(blog à finir et à corriger)
Eh, bien, mes chers lecteurs, les espagnols ont raison, il faut se débarrasser des systèmes de bi-partisme où si les étiquettes différent, le but reste commun. Blanc bonnet ou bonnet blanc au service de la finance (plutôt des escrocs de wall street) et des industries les plus polluantes et celles qui délocalisent le plus.
(source : les inroks)
A part cela, les spéculateurs institutionnels et privés américains s'inquiètent, ils risquent de ne plus pouvoir utiliser la planche à billet ou fabriquer de la monnaie virtuel pour leur opération qui a ruiné des millions de citoyens américains et du monde.
(source : 24hgold)
Eh, bien, mes chers lecteurs, les espagnols ont raison, il faut se débarrasser des systèmes de bi-partisme où si les étiquettes différent, le but reste commun. Blanc bonnet ou bonnet blanc au service de la finance (plutôt des escrocs de wall street) et des industries les plus polluantes et celles qui délocalisent le plus.
(source : les inroks)
Podemos : Les Indignés premier parti d’Espagne ?
12/11/2014 | 10h20
Issu des Indignados, le mouvement espagnol mené par l’atypique Pablo Iglesias,
joue la carte de la différence. Profitant du dégoût de la population envers
une classe politique corrompue, il pourrait supplanter les deux grands partis du pays.
joue la carte de la différence. Profitant du dégoût de la population envers
une classe politique corrompue, il pourrait supplanter les deux grands partis du pays.
“Prendre le ciel d’assaut” : tel est le slogan de Podemos
(“Nous pouvons”), mouvement espagnol issu des Indignés
de la Puerta del Sol. Ils y sont presque parvenus après
dix mois d’existence légale.
(“Nous pouvons”), mouvement espagnol issu des Indignés
de la Puerta del Sol. Ils y sont presque parvenus après
dix mois d’existence légale.
Entre leur manifeste de janvier 2014, où ils prétendaient
“passer de l’indignation au changement politique” et les
élections européennes du 25 mai, où ils emportaient 8 %
des suffrages et cinq sièges de députés, il s’est passé
quatre petits mois. Six de plus et les sondages les donnent
au coude à coude avec les deux grands partis espanols :
le PSOE (socialistes) et le PP (droite). Entre 22 et 27 %
des intentions de votes : du jamais vu. Comment ont-ils
accompli pareil exploit dans un pays où, depuis 1978 et le
vote de la constitution, les deux grands (partis) totalisent
toujours 70 % des voix ?
“passer de l’indignation au changement politique” et les
élections européennes du 25 mai, où ils emportaient 8 %
des suffrages et cinq sièges de députés, il s’est passé
quatre petits mois. Six de plus et les sondages les donnent
au coude à coude avec les deux grands partis espanols :
le PSOE (socialistes) et le PP (droite). Entre 22 et 27 %
des intentions de votes : du jamais vu. Comment ont-ils
accompli pareil exploit dans un pays où, depuis 1978 et le
vote de la constitution, les deux grands (partis) totalisent
toujours 70 % des voix ?
Pablo Iglesias superstar
Le premier élément de réponse s’étale à la une des journaux.
Depuis des mois, le personnel politique espagnol est tétanisé
par la corruption. Rien qu’en octobre, les Espagnols, pourtant
blasés, ont dû encaisser deux affaires de plus. La première
concerne des cartes de crédit “opaques”distribuées par deux
banques madrilènes à des responsables politiques ou syndicaux :
de 2 500 à 12 000 euros par mois, sans aucune déclaration au fisc espagnol. La seconde, fin octobre, a conduit à l’arrestation d’une cinquantaine de politiques, fonctionnaires et entrepreneurs
castillans soupçonnés d’avoir prélevé des commissions illicites
sur des marchés de travaux publics.
Depuis des mois, le personnel politique espagnol est tétanisé
par la corruption. Rien qu’en octobre, les Espagnols, pourtant
blasés, ont dû encaisser deux affaires de plus. La première
concerne des cartes de crédit “opaques”distribuées par deux
banques madrilènes à des responsables politiques ou syndicaux :
de 2 500 à 12 000 euros par mois, sans aucune déclaration au fisc espagnol. La seconde, fin octobre, a conduit à l’arrestation d’une cinquantaine de politiques, fonctionnaires et entrepreneurs
castillans soupçonnés d’avoir prélevé des commissions illicites
sur des marchés de travaux publics.
