, une telle posture, me demanderez-vous, mes chers lecteurs.
Simple, il est temps de démontrer à tous ces salauds de la finance, à toutes ces banques, too big, to fail, soi-disant, ce qui n'est qu'un prétexte inventé pour nous faire casquer leurs saloperies, qu'au bout du compte, eh, bien, nous, les citoyens nous existons.....encore et qu'il faille compter sur nous.
Rendez-vous compte, mes chers lecteurs, partout, ils sont en train de nous concocter des zones de libre échange qui ne sont que des zones où les banques et les multinationales pourront sévir, contre nous, en toute liberté, alors, que dans le même temps, ils nous auront retiré toutes les nôtres.
Nous ne seront plus que les poules où les renards régneront en maîtres.
Nous protestons, mais, ils s'en foutent et nous n'avons déjà plus le pouvoir de les en empêcher.
Le seul qui nous reste, c'est, encore pour le moment, le "VOTE" ou la décision en bout de chaîne de ne "PAS ACHETER".
Si, nous galvaudons ce dernier, alors, nous ne seront plus rien, que de la barbaque à mettre à mort.
Réfléchissez, mes chers lecteurs, nous pouvons faire plier l'Allemagne et les vautours avec, mais, pour cela, il faut sans nous unir, agir ensemble où alors, c'est que nous acceptons le sort qu'ils nous préparent et nous n'en devrons pas nous plaindre.
La balle est dans votre camp, mes chers lecteurs, "We can do it !"
(source : La Tribune)
vvv
Bon, mes chers cinq lecteurs, toute cette semaine, je n'aurais pas le temps d'écrire, vu que je suis occupé à aider bénévolement un couple d'ami.
Mais, je vais vous donner des nouvelles de mon potager quand même. Eh, bien, il va très bien, vu qu'il a fait et fait encore une chaleur propice aux légumes.
Mais, ces cinq dernières années, j'ai dû protéger mes poules contre les chiens du voisin, ensuite, contre les chats d'un voisin qui mangent les poussins. Faut dire qu'il en a eu jusqu'à une vingtaine qu'il ne nourrissait pas.
Et, aujourd'hui, oh, horreur, je dois protéger mes tomates contre les faisans qui viennent les "Dévorer", même vertes.
Les salauds !
Du coup, de mes jolies tomates, je n'en ai mangé qu'une seule à peine rosée et me disant, "C'est toujours une que vous aurez pas !"
Tomates provenant de semences traditionnelles, off course !
A part cela, pour revenir à nos poussins, pardon, à nos moutons, la Grèce, c'est Open Bar. Tous le monde vient y faire ses courses. C'est bien la raison, mes chers lecteurs, que la troïka, dont la France, impose des conditions de soi-disant redressement de l'économie aux grecs, pour les laisser à "poil".
Ne nous leurrons pas et surtout ne nous laissons pas tromper par la propagande de nos journaux nationaux. L'Union Européenne n'aide pas la Grèce à se relever, elle l'a coule et ce à quoi nous assistons sans rien dire et sans verser une larme pour les grecs, c'est à une mise à mort.
Remarquez, la France vend aussi, les biens nationaux sans le dire.
Ah, nos braves socialistes français, pro-américain, pro-israélien, pro-mondialisation, ils nous font la même en loucedé.
Et, comme, concernant, le plan de redressement, grec, c'est l'Allemagne qui est à la tête de la flotte pirate, cela explique mon espoir que nous tous, nous refusions dorénavant d'acheter des articles ou biens matériels "made in Germany) ou tout simplement allemand.
Si, nous le faisions, dans les six mois qui viennent des signes d'alerte apparaîtraient sur les radars de l'économie allemande. Dans l'année qui suivraient leur balance commerciale plongerait.
Mais, pour se faire, il faut adopter une telle attitude partout à travers le monde.
Vous voyez un produit allemand, "VOUS ZAPPEZ !"
Pourquoi, une telle posture, me demanderez-vous, mes chers lecteurs.
Simple, il est temps de démontrer à tous ces salauds de la finance, à toutes ces banques, too big, to fail, soi-disant, ce qui n'est qu'un prétexte inventé pour nous faire casquer leurs saloperies, qu'au bout du compte, eh, bien, nous, les citoyens nous existons.....encore et qu'il faille compter sur nous.
Rendez-vous compte, mes chers lecteurs, partout, ils sont en train de nous concocter des zones de libre échange qui ne sont que des zones où les banques et les multinationales pourront sévir, contre nous, en toute liberté, alors, que dans le même temps, ils nous auront retiré toutes les nôtres.
Nous ne seront plus que les poules où les renards régneront en maîtres.
Nous protestons, mais, ils s'en foutent et nous n'avons déjà plus le pouvoir de les en empêcher.
Le seul qui nous reste, c'est, encore pour le moment, le "VOTE" ou la décision en bout de chaîne de ne "PAS ACHETER".
Si, nous galvaudons ce dernier, alors, nous ne seront plus rien, que de la barbaque à mettre à mort.
Réfléchissez, mes chers lecteurs, nous pouvons faire plier l'Allemagne et les vautours avec, mais, pour cela, il faut sans nous unir, agir ensemble où alors, c'est que nous acceptons le sort qu'ils nous préparent et nous n'en devrons pas nous plaindre.
La balle est dans votre camp, mes chers lecteurs, "We can do it !"
(source : La Tribune)
Vinci candidat au rachat de 14 aéroports grecs
L'opérateur aéroportuaire français doit affronter l'allemand Fraport, et le groupe argentin CASA. La privatisation des aéroports grecs doit s'effectuer en deux lots.
Trois multinationales argentine, française et allemande sont candidates au rachat de 14 aéroports grecs mis en vente pour renflouer les caisses de l'Etat, a annoncé vendredi l'agence grecque des privatisations (Taiped).
L'argentin Corporación América (CASA), le français Vinci et l'allemand Fraport ont déposé des offres engageantes pour l'achat de ces aéroports répartis en deux lots. Corporación América est déjà gestionnaire de 33 terminaux aéroportuaires en Argentine ainsi qu'en Equateur, au Pérou, en Arménie et en Italie, selon son site internet.
Vinci affronte de nouveau Fraport
Le groupe français de BTP et concessions Vinci a déboursé en 2013 trois milliards d'euros pour obtenir la gestion des dix aéroports portugais, dont celui de Lisbonne. Fraport avait supplanté Vinci cet été dans le rachat du principal aéroport de Slovénie, là encore dans le cadre d'une opération de privatisation destinée à équilibrer les comptes publics.
L'appel d'offre grec concerne notamment les plate-formes aéroportuaires de Thessalonique, deuxième ville du pays, des îles touristiques de Corfou, Rhodes, Mykonos, Santorin. Le pilotage des privatisations, chantier stratégique du programme de réformes que la Grèce s'est engagée à adopter auprès de ses créanciers internationaux, est un sujet récurrent de crispation entre Athènes et la troïka UE-BCE-FMI de ses bailleurs de fonds.
Athènes presse la cadence des privatisations
Le gouvernement grec a changé cet été le dirigeant du fonds de privatisations pour la cinquième fois en trois ans. Athènes est sous pression constante pour faire avancer le plan de privatisations qui, en raison de retards, a encore été révisé à la baisse pour 2014, à 1,5 milliard d'euros au lieu de 3,5 milliards. La Grèce espère en retirer 2,2 milliards en 2015, 3,2 milliards en 2016, 2,8 milliards en 2017 et près de 3 milliards en 2018."
vvv
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