mercredi 31 décembre 2014
(blog à finir et à corriger)
Bon, l'année commence mal pour les constructeurs de matériel ferroviaire. La Chine s'organise pour leur damer le pion.
(source : le Quotidien du Peuple)
Mais, parlons d'Ebola avec tous ces laboratoires qui cherchent et estiment combien va leur rapporter l'épidémie, pas encore la pandémie, si, seulement, elle voulait être encore plus virulente et de continuer à s'étendre.
En attendant, l'Afrique se démerde et détiens peut-être la solution qui a déjà été éprouvé avec succès sur des malades, notamment au Libéria.
Pas grâce à l'armée américaine, je vous rassure !
(source : idem)
Mais, passons, par contre dans la rubrique, "Les Etats-Unis envahissent la connerie !"
(source : Reporterre)
- "Vous avez gonflé votre Civic avec quinze livres d’énergie ? C’est adorable" -
bbb
Bon, l'année commence mal pour les constructeurs de matériel ferroviaire. La Chine s'organise pour leur damer le pion.
(source : le Quotidien du Peuple)
Fusion annoncée entre les deux géants ferroviaires
( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )
31.12.2014 08h37
Les deux fabricants chinois de véhicules de chemin de fer, CNR et CSR Corp, ont annoncé mardi une fusion dans le but de former un seul conglomérat.
Ce projet intervient suite à deux mois d'examen et de préparation du gouvernement, mettant fin officiellement à une époque où ces deux entreprises se sont souvent fait de l’ombre sur le marché mondial.
Wang Mengshu, un professeur de l'Académie chinoise d'ingénierie et ardent partisan de ce mouvement, a déclaré que le marché intérieur pour les trains à grande vitesse était plutôt saturé, cette fusion permettra donc d'éviter une concurrence malsaine au niveau des prix pratiqués dans ce secteur.
«Ce nouveau groupe aura un net avantage sur ses rivaux mondiaux en étant en mesure d'optimiser les aspects technologiques des deux fabricants, du capital humain et de la capacité de production», a-t-il souligné.
RSE émettra des actions aux actionnaires de la CNR pour conclure cette association. La cotation des actions devrait reprendre mercredi, selon certains communiqués publiés sur les sites Web de la RSE et des Bourses de Shanghai et de Hong Kong.
Au cours des trois dernières années, les sociétés CNR et CSR se sont souvent trouvées en concurrence dans des appels d’offre à l’étranger. Avec l’exemple d’un contrat pour la construction d'une ligne ferroviaire à grande vitesse reliant les deux plus grandes villes de Turquie (remporté par RSE) et le plus gros projet de grandes lignes en Argentine (remporté par CNR).
Bien que ces deux fabricants ont rarement été mis en difficulté par les concurrents allemands, français, canadiens ou japonais, ils se sont ont souvent affrontés pour pouvoir remporter des contrats internationaux.
«L’économie chinoise étant entrée dans une «nouvelle normalité», le gouvernement central est désireux de créer de plus grandes marques internationales à partir de ses industries haut de gamme, tels que les produits ferroviaires, ainsi que ceux de la communication pour maintenir une croissance de qualité», a expliqué Zhang Ji, directeur général du département du commerce extérieur au ministère du Commerce.
Le terme «nouvelle normalité» se rapportant aux conditions économiques en Chine qui diffèrent de l'ancienne période de forte croissance. Le volume des échanges des produits ferroviaires, des équipements de télécommunication et de l’énergie ont augmenté de 10% en glissement annuel entre janvier et novembre, selon les dernières statistiques douanières.
Feng Hao, chercheur dans le domaine du transport ferroviaire à la Commission nationale pour le développement et la réforme, a indiqué que la Chine espérait également améliorer la force de sa chaîne industrielle grâce à cette fusion.
Cependant, pour Feng un gros travail travail reste encore à accomplir concernant divers aspects de cet accord, comme le tri sur la duplication des opérations de construction et autres surcapacité, et éviter les activités monopolistiques."
Mais, parlons d'Ebola avec tous ces laboratoires qui cherchent et estiment combien va leur rapporter l'épidémie, pas encore la pandémie, si, seulement, elle voulait être encore plus virulente et de continuer à s'étendre.
En attendant, l'Afrique se démerde et détiens peut-être la solution qui a déjà été éprouvé avec succès sur des malades, notamment au Libéria.