Le credo de Podemos repose sur l’épuisement des élites,
le rejet de la corruption et du système – y compris capitaliste.
Le parti est donc le premier bénéficiaire du dégoût de la population.
Un dégoût d’autant plus profond que la société demeure brisée
par six longues années de crise et que le chômage reste en Espagne
à un niveau impressionnant : près de 25 %.
le rejet de la corruption et du système – y compris capitaliste.
Le parti est donc le premier bénéficiaire du dégoût de la population.
Un dégoût d’autant plus profond que la société demeure brisée
par six longues années de crise et que le chômage reste en Espagne
à un niveau impressionnant : près de 25 %.
De plus, Podemos s’est trouvé un leader : Pablo Iglesias,
dont l’investiture comme secrétaire général sera effective
ce 15 novembre. A 35 ans, ce docteur en sciences politiques
est une bête médiatique. Son style familier tranche avec le
côté gourmé de la droite et le profil de gendre idéal du nouveau
leader socialiste, Pedro Sánchez.
dont l’investiture comme secrétaire général sera effective
ce 15 novembre. A 35 ans, ce docteur en sciences politiques
est une bête médiatique. Son style familier tranche avec le
côté gourmé de la droite et le profil de gendre idéal du nouveau
leader socialiste, Pedro Sánchez.
Podemos tire donc avantage des circonstances mais avec
intelligence. Encore peu structuré, il fera l’impasse sur les
municipales de mai 2015. Sauf à Madrid. L’enjeu, ce seront
donc les législatives, dans un an exactement. Le temps
d’élaborer un programme qui ne soit pas uniquement
une protestation, comme c’est encore largement le cas.
intelligence. Encore peu structuré, il fera l’impasse sur les
municipales de mai 2015. Sauf à Madrid. L’enjeu, ce seront
donc les législatives, dans un an exactement. Le temps
d’élaborer un programme qui ne soit pas uniquement
une protestation, comme c’est encore largement le cas.
Quelle réponse aux indépendantistes ?
Podemos n’a, par exemple, pas de réponse à la question
politique du moment : la gestion du défi indépendantiste catalan.
Ce parti est de racines castillanes, né à Madrid, dans les
couloirs de l’université Complutense. Moins important à Barcelone,
il prône certes l’autodétermination du Pays basque, de la Navarre
ou de la Catalogne mais sans solution constitutionnelle. En clair,
il élude le problème.
politique du moment : la gestion du défi indépendantiste catalan.
Ce parti est de racines castillanes, né à Madrid, dans les
couloirs de l’université Complutense. Moins important à Barcelone,
il prône certes l’autodétermination du Pays basque, de la Navarre
ou de la Catalogne mais sans solution constitutionnelle. En clair,
il élude le problème.
Enfin, comme en Grèce avec Syriza, Podemos n’est pas
à l’abri de remporter les législatives de 2015, en devenant –
avec disons 30 à 35 % des suffrages – le premier parti
d’Espagne, sans pouvoir prendre le pouvoir si le PP et
le PSOE se coalisent. Ce parti si dynamique, si créatif
et si fortement incarné par Pablo Iglesias, résistera-t-il à
quatre longues années d’opposition et d’attaques de la part
de ceux que son irruption sur la scène politique et son
succès dérangent ?
à l’abri de remporter les législatives de 2015, en devenant –
avec disons 30 à 35 % des suffrages – le premier parti
d’Espagne, sans pouvoir prendre le pouvoir si le PP et
le PSOE se coalisent. Ce parti si dynamique, si créatif
et si fortement incarné par Pablo Iglesias, résistera-t-il à
quatre longues années d’opposition et d’attaques de la part
de ceux que son irruption sur la scène politique et son
succès dérangent ?
A part cela, les spéculateurs institutionnels et privés américains s'inquiètent, ils risquent de ne plus pouvoir utiliser la planche à billet ou fabriquer de la monnaie virtuel pour leur opération qui a ruiné des millions de citoyens américains et du monde.
(source : 24hgold)
La fin d’une époque : le pétrodollar est-il menacé ?
Par OilPrice.com - oilprice.com
Publié le 11 novembre 2014
1304 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
( 16 votes, 5/5 ) , 6 commentaires |
Autre question, les Etats-Unis en s'attaquant à la Russie et aux Brics, coupent-ils la branche de ses financiers et spéculateurs rapaces ?
(source : The vineyard saker)
La Russie lance un nouveau système de paiement pour contourner le réseau Swift
bbbb
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