On le savait, mais la précision rassure.
(source : Les Moutons Enragés)
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Selon le professeur Séralini, "on mange à peu près 36 pesticides par jour"
Le chercheur caennais, auteur de l'étude sur la toxicité de l'herbicide Roundup et du maïs transgénique fabriqué par le groupe Monsento, publie avec le cuisinier Jérôme Douzelet le livre "Plaisirs cuisinés ou poisons cachés". Il était l'invité de votre édition régionale ce mercredi midi.
Le professeur caennais Gilles-Éric Séralini avait été révélé aux yeux du grand public lors de la publication de son étude controversée sur la toxicité de l'herbicide Roundup et du maïs transgénique fabriqué par le groupe Monsento en septembre 2012. Un an et demi plus tard, il publiait une nouvelle étude nouvelle étude démontrant que les pesticides sont "deux à mille fois plus toxiques" qu'annoncés.
C'est avec un cuisinier, Jérôme Douzelet, qu'il s'est associé pour publier chez Actes Sud un livre, "Plaisirs cuisinés ou poisons cachés", dénonçant la standardisation des goûts et des textures par les produits industriels mais aussi leurs méfaits pour la santé. Le scientifique, invité de votre édition régionale ce jeudi midi, estime qu' "on mange à peu prés 36 pesticides par jour" et dénonce "l'agriculture transformée, l'agriculture industrielle qui est à la base de beaucoup d'empoisonnements qui n'osent pas dire leur nom". Les deux auteurs vantent l'utilisation "de plantes détoxifiantes qui peuvent être ajoutées aux plats et les rendre meilleurs" ainsi que "des produits locaux les plus biologiques possibles".
C'est avec un cuisinier, Jérôme Douzelet, qu'il s'est associé pour publier chez Actes Sud un livre, "Plaisirs cuisinés ou poisons cachés", dénonçant la standardisation des goûts et des textures par les produits industriels mais aussi leurs méfaits pour la santé. Le scientifique, invité de votre édition régionale ce jeudi midi, estime qu' "on mange à peu prés 36 pesticides par jour" et dénonce "l'agriculture transformée, l'agriculture industrielle qui est à la base de beaucoup d'empoisonnements qui n'osent pas dire leur nom". Les deux auteurs vantent l'utilisation "de plantes détoxifiantes qui peuvent être ajoutées aux plats et les rendre meilleurs" ainsi que "des produits locaux les plus biologiques possibles".
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