Pas grâce à l'armée américaine, je vous rassure !
(source : idem)
Ebola : l’infirmière britannique atteinte pourrait être soignée par du plasma de malades guéris
( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )
31.12.2014 08h50
L’infirmière Pauline Cafferkey, qui lutte contre le virus Ebola dans un hôpital londonien, pourrait se voir offrir du plasma de patients qui ont survécu au virus, et qui proviendrait d'un réseau européen de patients guéris, dont l’infirmier britannique William Pooley. M. Pooley a récupéré du virus Ebola en septembre après avoir été traité au Royal Free Hospital, où Mme Cafferkey est actuellement prise en charge. Il a été traité avec le médicament expérimental ZMapp, mais les approvisionnements du médicament sont maintenant épuisés.
Mme Cafferkey a été diagnostiquée avec le virus Ebola après son retour à Glasgow depuis la Sierra Leone, où elle avait voyagé avec un groupe de travailleurs médicaux de Save the Children. Aux dernières nouvelles, « elle va aussi bien que ce que l'on peut attendre dans ce genre de circonstances », a annoncé le Premier ministre de l'Ecosse, Nicola Sturgeon.
Mme Cafferkey était dans la phase précoce de la maladie quand elle a fait le voyage de retour vers le Royaume-Uni depuis la Sierra Leone, et ses compagnons de voyage présentaient un « risque très faible » d'être infectés. Des préoccupations concernant le processus de dépistage d’Ebola à Heathrow ont été soulevées par le Dr Martin Deahl, un psychiatre consultant qui a voyagé sur le même vol que Mme Cafferkey. Il a décrit le dépistage comme « chaotique », affirmant qu'il y avait trop peu de personnel en service et que les pièces où les bénévoles de retour ont été confinés étaient trop petites."
(source : Reporterre)
L’ARTICLE LE PLUS FOU de 2014 - Le « coal rolling », pollution volontaire tournée contre les écolos, fait fureur aux Etats-Unis
HÉLÈNE CRIÉ-WIESNER (REPORTERRE)
mardi 30 décembre 2014
La Terre ne tourne pas toujours rond, comme le montrait cet article publié en juillet.
Aux Etats-Unis, un nouveau genre de militants anti-écolos est né : au volant de leurs pick-up trucks trafiqués, ils crachent exprès d’épais nuages de fumée noire sur les cyclistes, les piétons, et surtout les conducteurs de voitures hybrides ou électriques. Objectif : éructer leur détestation d’Obama, de sa « politique verte » et des environnementalistes en général.
Raleigh (Etats-Unis), correspondance
Polluer, salir, dégueulasser l’environnement au nom de la liberté, oui, mais autant que ça se voit, n’est-ce pas ? A chacun son modus operandi : les politiciens conservateurs, c’est-à-dire républicains, clament leur négationnisme climatique et refusent de voter les lois limitant l’usage du charbon dans le mix énergétique des Etats-Unis, au prétexte de la défense de l’emploi et des profits des grandes compagnies.
Sur le terrain, la partie la plus arriérée de leurs troupes d’extrême droite a trouvé ce moyen spectaculaire de revendication : pratiquer le « rolling coal », ou« coal rolling », autrement dit, le charbon roulant.
Le 10 juillet, l’influent web magazine AutoBlog décrivait ainsi la nouvelle tendance (qu’il se garde de condamner ouvertement, mais dont on devine qu’elle le dégoûte un peu) :
« Si vous n’êtes pas familier du phénomène, le ‘rolling coal’ est une manière de cracher à la gueule d’un autre véhicule. »
Quand vous étiez ado, avez-vous jamais piloté avec délice une mob ou un scooter au pot d’échappement bricolé pour émettre le plus de bruit possible ? Pour réveiller une cité en pleine nuit ? Ou frimer auprès des filles et des copains ? C’était illégal, bien sûr, mais vous aviez l’impression d’être un vrai mec et d’emmerder le monde.
En plus moderne, c’est la même chose avec une certaine race de red necks(bouseux) états-uniens : ils vivent plutôt dans des comtés ruraux ou dans des gros bourgs perdus. Leur culture, c’est sport à la télé, bière à gogo, armes en vente libre, et surtout culte des gros pick-up trucks, qu’ils bichonnent en leur ajoutant des roues surdimensionnées et des pots d’échappement verticaux, dans le style des camions sillonnant le continent nord-américain. Ces gros machos ont cette phrase basique tatouée sur le cerveau : « Fuck la gauche, fuck d’abord Obama ».
Une réaction de conservateurs extrémistes aux mesures environnementales
- "Vous avez gonflé votre Civic avec quinze livres d’énergie ? C’est adorable" -
Le phénomène du coal rolling, pas nouveau dans le monde des amateurs depick-up frimeurs, a pris son essor en juin, avec l’annonce le 2 juin par Obama de son plan contre le réchauffement climatique. Des mesures essentiellement administratives pour diminuer les émissions des centrales thermiques, favoriser les énergies renouvelables et les voitures non polluantes, le tout à partir de décrets, pour contourner l’obstruction systématique du Congrès.
Ainsi que le souligne Newsweek, ce genre de réaction extrême « était sans doute inévitable », résultat du jusqu’au-boutisme anti-fédéral et anti-EPA(Environnemental Protection Agency) de certains Etats, tels l’Arizona et l’Idaho, où sévissent les négationnistes climatiques les plus virulents.
« Cela débouche sur cette logique absurde du coal rolling, devenu récemment un véritable phénomène. Un sous-ensemble de conservateurs d’extrême droite a trouvé un moyen concret pour manifester son dégoût absolu de tout ce qui touche à la défense de l’environnement. »
Des pages sont dédiées au coal rolling sur Facebook, Instagram et Tumblr, qui diffusent des milliers de photos et vidéos de pick-up lâchant leur suie noire sur des cibles - bicyclettes, voitures, marcheurs – ahuries et furieuses. Youtube offre aussi son lot de petits films soi-disant hilarants, consultés des centaines de milliers de fois, ce qui en dit long sur la popularité du truc.
Certes, vu la tête des victimes, c’est parfois drôle, comme quand quelqu’un reçoit une tarte à la crème dans la figure. Mais, ainsi que le soulignent les contre-blogs et les articles parus dans la presse moins complaisante, c’est également très dangereux, quand la fumée aveugle totalement un conducteur de Prius sur l’autoroute, ou un groupe de randonneurs à vélo dans des lacets de montagne.
La "culture" de la pollution
Transformer son pick-up diesel en machine à fumée noire n’est pas sorcier, mais il faut être prêt à investir un peu d’argent pour modifier le moteur, le système d’échappement, et installer des commandes spéciales. Quelques centaines à quelques milliers de dollars, selon la quantité de pollution qu’on veut dégager à un moment précisément choisi.
Le site de news Vocativ publie un excellent article sur la « culture » des amoureux de pick-up, pour qui cette manière de rouler virilement des mécaniques est un profond art de vivre.
Il cite Robin, un jeune mécanicien de 25 ans de Caroline du Sud. Celui-ci pratique le coal rolling depuis qu’il a eu son premier pick-up, encore adolescent : « Ton pick-up n’est pas seulement là pour te transporter d’un point à un autre. Il représente ta personnalité. Le rolling coal, je ne sais pas l’expliquer, c’est juste marrant : conduire, balancer de la fumée, et se marrer. »
Un acte politique
D’autres ont un discours politique nettement plus élaboré, si l’on en juge par l’enquête de Slate, qui s’est attaqué aux origines et aux usages contemporains de la pratique.
Le journaliste a rencontré un commerçant qui diffuse des kits à installer sur les pick-up diesel pour leur faire cracher la fumée. Il dit : « Je rencontre des tas de clients qui détestent Obama. Si le Président est pour l’environnement, s’il est pour ci ou pour ça, alors, eux, ils sont contre, par principe. Ils balancent cette merde de leur camion, c’est leur façon de faire un bras d’honneur. Vous voulez de l’air pur et une empreinte carbone minimale ? On vous encule ! »
Quand on sait que la pratique du coal rolling coûte cher non seulement en équipement préalable, mais aussi en gasoil, on peut s’étonner de cette façon de protester à base de gaspillage dispendieux.
Selon Slate, il faut y voir la même logique politique que celle qui conduit les gens à acheter des armes et des munitions après une fusillade de masse. « A chaque fois, on entend dire que la gauche va se servir du drame pour interdire l’achat d’armes, alors on se dépêche d’en stocker. »
En l’occurrence, il s’agit de gaspiller de l’essence tant que la pression des environnementalistes n’a pas encore fait grimper son prix à des niveaux européens.
Une atteinte à la loi
Inquiète des proportions prises par le coal rolling, l’EPA a fait savoir le 8 juillet que cette pratique violait le Clean Air Act. « Contourner les contrôles de pollution d’un véhicule est contraire à la loi. La pollution des pots d’échappement, en principe retenue par des technologies qui réduisent les émissions, contient des suies et des composés chimiques responsables de morts prématurées, de l’asthme, et d’autres impacts dangereux pour la santé. »
L’EPA a annoncé qu’elle allait accroître ses contrôles auprès des vendeurs d’équipements induisant le coal rolling. Pourquoi ne pas tout simplement en interdire la vente ? Parce qu’on fait ce qu’on veut avec sa voiture, tant qu’on ne roule pas sur une voie publique.
L’association américaine des amateurs de pick-up est très embarassée par cette mode du coal rolling, et le fait savoir dans un article comminatoire sur son site : « Arrêtons tout de suite ce type de comportement. Cela alimente bêtement les stéréotypes sur les amoureux des pick-up trucks. Nous sommes les premiers à défendre le droit d’expression, mais quand quelques moutons noirs focalisent autant d’attention parce qu’ils utilisent mal leur turbo diesel, on préfère les éjecter de la communauté. » Oui, attention à la fin, quoi !
Source : Hélène Crié-Wiesner pour Reporterre
Première mise en ligne le 17 juillet 2014.
bbb
mardi 30 décembre 2014
lundi 29 décembre 2014
dimanche 28 décembre 2014
(blog à finir et à corriger)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, l'Ukraine est devenu le Far West de l'occident, on y change même le plomb en or.
(source : Express.be)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, l'Ukraine est devenu le Far West de l'occident, on y change même le plomb en or.
(source : Express.be)
La banque centrale ukrainienne a acheté 11 kg de plomb pour ... 300 000 euros
PAR MYLÈNE VANDECASTEELE · 28 DÉC. 2014
En Ukraine, des escrocs sont parvenus à vendre des lingots de plomb à l'agence d'Odessa de la banque centrale, en les présentant comme des lingots d’or, selon la police locale. La banque centrale ukrainienne a payé près de 300 000 euros pour ces lingots qui avaient été teintés à la peinture dorée, croyant acquérir près de 11 kgs d'or, alors que ces barrn’ont aucune valeur.
«Une enquête criminelle a été ouverte et nous sommes en train de mener des investigations pour identifier toutes les personnes impliquées dans ce délit », a déclaré un porte-parole de la police ukrainienne. Le ministère de l'Intérieur d'Odessa État a confirmé l’information.
Une enquête préliminaire semble indiquer que le gang à l'origine de cette escroquerie aurait infiltré la banque en y envoyant l’un de ses membres afin qu'il falsifie les documents nécessaires pour régulariser l'achat des faux lingots d'or. De même, elle aurait révélé que les employés de la banque ne faisaient pas l’objet de vérifications systématiques lors de leurs allées et venues au sein de la banque nationale ukrainienne.
Depuis la découverte de cette tromperie, la banque centrale n’achète plus d’or directement. « Nous ne pouvons pas être sûrs de l'authenticité des stocks », a expliqué Aleksandr Pisaruk, vice président de la Banque nationale ukrainienne.
En outre, l'employé de banque impliqué dans ce vol aurait fui vers la Crimée, la péninsule ukrainienne qui est passée sous contrôle russe. L’enquête correspondante n’a débuté qu’au 18 décembre dernier, alors que les faits allégués ont eu lieu entre août et octobre.
En novembre, on avait appris que la banque centrale ukrainienne avait perdu 12,6 milliards de dollars de réserves d'or, et que son stock ne se montait plus qu’à 120 millions de dollars. Cependant, beaucoup d’incertitudes demeurent et aucune source indépendante ne peut confirmer cette perte potentielle. Cependant, la banque centrale a indiqué que ses réserves d’or et de devises étrangères détenues à l’étranger se montaient à 9,97 milliards de dollars à la fin du mois de novembre."
Pauvre ukrainien, votre révolution, Place Maîdan, vous l'avez eu dans le "cul" depuis le début. On vous a laissé parloter devant les caméras et derrière, on vous a baisé profond. Dites merci à vos oligarques, à Soros, à mosanto avec ses mercenaires black water qui ont aidé à vous tirer dans le tas, à Exxon, à USaid et à la grande Amérique, CIA et les services de l'armée américaine.
Mais, passons et revenons-en à la France où la transparence publique nous amène tout droit à un contrôle orwellien.
(source : Economie matin.fr)
Mais, passons et revenons-en à la France où la transparence publique nous amène tout droit à un contrôle orwellien.
(source : Economie matin.fr)
Exclusif : le montant de vos impôts en accès libre sur Internet pour vos concurrents, adversaires politiques et tous les escrocs #BESTOF
Crédit Photo :
L'information révélée par Toutsurlesimpots.com, qui a soigneusement consulté le Journal Officiel du 8 octobre dernier, fait l'effet d'une bombe. Désormais, un organisme versant des prestations sociales comme la CAF, mais aussi une banque ou même... un bailleur peut accèder à votre avis d'imposition le plus simplement du monde sur Internet. Comment ? En consultant le fichier du SVAIR, le "service de vérification de l'impôt sur le revenu".
Ce service est destiné à lutter contre la fraude aux documents et déjà accessible sur le site desImpots.gouv.fr, mais suscite la polémique. En effet, pour consulter le fichier du SVAIR, il suffit de connaître le numéro fiscal et l'avis de référence de l'impôt, deux informations qui figurent sur la première page... de votre avis d'imposition. L'idée, bien entendu, est de permettre à tout ceux qui demandent déjà ces documents (souvent, une photocopie avec l'original à côté) pour étudier des droits, monter un dossier de crédit, louer un logement, de vérifier que ceux-ci n'ont pas été falsifiés.
L'avis d'imposition en accès libre
Mais le problème soulevé d'ailleurs par CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés), dans un avis du 12 septembre dernier paru au Journal Officiel plus d'un mois après, le 15 octobre, c'est que l'accès de ces données sur Internet n'est pas assez sécurisé. La rédaction d'Economie Matin a procédé au test auprès de deux "Centres des Finances Publiques". Prétendant n'avoir pas reçu "notre" avis d'imposition, nous avons pu obtenir par téléphone le numéro d'identifiant fiscal et le numéro de l'avis en déclinant simplement "notre" identité (en l'occurence, celle de deux collaborateurs d'EconomieMatin.fr). Ce qui veut dire que toute personne mal intentionnée (voisin, adversaire politique, escroc) peut désormais facilement connaître le montant déclaré et les impôts de tout un chacun !
La CNIL s'en étonne sobrement dans son avis "Il s'ensuit que toute personne disposant de ces deux numéros pourra accéder directement à SVAIR" écrit-elle. Rentrant dans le détail technique du service, la CNIL pointe du doigt plus précisément le danger : " les données de connexion font l'objet d'une journalisation se traduisant par la conservation pour chaque connexion des dates, heures et, a priori, de l'adresse IP, la requête effectuée (c'est-à-dire la commande informatique lancée depuis un formulaire vers le serveur quand un usager a fini de remplir le formulaire et clique sur « envoyer » par exemple), le système d'exploitation et le navigateur. Ces données ne permettent donc pas de connaître directement l'auteur des requêtes.
La connexion se fait soit à partir du site www.impots.gouv.fr, soit à partir du site collectivites-locales.gouv.fr, mais,aucune identification n'étant exigée de la part des organismes, toute personne disposant des deux identifiants requis peut effectuer cette consultation."
La connexion se fait soit à partir du site www.impots.gouv.fr, soit à partir du site collectivites-locales.gouv.fr, mais,aucune identification n'étant exigée de la part des organismes, toute personne disposant des deux identifiants requis peut effectuer cette consultation."
Sécurité des données personnelles : La CNIL tire le signal d'alarme
La CNIL s'émeut en plus du fait que le ministère de l'Economie et des Finances n'a pas attendu l'avis de la CNIL pour mettre en ligne le service, "contrevenant ainsi aux dispositions susvisées de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978". Autrement dit, le service devait d'abord être agréé par la CNIL, autorité administrative indépendante, avant de démarrer...
L'histoire ne dit pas si la CNIL saisira la Justice ou pourquoi pas le défenseur des droits, Dominique Baudis, mais en attendant elle insiste sur le fait que "ce type de traitement engendre nécessairement des risques pour la vie privée des contribuables, d'autant plus que l'identification des personnes ayant recours à SVAIR n'est pas assurée"
La CNIL propose que tout ceux qui consultent le service de vérification des avis d'impôt sur le revenu "s'identifient au préalable ou se connectent par l'intermédiaire de leur espace en ligne, ce qui donnerait un sens à la conservation des données de connexion".
Et, pendant ce temps, au Brésil s'annonce la fin de la forêt amazonienne.
(source : Wikistrike)
Brésil: "La tronçonneuse d'or", reine de la déforestation, nommée ministre de l'agriculture
Publié par wikistrike.com sur 26 Décembre 2014, 07:19am
Dilma Rousseff a choisi Katia Abreu, grande propriétaire en Amazonie, pour diriger l'Agriculture au grand dam des écologistes et de Sans Terre.
Après avoir choisi un ministre de l'Économie "orthodoxe" et, à ce titre, très apprécié des marchés, la présidente de gauche Dilma Rousseff, réélue de justesse en octobre, a récidivé : elle a nommé mardi soir à l'Agriculture, Katia Abreu, une représentante du puissant secteur agroalimentaire, au grand dam des écologistes et des Sans Terre. En 2010, Katia Abreu avait remporté le titre ironique de "Tronçonneuse d'or" décerné par Greenpeace et les paysans sans-terre. Les indigènes l'ont baptisée "reine de la déforestation" en Amazonie. Ils l'accusent de privilégier l'expansion de l'agrobusiness au détriment de l'agriculture familiale et de l'environnement.
Katia Abreu, 52 ans, est une grande propriétaire terrienne de l'État amazonien du Tocantins. Sénatrice depuis 2006, elle appartient au parti centriste PMDB, de la coalition gouvernementale, mais a commencé dans la politique à droite. Elle devient la première femme à prendre la tête du ministère de l'Agriculture au Brésil, pour le second mandat de Mme Rousseff qui commence le 1er janvier.
Soutenue par les grands producteurs agricoles, elle a été critiquée par ses sympathisants pour faire partie d'un gouvernement du Parti des travailleurs (PT, gauche, au pouvoir depuis douze ans) qu'elle critiquait vertement. Mais elle s'attire aussi les foudres des mouvements de Sans Terre qui réclament une réforme agraire et voient dans sa nomination une "trahison" de la part de la présidente Rousseff. Ils ont déjà promis une résistance féroce à sa gestion.
La candidate de l'agrobusiness
Le caractère volontaire de Mme Abreu lui a valu la comparaison avec Margaret Thatcher, l'ancienne Premier ministre britannique surnommée la "dame de fer". Elle justifie son soutien au gouvernement de Mme Rousseff en assurant qu'"elle n'accepte ni les exigences de la droite ni celles de la gauche". "Je suis libre et je vis dans une démocratie", a-t-elle posté sur son compte Twitter.
Présidente de la Confédération nationale de l'agriculture (CNA) - poste qu'elle abandonne pour devenir ministre -, elle défend bec et ongles l'agrobusiness qui représente 23,3 % du PIB du Brésil, 7e économie mondiale. Elle rejette l'expropriation de terres non productives à des fins de réforme agraire et soutient les cultures transgéniques. Elle veut que le Brésil détrône les États-Unis comme premier producteur mondial d'aliments. "Nous figurons parmi les dix principales économies de la planète et cela exige, entre autres, des investissements en infrastructures. Nous devons dépasser les vieux modèles qui alimentent l'action prédatrice de groupes idéologiques de gauche et de droite", déclarait-elle récemment à la CNA.
Pour les Indiens qui réclament la délimitation de leurs terres, sa nomination va "à l'encontre des revendications des mouvements sociaux brésiliens". Car Katia Abreu a d'ores et déjà prévenu que si le taux moyen de création de réserves indiennes se maintient, en 2031 il n'y aura plus de surface pour la production agricole.
La présidence en ligne de mire
Mme Abreu a commencé sa trajectoire de leader agricole à la mort de son mari dans un accident d'avion. Elle avait 25 ans et était enceinte de son troisième enfant. Elle a dû prendre les rênes de son énorme propriété terrienne. "Au début, je ne distinguais pas une vache d'un taureau", a-t-elle confié à l'hebdomadaire conservateur Veja. Mais elle ne cache pas ses ambitions : "Disputer la présidence n'est pas un plan, c'est un fait. (...) C'est mon destin", a-t-elle assuré dans un entretien au journal The Guardian, cette année.
"Abreu représente l'importance de l'agrobusiness pour relancer l'économie en berne. Rousseff sera plus pragmatique pour son second gouvernement et renforcera sa relation avec le secteur. Le défi sera de gérer les répercussions négatives de sa nomination avec le PT", explique à l'AFP Rafael Cortes, analyste politique du consultant Tendencias.
En tant que ministre, Mme Abreu devra affronter ses vieux adversaires. "Elle représente le Latifundium (grand propriétaire terrien, NDLR) arriéré qui a la terre comme instrument de pouvoir et de spéculation immobilière, sans aucune préoccupation avec l'environnement", déplore Igor Santos, un dirigeant du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST). Selon l'Institut national de statistiques, 43 % des terres agricoles du pays appartiennent à 1 % des propriétaires."
En attendant en France, le gouvernement se montre tel qu'il est réellement, au service des plus nantis.
(source : idem)
(source : idem)
Discrètement, la France supprime la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à 1 million d'euros à la fin décembre
Publié par wikistrike.com sur 25 Décembre 2014, 15:37pm
Catégories : #Economie, #Politique intérieure
En France, la taxation de 75% que le président François Hollande a imposée en 2012 sur les hauts revenus prendra fin comme prévu à la fin de ce mois. La taxe, qui s’appliquait sur les revenus supérieurs à un million d’euros, n’avait été programmée que pour une durée de deux ans, et en octobre dernier, le Premier ministre Manuel Vals, alors en visite en Grande-Bretagne, avait confirmé qu’elle serait supprimée.
Hollande avait évoqué la mise en place d’une « contribution exceptionnelle de solidarité » lors de sa campagne pour la présidence, ce qui avait contribué à son élection. Mais dès l’annonce de sa création, la taxe s’était révélée être une épine dans le pied du chef de l’Etat français.
Beaucoup ont redouté un exode des entreprises, des sportifs et des artistes, et Emmanuel Macron, l’actuel ministre des Finances, qui n’était alors que conseiller à la présidence, avait averti qu’elle ferait de la France une sorte de « Cuba sans le soleil ».
Finalement, l’émigration de masse des super-riches ne s’est pas produite, mais la taxe a été décriée de toutes parts, alors que les recettes qu’elle a apportées ont finalement été très modestes. Selon le ministère des Finances, elle n’aurait rapporté que 260 millions d’euros au cours de la première année, et seulement 160 millions d’euros cette année, des chiffres en ligne avec les prévisions, mais bien trop faibles pour réellement contribuer à la réduction du déficit du pays qui atteignait 84,7 milliards d’euros à la fin du mois d’octobre.
« La réforme a clairement abîmé la réputation de la France et sa compétitivité», explique Jorg Stegemann, directeur de Kennedy Executive, un consultant en ressources humaines basé en France et en Allemagne. Il explique qu’il est devenu plus difficile d’attirer des cadres de stature internationale pour venir travailler en France.
Selon Jean-Philippe Delsol, un avocat fiscaliste auteur de « Pourquoi je vais quitter la France », quelques uns de ses clients ont émigré à l’étranger, notamment au Luxembourg et au Royaume-Uni. Mais dans la plupart des cas, ils ont négocié avec leur employeur pour différer pendant 2 ans le versement de salaires et de primes qui auraient pu faire atteindre le seuil fatidique à leur rémunération.
Il affirme que la taxe a eu un effet dissuasif sur les investissements en France, et qu’elle a renforcé la défiance dans le système fiscal français. « Les gens ont perdu confiance. C'est n'est pas quelque chose qu'on peut regagner du jour au lendemain», dit-il. "
Il serait temps, mes chers lecteurs, que les mouvements et partis dits de gauche arrête de parler de rassembler la gauche pour battre la droite en se mettant à la remorque du parti "socialiste" contre promesses de postes.
Les socialistes sont finis, ils sont dans la poubelle de l'histoire.
Chercher à faire alliance avec eux, c'est se précipiter avec eux dans la poubelle. D'ailleurs, j'espère que les communistes font faire cette erreur, vu qu'ils veulent garder ou obtenir de nouveaux postes et qu'ils vont enfin disparaître.
Non, pas que ce soit anti-communiste, mais, je suis, contre ces apparatchiks nauséabonds.
Mais, passons.
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